Un miroir brisée ( c'est un miroir : masculin donc pas de e ) au prix d'un mauvais présage?Long, blond et bouclée ( ce sont des cheveux et c'est masculin, dans ce cas là, pas besoin de rajouter de e après le é ! =)), mais ( ce mais là c'est pour indiquer une opposition : "je l’aimais bien, mais il m'énervait - par exemple-. Dans le cas là, tu dois écrire : "mes" qui est le "mes" possessif : ce sont les miens ) cheveux tombe ( tu as plusieurs cheveux je pense ! =) Donc il faut que tu mettes : ent à la fin ) sur mes épaules comme une rivière.
Mes yeux son ( alors ici ça se complique un peu ! Le son que tu a écrit est le "son" pour dire le siens, ce n'est pas le verbe être. Dans le cas là, il faut que tu écrives "sont", car tu utilise le verbe être. Pour t'aider, le "sont" tu peux le remplacer par " étaient" et le "son" par : "les siens") vert émeraude ( tu as deux yeux, donc un s à la fin) tête et plus trop petite, ronde et ma peau est pâle. Mes pommettes sont rose pâle ( tu as deux joues ! =) : s !). Une robe bleue, simple mais jolie. Serré ( c'est une robe : féminin : donc un e à la fin ) en haut, large en bas. Mes petites jambes fines et agiles sont vêtu ( tu as deux jambes et jambe et féminin donc : es à la fin ! ) de collant blanc et mes pieds de baskets. Je me regarde dans un miroir. Moi Manon, 9 ans et demi. Au creux de mes bras repose un ballon blanc et noir. Un ballon de foot neuf. Je me sourie ( ici le verbe prend un s et non un e à la fin ! =) ). Mais mon sourire disparut tout de suite à la vue de ce trou dans mes dents blanches. Ben quoi ? C'est juste une dent qui est tombée, hein ! rien de plus.
Je me retourne brusquement mon coude se cogne contre un vase sur une étagère à côté de moi. Le vase violet orné de dessin chinois bascule et tombe au sol heurtant au passage le miroir qui tremble un petit moment avant de s'écrouler à son tour. Tout vole en éclat. Je me retrouve au milieu d'un sol couvert de plein bouts de verres. Je regarde les éclats de miroir. Mon visage ce ( avant un verbe, on écrit toujours "se" avec un s, le "ce" c'est pour dire "celui ci" ) reflet dans l'un d'eux. Mes grands yeux émeraude sont écarquiller ( ici on peut dire : " sont vendus", donc tu écris : és-puisque c'est deux yeux-, à la fin d'un verbe on écrit "er" si on peut le remplacer par "prendre, ou vendre". Le bruit des pas de ma mère. Elle ouvre la porte du salon brusquement, puis me regarde avec ses yeux verts, plus clair que les mien ( tu as deux yeux donc s). Elle cligne des yeux plusieurs fois lors ce qu'elle ( en un mot : " lorsqu'elle") voit la scène. Puis elle se met a ( tu ne peux pas remplacer ton "a" par avait qui est le verbe avoir, dans ce cas, tu dois écrire : "à".) hurlée ( tu peux remplacer hurler par vendre, donc ici tu écris : "hurler" et non "hurlée"). Ses cheveux tout aussi boucler ( ici tu ne peux pas remplacer boucler par vendre, donc tu dois écrire : "bouclés") que les mien mais d'une couleur bien plus foncer ( on ne peut pas dire vendre, donc : "foncée" comme c'est une couleur) , le brun, furent secouer ( és ) dans touts ( ça, ça n'existe pas...bon par contre avec les "tous" et "tout", je suis nulle, alors là je ne vais pas trop pouvoir t'aider, mais on ne peut pas mettre les deux) les sens. Puis elle s'approche de moi, m'attrape le bras et me tire de coter (é ). Elle montre la porte du bout du doigt. Je marche dans sa direction. Il y a quelque chose qui me tracasse, mais quoi? Après avoir franchi le seuil de la porte je sais quoi. Un miroir brisée ( masculin : é )= un mauvais présage.
Un jeu de ballon parmi tan ( tant) d'autres.
