pourais-je un jour avoir des amis?

« The life is not a history

The life will be for you only suffering
She’s be not worth the dream »

La fraîcheur du soir envahissait l’atmosphère, les bipèdes n’occupaient plus les lieux, un silence calme régner près du lac. L’apprenti avança doucement sur la berge, se pencha sur l’eau et vit son reflet, ou plutôt celui de sa mère, qui lui ressembler attrocement.
*Tu n'es pas seul, nous te veillons depuis le ciel*
Nuage Sournois crut devenir fou de chagrin en entendant la voix de sa mère mai il répondit tout de même;
Avant, je penssais que je viverais une histoire heureuse , mais cela est impossible depuis que vous m'avez quitter0 Vous me manquez ennormément toi et les autres, vous êtes et vous serez toujours les personnes qui compt le plus à mes yeux.
L'apprenti ne fut pas sur, mais il crut entendre le merveilleux rire de sa soeur. Tout ça nétait peu être qu'un rêve, mais il aura eu l'occasion de revoir ses parents. Une larme coula le long de sa joue avant de tomber sur le reflet de sa mère, qui s'effaça aussitôt.
*Trouve la force qui est en toi, et tu nous vengeras...*
Tout était terminer, ils avaient disparut, un silence de mort règna, le vent froid comme la glace enveloppa le corpt de l'apprenti qui frissona. La lune était haute dans le ciel. Il devait rentrer au camps, peut-être que quelqu'un s'inquietaient-ils pour lui, ou peux-être pas.
Nuage Sournoi n'avez pas d'ami, le seul qui pouvait s'inquiéter était Senteur de Tornade, son mentor. Peut-être que ce fut le vent ou son imagination, mais il entendit les buisson bouger. Il s'arrêta et attendit un autre signe de vie.

(titre pourris je sais mais j'avais pas d'iée)

Un groupe coposé de quatre félins pénétrèrent dans le camp, discrets en cette nuit déjà bien avancée, marchant à pas de velour sur le sol gelé les chats faisaient particulièrement attention à ne pas réveiller le reste du clan de la rivière, j'étais la seule apprentie lors de cette patrouille de nuit, une fois au centre du camp nous nous stoppèrent quelques secondes, lentement quatre autres silhouette se détachèrent de l'obscurité des tanière pour former un petit groupe, ils passèrent devant nous,nous échangrâmes un bref signe de tête comme un passage de flambeau pour dire ont prend le relet ou à vous maintenant, toujours dans le silence le plus complet la patrouille de relève s'éloigna dans le noir rpofons qui engloutissait la forêt.Ensuite je saluai chaque guerrier qui composaient la platrouille dont je venais de prendre part, éclair roux le mentor de ma meilleur amie, piment des indes notre lieutenante et enfin je frottai mon museau contre l'épaule de flocon d'hiver mon mentor, celui-ci m'ébouriffa gentillement le sommet du crane puis sans prononcer un mot nous nous séparèrent pour retourner dans nos tanières respectives, sans émettre un son je me attais d'entrer dan sla tanière des apprentits et de me rouler en boule aux côter de mes amis, fermant les yeux je senti que cette nuit je n'allais pas réussir à trouver le sommeil.

Lorsque je rouvirs les yeux je ne savais pas exactement conbien de temps c'était écoulé, me relevant je sorti quittais ma couche et la chaleur de l'antre pour aller braver la température glacial de la mauvaise saison. La première chose que je constatais c'était que le nuit était encore présente et pour un bon petit moment, laissant échapper un soupir je restais une dizaine de minutes la à regarder le brouillard blanc qui se formait au rythme de ma respiration.Décidé à ne pas rester planté la tout le restant de la nuit je me mis en route vers la sortie du camp, traversant le tunnel de roseau je m'extirpa du couloir végétal avec souplesse, vgabondant dans mes pensées je laissais mes pattes me guider la ou elles le voulaient.Bercer par le silence de la nature en cette saison je me rendis compte que je me trouvais au lac riant interrièrement je me demandais bien pourquoi mes pattes me menais toujours à un endroit ou il y a de l'eau.Levant le yeux vers le ciel je souri la nuit était vraiment mon moment préféré de la journée le ciel sombre, la lune bleu brillait dans ce tableau reflettant sa lumière dans mes yeux semblable à cet astre et parcement ma fourrure de reflets argentés, oui la nuit la toison argentée resplendissait de mille feu, cela me donnait l'empression que de la haut ma mère veillait sur moi ainsi que tous les autres chats du clan des étoiles.Cette réflexion me rappela mes amis patte d'épine et nuage glacial ainsi que nuage d'érable qui disaient toujours que mes yeux étaient une copie conforne de la lune multiplié par deux d'ailleur c'était ça que je devais mon nom.Lorsque mes orbes se détournèrent de la toison argentée pour jeter un regard circulaire sur mon environnement je remarquais alors un chat non loin de moi, les yeux perdu dans len vague fixant la surface de l'eau sombre,souriant pour moi c'était l'occasion de faire une nouvelle rencontre, m'approchant je me mis à ses cotés, tournant mon regard vers lui je dis:

Bonjour je suis nuage de lune du clan de la rivière, tu es du tonerre c'est ça?Que fais-tu ici il est bien tard.

Le félin devait être plus âgé que moi mais il devait toujours être en fase d'apprentissage, son pelage noir ébène et ses yeux gris blanc devait lui donner un sérieux avantage la nuit.Souriant je me penchais pour laper quelques gorgées d'eau elle était glacé je relevais la tête au moment ou moj interlocuteur prit la parole.

