Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières [Ran =)] FIN

Epine de Rosier

Le soleil. Le ciel bleu. Les oiseaux chantant. Les traînés blanches dans l'océan céleste. Le jour gagnant contre la nuit. Le printemps. Enfin. Les beaux jours revenaient à grands pas, accompagnés du gibier. Le tas de proie se garnissait à vue d’œil. Bientôt, des petits naîtraient. Instinctivement, Épine de Rosier leva la tête. Il se réjouissait de la venue de la saison des feuilles vertes, mais cette toute dernière pensée lui rappelait Pétale, Précieuse, Energie et Lagon, qui était si loin de lui, au Clan de l'Ombre. Il devait avoir drôlement grandis. *Bah, ils seront peut-être à la prochaine Assemblée.* Le matou préférait rester positif. Il se leva, s'étira et enterra les os de la souris qu'il venait de manger. La journée battait son plein, le soleil était haut dans le ciel. Un vent frais, dernier vestige de l'hiver, soufflait encore à travers les territoires des quatre clans. Le matin même, le guerrier avait participé à la patrouille de l’aube. Rien de particulièrement suspect n’avait été remarqué, le tour du territoire avait donc été rapide. Et il avait passer le reste de la matinée à profiter du soleil près d’un bouquet de roseau. Il agita la queue.- Bon, je ne vais resté là à ne rien faire. Rosier avait dit cette phrase pour lui-même, et de toute façon, personne ne semblait l’avoir entendu. Il balaya la clairière du regard. Chacun s’activait dans son coin. Les reines discutaient en observant leurs chaton jouer entre eux avec une boule de mousse. Les apprentis partaient s’entraîner avec leur mentor. Le lieutenant du Clan préparait la prochaine patrouille. Le chat blanc et crème eut soudain envie d’aller chasser. Ses pattes le démangeait. Cependant, il préférait ne pas y aller seul, afin de pouvoir de bavarder avec quelqu’un en chemin. De plus, qu’ils allaient du côté de la rivière, ils pourraient ramener du poisson en plus. Epine de Rosier repéra alors Oiseau Blanc, qu’il connaissait peu, et qui lui aussi paraissait n’avoir rien à faire. Il s’approcha de lui, la queue haute, et lui lança d’une voix joyeuse :- Salut ! Ce te dirait une partie de chasse du côté du ruisseau ?

Oiseau Blanc

« La logique sauve de l'ennui. »
de Arthur Conan Doyle

Faire quelque chose chasse l'ennuie. Quel déduction mon cher Watson. J'avais participer à ce que mon clan appel patrouille de chasse. J'aime bien chasser, j'aime beaucoup ça. Plus que de simple patrouille je me sens enfin utile à mon clan quand je chasse. Pourtant je préfère chasser seul ou maximum à deux. C'est pour sa que lorsque le chef de patrouille à proposer de se séparer j'ai tout de suite accepté. Quand je suis seul je pense beaucoup. J'essaye de ne pas pensé au passé mais plutôt au futur. J'essaye de sourire à la vie et pourtant je les vois, je ressent un peu leurs présence. A travers mon coeur. Je ne vie plus, je subit. Je survie.

Maintenant je m'ennuie. Ce matin tôt je m'étais levé, j'avais ramener mes prises et maintenant je terminais mon repas. Le regard vague. Je ne faisais attention à personne. A quoi bon. J'étais devenu comme un fantôme. La mort de ma mentor m'avait achevé. Vidé de cette joie que j'avais un peu retrouver avec elle. Je posais ma tête sur mes pattes. Qu'étais devenu le chat d'avant ? Le jeune chaton pleins d'insouciance que je revoyais dans mes rêves. Ce chat qui croquer la vie à pleine dent, qui avait une famille, qui avait des rêves. Il est mort.

Son coeur, la rivière la emportait. Ne laissant qu'un matou vide...Je suis se matou vide. Pourtant il est venu me voir ce guerrier. Tout le monde essaye de ne pas me déranger. Il me regard avec un regard vif. Il s'approcha de moi à grand pas, la queue haute. De sa voix clair il me lance une phrase qui immédiatement me rend le sourire. La chasse, je vais chasser de nouveau. Je me redresse soudain mes yeux de nouveaux remplis de choix. Je suis content, oui heureux de chasser. La concentration me fais oublié.

