Sujet: Héhé, une rencontre (PV avec Souffle de Peur]] Mer 21 Oct - 20:04
Dans mon rêve, je revivais le moment du dernier coup qui tua mon rival, j’eus à ce moment là, le souffle coupait, je me réveillai en sursaut avec de la sueur qui coulé de mon front. Je me mis debout avec beaucoup de mal, car je sentais encore la nervosité et la rage que j’avais eu pendant ce combat, mais ce dont personne ne savait, après ce combat j’étais resté allongé pendant trois jours s’en que je puisse me nourrir tellement que j’avais encore le goût de son sang dans ma gorge. Moi, Esprit Lugubre, j’avais fait ce voyage en étant discret car je suivais les autres, si je les suivais c’était pour ne pas perdre ma sœur, car j’en serais triste et imaginez-vous si je serai resté là-bas avec les sanguinaires, j’aurai peut-être été tué ou encore je serai devenu guerrier mais je ne l’aurais jamais accepté.
Aujourd’hui s’annonçait une belle journée même si la température n’était pas très envieuse car je ne voudrais pas dire mais il faisait froid on pourrait se croire à la saison des neiges, déjà que je n’aime pas cette saison mais en plus elle ose se mettre aussi dans la saison des feuilles mortes, si le clan des Etoiles pourraient m’entendre je leur dirai mes façons de pensées sur la vie. Je souris avec mon air un peu arrogant, je pris une souris que j’avais chassé la vieille et la dégusta sans pensé à rien, ce qu’il était incroyable pour moi qui pense tout le temps. Après avoir fini cet agréable repas, je me mis sur mes pattes et fonçai comme un malade en direction du grand lac où il pourrait avoir l’œil sur chaque clan comme ils sont installés leur camp autour de ce lac.
Après une heure de marche, j’arrivai enfin à ce fameux lac, oui il était très beau et sa couleur bleu foncé était d’une beauté infinie, je me rapprochai de ce lac et je regardai mon reflet. Je vis mon beau pelage gris et bleu et mes yeux verts émeraude qui ressortaient de ses couleurs pâles. Je pensai :
*Je suis pas mal du tout, si une femelle me voyait elle tomberait en un sourire*
Je mis ma patte dans l’eau et la ressortis aussi rapidement que possible et je dis de ma voix très peu aimable :
« Cette P*tain d’eau est gelée ! Qu’elle idée aussi. »
Je me mis sous un chêne qui n’était pas tout jeune par sa grande taille mais il était pas aussi beau et aussi grand que ceux des quatre chênes, cette endroit lui manquait de temps en temps, même cette forêt où il avait passé son enfance, il eut envie de pleurer de son pensé mais une pensée vint :
*Pfff, moi pleurais et puis quoi encore c’est comme si le chef des sanguinaires pleuraient ça serait drôle* Je rigolai comme un idiot tout seul, cette pensée le fis rire, j’avais des pensées un peu bizarre mais qui me remontais ce moral de chien que j’avais en ce moment. Peut-être que ma solitude était en train de me ronger, mais je devais faire avec. Après tout c’est moi qui avait voulu vivre ainsi alors maintenant je devais vivre avec, mais des fois ça me manquent de n’être pas entouré de guerriers et de belles femelles maintenant dés que j’en approchai une, elle me rejetait. Je souris et je m’allongeai sur l’herbe encore humide de la rosée de ce matin.
Puis tout d’un coup, j’entendis des bruits de pas, je me levai d’un coup et je commençai à sortir mes griffes. Mes oreilles était déjà en arrière et mon dos bien arrondi, je crachai déjà. Par ma voix peu aimable je dis :
« Sors de là, celui qui dérange ma tranquillité ! »
J’attendis que l’intrus sorte de sa cachette et peut-être lui sautait dessus.
Aurore Eternelle As des Chats
Perso 1 : Soleil d'Eté, à jamais. Nombre de messages : 3295 Age : 28 Puf : n'Eté - Summer Date d'inscription : 18/11/2008 Points : 3286
Sujet: Re: Héhé, une rencontre (PV avec Souffle de Peur]] Dim 1 Nov - 16:17
S ouffle de P eur
Je bondit. Mes pattes se posèrent en un silence muet sur le sol gelée du bord de la rivière. Pas un bruit, sauf celui de quelques oiseaux idiots et inconscient de ma présence. En un sifflement je les fit taire, et arrêta leur jacassement agaçants.Je continuai ma route, en quête de distraction. Ainsi plus rien ne parvenait à es oreilles. Seul le son du cour d'eau à mes cotés produisait une mélodie agréable, et sereine.
