Sujet: It's our end, Baby. But It's their beginning. [ Monkey.] Mar 11 Jan - 21:37
It's our end, Baby. But It's their beginning.
Roméo & Juliette. La fin.
Chapitre 1 ; Le trio des Métronomes.
Plic. Ploc. Plic. Ploc. C’était le bruit de la pluie. Elle servait de métronome à l’orchestre végétal, battant une rythmique lugubre et dansante. L’élégie des chœurs semblait dissoute par le vacarme des fûts. Le mélodie, un timbre de voix jeune, tranchait par-ci par là la consonance de la litanie. Elle effectuaient de vulgaires crescendos. Qu'une personne n’ayant pas l’âme musicale traduirait simplement par des cris. Elle appelait secours, mais seul Dieu pleurait de toutes ses larmes sur son sort . Il trempait son pelage basané, lui glaçant les os. L’odeur timorée de la mademoiselle était également impossible à percevoir. Elle se trouvait seule avec cet ectoplasme. Il la menaçait de mort. Normalement, la jeunette, fort particulière, l’aurait déjà terrassée grâce à ses dons. Mais elle venait d’apprendre que ceux de télédynamie étaient inefficaces sous la pluie. Mauvaise sensation. Sort funèbre pour une femelle à peine novice. Jamais elle ne s’était sentie aussi seule. Et pourtant, elle était fidèlement accompagnée : par le Diable. Elle n’arrivait pas à mettre une véritable identité sur son assassin. La pluie masquait son odeur, et cette nuit sans lune, son apparence. L’enfant ne le voyait même pas arriver lorsqu’il s’attaquait à elle. La gamine se contentait à se résoudre à ses immenses maxillaires. Ses cris ne servait à rien. Dans tout les cas, personne ne l’avait jamais entendu de toute sa triste et courte vie. Personne ne se doutait, qu’en se moment, la petite Nuage d’Aura s’était prise un uppercut d’une telle force que le mâle l’envoya valser dans les ramures d’un chêne. Sa fine peau s’écorcha légèrement, et la novice gémit de plus belle. Par télépathie, elle se supplia qu’il l’épargne. Mais celui-ci laissa apparaître des pensées noires. La jeunette se promit, que si elle avait l’immense chance de survivre, elle le retrouverait grâce à l’extrême obscurité de ses songes. Mais un trait de ses sentiments était tellement ambiguë qu’elle ne put pas chercher à le comprendre. Nuage d’Aura était trop préoccupée par la douleur sempiternelle qui logeait dans ses tripes. Elle tenta de fuir, en vain. Par une méticuleuse déduction, l’apprentie réussit à savoir que c’était un mâle. Une femelle, même des plus avides et sanguinaires, ne penserait pas de pareilles choses sur une personne de son sexe. Il était sexiste à ne plus rien comprendre. Il bloquait ses pensées avec une telle intensité que Aura ne pouvait pas savoir son patronyme. Une seule phrase trottinait dans sa tête. « Tu es une démone, oh oui une démone. La plus belle princesse des ténèbres. Tu es une démone. Laisse le clan du Vent. Tu es un monstre, une démone. Retourne donc en Enfer. ». Cela faisait tellement peur à l’enfant d’entendre de son propre assassin ce qu’elle pensait également d’elle-même. Il était comme sa double conscience. C’était plus que troublant. Son affolement était en ascension. Nuage d’Aura avait peur. Il faisait parti de son clan, il la connaissait. Comment se faisait-il qu’elle n’arrivait pas à reconnaître sa manière de voir le monde, pourtant si authentique à chaque personnalité ? Mystère. La novice n’eut pas le temps de jouer les érudites plus longtemps, que le mâle se jeta sur elle. Un instant, ses pattes furent aussi douces que du velours. Elles touchaient son pelage tendrement, comme une caresse. Mais ses griffes, lames aussi effilées qu’un bout de verre, lui tranchèrent le flanc. Un moment, il arrêta de prononcer sa litanie lui empêchant de fouiller dans ses pensées. Elle en profita pour y pénétrer rapidement. Que vit-elle ? De la souffrance. Elle voyait dans de ses propres yeux des rayons zénithaux, ondulants sur l’onde de la rivière. Elle n’eut pas le temps de continuer son analyse quand le mâle se cabra à nouveau, continuant à se réciter son incantation pour ne penser à rien à part sa mort. La gamine fut rapidement ramenée à la réalité. Le champs occulte de la pluie prenait des nuances pianos. Un autre médiator, semblable au premier, la harcela de plus belle.
