Ses membres s’irradiaient. Il était plongé dans un océan de flamme apocalyptiques. Tout son champ de vision était teinté d’un camaïeu de rouge. Hurler au Diable ? Connor était si timoré qu’aucun son sortait de sa gueule. Les muscles maxillaires relativement serrés, il arborait ce lieu, sa tombe, avec accointance. Sa phobie du feu le rendait de marbre. Il avait l’impression de couler comme du cuivre tant la braise le détruisait. Sa force de vivre était si moindre que ses muscles se desserraient. Son épiderme se faisait dévorer par de gourmandes flammes. Connor partait. Pourquoi dis-je un pareil euphémisme ? Normalement, il ne devait être que poussière, et pourtant, son corps était là, et bien qu’il s’effilait dans les méandres incendiaires, une illusion le gardait intact. Le mâle ne cria pas à l’agonie. Sa douleur s’ôta rapidement. Sa peau se fortifiait à nouveau. Sa douleur n’était qu’ébauche à présent. Le chat ressentait une drôle d’osmose. Mais il ne comprenait guère ce qu’il lui arrivait. Une légère voix fluttée, au timbre semblable à celui d’un carillon, lui trottait dans la tête. Les seules flammes ne laissant pas de cendres sont les sempiternelles. Une métaphore que seul les érudits pouvaient comprendre. Il faisait parti de cette catégorie depuis une flopée de seconde, et cela lui convenait très bien. Sa vision du monde avait changé, comme si sa vie antérieure s’était effacée d’un trait de plume. Cette idée le fit rire. Son timbre de voix était grave. Il avait le charisme du diable, et la beauté d’un ange. Ses traits, qui jadis étaient froissés par son éternelle phobie du monde, miroitaient maintenant un pacifisme presque ironique. La bêtise de la populace le faisait désormais rire. La folie saccadait-elle son âme ? Je ne le pense guère, car si c’était le cas, il n’aurait pas cet état de conscience. Un fou ne pouvait réfléchir avec autant de méticulosité que la sienne. Sanguinaire ? Seul les êtres ayant peu de complexité spirituelle pouvaient se prétendre ainsi. Tuer ne lui servait absolument à rien. Assassiner, si cela lui était favorable était bien autre chose. Mais il y avait un hic. A renaître à nouveau, à changer de personnage et d’acteur, il lui fallait également changer de nom. Lorsque jadis il palabrait seul, rêvant d’un monde meilleur, il s’était déjà trouvé un patronyme clanique. Fatal Euphémisme. Oh yeah. Personne ne pouvait dire que cela ne gérait pas. Manquait plus qu’un surnom, que seul les privilégiés pourraient prononcer… Hm. Pourquoi pas Iyami ? Cela voulait dire sarcasme en japonais. Parfait. Il avait la panoplie parfaite d’un être nouveau.
Le félin marchait en solitaire dans les flammes éternelles. Il rôdait dans son enfer personnel. Un lieu ou Le Malin n’était que son esclave. Une illusion. Comme ce drôle de rêve. Mais Iyami y avait assez prit goût pour le jouer à plein temps.
