Perso 1 : Crepuscule des Dieux Nombre de messages : 565 Age : 27 Puf :
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Sujet: BONJOUR AUREVOIR [torrent abyssal] Lun 19 Oct - 9:18
Le soleil etait parti a l’horizon laissant l’obscurite envahir la foret de Cerfblanc. Un silence bien veillant plongea les quatre clans dans une sommeil sans fin avec des reves plus beaux que reel. Un oiseau chantonait pas tres loin d’ou je dormais, je pouvais l’entendre, lui qui me donnait ses berceuses pour m’aider a tomber dans le vide de mes paupieres. Mes yeux verts emeraudes etaient grands ouverts ers et je regardais le plafond en pensant a rien. Rien, ce n’est rien de special n’est-ce pas ? Pour moi si, je pense toujours a quelque chose normalement, c’est dans la nature des felins mais j’etais vide. Je me levai et sortie de la taniere des guerriers en essayant de toucher personne avec mes pattes, les autres avaient besoin de repos aujourd’hui. J’avancai au mileu de la clairiere, observant les etoiles dans le ciel, en pensant que chaque etoile representer quelqu’un, un chat qui appartient au clan des Etoiles, oui, de grands guerriers de jadis, ils nous indiquent le chemin a prendre et deside de notre destin. Je ne pouvais rien faire donc je decidai d’aller voir et m’amsuer un peu au ilot, cette endroit me reppelit mon enfance, je venais y jouer souvent avec ma petite soeur quand elle etait toujours vivante et ca me rend heureuse d’y retourner car comme a chaue instant, je sens toujours sa presence a mes cotes meme si je ne joue plus et que je suis seule. J’arrivai versla riviere ou je me baissai pour boire un coup d’eau, je vis mon reflet dans l’eau me donnant un air de tristesse, je ressemble tellement a ma mere … Puis je reculai, accroupie au sol, prete a bondir. Je poussai sur mes pattes arrieres et sauta sur un rocher qui se suivait d’un autre pour arriver sur le petit bout de terre, l’eau etait profonde donc c’etait le seul moyen de le traverser sans mourir. Je continuai mon chemin, doucement en faisant attention a ne pas glisser et tomber a mort. Quand j’arrivai enfin de l’autre cote, je m’allongeai au bord du tronc d’un arbre, regardant au alentour les petites insectes jaunes volants dans le ciel, donnant un peu de lumiere. Ca me fascine comment ses insectes pouvaient et se nourriture quand ils sont tous petites et comment etaient-ils composer ? Je n’avais aucun reponse a ses questions mais je savais que un jour que je trouverai quelqu’un qui pourra m’aider. Puis apres mes jolies pensees, je ne m’etais pas rendue compte qu’une qutre odeur d’un chat du clan du Vent flotait dans l’air et je sentis qu’il etait tout pres d’ici, un peu trop mon gout. Je me levai et fit une grimace en decouvrant qu’il faisait si noir que ca, la nuit. Je n’aime pas trop etre seule quand je sais qu’il y a des chats saguinaires autour qui cerchaient des poies chats a tuer pour le plaisir … J’entendis un bruit pres d’un Buisson de fougere et donc de peur, a la place de me mettre en position d’attaque, je me blottis contre le tronc juste en observant les paysages autour de moi. Un autre meme bruit se fit entendre a mes oreilles et la, je me tapis au sol, la fourrure gonflee, les griffes sorties pres au combat. Je t’attends, n’importe qui tu es … mais quand j'avais l'impression que c'etait un chat qui se cachait dans le buisson, une souris qui mangeait une graine en sortie, ne se rendant pas compte du danger pour lui qui est a ses petites pattes. Je courus vers lui et lui sautai dessus et lui brisant sa colonne vertebrale pour lui donner un mort pastrop penible a supporter. Je le pris entre mes dents et le ramena vers le tronc d'arbre ou je me suis posee il y a quelques secondes seulement, et je commencai a le devorer, le clan avait assez de nourriture, je n'avais pas manger apres la chasse hier tellement j'etais fatiguee. Le gout fondant de la viande envahit ma bouche, je eus un delicieux diner apres tout. Mais je me rendais encore compte que meme si cette souris etait dans ce buisson, d'ou venait l'odeur de chat ? Je me levai d'un bond en pensant a ca, et je regrdai les alentours demes yeux verts en essayant de persevoir une presence de felin quelconque ... Je crachai au sol en montra mes dents a je ne serai ce qui se cachait dans les environs ...
