Coeur de Malice met bas!!! [ Pv . Star]

Coeur de Malice

Ouf... encore une journée difficile pour la solitaire, qui depuis qu'elle était enceinte, avait du mal à gérer à la fois la chasse et de s'occuper de sa fille adoptive... Heureusement que son amour, Esprit Lunaire, était là. Elle ne pourrait pas vivre sans lui... avec ou sans chatons, il était désormais sa seule raison de vivre, leurs coeurs ne faisaient plus q'un, à la vie comme à la mort... Elle était partie boire près du pont, car le félin noir étant à la chasse, il ne pouvait lui aporter de l'eau. Elle regarda son reflet dans l'onde limpide et vit des grandes cernes sous ses yeux autrefois pétillants... elle était encore très jeune, à peine 14 lunes, mais la vie solitaire n'était pas facile. Elle se pencha pour laper le précieux liquide et son image se déforma pour ne devenir qu'un amat de couleurs rousses et brunes...

Elle leva la tête et regarda un peu plus loin, un monstre passer avec un fracas assourdissant, sur la route de bitume serpentant à travers les collines. Mais elle n'avait pas l'intention de passer la journée ici... Son ventre lui faisait mal depuis un bon bout de temps, et en faisant demi-tour, elle eut même une perte d'équilibre. Elle tomba lourdement dans l'herbe grasse pleine de paquêrette fanée par l'automne et ferma les yeux... Un spasme la secoua violement. Elle allait mettre bas!! Non, pas maintenant! Et qui allait s'occuper d'elle? Elle gémit, songeant tristement au sort qui attendaient ses pauvres petits en sortant de ses entrailles... elle regretta aussitôt d'être née. Ils allaient mourrir avant même d'avoir vu le jour, à cause d'elle... une larme d'amertume perla à ses yeux.

Je ne sais pas ce qui me pousse à faire ça. Sans doute l'instinct.
J'entendis une plainte. Aux aigus cristallins qui me faisait penser à une chatte qui à besoin d'aide. Elle venait d'un certain pont, sur lequel je ne m'était jamais aventurée. En pensant au cas d'un accouchement, je cueilli de l'ail sauvage et du souci, désinfectant très répendu en bordure de forêt. Je fouilla les brindilles du sol pour dénicher également les graines de pavot. Il me perméttrais d'endormir la jeune mère si ça se compliquai. Un seconde plainte retentit, de douleur cette fois. Je sauta en avant et fila vers le pont. D'instinct, je connaissais la route. Et là, je vis une solitaire , avec un pelage noir d'ébène, allongée au sol. Des larmes perlaient à la lisière de ses yeux décélicatement allongés. Je me précipita à ces côtés et lui dit simplement:

-"Fais moi confiance..."

Je me positionna à côté d'elle. Je passa dans un mouvement fluide mes pattes au toucher de velours. Les petits étaient dans le bon sens, mais ils e devaient pas naître maintenant. Je poussa un grognement sourd et continua d'analyser la situtation. C'est bon, je pouvais commencer. Je massa son ventre de façon à reproduire l'expulsion des chatons. Je voyais qu'elle avait mal et lui donna des graines de pavot et des clous de girofle. Un piallement indiqua qu'un chaton pointait son museau. J'écarta la peau autour du chaton et le sortit de sa mère. Celui-ci avait un joli pelage brun-roux tigré. Je le posa contre le ventre de la solitaire. Je le lécha énergétiquement pour démarer son système sanguin. Il commença à téter goulument. Le deuxième ne tarda pas à sortir. Mais je le laissa faire. Comme il avait la fureur de vivre celui-là! Son beau pelage noir luisait comme un joyau. Je le prit par la peau du cou et le posa à côté de son frère. Surprise. Le dernier est une dèrnière. Je la lécha et la fit téter également. Je soufla:

-"Félicitation."

(Chuis roux-brun pas noire, mais bon, tu pouvais pas deviner^^)

Allongée à terre, gémissant de douleur et de désepoir, Coeur de Malice commeçait à tourner de l'oeil quand un bruissement parvint à ses oreilles. Elle tourna péniblement la tête et ses yeux fatigués virent une silhouette crème venir vers elle. Derrière ses yeux voilés par l'épuisement, seul un paire d'yeux bleu percants couvrit vraiment son chant de vision. Elle marmonna quelque chose d'incompréhensible, mais c'était inutile : l'inconnue était là pour l'aider...

