Votre Pseudo : Mélancolie Divine Lien de votre dernier RP : Voilà (:
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~Mélancolie Divine~
Le soleil était bas dans le ciel. Une chatte était là. Assise près d'un souche, elle regarde l'astre du jour finir sa descente. Les yeux fermés, elle écoute le vent faire frissonner les feuilles, et prête attention aux odeurs qui lui chatouillent les narines. Une douce odeur de fleurs et de terre mouillée. La guerrière aime beaucoup ces moments de calme. Où on pouvait laisser son esprit vagabonder dans des lieux secrets qui n'appartiennent qu'à nous. Puis un pas vint troubler ce silence pourtant si parfait il y a quelques instant. Mélancolie ouvre les yeux. Un chat au poil roux avance vers elle, un lapin dans la gueule. Leur chasse à été bonne. Se levant, elle jette un regard à son compagnon de chasse. Il est couvert de tâches de poussière, et ses pattes paraissent légèrement moins sombre qu'a l'accoutumée. Baissant son regard sur sa propre personne, la jeune chatte se rendit vite compte que le guerrier roux n'était pas le seul à avoir besoin d'une toilette. -Nous devrions rentrer, fit le chat roux. Son amie hocha la tête et s'empara de ses propres proies, posées à l'endroit où elle somnolait quelques instants auparavant. La guerrière sentit soudain un vent frais, qui la fit frissonner. Levant les yeux vers le ciel, aussitôt imitée par le guerrier roux, la jeune chatte constata que de gros nuages noirs commençaient à prendre possession du ciel. Puis, une goutte lui tomba sur le museau. Secouant le tête, elle se tourna vers son ami. -Je pense même qu'on devrait se hâter de rentrer. Quand le chat roux eut manifesté son approbation, elle regarda autour d'elle, pour s'orienter, puis pris la direction du camp. Le vent continuait à souffler dans les feuilles, de plus en plus fort, et laissait aisément deviner que les deux chats seraient trempés avant d'arriver. Les deux compagnons de chasse hâtèrent l'allure. Bientôt, les gouttes commencèrent à tomber, et, au bout de quelques minutes, ce fut le déluge. Malgré les complications que leur infligeait le temps, les deux chats continuèrent à avancer. Mais le sol devint glissant, et malgré tout ses efforts pour rester debout, la jeune chatte finit par s'étaler dans la boue, malheureusement imitée par son ami, quelques mètres plus loin. Renter au camp allait s’avérer plus difficile que prévu. Arrivés près de la rivière, il furent soudain pris d'une angoisse. Si il continuait à pleuvoir autant, la rivière allait certainement entrer en crue. Les pierres qui servaient d'habitude à traverser étaient immergées, et le courant était trop fort pour traverser à la nage. Trempés jusqu'aux os, les deux compagnons durent se rendre à l'évidence: Ils ne pourrait pas renter au camp avant que la pluie ait cessé. La jeune chatte sentit soudain un petit coup sur son épaule. Se retournant, elle vit que son ami lui indiquait un immense chêne, avec une fissure sur le côté. Quand Mélancolie eut hoché la tête, son compagnon roux se dirigea vers l'arbre et se faufila dans la fissure, suivit de près par se compagne brun-roux. L'intérieur de l'arbre était à peu près sec, et ça leur permettrait de passer une nuit correcte. S'asseyant, Mélancolie entreprit de se sécher. S'il restait transis de froid, tout cela pourrait mal se terminer. Au moins ils avaient de quoi se nourrir, même si leurs proies devaient être détrempées. La guerrière leva la tête et croisa le regard de son ami roux. Lui aussi était sec à présent. Elle lui fit un sourie timide et se coucha non-loin de lui. Posant la tête sur ses pattes, elle se laissa bercer par le son de la pluie avant de sombrer dans un sommeil profond.
