Qui es tu pour m’adresser la parole.... /Pv Zephyr' /

Sayo
Je ne peux pas te faire de mal...

Sayo continuait d'observait les clans, il voulait leurs fins, mais il lui resté beaucoup de travail.
Le matou noir avait trouvé un endroit ou il pouvait réfléchir tranquillement, car le ruisseau traversant la rivière était trop souvent fréquenté par les patrouilles.
Et Il ne voulait pas se faire repérer, tout du moins avant de mettre la pagaille dans la forêt.
Le matou noir était parti chasser, il traversa les bois, les arbres nus défilaient. Le vent soufflait, il faisait froid mais son épais pelage noir le protégeait du froid. Il leva son museau et pris une bouffé d'air. Il sentit une proie. Un écureuil. Il s'approcha doucement, ces pas ne faisaient aucun bruit sur le sol gelé. Quand il pu voir la voir, il fit un bond et retomba sur sa victime. Il sortit ses grandes griffes et pris la vie du petit animal. Il le pris entre ses crocs. Puis se retourna d'un geste vif, le matou noir ps'élança dans les bois, il prenait de la vitesse, slalomant entre les arbres.
Quand il fut arrivé, il ralenti d'un coup sec, il entra dans le canyon au pas élégant.
Sayo monta d'un bond gracieux sur un rocher, il s'y allongea et dégusta son écureuil. Il s'enfonça un peu plus dans le canyon, mais toujours en restant assez loin d'un drôle de source, il entendit un bruit, venant du haut du canyon...

Zéphy'
Attention où tu mets les pattes ...

Un soleil magnifique. Un manteau de neige blanc. Une vue extraordinaire. Seul petit Problème. Enfin ... gros problème :
Zéphyr, chatte solitaire typée siamoise aux yeux d'un magnifique bleu, était perchée à plus de 50 Mètres du sol.

Des explications s'imposent ...

Une fine neige tombée à flot. Par seconde, des millimètres de jeune neige recouvrait la vieille qui s'était verglacée. Les nuages se dégagèrent, laissant place au soleil. La neige ne tombait plus.
Zéphyr sortit de l'ombre d'un chêne. La neige collait à ses coussinets. Sans aucuns bruit de pas, elle s'avança, s'assit puis renifla l'air.
C'était parfait. Un Endroit parfait pour ce qu'elle allait faire prochainement. Du haut d'un petit rocher sur le-quelle elle était assise, elle regarda le paysage qui s'offrait à ses yeux d'un bleu ardent.
Tout était blanc. Logique. On était en hiver. Ce spectacle n'était pas inconnu à la chatte crème, mais à chaque fois, le voir, était un vrai moment de bonheur ...

Prise d'un élan de joie, la solitaire se leva , banda ses muscles, pris appuis et sauta aussi haut qu'elle pu. Elle retomba en une fraction de seconde sur le sol, avec grâce et légèreté tout en dérapent pendant quelques temps. Une fois le dérapage contrôlé terminé, elle s'élança à nouveau à une vitesse phénoménalisme, plus grande que celle qu'elle a d'habitude .
Elle entrepris un dérapage mais cette fois-ci, pas du tout contrôlé. Devant elle, s'ouvrit Bientôt un canyon. La chatte tomba, mais se rattrapa à la paroi.

Retour au présent !

Qu'allait donc faire Zéphyr ? Elle pourrait se laisser glisser jusqu'au fond. Risquer, mais abordable.
Elle se laissa donc glisser ventre à terre sans regarder se qu'il se passait en bas. Sous son passage, des gravas la suivait. Un tout petit éboulement se formai sur son passage.
Ses coussinets commençaient à chauffer. Espérons que ça se finisse vite.
Avec une certaine chance, elle arriva avec seulement quelques égratignures. La chatte crème n'était plus qu'une boule de poussière ambulante.
Elle se secoua en faisant lever un nuage de poussière. Elle ne devait pas être seule, car elle entendis les râles d'un autre chat. Elle se retourna et découvrit un matou assez impressionnant.

Sayo.
Encore une femelle...