-Fais-moi confiance..., miaula-t-elle.

La jeune reine ferma la yeux, et accepta cet aide, sans doute venu du ciel... et de toute façon, qu'aurait-elle put faire d'autre..? Elle sentit que des pattes douces se poser sur son ventre et le masser d'un mouvement expert. Elle laissa s'échapper un cri aigu. L'autre chatte lui donna des petites graines brunes qu'elle mâcha lentement, sans protester. Puis, d'un coup, ses paupières se fermèrent et elle se sentit plus fatiguée que jamais. Mais au moins, la douleur se faisait moins vive. Un cri... rien qu'un faible cri qui annoçait la vie... Coeur de Malice sentit sur son ventre une petite chose téter avec une inifinie innoicence... puis un autre cri, plus énergique cette fois-ci... et une autre boule de poil se blottit contre elle pour s'abreuver de ce liquide vital.

-Félicitation.

Cette parole la tira de son étatt second. Quand elle ouvrit entièrement les yeux, le monde fut d'abord flou, puis peu à peu, les couleurs du Soleil couchant revinrent éclairer sa vue. Elle eut un sourire attendrit en voyant ses deux petits, dormant tranquilement tout près d'elle... vivants! Et son mal s'était dissipé... Elle se tourna vers l'inconue et lui dit avec sincèrité et passion, les larmes de joie aux yeux:

-M-erci, qui que tu soit, merci infiniment...je te dois tant de choses...

Elle tourna ses pupilles brillantes vers les deux nouveaux-nés... Elle fixa d'abord le petit mâle, au pelage identique au sien, qui semblait plus calme et serein que n'importe qui, et lui lécha affectueusement le front.

-C'est grâce au ciel que tu es vivant... le destin l'à voulu. Tu sera Petit Destin!

Puis, en ronronnant, elle frotta sa joue contre la petite chatte noir qui ressemblait beaucoup à son amour, Esprit Lunaire... C'est elle qui semblait la plus énergique, et même en dormant, elle battait des pattes... comme elle était mignonne.

-Et toi, tu t'apelera Boule Pétillante! Bienvenue dans ce monde...

Puis, dans un souffle de soulagement et de bonheur, elle se tourna une nouvelle, fois vers la guérisseuse solitaire.

-Comme ils sont adorables... je ne te remercirais jamais assez!, s'écria-t-elle en enroulant sa queue touffue autour de sa portée.

-M-erci, qui que tu soit, merci infiniment...je te dois tant de choses...

Sa voix tremblait. Mais cette chose qu'elle venait de dire...Cela comptait tant pour moi maintenant. Je ne savais pas quoi dire non plus. Cette chatte venait de me remercier. Je ne savais pas à quand remontais la dèrnière fois que l'on m'avais exprimé de la gratitude. J'était aux anges et je les regardais avec tendresse. Ses yeux brillaient, leur belle couleur acidulée bercée par des larmes de gaité. Elle leva les yeux au ciel, comme priant le Clan des Etoiles. De sa voix feutrée elle déclara:

-C'est grâce au ciel que tu es vivant... le destin l'à voulu. Tu sera Petit Destin!

Elle parlais sur un ton solanel. J'approuva son choix d'un signe de tête. Mon demi-regard se posa sur Petit Destin. Le premier. Je pense qu'il servira de Berger pour sa soeur. Elle qui semblait si pleine de vie! Même si elle n'avait pas encore de nom on aurait prit plaisir à lui parler. Même comme ça, on devinait qu'elle ferait le bonheur autour d'elle. Je ronronna de plaisir. Jamais je ne me lasserais du spectacle qu'offre un famille de quelques minutes. Et pourtant, j'avais l'impression de les contempler depuis des heures. Les secondes étaient devenues des minutes, et ces dèrnières des heures. La jeune maman souffla ensuite, la voix chargée d'amour:

-Et toi, tu t'apelera Boule Pétillante! Bienvenue dans ce monde...

Je fit un signe qui voulait dire oui. Mon oeil borgne qui ne voyait rien, qui ne vivait plus pleurais de joie lui aussi. Mes moustaches frémirent lorsqu'elle se tourna une deuxième fois vers moi.

-Comme ils sont adorables... je ne te remercirais jamais assez!

