Séance Rattrapage ! :p │ Ambry est de retour ! [22 Mai / Swie]

Puf ; Ambry, on va dire. Ou Fanta. Non ... Bref, ok j'arrete. Ambry x)
Rang & Note actuelle ; Je suis Marin, 11,5 . Très foireux, en effet ! :p
Lien de votre précédente notation ; https://guerredesclans.frenchboard.com/t20212-tenter-ma-chance-ambre-uc-tagada
Lien du plus beau RP ; Euuh ... j'vais vous donner le lien de mes RP les plus recents mais les plus beaux ca v etre dur (y'en a aucun//SBAAFF// :/

https://guerredesclans.frenchboard.com/t20439-des-amies-c-est-quoi-pv-ambre-et-ombre

https://guerredesclans.frenchboard.com/t20558-tout-le-monde-reve-d-avoir-un-apprenti-ou-un-mentor-9474-pv-zenouu-9829

https://guerredesclans.frenchboard.com/t20645-quand-espoir-amour-riment-9474pv-chantilly-9829

Bon, j'vais pas mettre touuus les liens des RPS en cours ou ca va etre très long ! :p

Alors alors !!


Thème :

Tu es une jeune personne ( fille / homme ) qui débarque à Paris pour un voyage
. Tout est magnifique au début, tout est beau brillant, mais ce voyage ne se déroule pas comme prévu...

Consignes :

~ Avec il ou elle !
~ Raconte la vision qu'il ( elle ) a en arrivant,
~ Trouve un élément perturbateur,
~ Raconte la fin du périple
~ 20 lignes mini
~ Tu as deux mois ! =)

Ok Merci ♥ Tout ca pour dans deux mois ! ;)
Par contre, est-ce que je peux poster au fur et à mesure ? Car mon Word a un problème de présentation et comme ca compte dans la note ... ? Walà, quoi ^^

Pas de soucis !! =D

EPILOGUE

Je m'en souviens comme hier. Tu étais belle, tu étais resplendissante. Je t'aimais et tu m'aimais en retour. Rien que d'être à tes côtés était une joie, pour moi.
Tu dansais si bien ! Tu m'entrainais dans la danse, te déhanchais à mes côtés, tu suivait le rythme, et tu faisais ainsi pendant des heures. Qu'est-ce que je regrette ces heures là ! Depuis que tu es partie, je ne danse plus. Cela me manque. Tu me manques.


Mais tu avais mérité ta gloire et je ne pouvais le nier. Tu as bien fait de partir, mais tu m'as fait énormément souffrir. Mon coeur a souffert, et souffre encore. Mais qu'importe d'un seul coeur lorsque tu remplis de joie tant d'autres ?
Sache que je t'aime encore et que parfois je me rappelle de cette aventure ... Ce moment où tu as disparu. A Jamais. Ce jour où tu m'as quitté, tu as été engloutie par la foule, et moi, je suis resté. Seul. Malgré les gens, tous inconnus, qui m'entouraient.

Aujourd'hui, j'ai décidé de retranscrire sur le papier toutes ces pensées. Comme le dit le proverbe : Les paroles s'envolent, les écrits restent."
C'est sûrement pour cette raison que tu es partie. Tous ces "Je t'aime", tu ne les as jamais pensé. Alors je retranscris sur le papier cette histoire. Peut-être ne devrais-je pas l'écrire ? Cela me ferais moins souffrir. Mais cette souffrance, c'est toi qui me la procure. C'est la seule chose qui me reste de toi.


CHAPITRE PREMIER

Paris ! La ville des lumières, celle des rêves les plus fous. Toujours éclairée, toujours brillante, toujours splendide ! Ce jour-là, à la gare de Lyon, la Capitale accueilla encore un nouveau couple parmi tant d'autres. Mais contrairement aux autres couples, ils ne se complétaient pas mais faisaient l'effet d'être deux éléments contradictoire. L'homme était assez jeune, devait avoir une vingtaine d'année. Il était vêtu d'une simple veste beige et portait des chaussures qui semblaient usées. La femme, elle, semblait plus âgée d'au moins cinq années. Elle avait sur elle un long pantalon beige et des escarpins vernis. L'homme la portait, tandis qu'elle s'éventer grâce à un éventail. Il ne faut jamais s'arrêter aux apparences, ou alors tout ne serait que préjugés. Mais ces deux-là faisaient l'effet de deux aimants qui se repoussaient.