Le solitaire recula légèrement puis leva sa tête en l’air. La falaise le surplombait avec au moins cinquante mètres de différence ce qui est très élevé.
Le solitaire aperçut un éboulement se formant sur la paroi rocheuse des flancs de la falaise.
Il fixa du regard cet éboulement qui poursuivre son chemin tout en dévalent le précipice.
Cette chose tombante emporta avec elle des gravats et de la poussière. Elle formait un énorme nuage de poussière épais.
Le matou noir vit une forme s’extirper de la poussière et venir vers lui. Sayo resta planter là plissant les yeux pour essayer d’apercevoir qui se cachais derrière cette ombre faites de poussière. Quand cette « chose »lui tourna le dos il lâcha un feulement strict. La poussière retomba un peu autour de ce qui semblait... être un chat !
Une femelle fine, un peu siamoise, aux yeux d’un ton bleuté magnifique. Il la fixa de son regard noir du regard. Il feula :

Qui es tu ?! Que fais tu là ?

Il grogna, malheureusement elle était une femelle. Il n’y aurais sûrement pas de combat mais il lui ferait peur...

[sorry, c’est pas long]

Zéphy'
Merci de l’accueil

Il feula et regarda la solitaire d'un oeil noir.

" Qui es tu ?! Que fais tu là ? "

Le chat grogna. Apparemment, le fait que Zephyr soit une femelle, ne lui plaisait pas. Encore un sexiste. Magnifique.

" Bonjour, oui je vais bien. Je m'appelle Zéphyr, je suis solitaire. Encore heureux d'ailleurs. "

Dans le regard du chat, une sorte de haine apparente. Quelques chose de bizarre. Le fait que Zéphyr soit une femelle, sa ne devait pas lui plaire, puis, sa haine devait aller vers quelqu'un d'autre.
Attendant quelques informations sur son interlocuteur, la chatte crème s'assit et entrepris de faire sa toilette. La poussière, c'était dure à enlever ... La bouche pâteuse, avec ça. Il y avait aussi l'atmosphère se rafraîchissait. Les nuages arrivaient, une petite pluie fine tombait. En plus de sa, le matou la regardait et ne disait toujours pas son nom.

Sayo
Je te fais peur ?

Sayo se pencha sur la femelle.

" Bonjour, oui je vais bien. Je m'appelle Zéphyr, je suis solitaire. Encore heureux d'ailleurs. "

Sayo n’aimait pas les femelles. L’Amour. N’était pas un mot pour lui. Ce n’était même pas un sentiment. Cela n’apportait rien. Alors il ne tomberait pas amoureux. Il en avait vu, des félins maléfiques. Tomber dans l’oublis emportait par une femelle aussi belle soit-elle. Il lui faudrait une femelle maléfique. Il s’emporte là ! Il ne lui faut pas de femelle tout court. Elles ne servent à rien. Enfin. C’est son avis. Sans parler des chatons. De frêles êtres. Arrogants. Agaçants. Bref. Ils ne servent à rien. Il renouvèlent la grande race des félins... Mais bon.

Zéphyr, s’assit et entreprit une toilette. Les nuages de poussières émanant de sa fourrure formaient des formes assez étranges. Ces formes ressemblaient à... Rien. Des formes, sans formes exactes. En fait il émanait de la fourrure de la femelle des choses...
Bref.

-Je ne te dévoilerais pas mon identité. Je n’ai aucunes raisons de la faire. Appelle moi... Ne m’appelle pas. Ne me parle pas. Ne me regarde pas. Ou tu le regretteras.

Comme il aimait martyriser les pauvres félins. Aurait t-elle assez de caractère pour lui répondre ?
Il ne savait pas. Mais en tout cas. Il l’espérait.

Enfin, le minou parla.

" Je ne te dévoilerais pas mon identité. Je n’ai aucunes raisons de la faire. Appelle moi... Ne m’appelle pas. Ne me parle pas. Ne me regarde pas. Ou tu le regretteras. "

Et bien ! Il avait l'air pas trop agréable lui ! Mais bon, si il ne voulais pas dévoiler son ' identité ', aucun problème. Ce chat avait l'air d'un mâle dominant, mais pas que les femelles, le monde entier ! c'est parfois bizarre de l'avouer, mais être maître suprême, être chef, c'est pas vraiment génial pour Zéphyr.
Enfin, bref. Le chat espérait peut être que Zéphy' ce soumette, ba, c'était peine perdue !

" Tu sais parler aux chattes toi ! Bon, tu ne veux pas que je sache ton nom, je vais t'en donner un alors. Tiens, Matou, c'est banale, ça te vas bien. Tu dois être un solitaire, vu que tu es tout seule sans patrouille pour un chat de clan, et aucun chat domestique à par un n'aurait le courage de s’aventurer ici, et tu n'es pas l’exception. "

Là, la solitaire avait frappé fort. Elle avait nommé ce chat, elle lui avait parler, et pour couronner le tout, elle le regardait en ce moment même, de ces beau yeux bleus, aux yeux sanguinaires de Matou.
Cette chatte ne manquait pas de courage, il faillait juste espérer qu'elle ne le regrette pas.