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1 •~Mélancolie Divine~ Le soleil était bas dans le ciel. Une chatte était là. Assise près d'un souche, elle regarde l'astre du jour finir sa descente. Les yeux fermés, elle écoute le vent faire frissonner les feuilles, et prête attention aux odeurs qui lui chatouillent les narines. Une douce odeur de fleurs et de terre mouillée. La guerrière aime beaucoup ces moments de calme. Où on pouvait laisser son esprit vagabonder dans des lieux secrets qui n'appartiennent qu'à nous. Puis un pas vint troubler ce silence pourtant si parfait il y a quelques instant. Mélancolie ouvre les yeux. Un chat au poil roux avance vers elle, un lapin dans la gueule. Leur chasse à été bonne. Se levant, elle jette un regard à son compagnon de chasse. Il est couvert de tâches de poussière, et ses pattes paraissent légèrement moins sombre qu'a l'accoutumée. Baissant son regard sur sa propre personne, la jeune chatte se rendit vite compte que le guerrier roux n'était pas le seul à avoir besoin d'une toilette. -Nous devrions rentrer, fit le chat roux. Son amie hocha la tête et s'empara de ses propres proies, posées à l'endroit où elle somnolait quelques instants auparavant. La guerrière sentit soudain un vent frais, qui la fit frissonner. Levant les yeux vers le ciel, aussitôt imitée par le guerrier roux, la jeune chatte constata que de gros nuages noirs commençaient à prendre possession du ciel. Puis, une goutte lui tomba sur le museau. Secouant le tête, elle se tourna vers son ami. -Je pense même qu'on devrait se hâter de rentrer. Quand le chat roux eut manifesté son approbation, elle regarda autour d'elle, pour s'orienter, puis pris la direction du camp. Le vent continuait à souffler dans les feuilles, de plus en plus fort, et laissait aisément deviner que les deux chats seraient trempés avant d'arriver. Les deux compagnons de chasse hâtèrent l'allure. Bientôt, les gouttes commencèrent à tomber, et, au bout de quelques minutes, ce fut le déluge. Malgré les complications que leur infligeait le temps, les deux chats continuèrent à avancer. Mais le sol devint glissant, et malgré tout ses efforts pour rester debout, la jeune chatte finit par s'étaler dans la boue, malheureusement imitée par son ami, quelques mètres plus loin. Renter au camp allait s’avérer plus difficile que prévu. Arrivés près de la rivière, il furent soudain pris d'une angoisse. Si il continuait à pleuvoir autant, la rivière allait certainement entrer en crue. Les pierres qui servaient d'habitude à traverser étaient immergées, et le courant était trop fort pour traverser à la nage. Trempés jusqu'aux os, les deux compagnons durent se rendre à l'évidence: Ils ne pourrait pas renter au camp avant que la pluie ait cessé. La jeune chatte sentit soudain un petit coup sur son épaule. Se retournant, elle vit que son ami lui indiquait un immense chêne, avec une fissure sur le côté. Quand Mélancolie eut hoché la tête, son compagnon roux se dirigea vers l'arbre et se faufila dans la fissure, suivit de près par se compagne brun-roux. L'intérieur de l'arbre était à peu près sec, et ça leur permettrait de passer une nuit correcte. S'asseyant, Mélancolie entreprit de se sécher. S'il restait transis de froid, tout cela pourrait mal se terminer. Au moins ils avaient de quoi se nourrir, même si leurs proies devaient être détrempées. La guerrière leva la tête et croisa le regard de son ami roux. Lui aussi était sec à présent. Elle lui fit un sourie timide et se coucha non-loin de lui. Posant la tête sur ses pattes, elle se laissa bercer par le son de la pluie avant de sombrer dans un sommeil profond.