Despotique Harmonie As des Chats
Perso 1 : // Perso 2 : [W]ind | [S]olitaire Perso 3 : [A]pprentie | [G]uerrier Nombre de messages : 4918 Age : 28 Puf : Threnody =D
Mais appelez-moi Will. Will tout court. x) Date d'inscription : 02/02/2008 Points : 1667
[je réponds dès que je peux, mais avec l'Administration, j'ai un peu moins de temps pour RP. Je dirais mercredi ^^]
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Sujet: Re: BONJOUR AUREVOIR [torrent abyssal] Sam 24 Oct - 13:01
Lueur Abstraite frappa le sol de ses griffes recourbées. Aussitôt, il regretta ce mouvement de colère contenue ; depuis que le Tyran qu'il abritait s'était réveillé, le moindre geste inconsidéré pouvait lui être fatal, et il risquait de perdre le fragile équilibre qu'il s'était hâtivement bâti après sa « rencontre pacifique » avec l'étrange chat près du Pont. Après tout, seules des années passées près de l'océan lui avait permit de vaincre ses pulsions meurtrières. Mais maintenant qu'il en était loin, comment pourrait-il pleinement se maîtriser ? Seul l'avenir le dirait. Quoi qu'il en soit, il commençait à regretter amèrement le jour où il avait proposé de guider le Clan du Vent au travers de son territoire. Mais à l'époque, comment aurait-il pu prévoir que cet instant serait sa perte ? Non, c'était puéril de se chercher des excuses. Il avait failli. Et il ne pourrait plus aider Nuage Crépusculaire dans sa quête. D'ailleurs, ce dernier, ainsi que son compagnon Nuage Libre, avait mystérieusement disparu depuis quelques quarts de lune. Coïncidence pour le moins inquiétante, songeait-il peureusement. Perdu dans ses sombres pensées, c'est à peine s'il remarqua le départ précipité de trois guerriers du Clan. Dehors, Étoile Argentée tournait en rond, impatiente de partir avec la patrouille de l'aube. Un soupir lui échappa. Personne ne lui faisait encore confiance. Il était proscrit des activités quotidiennes, se contentant de chasser en solitaire. Le fameux 'rituel de partage', il n'en faisait pas partie : trop différent, trop spécial, personne ne lui adressait la parole. De nouveau, il soupira, empreint d'une lassitude sans fin. Que faire, si ce n'était continuer à ruminer ces sombres pensées dans la pénombre de l'antre des guerriers ? Personne ne l'attendait, il n'attendait personne. Il se leva néanmoins et se dirigea vers la lumière du dehors, esquivant machinalement les corps étendus dans l'obscurité. La respiration régulière de ses camarades lui tira un regard mélancolique. Il se souvint brièvement de l'amour de sa mère, du doux contact de sa langue contre son pelage... La vision s'échappa aussi vite qu'elle était venue. Souvenir fugace d'une vie passée. C'était si bref, si intense, si surprenant qu'il sursauta. Un apprenti qui passait par là le regarda bizarrement, du style : « Okay... Va ailleurs, espèce de taré ! » Conseil qu'il décida sans plus tarder de mettre en application. En dehors du Camp, le silence régnait. La stèle était rasée par les vents d'Est et du Nord, froids et tranchants comme les coutelas. Emmitouflé dans son épaisse fourrure, cela ne le gênait pas vraiment, mais il eut une pensée pour ses camarades aux pelages courts. Il parcourut la plaine du regard. Les buissons agités par les doigts invisibles desdit vents pouvait sans doute dissimulé nombres de proies. Avec un temps de retard, il songea qu'il pourrait apporter de la nourriture au Clan. Au-dessus de lui, les étoiles étincelèrent, comme pour approuver cette pensée. Il darda un regard surpris sur le voile nocturne. Il avait souvent entendu, le soir, les anciens du Clans relater les exploits des ancêtres des Clans et du Clan des Étoiles. Ce dernier, refuge des esprits errants des morts, veillait sur chacun des Clans de la forêt. Mythe, réalité ? Impossible pour lui de le deviner. Il aurait aimé croire à ces chimères, mais il était encore trop réservé sur les croyances de sa nouvelle tribu pour adhérer pleinement à leurs coutumes. Il s'aplatit sur le sol, le ventre dans la boue, le nez au vent. Avancer doucement. Scruter les environs. Apprendre des vibrations silencieuses du sol. Du crissement des pattes sur