Sayo.
You talk to me ?

La joie, l’amour et la bonne humeur... Que de ragots si lents à la compréhension que quand on finit par comprends son but, il est trop tard. La joie, fais le malheur de celui qui la détiendra. L’amour, il ne sert à rien à part à rien. La bonne humeur, impossible de l’attraper. Bref. Tuer. ET ne pas ce faire tuer. Destin. Faire le mal, provoquer, tuer, tuer, tuer...

Le mâle noir banda ses muscles. Sortit les griffes et bailla. Tout ça pour bailler. Il n’était pas feignant et pourtant après tuer, dormir était sa meilleur activité. Il resserra son regard sur « la femelle ».

" Tu sais parler aux chattes toi ! Bon, tu ne veux pas que je sache ton nom, je vais t'en donner un alors. Tiens, Matou, c'est banale, ça te vas bien. Tu dois être un solitaire, vu que tu es tout seule sans patrouille pour un chat de clan, et aucun chat domestique à par un n'aurait le courage de s’aventurer ici, et tu n'es pas l’exception. "

« - Bien vu... Mais franchement, pas dur à voir. . Matou me convient. Je ne te prêterais aucune attention. Car je n’en ai pas envie. »

Tout était clair. Le temps de la solitude est venu. Il ne tuerait pas cette femelle. Chanson des merles volant au dessus du canyon, parfum des violettes sous le soleil d’été, Les rocs cuisant sous les chaudes températures.
Pourquoi partait-il dans ses délires existentiels. Comme ça. Comme un oiseau se pose sur une branche au hasard, lui pensait.

Matou, petit Matou, gentil, ou méchant .... Matou ? Qui sait. Un être penseur, peu bête, cruel, pas si méchant que ça, quand on est pas du même caractère. A quoi busillait-il ? La tuer ? Lui arracher les tripes du ventre ? La torturer ? Ou pas.
Un mélange de sentiments cachés, coulés, enfouis, surtout impossible - peu être pas - à lancer une bouée de sauvetage.

La queue battante, la chatte crème le regardait. Quel étrange être que celui là. A la fois fier et beau, laissant paraître un sentiment de dominant, de lider, surtout, un sentiment sanglant. Tuer tout le monde ? Est-ce son rôle ? Comme je l'ai dis avant, il n'est pas si laid que certains autres chats. De toutes façons, ce n'est pas le " genre " de Zéphyr. Son coeur était déjà plein, ne restait plus qu'un petite place. Ce coeur, parfois torturait, appartenait à Winni, son compagnon, et a sa future portée dont elle ne suivra pas le futur. Rien de grave, quand on est pacifiste.
Enfin, une parole. Une, qui sort de la bouche de Matou.

« - Bien vu... Mais franchement, pas dur à voir. . Matou me convient. Je ne te prêterais aucune attention. Car je n’en ai pas envie. »

Ah, franchement ? Rien d'autre ? Une phrase, deux phrases. Pour dire quoi ? Pour dire qu'il l'ignorera et que son petit nom improviser lui convient. Simple, court, mais insuffisant aux mirettes de la chatte.
Elle fixait le chat, pas méchamment, mais tout en douceur, avec curiosité.
Un, puis plusieurs corbeaux jacassant comme n'importe qui, s'étaient invités autours de quelques arbres morts.

" Dis-moi Matou, je me moque un peut que tu prêtes attention à moi, de toute façon, je suis aussi une solitaire "

Bah, oui, c'est bien vrai.

[ vraiment désolée du retard...] [Fouette moi D8 ]

Sayo.
La peur, peur, peur, peur.

Sayo fixai de ses yeux rouges sang la femelle. Il espère lui faire peur, la terroriser, la faire fuir. Il sourit. Ses crocs blancs pur laissèrent voir leurs formes. Une lueur de duel dansant dans les yeux du matou noir. Puis n’avait –il pas à lui prêter la moindre petite, minuscule, microscopique attention ? Si. Et il le ferait. Son sourire sanglant s’effaça de son visage sombre. Il tourna la tête, de manière à ne plus voir un poil de la femelle. Il haussa les épaules.