***
Conno… Fatal Euphémisme ouvrit doucement les yeux. Non, aucun servant vint lui apporter son petit déjeuner. Il était de retour dans la réalité, plus déterminé que jamais, suite à une vulgaire remise en cause spirituelle. Iyami se leva délicatement, étirant chacune de ses pattes ankylosées. Il s’humecta ensuite les babines d’un air réfléchi avant de marcher avec mutisme. Il n’avait rien à voir avec le Connor hystérique peu sûr de lui. La totalité de ses gestes étaient calculés avec une grâce envoûtante, le moindre de ses rictus était charismatique. Connor était parti. Connor était mort. Dans tout les cas, chaque filament de son âme avait disparu. Et pourtant, c’était toujours la même bête, dégageant quelque chose de mille fois plus ésotérique. De sa démarche princière, il s’approcha de l’église abandonnée. Ses épaules roulants sur son dos, son pas chaloupé, donneraient l’impression à n’importe qui d’avoir un grand fauve sous ses yeux. Il rentra dans l’Eglise Abandonnée comme un roi l’aurait fait dans son château, mais avec un naturel presque déroutant. Il s’installa au fond, contemplant les vitraux brisés, regardant chuter dans le bâtiment une lumière aussi écarlate que l’hémoglobine. Les mosaïques, d’un camaïeu de violet rendait cet endroit aussi cabalistique que son cœur. Fatal Euphémisme entendit quelqu’un rentrer. Son visage resta stoïque, avant que les commissures de ses lèvres se lèvent légèrement, laissant apparaître un sourire malicieux, accueillant la bienvenue. On voyait l’ébauche de ses maxillaires, de la même couleur que la ouate, mais aussi tranchante qu’un canif, contrastant avec son pelage chocolat dans l’ombre. Ses prunelles, deux morceaux d’ambres munies de flamands d’or, miroitaient de la bienveillance, dont même le plus observateur des félins ne pourraient y déceler de l’hypocrisie. Qu’importe ses mimiques faciales, Iyami était prêt à commencer la première scène du second acte de sa vie, dont la mademoiselle arrivant aurait la joie de couper le ruban rouge. ~
Lien de votre plus beau RP : Je ne pense pas en avoir un plus beau. Mais j'aime beaucoup celui là : Cliquue Exercice : /
Étoile d'Azur Félin Légendaire
Perso 1 : Étoile d'Azur {River} Perso 2 : Rayon de Lumière {Thunder} Perso 3 : Étincelle du Zénith {River} Nombre de messages : 2380 Age : 28 Puf :
Tu fais de la plongée sous-marine, tranquille avec des amis dans la mer des Caraïbes. Tu vois une multitude poissons multicolores et magnifiques quand à un moment, tu aperçoit un vieux bâteau ancré au fond de la mer. Avectes amis, tu décides d'aller voir ce qui s'y passe. Le problème, c'est qu'il y a un requin qui bloque l'entrée. Tu dois rentrer à l'intérieur de l'épave et ramener le trésor qui s'y cache et revenir à la surface ensuite.
Tu dois :
* Faire au moins 20 lignes avec des paragraphes. * Décrire ton adoration devant le spectable marin. * Décrire ta surprise lorsque tu aperçoit l'épave. * Raconter comment tu passe le requin. * Tu es accompagnée d'au moins deux amis (tu peux les faire mourir si tu veux). * Tu écris à la première personne du singulier. * Tu as deux mois ^^
Et walà =D C'est vrai que le sujet n'est pas banal ^^
Dernière édition par Tornade d'Azur le Mar 26 Avr - 19:42, édité 1 fois
Trafalgar Star As des Chats
Perso 1 : Patte d'Eden, Vent. Perso 2 : Eclat de Flamme, Rivière. Perso 3 : Coup de Foudre. Nombre de messages : 3563 Age : 27 Puf :
J'ai gardé le scénario entièrement entièrement mais j'ai rajouté des trucs. J'espère que ça ira. x]
L'eau écarlate.
Dans une mer des caraïbes. 10.56 a.m.
Il était vrai que normalement je n’aimais guère l’eau. Bonne femme du sud, les pluies diluviennes m’agaçaient et avaient de fortes influences sur mon humeur. Mais j’avais toujours admiré le monde marin. Il était sans doute l’endroit le plus cabalistique sur cette planète, et également le plus indomptable. Alors imaginez-moi dans le tumulte des flots, à une flopée de kilomètres de la surface. J’étais accompagnée par mon meilleur ami, Noah, et mon compagnon, Mael, se trouvant être également un spécialiste marin fort réputé. Il nous avait payé le voyage aux Caraïbes, un lieu dont la magnificence n’avait d’égal que son histoire. Depuis que j’étais gamine, j’avais toujours vu ces îles comme la boussole des pirates, et le terrain de l’aventure en mer. Jamais je n’avais pensée me retrouver dans ces récifs olympiens, en compagnie des deux personnes que j’aimais le plus au monde. Comme d’habitude, mon cher Noah gesticulait, peu tranquille face à ce spectacle sortant du réel. Il ressemblait à un cosmonaute perdu dans un nirvana d’étoiles, à la fois soumis par l’immensité des récifs et émerveillé par l’auguste nature. On pouvait entendre de temps en temps son rire névrosé, au drôle de timbre à cause de son scaphandre. Si nous étions pas face à un tel spectacle, j’aurais sorti une remarque sarcastique sur nos tenues de clown. Mais je savais que si j’osais ouvrir la bouche, Mael s’agacerait.