J'ai toujours était ( été car c'est le verbe avoir ) un garçon manqué. J'ai toujours préféré jouer au foot qu'aux barbie ou playmobil. Depuis que je suis toute petite je passe mon temps dehors contrairement aux autres filles. Mes amis sont presque que des garçons. Je traverse le jardin jusqu'au trottoir. J'attand ( j'attends ) devant la route un moment pour traverser. Une voiture bleue puis une rouge et enfin je peut ( peux : je ) traversée ( er ). Je cours jusqu'à l'autre coter ( é ). Arriver ( ée ) je longe les maisons jusqu'à ce que je me tourne vers une qui est peint ( peinte ; c'est une maison ) d'une couleur près du bleu. Avec une porte et un toit rouge. Je vais dans le jardin, un vieil homme me salue, il est penché au-dessus d'un rosier de rose (roses : ce sont les fleurs et non la couleur ) rouge et rose. Il me salue avec sa main et son ridicule gant. Je me dirige vers la porte. Sur les escaliers de devant, trois garçons y son ( sont : on peut le remplacer par "étaient") assis. Je reconnais mon meilleur ami, Kurt, celui du milieu, il a des cheveux bruns ébouriffé ( és ), et des grands yeux brun qui sont de la même couleur chocolat que ses cheveux. L'autre que je connais est celui qui est à la droite de Kurt. C'est Chaff, il va avec Kurt et moi à l'école. Il est un peu rondouiller , avec des cheveux blonds et des mèches brunes. Ses yeux sont de couleur amande. Puis je me concentré ( je me concentre tout simplement ! =) ) sur le nouveau. Grand, cheveux roux, mi long, yeux de la même couleur que ceux de Kurt. Visage long et rempli de tache ( tâche ) de rousseur avec une paire de lunette ronde qui lui dévore le visage. Kurt vois ( il voit ) ma surprise alors il montre du doigt le nouveau et me dit :
Lui c'est Chris, mon cousin. Il est là pour les vacances. Puis il ajouta: On fait des équipes? Chris et moi et Chaff et Manon.
Je me contente de hocher la tête. Chaff ce ( se devant un verbe ) lève et ensemble nous plantons les piquets qui vont nous servir de goal. Puis Chaff reste au goal et moi je pars faire face à Kurt qui pose le ballon au milieu du jardin. On se fait face. Je plonge mes yeux dans les sien. Mon pied près a ( à : on ne peut pas dire : "avait") frappé ( frapper : on peut le remplacer par "vendre" ) le ballon. Chris donne le signal et je me lance en avant et.... frappe dans le vide. Kurt a était ( été : verbe avoir, on peux dire : "avait été") plus rapide que moi. Il court avec le ballon en direction de Chaff. Il le fait passer d'un pied à l'autre. Je lui coure ( cours ) derrière et fait mine de ne pas réussir a le lui prendre, alors qu'en fait ( faite ) j'ai les yeux braquer ( braqués ) sur la balle noire et blanche. Je ne la quitte pas de mes yeux et attend concentrer ( ée ) de pouvoir anticiper son mouvement. Enfin, comme l'éclair je lance mon pied en avant et frappe le ballon, l'envoyant rouler vers le vieil homme, toujours encore en train de travailler sur son rosier. Je bondis devant Kurt, qui trébuche en avant et tombe. Je l'ignore, je prends le ballon et dribble vers Chris. Quand j'arrive assez près je le lance. Chris reste planter là un petit moment puis il écarte les bras près à l'acceuillre ( accueillir ) Mais a ( à ) la dernière minute il bondit de coter ( é ) et laisse le ballon entrer. Voilà ce qui se passe quand on entraine plus le cerveau que les muscles. On commence par avoir peur de la balle. Ce qui est complètement idiot.
Je crie ( cris ):
Goal!
Et coure ( cours ) vers Chaff. On se tapes ( tape ) dans la main. Un tapes ( tape ) m'en cinq. Puis j'entends la voie ( voix ) que je déteste par-dessus tout. La voie de ma rival ( si c'est une fille il y à un e à la fin : rivale ). Celle qui comme moi fait partie du club de foot junior de notre village et qui est avec moi une des seules filles. Elle se croie ( croit ) toujours supérieur aux autres mais, il ne faut pas le dire, elle est très forte.
Alors, Manon, comme ça on pense être la plus forte juste pour un goal de rien du tout?
