Tenter ma chance . Ambre . |UC >> Tagada|

Votre Pseudo : Patte d'Ambre
Lien de votre dernier RP : Je fais en même temps : https://guerredesclans.frenchboard.com/t20170-rencontre-9829-petit-tigre et https://guerredesclans.frenchboard.com/t20209-la-riviere-et-les-rencontres-pv-petite-sphere
Lien de votre plus beau RP : Je ne sais pas trop, étant nouvelle ... Je voudrais avant progresser !
Exercice : Un noctambule postera pour vous le donner.

Désolé pour le retard --'

>> Thème <<

Tu es un collectionneur de tableaux. Tu as l'habitude de te rendre aux enchères pour compléter ta collection. Un jour, alors que tu es adossé à ta dernière trouvaille, tu te fais aspirer par la toile, et te retrouve à l'intérieur de la peinture.

>> Consignes <<

- Fais au moins vingt lignes.
- Décris les sentiments de ton personnage.
- Décris le tableau.
- Invente la fin. Vas-tu sortir de ce tableau ?
- Tu as deux mois.

Bonne chance.

Une étrange aventure.

[…]Les enchères commençaient dans deux minutes et me voilà encore en train de chercher une place de parking. Problème simple. Souvent, les problèmes des héros étaient d’arriver en retard à cause d’une panne de turboréacteur ou alors un
empêchement tel qu’une princesse à sauver. Mes retards sont dus souvent aux
pannes d’oreillers ou autres petits tracas quotidien et peu originaux.

Je faisais référence aux héros car je collectionne les tableaux qui représentent
les héros présent dans la littérature classique jusqu’aux contes de Charles Perrault en passant par les romans policiers ou de sciences fiction.

Ma famille et mes amis trouvent ma collection étonnante et ont ris quand ils ont vus mes trouvailles. Cependant, à présent, ma collection prenait de plus en plus d’ampleur.

Les enchères où je me rendais comprenaient les affaires d’un grand collectionneur de tableaux et j’espère y trouver un qui représentait par exemple une princesse ou un robot. Deux univers très différents.

Souvent, les gens me qualifiaient de « grand gamin » et j’ignorais en riant leur remarque.

Enfin, j’ai trouvé ma place de parking et j’ai couru afin d’arriver à temps.

Je suis arrivé un peu en retard et les deux personnes qui gardaient l’entrée me regardèrent bizarement. Un peu normal, quand on voyait passer sous son nez un homme qui
faisait la trentaine, mal coiffé, grand, maigre et dégingandé, qui semblait ne
pas avoir sa place dans la grande et magnifique salle où se déroulaient les
enchères.

Je suis arrivée et les lits, tables, commodes, chaises et autres babioles sans aucun interet pour moi se sont mis à défiler sous mes yeux. Finalement, on a présenté un tableau.

Il était bleu sombre et représentait une atmosphère électrique. La tension présente dans ce tableau me fit frissonner. Dans cette ambiance à faire peur, on un grand arbre au tronc décharné. Et derrière, très peu visible ou plutôt « quasi-invisible », un soleil . La renaissance. Un renouveau proche.
Je ne voyais plus que ce soleil bleuté et fut ébloui par l’espoir qu’il faisait renaitre pour ces personnes malheureuses et terrifiées.

Sans intention particulière et sans que je ne me rende compte moi-même de mon propre geste, ma main se leva. Puis une autre. Alors la mienne s’étira. Mais l’autre répliqua. La mienne me parut s’agrandire. Mais la main adverse aussi. Au bout de quelques minutes ainsi, ma main toujours en l’air, la main à côté de moi cessa de se lever. Et je pus acheter ce tableau à un prix important par rapport à mes habitudes budgétaires.

Je repartis, mon tableau avec moi, heureux de ma nouvelle trouvaille.

***

Une fois chez moi, je pus enfin véritablement admirer ce tableau. Je frissonnais de nouveau. Proche de lui, la tension est plus que préoccupante, elle emplissait la pièce qui revêtait un masque terrifiant qui inspirait surement la tristesse et l’effroi de la toile.

C’était une peinture très différente de celles qui comptaient parmi ma collection.
Souvent, elles étaient joyeuses et colorés. Presque psychédéliques !
Mais celle-ci dégageait autre chose. Quelque chose de terrifiant. Et
d’attirant. Un mystère étrange et incomparable.

Je tendis les doigts vers cette toile. Et celle-ci m’aspira.

Non, je n’étais pas en train de rêver. Me pincer ne me reveilla pas. Je l’étais déjà.

Je plongeais lentement à l’intérieur de cette toile.

Avez-vous déjà lu Alice au pays des Merveilles ? Sa chute longue dans le terrier du lapin peut se rapprocher de la mienne. Sauf que la mienne fut rude et douloureuse
lorsque je tombais sur le sol.

J’étais dans la toile. C’était assez sombre et peu éclairé. Un grand arbre sans feuilles et au tronc très abimé se tenait majestueusement au centre. Tout respirait le
désespoir et l’abandon. Dans cette ambiance-là, on avait envie de tout abandonner et de subir sans réagir. Subir quoi ? Je me le demandais bien !
Tout était désert et à part mon grand arbre aux reflets bleutés, il n’y avait
aucune végétation et aucune âme qui vive !