-Avec plaisir Epine du Rosier !

Je n'ai jamais vraiment parler avec lui. Seulement des bonjours et c'est tout. C'est fou quand même...On est dans le même clan mais pourtant on ne se parle pas plus que ça. Je me passe un coup de langue histoire d'être un peu plus présentable. J'essaye de cacher la tristesse loin dans mon coeur pour ne savourer que ce simple moment. Je l'observe, le détail histoire dans apprendre plus sur celui qui va être mon compagnon de route pendant une parti de chasse.

-Je suis prêt, on peut y aller si tu le souhaite...

Bizarre ce que je viens de dire. S'il ma posé la question c'est surement qu'il veut partir maintenant. Mais je suis heureux c'est l'important je pense pour le moment. Je me vois déjà tapis sous un buisson. Prêt à sauter sur cette petite proie qui remplira le ventre d'un de mes camarades de clans.

Epine de Rosier
" Friends ? "

Oiseau Blanc leva la tête. Il semblait joyeux, et cela rassura Rosier. Au moins, il ne serait pas jeté. Il se souvint de nombreuses fois où il s'était fait envoyer paître par des guerriers plus expérimentés que lui, lorsqu'il était plus jeune. désormais, il avait prit de l'assurance et pouvait parler avec les autres d'égale à égale.

- Avec plaisir Épine du Rosier !

Le guerrier ronronna. Son compagnon de chasse se passa un coup de langue sur la fourrure, avant de lancer :

- Je suis prêt, on peut y aller si tu le souhaite...
- Très bien, alors allons-y ! Répondit-il presque aussitôt.

Les deux félins sortirent du camp côte à côte. Ils parlèrent peu, préférant savourer les douce senteurs de la forêt lors de la saison des feuilles vertes. Épine de Rosier aperçut un écureuil qui grignotait une graine. mais il se trouvait sur la branche d'un pin, beaucoup trop élevé pour s'aventurer là-haut. Après quelques minutes de marches, le gargouillis du ruisseau libéré des glaces se fit entendre. Le guerrier crème et blanc le distinguait presque au travers des arbres. Le soleil tapait de plus en plus fort. Il n'était plus habitué à la chaleur printanière. Les proies en profiteraient pour sortir en quête de nourriture. Et avec un peu de chance, ils trouveraient déjà quelques poissons dans le ruisseau. Rosier s'arrêta et huma l'air doucement. Il sentait la terre meuble sont des pattes, ils pouvaient y planter ses griffes sans problèmes. Le printemps était sans aucuns doutes sa saison préférée. Le renouveau. La fraîcheur. Et le bonheur. Ce dernier était pourtant loin de son coeur. Mais il se sentait bien. La guerrier se tourna vers Oiseau Blanc. Son ami.

- Que préfères-tu ? Chasse ou pêche ? Pour être franc, ça m'est complètement égal.

Oiseau Blanc

« Dieu pêche les âmes à la ligne, Satan les pêche au filet. »
de Alexandre Dumas

Le guerrier avait répondu et tout deux partirent vers l'entrée du clan. Oiseau Blanc essayé de profitait de cette occasion pour se détendre. La vie de clan était un peu dur pour lui. Des cauchemars, de plus les problèmes avec le clan de l'ombre lui faisait peur. Il aurait voulu ce confié...Mais pouvait-il faire confiance à Épine du Rosier ? Et l'état du chef ? Qu'est ce qui ce passait ? La forêt changeait, mais personne n'osait le dire. Et lui le stress, il supportait de moins en moins. L'odeur du printemps était agréable pourtant il manquait un morceau qui aurait donné un sentiment de sûreté. L'odeur était là...Mais le silence régnait. Le ruisseau coulé tranquille, mais il n'y avait pas d'oiseau. Chassais ces idées de sa tête, oui, bonne idée. Il secoue sa tête blanche et rousse.

- Que préfères-tu ? Chasse ou pêche ? Pour être franc, ça m'est complètement égal.