Il faut toujours qu'elles viennent au mauvais moment
Je me tourne vers elle. Son nom: Ursina. Mais ça se prononce: Oursina. C'est allemand. Elle est grande avec une peau bronzée et des cheveux d'un blond couleur paille. Vraiment très blond. Ses yeux son ( sont ) brun gris ce qui faut le dire, lui donne du charme. Et elle en profite. Elle porte un ridicule training rose qu'elle pense sûrement élégant. Je dois me retenir pour ne pas rire. Elle se dirige vers Kurt et Chris. Leur prend la balle et la pose au milieu. Elle fait un signe de la main à Kurt tout en lui disant qu'elle joue avec elle. Mais ( Mes ) dents grince ( grincent ) . Je fronce le nez de dégout. Vous savez, dans les filmes ( films ) il y a toujours cette méchante fille qui vient toujours gâcher le bonheur de la gentille. Qui vient toujours au plus mauvais moment. Et bien elle elle est comme ça.
Quelques minutes après je suis en face d'elle. Elle me regarde, une lueur moqueuse dans les yeux. Je me concentre, j'ai déjà un plan dans ma tête. Mais je ne le laisse pas paraître. Je fais mine de me concentrée ( concentrer ) sur la balle devant moi. Une seconde. Puis deux. Et pour finir Chris donne le signal. Ursina bondit comme une bête sur sa proie. Elle me pousse de coter ( côté ) d'un mouvement sec de la main puis se met a courir. Je la suit ( suis ), je fais exprès d'essayer de prendre la balle. Mais en fait ( faite ) c'est qu'une rue. Une minute plus tard la blonde lève le pied pour se préparer a ( à ) lancé ( lancer ) la balle. Cela dure que une seconde et pourtant une seconde de trop. J'attends ce moment avec impatience. Je plonge en avant mon pied frappe la balle et l'envoie rouler loin. Ursina relâche son pied qui me frappe au mollet. Je manque de tomber mais, me reprend et cours sur la pelouse, mon ballon devant moi. Ma jambe me fait mal. Comme si le coup de pied d'Ursina ma ( m'à : on peut dire : "m'avait", le "ma" là c'est poru montrer le possessif : ma mère, ma chambre ) rapper ( rappé ) à l'os. J'ai l'impression qu'il tremble dans ma jambe. Vous savez ce que c'est tout le temps comme ça, enfin souvent. On se blesse. Sur le coup on a pas mal, puis on se relève en rétorquant que c'est rien et c'est seulement à ce moment que l'on commence a avoir mal.
Bref je cours, vite malgré la douleur. Je traverse le jardin. Usina me suit de près. Elle me rattrape presque. Mais juste à ce moment-là je lance le ballon qui fonce dans le goal. Chris essaye de se jeter en avant pour l’attraper mais il le rate. Le ballon vole entre les deux piquets, puis se cogne contre la barrière blanche derrière. Il rebondit et roule en direction de la route. Instinctivement je lui courus ( cours ) après. Les bras et mains tendu en avant. Je coure. ( cours) Comme une petite fille. J'en suis une mais pas si petite. 9 ans et demi, ce ( se ) n'ai pas rien. Je sortis ( sors ) du jardin, me retrouva ( retrouve : enfin, choisis ton temps, mais là tu as fait un sacré mixte entre le présent, le passé..) sur le trottoir. Le ballon roula jusqu'au milieu de la route. Je le regarde et bêtement je ne faits pas attention aux voitures. J'entends aucune de toute façon, grossière erreur. Agenouiller ( ée ) devant le ballon de foot, je le prends entre mes petites mains. Je me lève. Je tourne la tête. Des bruit ( bruits puisque tu as dit : des ) de frein. Un klaxon. Les hurlements de mes amis. Un Camion. Un éclair de douleur à travers mon corps. Puis, plus rien.
Au revoir lumière, bonjours ( bonjour ) ténèbres
Bip...Bip...Bip...Biip...Biiip...Biiiip...Biiiiiip. J'ouvre mes yeux. Ma
vu ( vue : le sens, "vu" : verbe voir ) est
flou ( c'est ta vue : féminin : floue ) Je ne vois rien. Le bip qui m'a sortie de mon sommeil bip comme un fou. Mon cœur me fait mal. Tellement mal que j'ai l'envie de hurler. Mais je n'arrive pas, car il y a un
maque sur mon nez et sur ma bouche. Un masque qui me donne de l'
oxygènes ( pas de s ) Je n'arrive pas à hurler. Je suis trop faible. Des gens s'activ
e ( ils sont plusieurs : s'activent ) autour de moi. Ils sont tous habill
er (és )avec des
habille ( habits ) de couleur turquoise. Je vois juste leur forme. Je les entends à peine hurler. J'ai trop mal. C'est comme si l'on plantait un couteaux dans mon coeur et on le tourne, lentement. En plus je n'arrive pas à hurler, à essayer d'évacuer la douleur en hurlant. Toutes les personnes s'éloign
e ( s'éloignent ) de moi d'un coup. Ils me déposent quelque chose de métallique sur ma poitrine. Un bruit résonne. Une seul personne reste pench
er ( penché ) au-dessus de moi. Puis je fus travers
é (
traversée ) d'un éclair. Je tourne l'oeil.