2•Pas un seul mouvement. Un silence parfait, ponctué d'un décor magnifique. Le soleil ne va pas tarder à se coucher. L'herbe ondule lentement au gré du vent, laissant ainsi une drôle de sensation. Comme si cet endroit était vivant, comme si la prairie qui entourait le lac dansait. La guérisseuse ferma les yeux. Laissant le vent ébouriffer son pelage de neige, elle écoute, et prête attention aux senteurs. Un doux mélange de parfums emplissent ses narines, la faisant frissonner. Puis un pas. Un second. La belle chatte blanche rouvre les yeux et tourne légèrement les yeux. Elle sait de qui il s'agit. Elle a reconnu l'odeur caractéristique du clan du clan du Tonnerre. La chatte qui approche lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Même pelage de coton, même yeux de glace. L'autre guérisseuse s'approche encore, puis s'assoit aux côtés de son amie du clan du vent. Pendant un moment, les deux chattes se taisent. Elles n'ont rien à se dire. Elles savent ce que pense l'autre. Aucune d'entre elles n'a envie de troubler ce moment de paix. Elles sont ici pour la même raison: Trouver des herbes pour guérir les membres de leurs clans. Après la dure bataille contre les chats errants, les clans se sont affaiblis, et ils doivent rapidement retrouver leurs forces, car une seconde attaque est à prévoir. Elles se tournent l'une vers l'autre, s'observent un moment, puis de lèvent dans un bel ensemble. L'astre du jour continue sa descente. Bientôt il fera nuit. Le silence persiste. Puis un léger bruissement vient perturber ce moment de repos. Intriguées, les deux guérisseuses s'arrêtent. Au fur et à mesure que les deux chattes blanches s'approchent, le bruit se précise laissant découvrir qu'il s'agit d'un miaulement rauque. Touts leurs sens aux aguets, les deux chattes finissent par découvrir un chat brun, parmi les roseaux bordant le lac très mal en point à en juger par la couleur qu'avait pris son poil. Ensemble les deux guérisseuses réussirent à le tirer des abords du lac. Le pauvre chat respirait faiblement, et avait visiblement beaucoup souffert, car son pelage était maculé de sang. Les babines du chats bougèrent soudain, et après un court instant de répit, la guérisseuse du clan du vent finit par comprendre que le chat brun voulait leur faire comprendre quelque chose. Orchidée se pencha et approcha son oreille de la bouche du malheureux félin. Celui-ci pris une longue inspiration, puis lâcha d'une voix faiblarde:
-Vite.. Partez... Ils... arrivent...
Puis le chat martyr lâcha un gémissement de soulagement et rendit son dernier soupir sous les yeux des deux chattes , impuissantes. Orchidée leva les yeux vers son amie. Elle était figée, comme une statue de marbre blanc. Une statue de marbre blanc tachée de gouttes de sang, comme sa compagne d'ailleurs. La chatte du clan voulut parler mais aucun son ne parvint à sortir de sa gorge. A part le cadavre qui se trouvait devant leurs yeux, rien du paysage n'avait changé. Les feuilles se balançant doucement au gré du vent... Puis il y eut un mouvement anormal dans le paysage se trouvant en face des deux chattes. Puis miaulement rageur, puis, cinq ou six chats émergèrent des buissons. Avec un mouvement de recul les deux guérisseuses se regardèrent. Il y avait deux solutions: Soit fuir et se faire rattraper et tuer, soit combattre et avoir une infime chance de s'en sortir. Les deux chattes blanches n’eurent pas à réfléchir longtemps. Avec un feulement terrifiant et les babines retroussées, les deux chattes se mirent en position de combat: Le ballet mortel allait commencer.
Exercice : Un noctambule postera pour vous le donner.
Dernière édition par Mélancolie Divine le Mer 1 Fév - 18:49, édité 1 fois
Mélodie des Brumes Félin Légendaire
Perso 1 : Mélodie des Brumes Nombre de messages : 1550 Age : 30 Puf : Ici: Azurite Partout: Sangria Ailleurs: Celtic Date d'inscription : 09/10/2010 Points : 1667
Tu es membre d'un gang de lycéens. Tu n'es pas particulièrement différent des autres, et n'as qu'une vocation, c'est mener à bien ton idéal et faire entendre ta voix. Décris la façon dont tu vois ton chef, tes espoirs, tes craintes, et tes revendications. Quel est cet idéal qui te tient tant à cœur? Pourquoi fais-tu partie de ce gang?