Nul ne me voyait, nul ne me sentait. Tel était ma requête. Mon pelage noir, plus noir que la nuit, était presque invisible, sur les ombres des arbres, illuminés par un nouveau fil de lumière: le soleil. Celui-ci se levait et de lui émanait une couleur d'automne, un orange vif, qui, plus elle se dispersait dans le ciel, plue celui-ci, aussi étrange que cela puisse paraitre, devenait parsemé de rose. Bien que cela fut magnifique, cela m'était plus qu'égale. Insignifiant, même. Ainsi, indifféremment au paysage environnant, je poursuivait mon chemin.
Soudain, je perçut une odeur âcre, désagréable pour quiconque chat de clan, mais familière pour moi, qui était un ancien chat sanguinaire. D'instinct, je la suivis rapidement, et enfin, j'arrivai à un lac.
C'était une immense étendue d'eau. Impassible, seuls quelques tourbillons d'eau venaient troubler la quiétude de la surface. L'eau, bleu outremer, virant au bleu foncé, et la lumière que le soleil faisait refléter sur ce lac, le faisait devenir un gigantesque miroir. C'était sublime, mais une fois de plus j'ignorais la beauté du lieu. Absorbé par la vision, j'en avait oublié la présence d'un autre chat. Soudain, je perçut les paroles qui provenaient de bord de l'eau, qui paraissait glacial, d'après ces mots:
« Cette P*tain d’eau est gelée ! Qu’elle idée aussi. »
J'étouffai un rire, me cachait derrière un buisson, non pas parce que j'avais peur, et je n'avais jamais ce genre de sentiment, mais simplement pour jauger sa réaction. Quelques secondes plus tard, il vint s'appuyer contre un chêne. Et de lui provint soudainement un rire bruyant, et non retenu.
Me reprenant, je me dit:
*J'en ai assez vu comme ça! Il ne s'agirait pas de le regarder se plaindre pendant des heures!*
Ainsi, me levant, j'émit un bruit de pas, dans des feuilles voisines, afin d'attirer son attention. D'un coup il était en position d'attaque. Plus contrôlé que lui, je restait calme. D'une traite il cria à mon escient:
« Sors de là, celui qui dérange ma tranquillité ! »
D'un coup, je bondit à quelques mètres de lui et jeta avec sournoiserie:
"Soit! Je ne vais pas énerver un sanguinaire, puisque je partage avec lui cette particularité!"
Et j'appuyait sur le mot "sanguinaire" avec gravité. Il était prêt à me sauter dessus, néanmoins je restait calme. Soudain, je siffla vicieusement en voyant qu'il voulait me cracher dessus.
J'était bien plus grand et imposant que lui, et peut être aussi plus puissant, mais tout en réfléchissant à la vitesse de l'éclair. Une idée me parvint, claire et logique il devait miser sur la technique et les pièges, ce que je faisait avant, lorsque je n'était qu'apprenti. En effet, certes il était un peu famélique, mais en lui se cachait un très bon combattant, cela semblait évident après réflexion.
Soudain, en voyant le chat se rapprocher de moi, en un instant je sortais mes griffes, couchai les oreilles, arrondissait le dos, et bandai mes muscles. Cette réaction, je l'avais déjà vécu bien des fois, et maintenant, c'était devenu un mécanisme, une habitude.
Soudain, étrangement, et pour une raison inexpliquée, il bondit sur moi. D'un saut, je l'évitai, et lui rendais la pareille d'un coup de pattes qui se révéla être inutile à cause de son esquive. Je n'avais pas envie de me battre, surtout pas avec un ancien sanguinaire. J'aurai voulu connaitre la raison de sa présence comme moi près des clans Mais il ne me donner pas d'autre choix que de me défendre.
Perdu dans mes pensée, il tenta de me donner un coup de crocs, que j'eu du mal à esquiver, si bien qu'il atteignit mon flanc, en le griffant profondément.
Avec furie, je bondit sur lui, et lui lacérait l'épaule. Déjà nos deux sangs coulait à terre. Ce fut une lutte longue qui s'en suivit. Nous parions les attaques, évitions les coups, et ce combat était inutile. Enfin il réussit à me pousser sur le sable du lac, qui frotta ma blessure au flan. Rageusement, je lui jetai du sable dans les yeux, ce qui l'aveugla quelques secondes, durant lequel je me releva, rinça ma blessure, et me releva. Nous étions tous deux à bout de souffle, et nos blessures commençaient à se faire sentir. Alors qu'il voulut me griffer le museau je le plaquai au sol. Soudain, en sentant l'odeur de son sang me monter à la gorge je me revit tuer mes victimes et boire leur sang. D'un bond magistral, je revenait en arrière en plaquant sur ma bouche l'une de mes pattes, bien qu'elle fut ensanglantée.
