Le début d'une longue histoire [ Libre ]

Invité

*- I Have A Dream -*

Dans la lumiére des rayons du soleil illuminant le terrain, une ombre, fine et délicate se détacha.Inondée par le scintillement des rayons, la plaine semblait être féerique, les arbres luisait, leurs feuilles plus vertes que jamais, leurs troncs, grossis et éclatants.Le sol était fait de terre, de sable, mou, il offrait un agréable coin de sieste.Quelques rochers, qui eux, pouvaient servir de perchoir, semblait renaître, leur surface rocailleuse brillait de mille feux.En plus des froissements sonores des feuilles de bouleaux; la bise soufflant, donnait l'impression d'un hurlement, qui en aurait glacé plus d'un.

L'ombre s'avançait de plus en plus loin, l'ombre, l'ombre d'un félin, graçieuse et joliement dessinée. Pelage clair et blanc, aux multiples taches, rousses, grises, noires, pelage dans lequel on se serait bien endormit pour toute une lune. Une tête ronde, de grands yeux expressifs, le poil ébourriffé sur le haut de la tête et sur le dos, prouvait que le félin avançait contre le vent depuis quelques heures. Les arbres formaient un arc au-dessus de la silhouette qui semblait être celle d'une chatte. Une chatte on peut dire bien jolie, ses pattes affinées, sa queue longue fouettant l'air. On l'aurait comparée au fameux félin qu'on appelle Lion, le roi des animaux, le plus beau . Des tas de gens pourraient penser ceci car sa fourrure se fait plus nombreuse à la hauteur du cou ce qui lui donne un semblant de crinière.
Les yeux rétrécis, scrutant le soleil, sans voix, une lueur amusée dansait dans ses prunelles . La rondeur de ses muscles se dessinait sous sa fourrure, elle devait être bonne trapeuse. Ses longues moustaches lui donnaient un air intelligent, vif et étonné, qui ne disparraissait dans aucun cas. Le soleil était à son Zénith, la fourrure de la guerrière fut éclairée par un doux ruisseau de lumiére, qui s'écoula sur elle, lui donnant des reflets ambrés, dorés. La chatte sembla apprécier ceci et inclina la tête vers la boule de feu, elle s'allongeat sur le flanc, le soleil lui brulant les côtes. Cette sensation de chaleur l'envahit, quel bonheur ! On aurait juré qu'elle supplier le soleil de ne plus s'arreter, de l'étouffer de chaleur, pour qu'elle puisse sentir l'odeur de la chaleur.

Feuille De Tilleul soupira, elle ferma les yeux et pensa à tout ce qu'elle devrait faire une fois rentrée.Les activitées du camps lui prenait tout son temps, et pour une fois, elle avait était dispensée et elle s'était tout de suite rendue dans cet endroit acceuillant.Pour y trouver un peu de refuge, pour y pleurer toutes les larmes de son corps ? Oui, elle aurait aimer innonder la clairière de ses larmes, se noyer dans sa tristesse. Mais elle n'avait pas le courage, pas le courage de tout lacher, ou simplement de tout recommencer ? Après avoir tout construit, qui aurait envie de tout effacer ?

Les yeux mi-clos, elle perçus une odeur de félin, pas le temps de discerner de quel clan, il appartenait. Tant pis. Et puis, elle avait le droit de se trouver ici !
Elle sentit une ombre, elle ouvrit les yeux et aperçus, penché sur elle un grand félin massif.

Coeur d'Orange s'étira. Malgré qu'elle soit une reine, elle pouvait librement sortir du camp en laissant ses petits sous la garde d'une autre chatte. Elle voulait aller chasser comme avant dans la forêt et se rendre utile. Elle marchait maintenant dans les bois. Elle avait attrapé une maigre souris et un oiseau. Elle voulait se balader par-ci, par-là, peut-être même rencontré d'autres chats. Elle ne savait pas. Sa silhouette rousse tigré prenait feu au soleil qui était haut dans le ciel. Elle aimait des fois être libre, restée chatte sauvage mais être libre des fois de vagabonder où bond lui semblait. Elle ferma les yeux, respira un bon coup l'air pur de la forêt et réouvrit les yeux pour reprendre sa route. Qui sait où elle irait ? Au lac ? Dans le chemin des Hautes Herbes ? Tellement d'endroits... Puis elle se dit qu'elle irait où ses pattes la guiderait. Peut-être verrait-elle Epine de Rosier en chemin, elle pourrait lui donner des nouvelles de leurs petits. Elle leva les yeux. Pour une journée de feuilles mortes, le ciel était dégagé et le soleil réchauffait la fourrure de la chatte qui profita de cette instant et rprena sa course. Sans savoir elle allait, elle continuait toujours son chemin. Puis elle se rendit compte qu'elle était à la plaine noyé par le soleil. Cette grande étendu de sable et cette eau qui s'étendait à l'infini qu'on appelait d'un joli nom : océan. Même si Coeur d'Orange ne savait pas nager comme les félins duu Clan de la Rivière, elle aimait contempler quand elle pouvait la mer s'enrouler et venir s'écraser sur les rochers. Elle marcha sur le sable chaud et fin qui lui faisait du bien au toucher de ses coussinets. Puis un moment donné, elle remarqua quelque chose d'allonger sur le sable au grains dorés. C'était un corps. Un corps de chat allongé sur le flanc. Un peu terrorisée, Coeur d'Orange se demandait si le chat en question était mort ou tout simplement en train de se reposer. La rouquine décida de voir le félin de plus près. Elle courut presque jusqu'à lui et découvrit une chatte au pelage blanc avec plusieurs taches rousse, grises et noir. La chatte rousse se demandait ce qu'elle faisait là. A son odeur, elle était du Clan de la Rivière mais la reine ne l'avait jamais vu auparavant. Que faisait-elle là, allongé ? Venait-elle se trouver un endroit tranquille comme la guerrière du Clan de l'Ombre ? Tout était possible. L'inconnu ouvrit les yeux et surprise, ne dit aucun mot. Intriguée, ce fut Coeur d'Orange qui prit la parole en première :

Euh... salut !

Invité

Euh... salut !

Cette voie résonna doucement dans le silence de la plaine qui m'avait bercée lentement. J'ouvris les yeux et soupira fort avant de me redresser pour regarder fortement la jolie chatte qui se dressait devant moi.
Cette voie granéteuse et suave, je ne l'avais jamais entendue, jamais vue de chatte aussi rousse et flamboyante . Peut être. Non, jamais.
Sortant un gémissement aigue, je lui répondit gentiment .Bonjour, tu es ?

En attendant la réponse, je pensait surtout à l'idée d'avoir des chatons, à premiére vue, cette chatte était reine, ses mamelles gonflaient la trahissaient.Gentiment, je lui dit.

Combien de chatons ?

Cette envie ma tarrisait, avoir plusieurs bébés, donner la vie ou se dévouer aux autres comme ceci, j'y avais pensé, c'était une sorte de désir. Il parait bien que des miliers de chattes haissent les chatons, casse-pieds, lourds, pas assez de repos. Oui, mais là-dedans, où sont tous les moments de bonheur pur qu'on éprouve en les calinant, leur apprenant à chasser par exemple ?!

[ Désolé, c'est vraiment nul --' ]

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