Ce qui était bien dommage, c’était que jamais je ne pourrais vous décrire parfaitement la beauté de ces lieux. Les poissons, aux couleurs exotiques, pouvant être grenats jusqu’à un magnifique cobalt, semblaient danser dans le courrant. Les algues ondulaient gracieusement, et d’autres bêtes dont je ne savais l’identité s’agitaient avec élégance. Et cela, comblé par l’exaltation d’être à des kilomètres de la surface, dans un lieu totalement inconnu, semblait être d’une consonance que je n’eus jamais vu auparavant.
« - Zzzz ! Gloups ! Yé suis une poiscaille ! Sisi ! - Tu peux pas te la fermer, Noah ?! Tu vas faire fuir les poissons ! - OOPS ! Trop tard, désolé. ♥ »
Mon meilleur ami avait crié tellement fort que les animaux marins avaient filé en une vitesse incroyable. Irascible, Mael ne cacha pas ses courroux contre Noah. Je fis mine de ne pas y faire attention. Depuis que j’étais gamine, ils n’avaient jamais pu se supporter. A force, cela était devenu pour moi quelque chose de commun. Mon amant nagea avec mutisme. Nous le suivîmes silencieusement. Je fis un coup discret dans la hanche à mon camarade, en guise de sermon gestuel. Il se contenta de ricaner, sortant en même tant son immense appareil photo aquatique. Depuis sa plus tendre enfance, Noah s’était toujours passionné pour la géographie. Il y a peu, il s’était fait embauché par Photomagazine. Le pauvre ne trouvait pas de sujets intéressants qui lui vaudrait une prime à coup sûr. Il espérait cette fois-ci faire le cliché le plus noble de sa collection. Vu son comportement de gamin, il était franchement mal barré.
Les palmes me fatiguaient fortement, mais je m’en étais pas plainte. Déjà que mon conjoint était agacé, je n’allais pas enfoncer le couteau dans la plaie. Nous arrivâmes rapidement au revers du récif. Mael avait décidé de passer devant, car il n’avait jamais réellement exploré ce lieu. Lorsque l’horizon nous fut totalement dévoilé, nos cris de surprises firent un échos. Un immense navire antique était ancré dans le sol. Ses planches étaient plaquées d’or, garantissant que le navire était jadis celui d’une riche personne. La tête de proue était celle d’un chat, entièrement d’argent, avec les deux prunelles faites de saphirs. En leurs centres, se tenaient deux lames d’agate aussi sombre que l’ébène, servant de pupille à la statuette. Le chat avait la gueule ouverte, laissant apparaître des maxillaires à la couleur laiteuse, sûrement de l’ivoire. La langue et le palais eux, étaient en rubis. Faisant abnégation de l’autorisation de mon mari, Noah fila avec la grâce d’une sirène jusqu’à l’édifice. Mael eut beau lui clamer de revenir, il brandissait son appareil photo, totalement exalté par la découverte. On vit des flashs, venant de partout. Il tournait, allait, nageait, pivotait, tentant de trouver les meilleurs angles. Lorsqu’il décida de s’aventurer à l’intérieur, je vis la silhouette leste de mon compagnon le rejoindre. Je sentis mes affres en ascension. Ma couardise m’empêcha de rester statique, et je m’élançai à leur poursuite. J’arrivais rapidement au-dessus du bateau. En courbant ma tête vers le haut, je vis un étendard effilé qui garantissait que le navire était celui de pirates. Mes prunelles s’illuminèrent. Peut être y avait-il un trésor dedans ! Cette optique m’excita tellement que j’assenai un coup dans la coque. Celle-ci se brisa, aussi tangible que de l’herbe. Ravie d’avoir prouvée ma force, je fis un revers de tête. Mon sourire était candide, bien que légèrement goguenard. Je vis Noah, ayant lâché son bijou qui était maintenant éclaté au sol. Il se tenait face à la cabine, de marbre.