Bip...bip...bip...bip. Quand je me réveille pour la deuxième fois le bip est régulier. Il me berce presque. Je garde les yeux ferm
er (
fermés ) Je suis si faible mais je n'ai pas mal. Voilà une bonne nouvelle. Quand j'entends une porte claquer j'ouvre lentement mes yeux. C'est
dut mais j'arrive. Le plafond est blanc. C'est la
seul ( seule ) chose que je vois. Je tourne lentement la tête. Le masque sur mon nez et ma bouche me dérange, mais il est pratique. Je ne suis même pas obligée de respirer. Devant une porte en verre je vois mes parents. Ma mère cache ses beaux yeux vert clair avec ses mains. Elle est secouée de spasme. Elle pleure. Mon père me regarde avec ses yeux verts fonces. Ses cheveux aussi blond que les mien
son ( sont ) ébouriff
er (és). Ils restent un moment à mon chevet. J'ignore ce qui
mes( m'ai ) arriv
er ( é ). La
seul (
seule ) chose dont j'arrive a me rappeler est un énorme camion argenté, il freine. Ses
roue (roues) noir (
noires ) laiss
e (laissent) une longue trace sur l'asphalte... puis plus rien.
Les jours passèrent. Je me réveille une fois pars jour et seulement pour un temps relativement court. Je suis reliée a plusieurs machines. Je ne peux rien faire. Je suis toujours a moitié endormie.
La triste véritéUn jours quand je me réveille la douleur est de nouveau là.
Elle me lacère mon petit corps. J'ai mal partout. Pourtant, pour la première fois depuis longtemps je suis vraiment réveillée. Je tourne la tête pour regarder les machines. La
moitier ( moitié) on disparut. Je remarque que la plupart des tuyaux qui me reliaient aux machines
on ( ont ) disparut. Mon masque aussi. Je tourne la tête de l'autre
coter ( côté ) . Un homme vêtu de blanc me regarde, un regard triste. Il soupire. Je cligne des yeux plusieurs fois. Il a une blouse blanche, comme un docteur. Il me dit quelque chose, mais je ne l'entends pas. Il me le répète en se penchant au-dessus de moi. Cette fois si je le comprends.
Je suis le docteur sheperde (Je n'ai pas d'idée de nom, on ferra donc avec XD).
Est-ce que tu sais ce qui ses ( c'est ) passée ( passé ) ?Je secoue lentement la tête, en guise de non. Le docteur Sheperd inspira profondément puis il passa une de ses main dans ses cheveux bruns fonc
er (
foncés ) , puis il m'expliqua tout:
Tu as eu un grave accident. Ton cœur et un de tes poumon on ( ont ) était ( été ) touché. On a dû les soigner très vite. Tu sais, les poumons sont ceux qui t'aides a réspiré ( respirer ) . Il va mieux maintenant. Ton coeur fait partie de tes organes les plus précieux. Mais on a aussi réussi a le soigné ( soigner ) . Tu as était opérée 3 fois. Et maintenant le moment que tu n'apprecira ( tu : n'apprécieras ) surement pas. T'as ( ta : c'est la sienne ! ) colonne vertébrale à était ( a été ) touchée ( touché ) ....Il continua a tout m'expliquer, mais je n'écoute plus. Je suis peut-être pas bête mais je sais ce que c'est une colonne vertébrale. La peur me noue le ventre. J'essaye de bouger un de mes pieds. Rien. La peur fut tout de suite remplac
er ( remplacée ) pars la tristesse. Des larmes tombent en trombe de mes yeux d'émeraude. Elles coulent comme une rivière sur mes joues. Je sais ce que cela veux dire. Moi qui
a ( ai ) toujours était dehors depuis mon plus jeune âge. Moi pour qui le sport est toute ma vie... Oui moi, je me retrouve avec des jambes paralys
ée ( deux jambes : ées )