>> Consignes <<
- Fais au moins vingt lignes. - Décris les sentiments de ton personnage. - Décris certains agissements de ce gang. - 3ème ou 1ère personne. - Tu as deux mois.
Bonne chance.
Invité Invité
Sujet: Re: •Evaluation• Jeu 2 Fév - 22:52
►Ideal◄ Parce qu'on n'a pas toujours le choix...
-Jenn! Je m'arrête puis me retourne. Pas très loin de là, Dick m'observe, entouré du reste de La Bande. Dick, c'est le chef de La Bande. Un colosse blond, plutôt musclé dont toutes les filles sont amoureuses. Toutes sauf moi. Je le fixe un moment avant qu'il ne se décide à parler.
-Ne sois pas en retard pour l'Opération de demain.
Je hoche la tête en guise de réponse puis tourne les talons. Le soleil ne va pas tarder à disparaître derrière les arbres au loin. Je m'arrête un instant près des quais. L'eau a prend des reflets rougoiyants, et de petites vaguelettes viennent s'écraser contres les coques de bateaux. Je ferme les yeux. Tout est si calme... Puis, une pensée me percute avec la force d'un gifle. L'Opération... Je frissonne et me frotte énergiquement les bras. Maintenant le soleil a disparu. Il n'y a pas un bruit dans la cité. C'est... Effrayant. Je reprend mon chemin. L'Opération... La première de l'année... Et sûrement la plus dangereuse. Bien sûr, ce n'est pas la première fois que La Bande prend des risques, mais là... Là c'est autre chose. Là... C'est carrement dangereux. Je me met à courir. La boulangerie, le coiffeur, le pressing... Puis j'arrive devant ma maison. Ou plutôt ce qui était autrefois une maison. Maintenant, elle ressemble plus à une maison hantée qu'à un bâtiment habité. Je fouille dans mes poches, histoire de trouver mes clefs. Ce n'est qu'au bout de cinq bonnes minutes que j'arrive enfin à mettre la main dessus. Je fais tourner la clé dans le serrure. La porte proteste, puis finit par s'ouvrir. Il fait noir. Je cherche à tatons l'interrupteur et, quand je le trouve, une lumière faiblarde éclaire le couloir. J'appelle.
-Maman? Lily?
Pas de réponse. Maman doit encore être en train de boire au bar avec ses amis, et Lily... Lily doit sûrement être avec ses copines en train de regarder un film en sirotant du Coca. Je jette mon manteau sur une chaise et monte aussitôt dans ma chambre. Mon domaine. Je pousse la porte et reste un moment debout. Tout est silentieux. Puis une nouvelle angoisse me serre la gorge et je me jette sur mon lit, avant d'enfouir ma tête dans mon oreiller. Je jette un oeil vers mon réveil. 23:12. Je devrais essayer de m'endormir. Sauf que, problème: Le noeud qui serre ma gorge m'en empêche. Je sens des larmes couler sur mes joues. Si demain, l'Opération se passe mal, ma soeur est condamnée. Mais je n'ai pas le choix. C'est justement pour elle que je fais parti de La Bande. Pour pouvoir "gagner" de quoi nous faire survivre toutes les deux. Et le seul moyen que j'avais trouvé, c'était de faire parti d'un groupe de voyous, mené par un chef narcissique! Maintenant j'ai vraiment peur. Peur pour demain. Peur de ce qui arrivera à ma soeur si je vais en prison. Elle n'aura plus personne. Non. Il y a ma mère. Mais une mère qui préfère l'alcool à ses enfants est-elle vraiment un mère? Pourquoi notre monde a-t-il changé? Pourquoi Papa a-t-il quitté maman, la laissant sombrer dans le desespoir? Pourquoi notre vie ne pourrait-elle pas être comme avant, comme le temps où tout allait bien, où le monde nous parraissait joli? Les questions se bousculent dans ma tête. Je me sens lourde. Puis, c'est le noir, je sombre dans un sommeil profond...