« - Hey ! Noah ! T’as vu comme j’suis trop forte ! Un coup de point, et hop ! Même le bois cède face à moi ! - … - OUHOU ! Nono ! Fais pas mine de ne pas m’entendre hein ! C’est pas drôle ! »
Je me tus, voyant qu’il tremblait. Doucement, je nageais jusqu’à lui. Il fixait devant lui, timoré. Chaque trait de son visage trahissait de l’effroi. Je fis pivoter ma tête en suivant son regard. Rien ne sortit de ma bouche, mais mon cœur criait. Mes prunelles se perlèrent de larmes, mais l’eau les gobaient avant qu’elles soient visibles. C’était impossible. J’étais dans un rêve. Une illusion ayant tourné à l’horreur.
Ce n’était pas Mael. En face de moi se trouvait de la charpie. Son scaphandre était déchiqueté. Un de ses bras se promenait au rythme de l’eau. Son ventre était ouvert nonchalamment, laissant tomber ses tripes torsadées. Son regard, ses deux perles d’ambre qui me fascinaient, étaient éteintes. Et son sourire charismatique était intact, comme s’il voulait faire croire qu’il allait bien. Son cœur battait encore. Oui, j’en étais sûre car il m’était visible. Mais son pouls était irrégulier. Il n’en avait pas pour longtemps. Heureusement, Mael avait eu le réflexe de se brancher l’oxygène. Mais le sel abîmait ses organes.
« - Noah. Amène Mael à la surface. - Mais … - FAIS CE QUE JE TE DIS ! »
Mon ami s’exécuta, prenant mon mari sur son épaule et son bras dans la main. L’hémoglobine tâchait sa combinaison. Je fus presque impressionnée de la commisération de mon camarade, qui s’effaça dans l’horizon. Je cherchai du regard celui qui avait fait cette tuerie. Ce fut facile. Un requin bloquait l’entrée de la cabine. Malgré la dilection que j’éprouvais pour Mael, je ne souffrais pas tant que ça. Je n’avais pas encore réalisé qu’il avait peut être déjà rejoint le firmament. Mes courroux, quant à eux, n’avaient jamais été aussi forts. Je me dirigeai en vitesse vers le carnassier. Ma folie était en ascension. J’attrapai un vieux canif se trouvant sur le plancher, qui bizarrement, était plein de sang. Le requin me fit un uppercut, arrachant une parti de mon épiderme au flanc. Je réussis à lui ouvrir le ventre et à le tuer. Je remarquai, que bizarrement, il nous avait pas attaqué tout à l’heure. Hm.
Je profitai d’être seule pour rentrer dans la cabine. Je vis un coffre brun, petit, mais serti de pierres précieuses. Satisfaite, je le dérobai et ressorti aussi rapidement. Le sol était tacheté de sang. Je commençais à réaliser la tragédie dont je venais d’être victime. Je pris doucement l’appareil photo en miette de Noah, récupérant la pellicule, qui bizarrement, n‘avait plus sa protection. Puis, seulement à ce moment-là, je regagnai la surface plane de la mer. Un de nos deux bateaux se trouvaient là. Je le rejoins, totalement éreintée par les évènement. Je montai par la petite échelle qui tanguait à cause du flux et du reflux de l’océan. Je vis le corps de Mael, qui agonisait, posé à terre. Noah n’était pas là. Il était sûrement allé chercher du secours. J’appelai néanmoins les services pour nous venir en aide. Un hélicoptère vint nous chercher, aucunes nouvelles de Mael.
***
Miami, 2.04 p.m. Deux jours plus tard.
Noah était ravi. Il n’avait jamais vécu quelque chose d’aussi jouissif ! Franchement, assassiner un homme qu’il abhorrait depuis sa plus tendre enfance ! Il avait réussi à faire passer son meurtre pour l’attaque d’un requin qui rôdait dans le navire ! Le jeune homme avait prit les plus beaux clichés de sa vie. Sa pièce maîtresse se nommerait « Meurtre dans les trésors abyssaux ». Sur le coup, il avait été le plus érudit des individus sur cette planète. De plus, il avait cassé son appareil en mer pour éviter les soupçons, récupérant que la pellicule ! Non mais franchement, il avait de quoi se montrer goguenard ! L’homme se promenait, accompagnant nonchalamment le doux carillon des oiseaux. Le soleil était à son zénith, de jolies demoiselles au teint hâlé se promenaient en maillots de bain, il allait être riche … Noah vivait une utopie des plus parfaites. Un homme, à la peau parcheminée avec l’âge, proposait des journaux. Sachant que lorsqu’il aurait développé ses photographies et vendu à un journal qui le garderait anonyme, il serait riche, il n’hésita guère à donner un gros billet contre un vulgaire tas de papiers. Curieux des nouvelles mondiales, il commença à le feuilleter. Ses prunelles s’arrêtèrent sur un article ayant une photo qui l’intrigua fortement.