le parterre. Entrouvrir la bouche pour sentir le délicieux fumet d'un lapin. Manger ! Son ventre gargouilla, lui rappelant qu'il avait sauté le diné. L'eau lui vint brusquement à la bouche. Mais le Code du Guerrier interdissait de manger avant d'avoir nourri son propre Clan. Pour une fois qu'il comprenait ce règlement... Dans le Groupe, évidemment, c'était différent ; on chassait pour nourrir le Chef, Mausolée, et jamais pour tout ses compagnons. Mais au moins, il y avait du progrès. Il bondit en avant. Ses pattes s'enfoncèrent dans le buisson, à la recherche de la douce échine de sa proie. Celle-ci s'échappa par l'autre côté. Un juron échappa à Lueur Abstraite, qui se précipita à sa poursuite. L'ivresse de la chasse lui donnait des ailes, il fut sur le rongeur en quelques secondes. Ses griffes tranchèrent proprement la chair à la base du coup, là où elle est la plus tendre. Un dernier spasme, et la souris passait de vie à trépas. Tout fier de lui, heureux d'avoir fait passer le Clan et le Code du Guerrier avant sa personne, il enterra le petit cadavre sanguinolent et encore chaud, s'assurant ainsi qu'il le retrouverait plus tard. Satisfait, il s'étira, sentant avec délice l'énergie affluer dans son corps, l'adrénaline exciter ses sens. Il huma l'air à la recherche d'une autre proie. L'odeur de musc d'une girouette attira son attention. Pas très loin. Une dizaine de longueurs de queue à tout casser. Il s'approcha de la provenance du musc, doucement. Petit oiseau picorant le sol, la girouette ne se doutait pas de l'approche du prédateur.
* » Perdue dans ses pensées de chagrin, ajouta-t-il pour lui.*
Il sourit avec assurance. Il était un spécialiste dans la traque aux volatiles : près de l'océan, ils étaient les proies les plus abondantes, si l'on exceptait -bien sûr- les poissons. Il chassa ces paroles inutiles de sa tête, et se concentra sur son objectif premier. Plus que trois longueurs de queue. Deux. Une. En un bond, il serait sur elle. Il se ramassa sur lui-même, testa ses appuis. S'assura d'être bien contre le vent. Parfait. Comme ça, si elle voulait s'enfuir, les courants descendants l'empêcheraient brièvement de s'envoler. Quelques secondes de répit, suffisante pour qu'il la tue. Il s'apprêtait à l'attaquer quand elle s'envola. Surpris, il redressa la tête. Mais quoi ? Il n'avait pas bouger ! Il montra les crocs, furieux de s'être fait piquer ce qui aurait pu être son billet d'entrée au Clan du Vent. C'est alors qu'il remarqua l'odeur plus que différente des terres. Ce n'était plus l'odeur de bruyères, de lichen et de vent de son Clan ; non, c'était celle, des roseaux humides, du Clan de la Rivière. Il se hérissa. Il se trouvait en territoire ennemi ! Intérieurement, il se maudit. Pourquoi n'avait-il pas fait plus attention ! Il regarda autour de lui. Personne. Il crut qu'il pourrait partir tranquillement, comme si de rien n'était. Grossière erreur ! Une guerrière de la Rivière fit son apparition. Il n'eut que le temps de plonger dans un bosquet environnant. Mais la femelle semblait déjà l'avoir remarquée, car elle se tourna vers lui. Il frissonna. Cela ne servait à rien de rester cacher. Il passerait non seulement pour un lâche, mais aussi pour un espion. Or, il n'était rien de cela. Il s'était juste perdu. Il sortit donc de sa cachette, et rejeta les épaules en arrière. Il savait qu'il ne ressemblait pas vraiment à un guerrier du Clan du Vent : ces derniers étaient de préférence de taille moyenne, presque petits, fins, rapides et agiles, aux pelages ras ; lui était grand, voir immense, avec une carrure exceptionnelle, un long pelage tricolore, des cicatrices partout sur le corps et des yeux bleus exceptionnels. Rien de bien crédible. Mais, sachant que son odeur, quoi qu'encore légèrement différente de celle du Vent, le trahirait, il attaqua directement :
« Euh... Je sais que je ne devrais pas être là, mais... C'était une erreur. Je ne cherche en aucun cas la bagarre. Je ne me suis pas encore très bien habitué à ces territoires... Enfin, bon, je ne voulais pas vous offensez. »
Mais il savait pertinemment qu'il ne faisait rien d'autre que s'enfoncer.