La nuit...
Mon coeur bat à cent à l'heure. Dans quelques minutes, La Bande va passer à l'action. Et je n'ai jamais été aussi nerveuse de ma vie. Argh... Une boule s'est de nouveau formée au niveau de ma gorge. Je jette un regard aux autres. Tous sont calmes, confiants. Mais comment font-ils?! Ils se surestiment. Oh certes, ils ont déjà plusieurs fois filés entre les doigts de la police, mais c'était pour de petits crimes mineurs. Là c'est... Un braquage. Et plus j'y pense plus mon angoisse monte. Nous n'y arriverons jamais. Trop tard. Le signal vient de retentir. Le garçon se trouvant derrière moi me pousse, ce qui aurait dû m'obliger à avancer. Mais je ne peux plus bouger. Je suis comme paralysée, de la tête jusqu'aux orteils. Agacé, l'autre m'écarte pour pouvoir passer et je m'écrase dans la poussière. Je tousse. Ma gorge me brûle. Une alarme vient de commencer à retentir, me vrillant les tympans. Je vois Dick et ses plus fidèles acolytes sortir en trombe de la banque, des gros sacs sous les bras. Après avoir lancé une bonne partie des charges aux membres les plus proches d'eux, ils détalent vers une ruelle sombre, aussitôt imités par le reste de La Bande. Pas moi. Moi je suis là, allongée dans la poussière, les yeux fermés, avec l'impression que ma tête va exploser. Tout sera bientôt fini. La police vient d'arriver, et quand un type baraqué en uniforme se penche sur moi, je sais que c'est la fin. Je vais finir sous les verrous. Une main puissante m'attrappe par l'avant-bras et me relève. On me porte jusqu'a une voiture. Quand la portière se referme, je me ne bouge plus, et laisse peu à peu la fatigue m'emporter...
L'histoire du braquage est enfin terminée. Hier, les autorités ont finalement réussi à arrêter le groupe de jeunes qui ont braqué la banque nord jeudi soir. Leur chef, Dick B. est déjà connu de la police. Cette histoire est finie, tous les jeunes ont étés placés en maison de réeducation. C'était Walter G. en direct du centre de police de la ville.
Je souris. Oui, cette histoire est belle et bien terminée. Je regarde autour de moi. Ma mère s'est endormie sur le canapé, ma soeur somnolante dans ses bras. Bizzarement, tout ou presque est redevenu comme avant. L'officier de police qui m'a emmenée en voiture a été compatissant, une fois que je lui ai compté toute l'histoire -en pleurant malgré moi-. Quand il m'a finalement ramenée à la maison, j'ai trouvé ma mère sur le seuil, en larmes. Bien sûr, comme tout le quartier, elle avait regardé la télé, où on voyait des images amateures du braquage de jeudi, et aussi quelques images de moi, complêtement amorphe. Je pense qu'elle a eut un choc en comprenant que j'avais failli braquer une banque, et qu'elle a finalement compris que ma soeur et moi avions réellement besoin d'elle. Bien sûr, j'ai quand même été impliquée dans le braquage, et ai dû subir quelques séances de "recadrage", mais tout est finalement rentré dans l'ordre. Avec un peu d'aide de mon ami le policier. Qui semble d'ailleurs plaire à Maman. Mais bon, je ne peux rien y faire. Je n'ai plus qu'à laisser oeuvrer le temps. Maintenant que je suis libérée de l'emprise de La Bande, le temps, ce n'est pas ce qui me manque...
Dernière édition par Mélancolie Divine le Ven 3 Fév - 20:03, édité 1 fois
Mélodie des Brumes Félin Légendaire
Perso 1 : Mélodie des Brumes Nombre de messages : 1550 Age : 30 Puf : Ici: Azurite Partout: Sangria Ailleurs: Celtic Date d'inscription : 09/10/2010 Points : 1667