Grande Bagarre! (Venz Spartiate et autres! Vous êtes les biens venus!)

Phi


Phi, spartiate légendaire, chef de son clan. Cela n'était que dans sa tête. Car s'était son rêve, son imagination. Rien d'autre ne pourrait lui faire plus plisir que devenir quelqu'un d'important. A part peut-être le plaisir du sang, de la torture. Elle dévoilà un sourrir carnassier. Encore taché de sang du repas de midi. Elle ricanat à cette pensée. La viande du solitaire qu'elle avit dévoré à midi avait été coriace. Celui-ci n'avait pas beaucoup de haire et sa viande n'avait pas nouri la sanguinaire. So nestomac grondait. Appellant la nourriture. Et son cerveau fonctionné à toute vitesse. Elle s'arrêtat un instnt pour humer les senteurs de la forêt. Pour elle, toute ces effluves qui auraient put être merveilleuse pour les autres. Ne sentait que l'odeur de la cendre. Qui la dégouté plus que tout. La sauvage sevouat al tête avec énergie. Essayant de se concentrer sur son but. Trouver quelque chose à tuer. A torturer. Soudaçin elle s'arrêtat tou ces sens en alerte. Phi sentait l'odeur d'un renard. Son coeur bindit de joie. D'accord cela n'était pas aussi bien qu'und chat mais, elle pouvait sans contenter. Enfin pour l'instant. La sanguinaire se mit aussitôt en chasse. Se mettant a contre le vent. Pour qu'il ne puisse pas sentir son odeur. Peu à peu elle commençat à apercevoir sa fourrue rousse. Et l'odeur était de plus en plus forte et présente. Elle lui donnait envie de se jetter sur lui ,de le faire souffrir. Phi essayat de se concentrer. Elle n'était plus qu'a quelque mètre de sa proie. Puis la spartiate bondit. Se jettant sur lui. Le renard se débattit en vain. La chatte était trop forte pour lui. Mais elle prit son temps. La sauvage tuait toujours méthodiquement ses victimes. Elle commençat tout simplement par lui creuver les yeux. Et le les lui arracher. Puis découpant méthodiquement les oreilles de l'animal avec ses crocs. Les cris de douleur du renard ne faisait que grandir en elle le désir du sang. Sa proie perdait peu à peu du sang. Bientôt elle fut trop faible pour crier. Après lui avoir fait mille souffrances. Elle le tua en le décapitant. Puis prenant soin de le teainer sur l'un des chemins ou les chats qui éétaient arrivé il n'y a pas si longtemps sur leur teritoire. Ainsi ils comprendraient à qui ils avaient affaire. Puis, la solitaire nettoyat son pelage, pour laper le sang qui s'était teintés sur sa belle fourrure. Mais elle n'eut pas le temps de finir. Elle venait de sentir l'odeur d'un chat. La sauvage se mti directement en chasse. Ele se jettat sur lui....

(C'est Orange )

Gamma replongea la tête dans le petit lac de sang qu'il avait fait lui-même grâce à un solitaire errant sur le territoire des Spartiates. Il l'avait tué sur le coup et l'avait dévoré juste avant de se faire les griffes sur la carcasse de l'animal qui y avait laissé la vie. Un petit nuage de brouillard était sur le champ de vision du mâle tigré. Il respira l'air frais qu'il avait toujours eut l'habitude de sentir. L'odeur du sang, de la peur, de la terreur et du desespoir. Il y avait été habitué lorsqu'il avait rejoint les Spartiates, il y a longtemps maintenant. Il nettoya ses pattes pour se débarrasser du sang et se lécha les babines. Son repas avait été fameux et il n'avait voulut le partager avec personne. Gamma était égoïste et rancunnier, c'était dans sa nature. Il retourna dans la maison détruite que les Spartiates avaient occupés et s'y installa. Il regarda à l'horizon. Il s'ennuyait à mourir. Personne à tué, ni à torturé. Pas de souffrance, pas de désespoir, pas de guerre, pas de tuerie. Il bailla. Que pouvait-il bien faire ? Il se mit debout et partit en quête d'une proie car il était en manque de sang et de mort. Il vit un renard qui marchait tranquillement. Gamma se lécha les babines et suivit la bête au pelage roux. Lorsqu'il allait lui sauter dessus, un cri de guerre se fit entendre et il paerçut une jolie chatte sanguinaire se jeter sur ce qu'il avait osé appeler "proie". Le regard du mâle avait une expression de surprise et de malice. Jamais il n'avait vut un tel acte de barbarie chez une femelle. Il l'a trouvait très enjôleuse comme elle était. Sa tactique était sadique et bein chercher. Il décida de se coucher dans les fourrés et regardait attentivement la scène comme si un Bipède regardait un spectacle comique. Le rebard eut une fin très rapide et douloureuse des griffes de la sanguinaire Spartiate qu'était Phi. Elle lui sautait dessus et lui déchiquetait les flancs avec une telle finesse et avec un tel plaisir de tuer. Il fut très intéresser par la scène quand elle décapita le renard pour avoir plus de plaisir à le manger. Lorsque le repas de chatte fut terminer, Gamma se prépara à se jetait sur elle pour tester ses talents au combat. Phi s'était douté de quelque chose et savait qu'un autre chat était en train de la guetter. Sachant que son effet de surprise était raté, il s'élança sur Phi et celle-ci répliqua. Il roulèrent dans la poussière et se mordillèrent. Les coups de griffes étaient peu nombreux car le combat fut de courte durée mais au moment où il se séparèrent, Gamma donna un coup de langue ses blessures et fut prit d'un rire sadique. Il leva ensuite les yeux vers sa camarde et lui dit :