*Contrôle toi..... Tu est maître de toi même. Tu ne peut pas craquer....*
Mon adversaire ne comprenait visiblement pas quelle action s'opérait en moi. Il était déstabilisé, et heureusement il arrêta de se battre. Il me contemplait avec des yeux ronds. S'il avais voulut, il aurait put me tuer lorsque j'était ainsi bloqué. Mais il semblait trop intrigué par mon comportement pour agir.
De mon côté, je lutais contre cet instinct qui me poussai à le tuer. Hors je m'en empêchait tant bien que mal. Je venais à peine de trouver un chat dans la même situation que moi, je ne pouvais donc pas réduire à néant l'espoir de le connaitre un peu mieux. Je plantai mes griffes acérées profondément dans le sol, et forçait mon corps à rester immobile, tout en refoulant mon propre instinct naturel: celui de la loi du sang.
Mes magnifiques yeux rouges vifs, devinrent rouges sang. Ils toisaient ceux de mon adversaire: verts émeraude, eux aussi très beaux, en cherchant en vain des réponses. Des réponses à des questions muettes, silencieuses, prononcées indéfiniment par mes yeux criminels.
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Sujet: Re: Héhé, une rencontre (PV avec Souffle de Peur]] Sam 7 Nov - 20:22
Esprit Lugubre Une Lutte qui a une fin.
J’étais de nature impatient, déjà petit je n’arrivai pas à attendre l’heure du repas ou le retour de mes parents, alors je bondissais ou j’essayais de faire quelques choses pour que mon envie de manger ou de retrouver mes parents soient là. Bon vous vous doutez que quand j’avais faim, je marchais discrètement à la réserve et prenait une pièce et je la mangeai. Pour mes parents, je demandai où ils étaient et j’allais les voir, bon je me faisais bien enquiquiner car j’avais quitté la pouponnière mais ils me félicitaient car j’avais un bon flair. Mais là, j’avais été impatient, j’avais eu une pulsion de me battre, mon regard émeraude était devenu noir, enfin vert foncé. Cette pulsion je n’avais pas réussi à la contrôlé comme toutes, je n’arrivais pas à me faire à ces pulsions, mais aussi d’habitude je m’en prenais à des chats innocents et là j’attaquais un chat qui avait déjà tué. J’avais déjà senti depuis longtemps cette odeur que nous avons, nous tueur de chat, nous qui sont des sanguinaires, même si moi avant j’étais un sage guerrier à cause de la mort de mon rival j’étais devenu un sanguinaire, j’aimais tuer, me battre, sentir le sang cette odeur qui me faisait frémissait.
Bon, comme je vous ai dit j’avais sauté sur mon adversaire, mais lui n’était pas un lapin de trois semaines et avait esquivé mon saut. Mais, il me donna en prime un coup de patte que j’esquivai d’un saut, je souris car j’avais réussi à esquiver un coup pareil. Un coup qui avait été surprise, je me remis à fond dans le combat et je mis mes six sens en alerte. Mes six sens en alerte je remarquai que mon adversaire était dans la lune, alors je me jetai sur lui et le je tentai de le mordre, mais bien sur il retrouva son état et esquiva mon attaque, avec un grognement je me jetai à nouveau sur lui et j’atterris près de son flanc, je le griffai avec une rage, si bien que ce coup fut profond et je vis du sang sortir de son flanc. Je souris et j’eus des pulsions, car je sentais cette odeur agréable, je frémissais mais en essayant de rester neutre.
Comme ces pulsions me déstabilisaient, mon adversaire se jeta sur moi et me lacera mon épaule. J’eus un énorme cri de souffrance et de rage, mais cette blessure m’affaiblissait un peu, j’eus du mal à le repoussé. Je respirai, j’essayais de reprendre un peu de force pour poursuivre ce combat. Nos deux sangs coulaient sur cette terre, cette terre devenait humide, j’eus un mouvement brusque qui fit volé cette terre. J’humai l’air et cette odeur douce du sang de mon adversaire, me redonna encore des pulsions, je murmurai quelques choses que lui ne pouvait pas entendre :
« Esprit Lugubre, reprend toi, tu ne vas pas boire se sang souliez ! »
Je repris un peu mes esprits et nous reprenons cette lute. Nos forces étaient équitable, alors le combat ne pouvait être gagné, même si des fois j’avais l’avantage la seconde d’après c’était lui qui l’avait. Ce combat était vraiment inutile surtout que ma blessure me faisait très mal et me ralentissait, je remarquai que je n’étais pas tellement en forme, oui, peut-être que je n’étais pas prêt à faire un combat aussi dangereux, je soupirai et continua ce combat inutile. Même si peut-être l’un était plus fort, nos forces étaient identique, je l’attaquai et il esquivait, il m’attaquait et je l’esquivais c’était un combat sans fin, qui allait nous mener à la mort.