Lui ? Ce qu'il préfère ? C'est bien rare qu'on lui demande son avis sur le choix entre gibiers à poils et gibiers à écailles. Mais pour une fois il saisit cette chance. La pêche lui ferait beaucoup de bien. Cela lui rafraîchirait aussi les idées. Un peu d'eau fait toujours du bien. Il rentre et sort ces griffes, qui s'enfonce dans la terre humide. Il hésite toujours puis fini par se décider. Un peu de pêche serait parfait pour bien commencer la nouvelle saison.

-J'aimerais bien pêcher un peu, histoire d'apaisé un peu la soif que provoque au passage cette chaleur.

Il se met en route vers le ruisseau. En espérant, que l'autre guerrier serait d'accord. Oiseau Blanc découvre au détour d'un buisson le petit ruisseau. Le soleil se reflète sur l'eau claire. Elle est un peu trouble mais à l'air très potable. Il se penche un instant pour en laper la surface de sa langue rose pâle. Il se redresse et regard de ses yeux verts le matou à ces côtés.

Epine de Rosier
" Together "

Oiseau Blanc sembla hésiter durant quelques instants. Il finit par répondre, donnant ainsi sa décision :

- J'aimerais bien pêcher un peu, histoire d'apaiser un peu la soif que provoque au passage cette chaleur.

Épine de Rosier hocha la tête. Son camarade se dirigea vers le ruisseau, et il lui emboîta le pas. La Clan n'avait pas eu de poissons de tout l'hiver, à cause de la glace qui emprisonnait les rivières. Cela faisait du bien, de se sentir de nouveau maîtres des eaux. Les deux matous se penchèrent pour boire. L'eau avait un goût étrange. Le guerrier n'arriva pas à définir ce que c'était exactement, mais cela ne ressemblait pas à d'habitude. Il se redressa. L'autre chasseur le fixait, et il agita les oreilles et ne pipa mots pour l'instant. Le regard plongé dans le fond du ruisseau, il n’aperçut qu'un minuscule poisson entre les cailloux. Rosier se tourna de nouveau vers Oiseau Blanc.

- Tu trouve pas que...l'eau est bizarre ? J'espère que les bipèdes ne l'a pas pollué...

Épine de Rosier sentit son cœur s’accélérer. S'il y avait un quelconque problème, avec l'eau de la rivière, il fallait le d"couvrir au plus vite. Il ne fallait pas qu'une épidémie se propage, ni qu'ils perdent une partie de leur ressource propre à leur Clan. Le guerrier fit un drôle de sourire. il s'emportait, ce n'était sans doute pas grave. Après tout, ils avaient peut-être bu au mauvais endroit de la rivière, ou alors son imagination lui jouait des tours. Oui, ce n'était sans doute que cela...

Oiseau Blanc

« Qui fait confiance au monde sera trahi. »
de Hazrat Ali

Les oreilles dressaient, il lape toujours de sa langue rose l'eau pure...peut être pas si pur que ça. En fait, elle a comme un arrière gout. Les yeux verts du matou scrutent sans relâche les profondeurs de l'eau, les poissons ont un peu disparu, il les voit un peu plus loin. Non, il ne voit rien. Peut être qu'il se trompe quand pense le matou d'à côté, son camarade de clan.

- Tu trouve pas que...l'eau est bizarre ? J'espère que les bipèdes ne l'a pas pollué...

Le rouquin se redressa de nouveau pour en reprendre une petite goutte, cette eau avait un petit gout, c'est vrai. Peut être dû au fait que la glace, l'est emprisonner. Il cherche sans doute une excuse, mais il sait qu'il y a une raison. Il se tourne vers Épine de Rosier, puis un peu partout, vers le ciel, les arbres, le ruisseau. Enfin il arrive à parler.

-Je trouve aussi, allons faire un petit tour voir si c'est pas un animal ou un objet mais peut être est ce du seulement au faite qu'il y a eut beaucoup de glace.

Il se relève et passe un coup de langue sur ma fourrure. Ses yeux verts observent le ciel. Quelque chose ce prépare, le ciel ce voilent un peu de temps à autre. Malgré le printemps qui est là, il règne une ambiance morne. Pas la joie. Le guerrier roux et blanc a peur. Peur de ce que réserve l'avenir. Cette peur le ronge. Il le sait, il le sent.

Epine de Rosier
What's happens ?

- Je trouve aussi, allons faire un petit tour voir si c'est pas un animal ou un objet mais peut être est-ce du seulement au fait qu'il y a eut beaucoup de glace.