" Dis-moi Matou, je me moque un peut que tu prêtes attention à moi, de toute façon, je suis aussi une solitaire "

Hum. Il fit un pas pour se détacher du regard de la femelle crème. Il en fit un deuxième, puis trois, puis quatre. S’éloignant à pas de loup, il possédait une démarche gracieuse, lui servant à piéger certaines proies, des femelles, amadouer des petits félins...

De race de solitaire, il était. De caractère sanguinaire, il possédait. D’un physique de tentation, il se servait.

Le beau mâle garda la tête droite, les épaules carrées, la queue vaillante, les oreilles attentives...
De ses prunelles rouges il observait la forêt. De ses oreilles de jais, il l’écoutait. De sa truffe noire il l’humait. Que de poèmes sanglants, que de rimes frissonnantes, que de paroles sans nom. Il résistait, à lui faire peur, à la torturer. Mais il ne ferait pas de mal à une femelle. Seule loi. Il aime la terreur, mais pas sur les femelles, il connaît la douleur que ses coups infligent...
La mort, une de ses amies. Il allait se faire connaître, en tuant des félins, en rasant les clans.

Il y arrivera.

Il hausse les épaules. Grogna.

« Prends garde à toi, femelle. Tu es fragile. Trop faible. Le danger guette, il est là. Je fais partie de ce danger, attention. Nous arrivons. Et nous vous tuerons... »

Il prononça ses paroles en un filet de chuchotements. Il ferma sa mâchoire, un claquement retentit. Il leva la tête. Il voulait lui faire peur. Le moral, sans la toucher, ni l’effleurer.

« Tu es mignonne, mais prends garde. »

Belle prise, pour un pêche de loisir.

Matou commença une petite marche. Qu'avait-il en tête ? Zéphyr était sur, en tout cas, que ce chat, était un sanguinaire.
La chatte crème le suivit du regard. Faire de l’exercice, c'est bon pour les muscles.
Le temps sembla s'arrêter autours des deux chats. Quand enfin Matou ouvrit la bouche, la dite faible Zéphyr, avait perdu la notion du temps.

« Prends garde à toi, femelle. Tu es fragile. Trop faible. Le danger guette, il est là. Je fais partie de ce danger, attention. Nous arrivons. Et nous vous tuerons... »

Ouaw ... Que ça fait peur ... Surtout en le chuchotant comme ça. L'aspect est assez ... fantomatique, on va dire. Il avait du prendre plaisir à décortiquer chaque mots pour toucher un endroit bien précis.

« Tu es mignonne, mais prends garde. »

Elle frissonna. C'était juste, que, ces paroles lui avaient donner, comme un coup de griffes. La solitaire n'avait pas peur. Quoi qu'il arrive, elle se défendrait, et défendrait ceux qu'elle aime.

" C'est tout ce que tu as a dire ? Rien d'autre ? "

Puis, elle pris une grande inspiration, fixant le chat, se redressant. De marbre, elle lui dit :

" Tes paroles me font un peu froid dans le dos. Mais sache, que quoi qu'il arrive, je me défendrait. Ainsi que ceux à qui je teins. Et ça, au péril de ma vie. "

Et toc ! Des paroles sèches et tout à fait sérieuses venaient d'arriver.

Héhé.

Sayo cligna des yeux. Il voulait lui faire peur. Peur. Très peur. Mais peur tout en disant la vérité. Oui. Il viendrait le jour où il commencera son ascension de pouvoir.

" C'est tout ce que tu as a dire ? Rien d'autre ? "

Il finit par ce retourner, sa tête noire pivota sur ses épaules. Ses oreilles se pointèrent vers Zéphyr.

" Tes paroles me font un peu froid dans le dos. Mais sache, que quoi qu'il arrive, je me défendrait. Ainsi que ceux à qui je teins. Et ça, au péril de ma vie. "

Quelle drôle petite intention.

« Je vais protéger ceux que j’aime » bien sur. Tout le monde y croit. Il sourit.

« Non mais, tu te prends pour qui ? Pour un super héros ? En tous cas, tu ne l’es pas. »

Il fit paraître une moue amusée. Il voulait maintenant l’embêter. Il aimait ça. Jouer avec le feu, un feu sanguinaire.
Une joie, embêter son monde. La forêt...

Il s’assit, juste en face de la femelle. Il fit apparaître ses crocs, il sortit les griffes.

« Alors ? ‘’Super héros’’ ... Qu’est ce que tu réponds à ça ? »

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