Après des minutes, de ce combat inutile, je réussissais à le mettre par terre, je l’avais mis par terre sur le sable de ce lac, je souris mais ce sourire fut très bref. Mon adversaire eut une rage énorme et me jeta du sable dans mes yeux, je voyais plus, il m’avait aveuglé, je m’attendais à ce qui m’attaque mais en faîte. Durant cette quelques secondes, mon adversaire se leva, rinça sa blessures il me releva. Je sentis mon épaule qui me faisait mal, même très mal, j’eus un cri de douleur et un long soupire. Mais je voyais qui il avait aucune action, alors je tentai de le griffé le museau mais il me plaqua au sol. J’atterrissais sur ma blessure et je sentis l’odeur de mon sang qui s’étalait sur le sable du lac. Ma respiration était rapide mais assez active, je sentais dans mes oreilles les battements de mon cœur, je sentais un frissonnement et j’attendais le coup fatal. Oui, j’attendais qu’il me tue, mais se ne fut pas le cas. Après quelques minutes de souffrance, je me levai avec peine et je vis que celui-ci avait des pulsions violentes. Je le regardai attentivement, il était comme moi, quelqu’un avec la soif du sang, un sanguinaire, il savait pourtant se métrisé, il devait avoir plus d’expérience que moi.
Ce chat, planta avec brutalité ses griffes dans le sable et je pus voir qu’il essayait de retenir sa pulsion, moi j’étais impressionné, il aurait pu me tuer mais il ne voulait pas, non il essayait de retenir sa pulsion. Je pus voir que ses yeux n’étaient plus rouge vif mais rouge sang, comme le sang qui coulait de mon épaule. Je voyais que celui-ci plongea son regard dans le mien pour chercher des réponses, qui ne pourrait jamais trouver. J’aurai bien voulu mettre de l’eau sur ma blessure, mais par la force de son regard il me retenait, cette force était impressionnant. Je me plongeai dans son regard, on voyait du sang et encore du sang, il était bien comme moi il tuait des personnes innocentes mais pourtant il appartenait un clan.
Comment un chat comme lui pouvait appartenir à un clan ? C’était un sanguinaire, il devrait être normalement solitaire, comme ça il aurait aucun droit, je me demandai bien pourtant comment il faisait pour tuer et pour émettre aucun soupçon à son clan, il devait être aveugle car moi je voyais dans son regard, un regard de criminel, un regard de tueur. Un regard qui te contrôlait, un regard qui effrayait et pourtant son clan devait se doutait de rien.
Je sentis ma blessure me faire encore mal mais avec une violence incomparable, je me mis à la nettoyer avec ma langue et à faire taire la douleur. J’avais envie de hurler, mais quelques choses en moi me disait : « Connais-tu l’honneur, connais-tu la fierté, alors ne fait pas voir ta faiblesse. ». Cette voix était celle de mon ancien mentor, qui avait été déçu de ce que j’étais devenu, mais en lui il l’avait su dés le départ car je pense qu’il me voyait pas être un bon guerrier, un chat de clan, il devait me voir comme un chat libre et n’étant pas toujours saint ! J’étais devenu en quelques sortes comme ça sauf que j’étais devenu en plus un sanguinaire qui ne pense qu’à tuer et à boire le sang de ses victimes. J’étais devenu un monstre, un monstre qui vivait pourtant paisiblement avec aucuns soucis de la mort qui la quête !
J’eus une envie de parler, oui de parler à mon ancien adversaire et à le découvrir. J’avais envie d’enlever ce qui venait de ce passé et de créer un lien entre lui et moi. Oui, ma solitude j’en avais marre j’avais envie de me faire des amis aussi, j’en avais marre d’être seule, de m’entrainer tous les jours, je mangeai tous les jours seuls, je voudrais au moins avoir un ami sur qui comptait si cela était possible et plus tard une compagne qui me fera de beaux chatons qui me fera honneur. Je m’approchai de lui et dit de ma voix un peu arrogante mais avec une pointe d’amicalité :
« Bonjour, désolé pour ce petit combat inutile, j’avais envie de me défouler depuis le temps. Sans être indiscret, comment vous vous appelez ? »
Je souris, même si cela fut assez difficile, car d’habitude j’étais assez hypocrite et très ironique alors mes sourires étaient un gros mélange des deux, pourtant mon sourire était assez amicale. Je me replongeai dans son regard pour attendre sa fameuse réponse et sa réaction !
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