Épine de Rosier hocha la tête. Il savait que rester enfermé était insupportable, et aimant la liberté plus que tout, le félin savait que rester emprisonné, bloqué quelque part pendant un moment le rendrait malade. Et en bon guerrier du Clan de la Rivière, il considérait presque l'eau comme une entité vivante. Il leva les yeux au ciel, songeant qu'il avait des pensées vraiment étranges de temps à autres. Il fit un signe de queue à son ami et ils commencèrent à remonté le rivière. Le cœur battant, me matou roux clair fixait la rivière, guettant le moindre signe suspect. S'il quoique ce soit échappait à leur yeux, il ne se le pardonnerait pas. Peut-être que le Clan était en danger. Ou bien, il se faisait des illusions. Ils parvinrent rapidement à la limite du territoire. Le ruisseau continuait face à eux, en amont. Rosier agita la queue, presque déçu de n'avoir rien découvert. Il se tourna vers son camarade :

- Que fait-on ? On rentre au camp ou alors on peut continuer, bien que dans ce cas-là nous quittons nos terres. Il marqua une pause, poussa un soupire en souriant. Si ça se trouve, il n'y a rien du tout, on s'emporte pour rien....

Pourtant, son cœur battait toujours rapidement, son estomac se tordait, et il frissonna, comme inconsciemment, il appréhendait quelque chose.

Oiseau Blanc

« Nous sommes notre plus grande surprise. »
de Paulo Coelho

Ils partirent côte à côte. Leurs regards posaient sur la rivière. Oiseau Blanc cherchait ce qui clochait, mais ses yeux verts ne voyaient rien. Qu'est-ce que ce passe donc dans cette rivière ? C'est la question que le guerrier de la rivière ce posé. Mais il n'avait pas de réponse. Alors, il continuait de scruter les fonds de la rivière. Ils arrivèrent prêt de la frontière. Mais rien. Il n'y avait rien. Pendant un long moment le guerrier roux se dit qu'il devenait fou. Mais pourtant son camarade de tanière, de clan avait l'air du même avis que lui. Il affichait une mine déçue triste de rien avoir trouvé.

- Que fait-on ? On rentre au camp ou alors on peut continuer, bien que dans ce cas-là nous quittons nos terres. Si ça se trouve, il n'y a rien du tout, on s'emporte pour rien....

Le guerrier roux n'est pas de son avis sur ce qui concerne : il n'y a rien ce n'est qu'une illusion. Il serait d'avis de rentrer au camp. Mais pour dire quoi ? L'eau à un gout bizarre, on devrait arrêter de pêcher et ainsi couper une partie de nos réserves alimentaires ? Ce ruisseau est important pour nous, chats de la rivière. L'interdire reviendrait à nous priver d'une source de nourriture. C'est un gros dilemme et Oiseau Blanc préfère en parlait à son camarade.

-On ne peut pas quitter nos terres. Et si jamais on prévient le clan mais qu'il n'y a rien alors cela nous aura privé de nourriture essentielle pour nous, chats de la rivière et en plus on pourrait nous prendre pour des fous. Or si jamais il y a bien quelque chose mieux vaut prévenir. Mais l'eau est cristalline et ne semble point avoir quelque chose de louche à part un petit gout.

Il avait dit tout ça d'une traite. Sans interruption un peu rapidement c'est vrai, mais il ne savait pas quoi faire et cela le dérangeait. Comme tout à l'heure, il y a un instant. Qu'allait dire son compagnon. En fait il venait de lui retourner la question. Pas très sympa de sa part il est vrai mais bon.

Epine de Rosier
" Like an other world "

Oiseau Blanc semblait hésiter. Épine de rosier le comprenait parfaitement, il ressentait la même chose. Le silence s'installa entre les deux félins perplexes. Finalement, le guerrier roux se lança :

- On ne peut pas quitter nos terres. Et si jamais on prévient le clan mais qu'il n'y a rien alors cela nous aura privé de nourriture essentielle pour nous, chats de la rivière et en plus on pourrait nous prendre pour des fous. Or si jamais il y a bien quelque chose mieux vaut prévenir. Mais l'eau est cristalline et ne semble point avoir quelque chose de louche à part un petit gout.