L'homme appela un taxi et donna son nom :

Au nom de Prald, le visage du chauffeur nous parut s'éclairer et il ouvrit prestament la portière.
Dans la voiture, la châleur était insoutenable. Et la femme ne manquait pas une occasion pour se plaindre. L'homme, qui l'avait porté jusque là, tentait en vain de satisfaire ses attentes. Mais cette dernière exigeait beaucoup. Beaucoup trop, d'ailleurs. Le chauffeur de taxi se demenait afin d'activer la climatisation, apparement bloquée.




Le chauffeur de taxi cessa de toucher à la climatisation et appuya sur l'accélérateur. Une fois arrêté à un feu rouge, le conducteur demanda :



L'homme lui tendit un papier, qui sembla surprendre le Chauffeur. A ce moment là, la voiture perdit de la vitesse, et le conducteur semblait totalement déconcerté. Son regard passait du papier à Séléna Prald.
Ce ne fut qu'une demi-heure plus tard, après être passé par les embouteillages de Paris, qu'ils arrivèrent dans une petite ruelle, dont les bâtiments semblaient mals entretenus.

Sélèna affichait une mine lasse. Le prénommé Thibault descendit de la voiture et lui ouvrit galament la portière avant de lui donner la main. C'était une image plutôt décalée par rapport au paysage. Sélène semblait interdite.
Une fois entrés dans l'hotel, les deux tourtereaux demandèrent la clée. Apparement, les gérants du petit motel leur donnèrent la meilleure chambre.

" _ Dans ce cas, je n'ai aucune envie de voir les autres ! "

déclara Sélèna, outrée de la saleté et de la médiocrité du servie. Thibault, de ses maigres moyens, baissa la tête, déçu et honteux de ne pouvoir offrir plus à sa belle.
On pouvait découvrir, avec peu d'étonnement et beaucoup d'horreur, des cafards qui résidaient dans la salle de bain, et un nid de frelon dans la cheminée. La jeune femme était outrée de cette chambre d'hotel. Pourtant, sur les cartes postales, la ville est si magnifique ! s'éxubérait-elle à répeter. Et c'était son amant, qui lui répondait toujours et encore : Mais tu n'as encore rien vu !
Les deux amoureux décidèrent de ne pas visiter la ville véritablement aujourd'hui. Ils allèrent diner dans un petit restaurant, aimable et chaleureux, et dont les prix, au grand bonheur de Thibault, étaient bas. Sélène ne désespérait pas totalement ... ou peut-être que si. Mais elle ne montra qu'une partie de sa contrariété dans ce cas-là.
Il n'y avait plus qu'a espérer qu'au fur et à mesure de la découverte de la Capitale, le voyage s'améliorerait.


CHAPITRE SECOND

Paris est une ville magnifique. Il suffit de la voir sous son bon jour. Malheureusement, tout n'allait pas pour le mieux, pour ces deux jeunes personnes.
Pour Thibault, un problème majeur se posait : Comment expliquer à sa bien aimée qu'il ne peut lui offrir tout ce qu'elle désire en dehors de son amour grandissant et incomensurable ?
Pour Sélèna, c'était une toute autre affaire. Devait-elle quitter Paris et rentrer avec Thibault ? Mais cette solution ne lui convenait absolument pas. Comment connaître la véritable célébrité ? En s'affichant devant les caméras au bras d'un magnifique jeune homme, et elle, pleine de gloire et de richesse. Ce qui était sûr, c'est que Thibault n'était pas un gentilhomme fait pour elle. Et puis, Thibault, qu'est-ce que ce nom ridicule ? Thibault, Thibalt, Yseult ... Ah ! Mais pourquoi s'est elle mis en tête de partir avec lui, aussi ? Mais, si elle ne l'aimait vraiment pas, pourquoi restait-elle tout de même ? Non. Ce n'était pas pour la célébrité. C'était parce qu'elle s'y était attachée. L'aimait-elle pour autant ? A vrai dire, elle n'en savait rien.
Aimer ou être Aimé. C'était peut-être LA question qui se posait dans ce jeune couple décalé.
Pour l'instant, Séléna ne tentait pas d'y répondre. Elle se leva du lit, remettant proprement et soigneusement les draps sur le lit. Thibault était là, débout, face à elle, et avait préparé son reveil. C'est ainsi que Sélèna Prald, mannequin en quête de célébrité, qui se trouvait dans la même chambre que ce jeune homme un peu décalé, reçut romantiquement le petit déjeuner au lit avec la traditionnelle rose rouge trônant dans un minuscule vase qui se trouvait sur le plateau en bois.

As tu finis ?

Bon...je te laisse deux jours pour finir ! =)