Petite Destinée Félin Légendaire
Perso 2 : Rivière x4 & Ventx1 Perso 3 : Petit x1 & Apprenti x1 & Guerrier x3 Nombre de messages : 1845 Age : 28 Puf : Mémo <3
Date d'inscription : 13/06/2009 Points : 2051
Feuille de personnage Affinité: But du félin: Famille:
| Sujet: Un vent souffle, moi je m'endors, mais une certaine Petite Ecume vient me réveiller. [Pv avec Yanzy] Mer 27 Jan - 23:15 | |
| Petit Mémorial
Le vent souffle, Il sifflote, Moi je m’endors, Quand Médor, Chante.
Inner Turmoil – Haketa Takefumi.
Ce vent, oui ce vent qui fait voler votre pelage, qui vous fait venir certaine odeur, agréable ou non. Un vent libre, comme les solitaires qui n’ont aucune frontière, un vent qui n’a peur de personne et qui a une force incroyable. Le vent est aussi le symbole de mon clan, oui le clan du vent, où je suis arrivée après la mort de ma mère. Aujourd’hui, comme tous les jours, ce vent si libre, si fort, si courageux, soufflait fort, j’avançais avec lenteur à cause de lui, il ralentissait le moindre de mes pats, ce qui me força à courir. Mes griffes qui étaient les seuls à me porter, à me soutenir pour pas que je m’envole, forcé dans la terre à mes moindre pas. Je me forçai à lui résister, on était en plein combat, il attaquait, moi je me défendais en avançant toujours encore. Un combat qui était perdue d’avance mais je ne renonçais pas car je voulais et j’irais au lac. Un lac grand, très beau, très faste, d’une couleur bleu foncé, en ce temps d’hiver, où le froid fait rage, où la nourriture se fait rare, le lac reste comme il l’est. Il ne se bat pas pour manger, mais il se bat pour se préserver de la nature pour qu’on respecte. J’allais bientôt y être, car le vent voulait que je mette le plus de temps, mais j’avançais toujours ce n’allais pas être lui qui aller me faire reculer, car quand on veut, on peut.
Après plus d’une heure de combat, un corps à corps avec ce vent, j’arrivais à cette grande bassine, qui était toujours aussi majestueux, je m’approchai en ayant une crainte, oui je le respectais et je l’entendais. Par ses petites vagues, tout aussi visible ou non, il murmurait des douces paroles, il disait que c’était sa terre et que personne ne la prendrait, il me disait venir, j’étais le bienvenue. Je m’approchai au bord de ce lac, il bougeait un peu, je l’observais et je voyais de temps à autre des petits êtres vivants bougeaient ou plutôt nager. J’observai toujours avec dans mon regard une lueur de passion, j’adorais regarder les êtres grandir, murir et après mourir, je versai toujours une larme pour dire « Paix à leur âme ». Je savais qu’a chacun de mes bons gestes, cette âme comme on dit, m’aider à retrouver un bonheur auprès de cette nature, je respirais cette odeur si bonne, si réconfortante, celle de la nature, celle du vert et des végétations. Je m’assis en posant délicatement mon fessier, pour que la terre n’est pas mal, je mis une patte dans cette eau, elle était froide pourtant j’eus juste un petit frisson, je la faisais bouger, danser et elle me souriait. Je sentais son bonheur, mais moi je ne l’avais pas, on ne voulait pas me voir sourire mais plutôt me voir triste car on disait que j’avais un charme fou quand je suis triste. Moi je ne disais rien, je les écoutais et je les regardais, comme ce que je fais aux plantes, aux animaux, au lac et à d’autres. Je parlais très rarement, mais quand je m’exprimais c’était pour sortir ma science.
Tout d’un coup je m’endormis, peut-être que j’étais épuisé par mon combat avec le vent, enfin je ne rêvais pas, c’était le calme complet. Je me voyais, j’étais assis, je contemplais encore le lac, je méditais, je parlais des vois à haute voix, mais le chat que je voyais n’était pas vraiment moi, mais un moi plus grand, plus fort, plus intelligent, sur son visage quelques larmes coulaient. Quand l’une des larmes tombaient sur le sol, elle brillait et on pouvait voir un arc-en-ciel, car les gouttes étaient des petits prismes, un prisme décomposé la lumière blanche, qui elle était composé des couleurs de l’arc-en-ciel, on appelle ça un spectre continus, je regardais, je trouvais ça beau. Mais la question était pourquoi je pleurais ! Mais je n’eus savoir à cause d’un bruit, je me réveillai en sursaut avec un regard de tueur, je regardais autour de moi pour savoir qui avait pu me réveiller. Je tournai la tête et je vis une jolie chatonne, elle était magnifique, blanche avec des reflets dorée et des yeux d’un bleu magnifique. Je me levai et la regardais, avec un air assez bizarre. Avec une voix un peu aiguë je m’exprimai :
« Tiens donc, c’est vous qui m’avez réveillé. Puis-je avoir votre nom sans vous offensez ? »
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