L'apprenti attendit mais rien ne se passa, la nuit restait aussi calme qu'avant. Il se retourna vers la surface de l'eau, espérant que le visage de sa mère réapparaîtrer, mais non, il ne vit que son propre reflet sur la surface lice du lac. Un petit groupe de poisson passa devant son museau, il n'essaya mais pas de les attraper, a quoi bon? Il n'était pas à chat de la rivière, il ne savait pas pêcher comme eux. Une odeur vint lui chatouiller le bout du museau; une odeur aquatique.

Bonjour je suis nuage de lune du clan de la rivière, tu es du tonerre c'est ça?Que fais-tu ici il est bien tard.

Les poiles de Nuage Sournois se herrisèrent, une chatte de la rivière, une chatte ennemie se tenait à côter d'elle, il montra les crocs et s'appretta à la provoquer, mais à quoi bon, il n'avait pas la force de se battre.

Je suis Nuage sournois et j'appartient effectivement au clan du tonnerre, je suis ici car je veux m'éloigner un peu du reste du clan cette nuit, repensser un peu...a mes parents, ma famille.

Le jeune apprenti ravalla ses larmes pour ne pas pleurer devant la chatte. Il s'affala sur le sol et soupira, ses parents étaient peut être parti par ce qu'il n'était plus seul. Mais ce n'était pas grave, il les reverrait à la prochaine pleine lune.

Je sentis le félin se raidir lorsque je me plaçais à ses cotés, malgré l’obscurité qui enveloppait le lac j’arrivais à percevoir son poils noir de Jai hérissé et les oreilles rabattu sur le haut de son crane plat. Relevant la tête me redressant de toute ma hauteur, je toisais le matou d’un œil réprobateur et supérieur, comment lui simple matou du clan du tonnerre incapable de nager dans la rivière ou de pécher ne serrait ce que le plus lent poisson de la forêt osait-il avoir cette réaction envers ma personne. Dévoilant un les pointes blanches éclatantes de mes canines j’allais répliquer quand il se radouci comme un chaton devant a mère ou en apprenti devant son mentor. Baissant les yeux vers le sol sombre et humide il souffle d’une voix ébranlé par le chagrin :

Je suis Nuage sournois et j'appartient effectivement au clan du tonnerre, je suis ici car je veux m'éloigner un peu du reste du clan cette nuit, repenser un peu...a mes parents, ma famille.

A sa famille et à ses amis avait-il dit il les avaient surement perdu, entre temps l’apprenti du clan du tonnerre c’était couché contre le sol en soupirant en fait à ce moment précis je le trouvais plutôt pitoyable qu’autre chose allongé la devant l’étendu d’eau bleu foncé à broyer du noir, certes cela était malheureux de perdre un ou des êtres proches mais cela n’était pas une raison pour ce laisser abattre la vie continuait, seul les faibles se laissaient abattre par le chagrin. En observant plus attentivement le corps du jeune chat je me rendis compte qu’il avait la peau sur les os, ses cotes saillantes ressortaient à la faible lumière de la lune, me rapprochant du bord du lac je me penchais au dessus de l’étendu bleu noir, je discernais rapidement une forme souple et grisâtre près de la rive, la patte suspendu en l’air silencieusement j’attendis que la silhouette sinueuse se rapprochant inconsciemment de sa fin. Une, deux secondes passèrent puis d’un coup de griffe précis, vif comme l’éclair les longues griffes blanches fendirent la surface de l’eau, s’enfoncé dans la chaire de l’animal aquatique, pour le projeter à l’air libre et l’achever d’un coup de dent bien placé. J’avais fait tout cela en prenant bien garde que le dénommé nuage sournois me voit à l’œuvre pour bien lui montrer qui était supérieur à l’autre. Cette constatation me surpris moi-même je n’avais jamais eu un tel résonnement à part lorsque j’étais chaton et j’avais presque oublié à quel point il était bon d’être meilleur que les autres et de leur faire comprendre, oui j’adorais définitivement cela j’étais la meilleure il n’y avait aucun doute la dessus. Malgré cela je ne souhaitais pas voir ce félin bien que ennemi mourir de faim, donc déposant d’un geste gracieux ma prise devant le nez de mon interlocuteur je dis :

Mange tu es plus maigre qu’un ver, ce n’est pas au clan du tonnerre que tu verras un chat péché. Tu as perdu ta famille et des amis n’est-ce-pas ? Si c’est le cas il ne faut pas te lamenter et te ramasser sur toi-même, relève la tête et bas toi pour eux pour qu’ils soient fiers de ce que tu es ne pleur pas, les faibles pleures et les faibles ne survivent pas, si tu veux faire parti du groupe des forts et survivre il faut que tu te ressaisi ce et vite en commençant par arrêter d’être si triste.

Et pour accompagner mes paroles je le poussais légèrement du bout de la patte puis désignait la toison argenté ou nos alleux veillaient sur nous, ce soir les étoiles brillaient de mille feu sur une toile encre, la lune astre pâle soleil de la lune déversait sa douce lumière bleutée sur la forêt.

Au bruit familier des écailles et des griffes se plantant de la chaire blanchâtre du poisson je compris que le matou entamait ma prise, constatant qu’il était visiblement surprit par le goût de son met je lui fit signe de continuer à se rassasier d’un regard plutôt dur d’ailleurs mes paroles avaient été prononcées sur un ton dur et hautain mais bon comme on le dit si souvent y a que la vérité qui blesse.

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