J’étais quand même assez intrigué par cet arbre. Il semblait représenter tout. Tout ce qui constituait le tableau semblait être dans cet arbre. Comme si … Je n’arrivais pas à saisir cette impression vague. C’était comme si … comme si…

Je n’arrivais pas à mettre un mot dessus.

Je continuais à chercher à nommer mon impression pendant de longues heures, n’ayant de toute façon rien d’autre à faire.
Je n’étais pas un homme qui s’inquiétait pour un rien. Et même dans cette situation, qui est inquiétante, je ne me préoccupais même pas d’éprouver de l’inquiétude.

Comme je n’éprouvais aucune inquiétude, je ne me suis pas préoccupé de penser à comment sortir de ce tableau.

Je dévisageais toujours cet arbre étrange. Et soudain, un oiseau bleuté apparu à sa cime. Cet oiseau était très étrange et semblait détenir quelque chose entre ses pattes.
Je plissais les yeux pour tenter de l’apercevoir.

C’était un pinceau !

Un pinceau ? Quelle idée pour un oiseau de se promener avec un pinceau dans ses pattes !

L’oiseau fondit tout à coup vers moi et se posa juste à côté, en laissant tomber le pinceau à mes pieds.

Je ne regardais même pas le pinceau, ignorant complétement son utilité. Cependant, je dévisageais avec intérêt l’oiseau. Il était très grand et son plumage était entièrement constitué de dégradé de bleus. Des reflets argentés l’embellissaient.
Sa queue, telle celle d’un paon, était gigantesque et ses pattes étaient longues et fines.

Puis il prit son envol et reparti. En me laissant le pinceau à mes pieds.

N’ayant que ce minuscule pinceau pour me distraire, je le pris dans mes mains et l’observait.
Il était vraiment petit et fin.

Ne comprenant pas pourquoi ce grand oiseau me l’avait laissé, je repris l’observation de mon arbre.

A présent, je distinguais un trou au niveau de ses énormes racines. Je n’avais jamais
remarqué ce trou depuis mon arrivée !

Je décidais imprudemment d’aller visiter cet arbre, avec mon pinceau toujours à la main.

Cet arbre semblait bel et bien renfermer quelque chose.

Une fois que je fus dans passé par le trou, plutôt grand, des racines de l’arbre, je pus
observer tranquillement l’intérieur de cet arbre.

Il n’était pas constitué de sève et de bois mais était vide. Il était rempli de pots de
peinture et de pinceaux. Quel peintre ajouterait des pots de peinture et des
pinceaux dans un arbre sur une toile ?

Petit à petit, l’idée que je devais sortir de cette toile s’insinua dans mon esprit. C’était une bonne idée. A laquelle je n’avais toujours pas pensé, bien sûr.

Au fur et à mesure, le besoin de sortir du tableau s’amplifiait. Mais je ne savais pas du tout comment faire.

Je repensais au pinceau et aux pots de peinture. C’est alors qu’une idée, quelque peu étrange et qui avait de très faibles chances - pour ne pas dire aucune – de marcher, me vint.

Je pris un pot de peinture et un pinceau et je sortis de l’arbre.

Là, je fis le plus beau dessin de ma vie. Je ne m’étais jamais autant appliqué a dessiner … les contours d’une porte !

J’étais en train de peindre une porte sur le tronc de ce grand arbre !

C’était bien sûr une idée absurde que de penser qu’en dessinant une porte sur un tronc d’arbre, celle-ci pourrait s’ouvrir et me faire sortir de la toile.

Mais c’était tout aussi absurde de penser que j’étais enfermé dans un tableau !

Alors je tentais ma chance.

La porte était de couleur jaune, avec une poignée afin de pouvoir sortir.

J’étais très fier de ma porte. Alors je pensais à l’oiseau, à l’arbre. Et je souris. Quelle
aventure étrange.

Puis je tentais de tourner la poignée de ma porte peinte sur le tronc d’arbre.

Je passai la porte et me retrouvai chez moi.

On ne s’étonnera sûrement pas de ma réaction en
sachant que j’ai de suite revendu la toile.

Correction de Ambre.

« Presentation. » 0,5/ 2

→ Présentation plutôt ratée. Rien n'est formaté, pas centré, paragraphes trop courts.

« Thème & Consignes. » 2/ 5

→ Bof bof.

« Vocabulaire & Formation des phrases. » 2,5/ 3 + 1,5/ 3
→ Pas beaucoup de fautes.
→ Des fois, t'as tes phrases qui sont carrément coupées et qui reprennent à la ligne !

« Style. » 2/ 4
→ Aucun style n'est parfait mais le tien, ça va.

« Orthographe, Grammaire, Conjugaison. » 3/ 3
→ Well done !

[/justify]

Note ; 11,5 /20
Rang ; Marine

Oo' ! Y'a eu un groos problème de formation ! C'est bizarre. En effet, les phrases sont coupées et reprennent à la ligne ... Bizarre ! :/
Bon bah tant pis :/
Merci quand même x)