Épine de Rosier hocha la tête. De nouveau, aucun des deux ne pipa mots. Le chasseur au pelage crème et blanc se mit soudain à rire. Un rire léger, qui n'avait pas vraiment de sens. Il sentait son cœur battre dans sa poitrine, comme s'il avait peur de se tromper. Un frisson le parcourut du bout des moustaches jusqu'à l’extrémité de sa queue. Il se tourna vers Oiseau Blanc.

- Tu as raison, il vaut mieux rentrer. Si jamais il s'est passé quelques choses, je pense que nous nous en voudrions de n'avoir rien dit. Le Clan ne pourra pas nous en vouloir d'être trop prudent, n'est-ce pas ?

Malgré le doute, le mâle se persuada que les paroles qu'il venait de prononcer étaient vraies. Et, à vrai dire, il préférait largement s'inquiéter pour rien et que le contraire.

[Mille fois pardon, pour le retard =/]

Oiseau Blanc

« L'intelligence crée de l'inquiétude autour du fait. » René Leriche

Le guerrier roux et blanc observait l’eau. Il ne savait pas ce qu’il craignait le plus, le gout de l’eau ou autre chose. En fait le matou avait peur de son chef. Chose bien étrange vu que c’était son chef. Mais personne ne se le cachait il été étrange ces temps-ci. Comme si son esprit était prit par autre chose. Oiseau Blanc ne savait plus quoi penser de tout ce qui se passer en ce moment. Une peur inexplicable ronger son cœur, ses intestins. Ses poumons manquaient d’air. Ses pattes étaient prêtes à le lâcher et il tomberait en avant dans la rivière. Si Epine du Rosier n’intervenait pas, il mourrait noyé comme sa défunte mentor. Alors il n’aurait plus peur et il aurait des réponses à ces questions…

- Tu as raison, il vaut mieux rentrer. Si jamais il s'est passé quelques choses, je pense que nous nous en voudrions de n'avoir rien dit. Le Clan ne pourra pas nous en vouloir d'être trop prudent, n'est-ce pas ?

Le guerrier redressa la tête, ses idées disparurent. Son regard vert se posa de nouveau sur l’autre guerrier et il s’écarta un peu plus de la rivière. Il était d’accord pour prévenir le camp et maintenant il espérait seulement que ce ne soit que leurs imaginations communes. Il hocha la tête bien décidait à rentrer du coup et prévenir tout le monde, en espérant que ce soit son lieutenant Démon de Minuit plutôt qu’Etoile d’Azur qu’il l’est accueille.

-Oui, il ne peut pas nous en vouloir pour si peux, allons au camp prévenir notre lieutenant ou notre chef… Et puis, ils décideront ensuite de ce qu’il faudra faire.

Il se retourne et pars, callant son pas sur l’autre guerrier. Inquiet d’avance sur ce qui allait peut être ce passer. Il avait peur, pourtant il faisait tout pour la cacher. Elle se transformait en inquiétude car il s’y obligé. Oui le guerrier contrôlé sa peur comme tout le monde dans le clan. On parlait d’attaque, de faire des prisonniers ou pas…Ils longèrent de nouveau la rivière mais toujours rien. Le camp ce rapprochait, les odeurs de chats se faisaient plus fort et l’inquiétude du guerrier augmenté au fur et à mesure des pas qui lui restait à faire.

Epine de Rosier

Les deux félins commencèrent à redescendre la rivière, mais rien n'avait changé. L'eau était limpide et s'écoulait avec son débit régulier et naturel. Epine de Rosier finit par détourné son regard et à fixer ses pattes. Le silence qui s'était installé était pesant. Aucun des deux guerriers ne prononça rien qu'une seule parole. Le camp approchait et l'odeur des chats se fit de plus en plus forte. Avant d'entrer dans la clairière, où ils sauront enfin si leur découverte changerait leur mode de vie ou au contraire sera considéré comme sans importance, le mâle roux pâle se tourna vers son ami, d'un air décidé. Puis, il hocha la tête. La constatation que Oiseau Blanc et lui avait faite semblait n'avoir aucun sens, pourtant le chasseur avait l'impression d'avoir changer quelque chose, dans sa vie, son destin.

[Réponse ridicule, je suis désolée, mais je savais plus quoi écrire >< On finit là ?]

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