Le reveil

J'étais dans la forêt, seul, sans pour autant avoir peur. Mon esprit était aussi calme que cette étendue verte. Soudain, des bruits de pas brisèrent ce silence. Un chat, d'une odeur qui me semblas familière, avançait, dans les fourrés. Ce n'était pas un chat domestique, ces mouvements étaient semblable à ceux du matou qui m'avait emmener dans ce qu'il appelle un Clan. Je tournais la tête. L'inconnu était juste devans moi ! Je n'avais plus aucun échappatoire possible. Son regard profond me fixais. Je dévisageais ce félin. Et je retins un hoquet de stupeur. Tout le monde me reconnais à ma touffe de longs poils noirs au bout de ma queue. Personne n'avais jamais eut la même. Pourtant, cet inconnu, sortit de nul part, avant la fin de sa queue identique à la mienne !

J'ouvris les yeux. Pour les refermer aussitôt. Quelle lumière ! Puis, je me remémorai les évènement de la veille. Lors d'une promenade avec mes maîtres dans la forêt, je les avais perdus de vue. Quand, à l'aide de mon nez, je les ai retrouver, ils partaient ! Sans moi ! Et j'ai rencontré ce chat, à la maigreur impressionnante. Après, il m'avait demander de quelle Clan je faisait partie. Je n'en avais aucune idée, ne sachant pas ce qu'étais un Clan. Il m'avait dit qu'un Clan était un groupe de chats, avec un meneur, un guerrisseur, des guerriers, des reines, des anciens, des apprentis et des chatons. Il y a quatres Clans dans la forêt : Le Clan de l' Ombre, du Vent, du Tonnerre, de la Rivière. Il faisait partis de ce quatrième, et m'a emmener avec lui. Leur chef m'a donné un nouveau nom. Patte d'Epine. Après, mon guide m'avait emmener dans un endroit chaux et confortable, où je me suis endormi. Je rouvris les yeux. J'étais bien au même endroit. Une odeur, qui m'était maintenant familière, embommait l'air. Celle du Clan de la Rivière. J'entendais, au dehors de mon abri, des miaulements de chats. Quelques chatons et reines étaient à côté de moi, sommeillant tranquillement. La pouponnière était ombragé par des feuillages que des félins avait installé là. Je me sentais chez moi, serein. Mais mon rêve me dérangeai quand même. Qui était ce mystérieux félin ? Et puis, ce n'était qu'un rêve ... Mais quelque chose en moi me disait que ce n'était pas qu'un simple songe. Le tout était de trouver sa signification. Je balaya ces réflexions d'un battement de queue. Mince ! Je voulais faire autre chose de ma journée que de me poser des questions, questions dont je n'avais pas la réponse de toute façon.
Je m'approcha de l'entrée de la pouponnière, et passa dicrètement la tête à l'extérieur. Je sais que le matou qui m'avait trouvé dans la forêt et emmener ici m'avait défendu de sortir, mais ma curiosité était la plus forte. J'observa le camp. Il y avait plusieurs tanières comme celle où je me trouvais. Cinq, exactement. Dans un tunnel d'ajoncs, des chats passaient, revenaient de leur chasse, portant de nombreuse proies, d'autres étaient des chatons, et étaient accompagnés d'un chat plus agé. On m'avait expilquer ça aussi. Le chaton était ce qu'on appelle un apprenti, ou un novice. C'est le stade supérieur d'un chaton. Et le chat plus agé est un mentor. C'est un guerrier qui doit entrainé le novice, lui apprendre le travail d'un guerrier, pour que, plus tard, cet apprenti en devienne un. Je m'aperçu que les chats présents dans le camp était assez nombreux. Et, il y avait une organisation impressionnante. En effet, toute cette population de félin était parfaitement syncrone. Tandis que certains patrouillaient ou chassaient, d'autres mangeaient ou s'entrainaient. Puis mon attention s'attira sur les tanières. S'il y en avait quatre assez grande : celle des chatons, des apprentis, des guerriers et des anciens, il y en avait deux autres plus petite. Mais en même temps plus vaste. La tanière du guérriseur, qui était plus une demeure. Car si il y avait une litière, il y avait aussi un lieu de travail et un lieu de rangement. Le lieu de travail est là où les bléssés arrivent. Et le lieu de rangement est là où sont placés les herbes dont le guérisseur a besoin. Et la tanière du chef. Celle là comporte seulement une litière et un endroit où le matou comvoqué parle. Tout entièrement concentrer dans mes réflexions, je ne vis pas l'ombre féline à coté de moi. Et j'en fus surpris.

En italique le texte!

La première partie est ok mais la seconde ne va pas!

Edite please!

Mercii d'avance!

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