- Pas mal, Phi. Mais tu peux beaucoup mieux que sa.

Stigma
(ou Patte Pourpre)

Les lueurs de l'aube réveillèrent le jeune félin. Le pâle soleil illuminait sa fourrure rousse. Ses deux yeux rouges s'ouvrir mais il ne se leva pas. Son nouveau mentor était encore à ses côtés. Le marbre froid du balcon de la batisse abandonnée lui donna des frissons. Il se mit sur ses pattes tant bien que mal. Ses muscles courbattues et engourdis par le froid lui criaient de se recoucher. Le matou soupira. Il ne réveilla pas Upsilon et sauta dans le vide. Sans se remémorer ses peurs de la veille, il cadença sa démarche gracieuse. Ses moustaches s'agitèrent. Une de ses future victimes courait là, sous ce buisson. Instinctivement, le chat se tapit. Son ventre frolait le sol, ses yeux s'illuminairent quand il vit sa proie. C'était un jeune lapin. Le sanguinaire se mit en position, les muscles tendus à craquer. Il bondit avec un bon coup de saut et saisit l'animal par les oreilles, lui arrachant un cri. Il planta ses griffes dans ses yeux et les arracha. Cette technique était courament utilisée par les sanguinaires. Il ouvrit le ventre de sa victime, dévorant du regard ses boyaux se déversant. L'odeur du sang l'extita encore plus. Un coup de griffe suffit pour arracher la queue du rongeur. Il le laissa, agonisant, et parti en quête de son repas. Un fumet délicieux vint lui titiller les narines. Une grive dodue à souet grignotait une noix. Il lui brisa la nuque et l'avalla. Sans même enterrer les os, il continua son chemin. Le sang qui tachait son museau le rassurait. Il entendit un cri. Ou plutôt un feulement. Feulement de douleur? De colère? Cela signifiait donc du sang à volonté. Gourmand, le novice rampa ventre à terre vers le bruit. Il grimpa dans un arbre et contempla la scène avec un sourire sadique et cruel.

Deux chats se battaient sous l'oeil attentif d'un autre. On aurait dit deux apprentis en plein entrainement pourtant leurs muscles fins et forts lui indiquait que ce n'était plus de jeunots. Les deux adversaires se séparrèrent. Ils ressemblaient beaucoup dans leur manière de combattre à Upsilon. Une braise de désir de sang se raviva dans ses prunelles pourpres. Un cadavre de renard gisait pas loin. Ces chats lui ressemblaient donc. Tendis que les trois felins discutaient, le rouquin descendit de son perchoir. Une lueur de surprise se lisait dans leurs yeux. Il était content de son coup. Il prit un air misterieux. L'un des trois félins le salua:

-Bonjours Stigma. Que fait tu là?

Le félin roux ne lui répondit pas. Il allait où il voulait et quand il voulait. Cela tout les sanguinaires étaient au courent. Personne ne pouvait le contredire même Alpha, le chef de la bande. Il marcha gracieusement autour des deux femelles. Devant l'air mécontent de l'autre mâle il répondit.

-Il est vrai que Gamma se fait battre souvent par les femelles!

Il toisait avec froideur et mépris l'autre mâle. Il regarda dignement Kappa. Il s'entendait plutôt bien avec la féline. Il toucha l'épaule du matou du bout de la queue et répliqua, moqueur:

-Il ne faut pas pleurer petit chaton! Allons on va te rammener à ta maman!

Sans lui laisser le tant de répondre il lui tourna le dos sans pour autant quitter la clairière. Il ondula la queue d'un air provoquateur. Il toisa avec délice les restes du renard. Il n'avait pas manger depuis la veille...

(je m'incruste^^)

[Juste : il ne s'est pas fait battre, ils se sont juste battus et il un peu saigné mais Phi aussi (sinon sa serait pas drôle xD)]

( a O.K désolé --')

(J'attends que Printemps réponde)