Heavens...Tu me manques...[libre]

Hell se tapit dans l'ombre, face au vent. L'odeur du gibier envahissait sa gueule ouverte. Elle se léchait les babines d'avance à l'idée de dévorer entier ce repas. Elle remua un peu les pattes, impatiente. Elle se raprocha, tentant sa nouvelle technique de chasse qu'elle avait inventé quelques temps plus tôt. Elle se rapprocha lentement de sa proie sans faire un bruit. Puis, d'un seul coup, elle sauta sur sa proie, toutes griffes dehors. Le lapin n'eut que le temps de pousser un dernier soupir silencieux. Hell La dévora entèrement. Ses sens papillonait, et son ventre se réjouissit de ce gibier tant espéré.
Cela faisait des jours qu'elle n'avait rien mangé, et cette maigre proie n'arrangeait pas grand chose.Quelques fois, elle regrettait sa vive de chatte domestique. Ses câlins avec ses maîtres, sa gamelle remplit autant qu'elle le voulait, et Heavens...La petite chatte alla au bord des fracas éternels, endroit où sa chère soeur avait trouvé la mort, endroit où elle s'était juré de devenir solitaire comme pour honorer sa soeur.
Hell suivit le courant du fleuve et arriva au niveau de l'endroit où elle avait découvert son corps sans vie. L'ancienne chatte domestique se mit devant l'endroit où elle avait enterré sa défnte soeur. Elle baissa la tête et dit dans une prière :
"Par pitié, où que soit ma soeur, qu'elle y soit bien et qu'elle y mène la viequ'elle a touoursrêvé de vivre..."
Alors qu'elle pleurait silencieusement la mort, une voix brisa le silence :
"Pourquoi pleures-tu ?"
Elle se retourna et vit...



(mon premier rp ^^ j'espère que c'est pas trop nul)

[à côté d'un de mes premiers Rps avec ma Rosy qui parle de bière,que j'avais fais en cinq lignes,oui,pour un premier Rp,c'est bien xD ]

Amu :

Ce jour là,il faisait beau,et le ciel,d'un magnifique bleu,augmentait la joie d'Amu.Cela faisait des semaines qu'elle recherchait le Clan de son père,de plus elle ne connaissait pas le nom de ce clan.Tout ce qu'elle savait,c'est que les solitaires de la forêt à côté des territoires claniques les appelés "les chats qui marchent sur l'eau".C'était un groupe de chats,d'après eux,qui ne faisaient que nager et chasser des poissons.
Amu soupira.Son pelage rosée reflétait avec le ciel d'après midi,et lui donnait un petit air fluo.Elle se secoua,et leva ses yeux d'un jaune sauvage et pétillants vers un arbre qui abritait l'un des derniers nid d'oiseaux comportant des oisillons.Ils piaillaient,attendant impatiement la venue de leur mère pour leur apporter un peu de nourriture.Justement,celle-ci revint,et calma leur fin.Mais les bébés,jamais rassasiés,se remirent à crier famine.La mère,comme robotisée,reprit son envol en quête de nourriture.Cela devait être dur à vivre,pour un oiseau.
Amu reporta soudain son attention sur des pleurs.Quelqu'un était en train de pleurer,triste pour quelque chose,mais elle ne savait pas quoi.Elle se déplaça le plus discrètement possible,et découvrit une chatte assise,pleurant au bord des fracas eternels.
*Pauvre chatte !*Pensa-t-elle.
Naïve et pas mal bête,elle s'approcha encore de l'inconnue.
"Pourquoi pleures-tu ?"
La chatte se retourna et vit Amu.La petite chatte de six lunes répondit par un sourire chaleureux.
"Pleurer,ce n'est pas bien.Profites plutôt des derniers jours de la saison des feuilles vertes."Reprit-t-elle joyeusement.
Et comme pour accompagner ses mots,le soleil lança ses rayons sur les deux chattes,chatouillant de sa chaleur leur pelage.

Nuit soupira. Elle s'était encore perdu dans ses souvenirs, et ne savait pas du tout où elle se trouvait. Quatre des rivières principales, se déversaient en un même point, pour ne former plus qu'un seul et même fleuve, large et plus puissant que tout autre. Un large ilot surplombait vaillamment le croisement, et résistait aux assauts impétueux et violents, de quatre vagues sans merci ni ralenti, qui s'entrechoquaient dans un grondement puissant. Ce rocher noir s'élèvait avec courage au dessus de cette explosion, sous le soleil. Le soleil. Rare en cette saison. Mais Nuit s'en fichait bien. Son ventre la tenaillait depuis longtemps. Puis une odeur la surpris en pleine reflexion. Deux félin, pas loin de son poste de surveillance. L'un des deux matous était d'un éclat rosé, et le soleil lui donnait une couleur fluo. *Assez joli*, pensa t-elle. L'autre, Nuit ne le distingua que vaguement. Mais cela était sur, l'un était triste, ça se sentait. La chatte grise s'approcha. Le soleil filtra dans son pelage, la rendant plus joviale. Bientôt, elle fut assez près pour que les chattes -car c'était des femelles- la voit. L'une ne devait pas avoir beaucoup plus que 6 ou 7 lunes, l'autre était plus âgé, et, en effet, elle pleurait. Prudente, elle ne leur adressa pas la parole, et restait là à les regarder.