-"Tu ne me dois rien. Ma seule récompense est de te voir heureuse. Et c'est aussi la satisfaction de pouvoir m'abonner à ma passion sans devoir penser...à mon Clan natal. Celui qui m'as tant fais souffrir. Et rien que te contempler, là avec tes chatons m'emplie de joie."

Coeur de Malice

-Tu ne me dois rien. Ma seule récompense est de te voir heureuse. Et c'est aussi la satisfaction de pouvoir m'abonner à ma passion sans devoir penser...à mon Clan natal. Celui qui m'as tant fais souffrir. Et rien que te contempler, là avec tes chatons m'emplie de joie.

Coeur de Malice eut une pointe de regret en entendant la réponde de l'inconnue. Son Clan natal l'avait fais souffrir... mais pourquoi..? Elle aussi, elle avait souffert dans son ancienne vie, elle avait connue autour d'elle la mort, la souffrance, l'abandon... Et puis, elle avait rencontré Esprit Lunaire, jeune solitaire sans émotion, contemplant sa mort prochaine, la rage et la vengeance rongeant son pauvre coeur... ils s'étaient raporchés, se sont aimés plus que tout, et désormais, elle vivait dans un bonheur absolu. Lui, avait retrouvé la joie, félin au visage de pierre, errant sans but, elle l'amour, petite chatte solitaire, aimée de personne, et tous les deux, une raison de vivre... Et maintenant, ces deux petits étaient là, paisibles et innocents... Elle se releva et transporta un à un les chatons dans un buisson, à l'abri des regard, et s'installa de nouveau près d'eux.

-Au fait... je m'appelle Coeur de Malice... et toi? J'aimerais beaucoup savoir ton nom.

Petit Joyau

(oh, allez, je vais le faire à la première personne!)

Je galopais à travers les bois en haletant, affolée de ne pas avoir trouvée ma mère à la tannière. Et en reniflant le sol, une forte odeur de peur et se nervosité m'avait fouettée de plein nez... Oh, maman... et s'il lui arrivait quelque chose? Elle était faible, et fatiguée ces temps-ci. Et si elle mettait bas toute seule? Ce serait un désastre, pour ces chatons comme pour elle. Je courrais comme le vent, mon pelage argenté luisait dans le crépuscule de ce jour d'automne. Des feuilles flamboyantes volaint tout atour de moi, mais je n'y prettai guère attention. La vie de ma mère était en jeu, et pour rien au monde je ne m'arrêterai... Enfin, quand je reperai sa fourrure roux-brun de la même couleur que le feuillage saisonnier, je la vit allongée sous un buissons, discutant avec une inconnue.

-Maman! Tout va bien maman?!

Je me suis arrêté nette en voyant que son ventre avait dégonflé. Mais ce qui me frappa le plus, c'était ces deux boules de poil qui dormaient blottits contre elle, en ronronnant. Je me suis précitée vers la cachette improvisée et me suis serrée très fort contre elle.

-Oh... ils sont magnifiques. Félicitation maman!

Puis en voyant l'autre chatte, j'eu un mouvement de recul. Avec mes cinq lunes, je ne faisait pas le poids en matière de combat contre un solitaire adutle comme elle. Mais heureusement, elle semblait bonne, et dans son regard se lisait une lueur d'atendrissement.

-Merci, sans vous, je ne sais pas ce qui...

Une larme de joie perla à mes yeux bleu-vert précieux comme des joyaux, d'où ce joli nom que m'avait donné sa mère adoptive. Je la regoingnit, fourra mon petit museau dans son flanc et me mit à pleurer, innondée par la joie.

-Au fait... je m'appelle Coeur de Malice... et toi? J'aimerais beaucoup savoir ton nom.

-"Je m'appelle Cascade d'Etincelles. Mais tu me connais sans doute sous le nom Imagine.

Un bruit de cavalcade indiqua, que quelqun ou quelque chose approchait à grande vitesse. Mon poil s'hérrissa et je fit entendre un grondement sourd à l'adresse de l'adversaire. Mais d'un coup, je me ratatina de surprise à la vue de ce qui arrivait. Un chaton. Tout simplement. Mon regard incrédule parut amusé Coeur de Malice. En cet instant, je pensa qe se nom lui allait à la perfection. La nouvelle venue hurla:

-Maman! Tout va bien maman?!

Elle était surexitée! Pire qu'une puce. Mais elle se calma en voyant les chatons blottis contre sa mère. Elle les regardais comme ci elle pensait aux nombreux jeux qu'elle ferait avec eux. Elle lança:

-Oh... ils sont magnifiques. Félicitation maman!