UN HOMME ASSASSINE EN MER !
Coffre ramené par Lila Hawkins, à une valeur estimée à 1000000 de dollars.
Un spécialiste marin du nom de Mael Hawkins a été agressé au couteau en mer. Lorsqu’il nageait dans les récifs coralliens, avec Lila Hawkins, sa femme, et Noah Brookman, le meilleur ami de sa compagne, ils s’étaient dirigés vers un lieu inconnu des humains jusqu’à ce jour. Ils ont vu un bateau pirate ancré dans le sable. « Noah s’est empressé d’aller prendre des photos de ce magnifique édifice, Mael, inquiet, l’avait suivi. Je les attendais devant un moment, et puisqu’ils ne sont pas revenus, je suis montée également sur le bateau. J’y ais vu Noah, paraissant réellement terrorisé, et mon mari en charpie. Un requin était dans les parages, je n’ai eu aucun soupçon pour mon meilleur ami … Après, Noah a ramené Mael à la surface. Je n’avais pas ma véritable conscience, tant la tristesse me dévorait. J’ai prit un couteau ancien qui se trouvait à terre, qui bizarrement avait encore du sang malgré la mer, et j’ai réussi à tuer le requin. Il gardait l’entrée de la cabine du pilote. Par curiosité, j’y suis rentrée, et j’ai vu un magnifique coffre… Que j’ai prit. En sortant, j’ai ramené des bribes de l’appareil à mon ami, décidant de prendre la pellicule, pensant que cela lui ferrait plaisir. Il n’y avait plus sa protection, autre chose louche. Je suis remontée à la surface, découvrant qu’un de nos deux bateaux avait disparu. Mon mari agonisait sur celui qui restait. J’ai appelé les secours, ne réalisant pas les évènements produits, et tracassée pour mon meilleur ami disparu. Je pris tous les jours pour mon pauvre mari, honteuse de n’avoir pas réagi plus vivement …. » Lorsque la police est allée faire développer le contenu de la pellicule nous avons trouvé les photos du meurtre entier, garantissant que Mael Brookman est le coupable. Il est recherché intensément dans le monde entier. Lila, elle, compte écrire un livre sur cette histoire palpitante, mais favorise pour le moment les soins intenses de son mari, qui est dans un état fortement critique. Pour plus d’informations, veuillez vous connecter sur notre site, l’adresse est inscrite au bas de la page.
Noah s’empressa de s’emparer du cache de la pellicule. Comme le disait l’article, il était vide. Et m*rde, pensa-t-il.
Étoile d'Azur Félin Légendaire
Perso 1 : Étoile d'Azur {River} Perso 2 : Rayon de Lumière {Thunder} Perso 3 : Étincelle du Zénith {River} Nombre de messages : 2380 Age : 28 Puf :
Bravo pour ton rang Geo'. Capitaine? C'est le plus haut hein? Encore Bien joué. Et j'ai bien aimé ton texte, Azur le thème avait la classe. ;P [NonNon j'me tape pas l'incruste. x] ]
Mélancolie Démentielle
MODOW SWIE I will never forget you...
Perso 1 : Mélancolie Démentielle / Rivière Perso 2 : Petite Aile / Rivière Perso 3 : Framboise Sauvage / Rivière Nombre de messages : 3703 Age : 30 Puf : Swie ( entre autre !^^)
River Power ! Date d'inscription : 02/05/2009 Points : 4207
Perso 1 : Blaze Justice alias BJ / Wind Perso 2 : Patte Exaltante alias Ichigo / Wind Perso 3 : Nuage de Vision alias Ayumu / River Nombre de messages : 2400 Age : 27 Puf :