Petite partie de chasse [Coeur de Velours and Nuances du crépuscule]

Le soleil venais de se lever... La forêt et ses environs était calme... Il y avait quelques nuages rose dans le ciel... Il faisais beau...
Coeur de Velours venais de ce réveiller. Son rêve était magnifique et quand elle ouvri les yeux elle cru qu'elle rêvais encore. Le temps était magnifique! Elle voulais absolument chasser aujourd'hui. Rien que de penser aux soleil qui réchauffe son pelage et la petite bise d'automne qui fait frémir les feuilles la faisais frissoner.
La seule chose qui la rendais triste c'est quelle allais devoir sûrement aller seule à la chasse... Elle s'approcha donc de la sortie du clan les oreilles baisser...

*A quoi bon passer une aussi belle journée toute seule...*

C'est la quelle vit un petite souris zizagué entre les feuilles. Son esprit de chasseur pris le dessus. Elle avança tous doucement vers sa proie. Mais au moment où elle était prête sauté sur sa proie un félin qu'elle ne distingua pas tous de suite attrapa le rongeur et l'acheva.
Coeur de Velours sous l'effet de la colère dit:

- Je peut très bien attrapper une proie toute seule mÔssieur!

Mais elle repris vite ses esprit et dit génée:

- Euh... Désoler d'avoir dit sa... Tu veut bien venir chasser avec moi?

Coeur de Velours savait que se chat venais du clan du Vent mais elle n'arrivais pas à deviner qui c'était à cause de l'odeur des feuilles mortes mouillé et de l'ombre d'un arbre qui le cachait...

- Qui êtes-vous?

Mais le félin ne répondais toujours pas...

La rosée perlait le bout de chaqun des brins d'herbe de la prairie. Les dernières journées chaudes seraient pour cette semaines. Les proies seraient également de sortie. Il falalit en profiter. Mon pelage blanc court était luisait à cause de l'humidité. Mais cela ne me génait pas. Pas du tout. Une odeur entêtente nargua mes narines. Tous les sens en alerte, je flaira davantage l'odeur. Un campagnol. Dodu. A point. Mon instinct de chasseur prit le dessus et je m'élança. Mon corps maigre et agile filait à ras du sol, tel le serpent, sans bruit tel les chouettes. Le vent chaud ébourifait ma queue, déja gonflée par l'eau. La proie était là. A quelques centimètres de moi. Je m'aplaitissait au maximum. Un pas...puis deux...un troisème... Mes muscles tendus... Et elle gisait devant moi. Achevée, puis elle ferait le bonheur de quelqun cette proie. Soudain je remarqua la prescence d'une chatte de mon Clan. Elle ne semblait pas très très contente:

- Je peut très bien attrapper une proie toute seule mÔssieur!

Ce soudain éclair de dégout me désarçonna. Que de méchanstée contenue dans sa belle voix feutrée! Je la reconnu bien vite. Il s'agissait de Coeur de Velours. Son poil tricolore prit un relet auburn quand elle se plaça au soleil et moi à l'ombre. Mais son visage laissai dire qu'elle regrettait ses paroles. Et d'une voix un peu génée elle me dit:

Euh... Désoler d'avoir dit sa... Tu veut bien venir chasser avec moi?

Je ne répondit pas tout de suite. Elle qui m'avait craché dessus une minute plus tôt venait de m'inviter à chasser avec elle. Son air de réflexion en disait long sur ce qu'elle faisait. Elle tentait de savoir qui j'était. Elle ne savait sans doute pas. J'avait toujours été discret, et je ne parlait pas beaucoup avec les autres, juste avec Fleur des Champs. Je sortit de l'ombre et je dit après qu'elle m'ai demandé qui j'était:

-Je suis du Clan du Vent, tout comme toi. On m'appelle Nuances du Crépsucule. Et oui, je veux bien chasser avec toi par cette belle journée.

Elle semblait contente. Nous partîmes dans les herbes.

Coeur de Velours était encore génée de cette rencontre mais l'inconnu fini par répondre:

- Je suis du Clan du Vent, tout comme toi. On m'appelle Nuances du Crépsucule. Et oui, je veux bien chasser avec toi par cette belle journée.

Coeur de Velours était heureuse. Faire une partie de chasse pour se faire pardonné d'avoir dit des bétise lui allait. Ils partais donc vers les hautes herbes. Le temps était absolument magnifique. Coeurde Velours ne se sentait plus génée à présent, elle voulait juste passée cette belle journée avec quelqu'un de gentil comme Nuances du Crépuscule.
Ils arrivèrent au hautes herbes. Le soleil était presque à son zénith. Coeur de Velours regarda au dessus d'elle. Une buse était poursuivi par des corbeaus...
Cette scène rammena Coeur de Velours plusieurs jour en arrière... Elle voudrait faire comme son apprenti... mais bon comme on dit l'élève a dépassé le maître, car, son apprenti était arrivé à attrappé un corbeau...
Coeur de Velours repris ses esprit. Quelle chance! Le clan des étoiles avait éxaussée son veut! Un des corbeau était maintenant à terre. Coeur de Velours s'approcha lentement. Elle évita une branche et elle sauta. Elle eut le temps d'araché quelque plumes de sa queu mais l'oiseau s'envola... pour atteri quelques queus de renard plus loin! Elle attrapa donc le volatile et le tua définitevent.
Elle revint près de Nuances du Crépuscule et dit:

- Depuis le temps que je voulait en attrapper un!

D'un coup de patte plein de grâce, ma partenaire fit volé un nuage de plumes sombres comme l'ébene. Elle n'avait réussis qu'a sortir sa proie de sa trajectoire initiale. Tout de même un exploit vu qu'elle volait à une dizaine de longueures de queue de haut. Je sautait également dans le convoi pour perturber les oiseaux. J'en descendit un, qui s'enfuit un peu après. Un échec. Cependant, la tentative de Coeur de Velours fût courronnée de sucsès. Elle souriait, d'une façon bien féline.

- Depuis le temps que je voulait en attrapper un!

Je roronna, content pour elle. C'est là que sa jeunesse me frappa. Une vingtaine de lunes pétillantes commes les trois d'un chaton se tenait devant moi, un oiseau noir dans la mâchoire. Ses yeux bleus doux me regardait l'air de vouloir s'amuser. Je lui rendit un regard aussi malicieux que je pouvait faire. Même si j'était de nature calme et réfléchie, je vis dans ses yeux ce ue j'était à mes deux lunes. Lorsque la vie faisait onduler mon corps et vibrer mon âme. Ou la joie faisait battre mon coeur. Ou le bonheur n'était plus que mes journées, et ou mes bouderies quand il falalit arrêter de jouer constituait mes soirées avec ma fratrie. Une larme, invisible roula sur ma joue en y repensant. C'était dur. Je détourna le regard, et vit un pigeon. Je ne passa pas pas quatre chemins. Je sauta, et l'éventra. Il tomba au sol. Mais un sentiment de épulsion envers moi-même m'envahit. Je l'avait tué sous le coup de la rage déspérée. Je secoua la tête, comme voulant chasser un insecte géneur.

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