Et elle porta soudainement son attention sur moi. Dans son regard je lu de la peur. Et aussi une légère révision de ses tactiques d'auto-défense. Mais elle avait remarqué dans mon demi-regard une trâce de tendresse éffacée. Elle souffla de sa voix douce et enfantine:

-Merci, sans vous, je ne sais pas ce qui...

-Ce n'est rien. C'est dans ma nature. Restez-là je vais allez chasser un morceau pour vous.

Petit Joyau

-Ce n'est rien. C'est dans ma nature. Restez-là je vais allez chasser un morceau pour vous.

Je me relevai, essuyant mes larmes avec ma patte au reflets blancs. Maman semblait heureuse comme jamais, mais n'était pas en état de chasser. Moi, si, mais je n'était très douée et surtout, je voulais rester veiller sur elle... Esprit Lunaire devait commençer à s'inquietter, en découvrant la tannière vide et silencieuse, tapie au milieu des fourrés. Je m'inclinai poliment face à Cascade d'Etincelle. C'était un nom magnifique...

-M-merci beaucoup, mais papa doit être déjà rentré de la chasse et il doit se faire du souci pour nous. Et maman doit lui présenter mon frère et ma soeur , miaulai-je avec respect.

Une grande admiration pour cette solitaire était née en moi. Mes yeux brillaient de gratitude et de sincérité. Plus tard, quand je serais guerrière, j'aiderai aussi les autres, comme elle! Oui, je veux répandre la joie autour de moi... Avec un dernier salut j'adressai un signe à Coeur de Malice, et prit dans ma gueule la petite Boule Pétillante, et elle, Petit Destin. Le Soleil se couchait sur les arbes aux feuilles rougeoyantes et une lumière douce et pourprée colorait le ciel. Nous partîmes, le coeur léger, après ce moment intense et inoubliable... comme papa sera heureux d'aprendre la nouvelle. Je m'imaginait déjà en train de jouer avec mes frères et soeurs, leur aprendre une multitude de choses, créer des liens très fort avec eux... et j'esperai revoir Cascade d'Etincelle, un jour, pour qu'elle voit ce que son devenu les chatons qu'elle à fait naitre...

[Fin?]

[Oui, the end^^]

Je tournais la tête de tout les côtés, encore endormie. Je ne me rappelais seulement d'une petite phrase, qui signifiait tant pour moi. Ma mère m'avait donné mon nom, que seul le destin à permis. Justement, c'est mon nom. Petit Destin. Je soulevais mes lourdes paupières et clignais lentement des yeux. Déjà, ma vue s'habituait à ce monde nouveau. Je distinguais deux formes ressemblant à des chats, dans une espèce de prairie. Le temps que je m'habitue à toutes ces choses qui m'étais jusqu'alors inconnu, je pus réflechir. En premier lieu, je devais réglé un problème : la faim. Et oui, à peine j'arrivais dans ce monde que mon petit ventre gargouillait du mieux qu'il pouvait. Je devais donc trouver ma mère. Je rouvris les yeux. Voilà, maintenant, tout était clair. Je voulus m'avancer vers la féline la plus proche quand j'eus un porblème. Comment y aller ? Je bougeais maladroitement mes grosses pattes dans tout les sens, essayant de me diriger vers ma mère. Une voix moqueuse me parvint :

-Oh ! Petit Joyau ! Petit Destin essaye de marcher ! Ecoute son ventre ! Il doit être affamé ! S'il te plaît, aide-le à venir jusqu'à moi !

C'est alors que l'une des félines, sans doute Petit Joyau, se dirigais vers moi, et me prit par la peau du cou. Ce n'était pas très agréable, mais bien pratique. Je fus en un rien de temps au côté de ma mère. Je la regardais, plongeant mes grands yeux dans les siens. Puis, elle me fit un sourire amicale, et m'invita à boire son lait. Je ne me le fit pas répéter deux fois, et pris la tétine dans ma mâchoire. Je la mordillais doucement, faisant surgir du lait chaux dans ma minuscule bouche. C'était délicieux ! Je bus tout mon soul, puis rasasié, je m'arrêtai, et me roulais en boule sur le ventre chaud de ma mère. Tout ça m'avais énormement fatigué, et le sommeil m'emporta facilement, m'emmenant dans le monde des rêves...

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