Plic. Ploc. Plic. Ploc. C’était le bruit de son sang. Nuage d’Aura trembla. Le mâle s’approcha d’elle, continuant à se réciter spirituellement sa maudite litanie. Sa langue râpeuse serpentait son encolure d’encre. Se geste, comme la première fois, se termina par un mouvement plus douloureux. Ses quenottes se refermèrent sur sa gorge. Il serra juste assez pour qu’elle ne meurt pas tout de suite. La jeunette sut que c’était la fin. Elle s’imagina un long moment sa génitrice. Ô sa tendre maternelle l’ayant abandonnée à sa naissance. Elle savait que sa procréatrice souffrait autant qu’elle de sa disparition. Peu être même trop. La jeunette avait réussit à prendre du recul sur l’injustice de ce monde. Elle avait prit l'habitude de voir son pelage soyeux recevoir une cascade de coups. C’était un démon. Elle vivait avec. Dans tout les cas, l’enfant n’avait pas le choix. La vie était un combat, et les revers positifs simples pour beaucoup se teintaient d’un camaïeu de rose pour elle. Par exemple, un vulgaire sourire. Pour de nombreux individus, il n’a pour objet qu’une banalité déconcertante, presque rabaissante. Pour Nuage d’Aura, le moindre petit rictus était pour elle un synonyme de bonheur. A vrai dire, elle n’en avait eu pas beaucoup tout au long de sa courte vie. Peu être que son futur aurait-il une meilleure perspective ? AH NON ! Nuage d’Aura avait totalement oubliée une chose : elle n’avait pas de futur. Sa gorge ruisselait d’hémoglobine. C’était un coup fatal. Il ne lui restait qu’une flopée de seconde à vivre. Un maigre instant pour connaître l’identité de son assassin. Mais il pensait rien. Jamais, Ô grand jamais, la femelle avait connu quelqu’un pouvant se vider de songes. C’était totalement impossible. Et pourtant, son esprit était fantomatique. La chatte au pelage d’encre patienta, espérant qu’il se manifeste. Un seconde. Deux secondes. Trois secondes. Elle sentait sa vu déjà abstraite à cause des ténèbres environnantes se troubler. Quatre secondes. Cinq secondes. Six secondes. Son âme se perdait dans les méandres de son être, se préparant à se détacher de son corps. Sept secondes. Un cris de son assassin. Un beuglement proche de la démence. Mais il n’était bizarrement pas éprit de la satisfaction d’avoir enfin mit un terme à la vie de la chatonne. Ô non. Cette clameur était uniquement synonyme d’émotions inattendues : l’empathie et la tristesse. Son esprit se brouilla … Pourquoi souffrait-il de l’avoir tué ? POURQUOI ? N’était-ce pas un peu trop tard ? Et puis qui était-il ? Pourquoi elle sentait qu’il souffrait ? Qu’il s’arrête ! C’était un monstre ! Il avait bien fait. Elle allait crever. Youhou, champagne. Elle profita de ses derniers instants pour fouiller en lui-même. Non c’était impossible. Ce ne pouvait pas être lui. Son esprit déraillait totalement. C’était impossible. NON ! Elle pénétra à nouveau dans sa mémoire. Elle vit la même représentation que tout à l’heure. Le coulis de la rivière serpentait gracieusement en son lit, filant dans un horizon incertain. Un halo de lumière écaillait l’onde pure. C’était l’été, il faisait chaud. Et au delà de cette utopie visuelle, elle entendit des éclats de rires candides, doublé de murmures de joies. Elle se souviendrait toujours de ses brefs moments de sa vie, car ils étaient les plus beaux. Une seconde de réflexion avait suffit. Une seule. Son esprit était couvert de la même clarté. Sa tête chuta contre le sol boueux. Les commissures de ses lèvres se levèrent : l’enfant souriait. Et puis … Le néant. Elle était morte.
***.Un bref instant plus tard ;
Plic.Ploc.Plic.Ploc. C’était le bruit de larmes. Nuage d’Aura ouvrit ses prunelles. Ses pattes se promenait dans l’air. Volait-elle ? Elle sentait un fulgurant mistral ébouriffer son pelage. Ce n’était pas le doux alizé qu’elle s’imaginait. Se pouvait-il que l’on ressente des choses désagréables comme cela, une fois morte ? La femelle prit un peu plus de temps que prévu à retrouver entièrement ses esprits. Son vol n’était pas très gracieux. Elle chaloupait dans tout les sens, ne sachant même pas ou elle se dirigeait. A vrai dire, Nuage d’Aura ne le choisissait pas. Elle se sentait comme une marionnette tenue par … Le cou. Louche non ? Effectivement, ça l’était. Elle reconnut rapidement que se qui la tenait n’était d’autres que des crocs. La femelle tanguait de gauche à droite. N’importe quel gamin aurait put reconnaître cette sensation. C’était la manière dont un chat adulte, le plus souvent la mère, déplaçait son enfant. On le lui avait fait qu’une fois dans sa vie. C’était un ami à sa génitrice. Un guerrier faignant et puissant. Lame Tranchante. Mais là, ce n’était pas lui. Elle aurait reconnut ses souvenirs plus rapidement. Dans la tête de l’ectoplasme qui la portait, elle voyait autre chose : elle-même. Son corps abandonné tel une carcasse putride, un vulgaire déchet. La ‘porteuse’ était arrivée. Elle avait entendu des appels au secours …. Spirituel. Un ultime cri au sein de ses pensées, une sensation que sa fille était en danger. SA FILLE ? HEIN ? Eh bien oui, le fantôme n’était d’autre que sa procréatrice. Celle-ci avait trouvé le corps assassiné de Nuage d’Aura. Etait-il possible que la novice l’eut parlé par télépathie involontairement ? Non, l’explication était plus simple. C’est un fait virant au paranormal, certes, mai après tout, plus rien ne la surprenait. Rien ne séparait une procréatrice à son enfant. Coup de Foudre - car c’était le nom de la mère - avait senti qu’elle allait mal. Le clan des Étoiles lui avait envoyé un message. Lorsqu’elle avait retrouvé le corps de la défunte, un vague de désespoir l’avait emplie. Mais un être chimérique était également là. C’était une femelle au pelage de cristal. Elle lui proposa un pacte. Les deux chattes pleuraient. Par déduction, Nuage d’Aura comprit que la chatte au pelage ouaté était une membre du clan des Étoiles. Le serment consistait à la ‘réincarner’, et en échange, Coup de Foudre aurait les mêmes blessures que sa fille et mourrait dans un peu plus longtemps, car sa condition physique était plus résistante que celle de sa fille. Elle aurait juste le temps de dire adieu à ses amours, Griffe de Métal et Nuage Ailé. Ensuite, elle rejoindrait Cœur de Cristal et Etoile de Satin.
« - Maman … Je suis désolée, sanglota Nuage d’Aura. Désolé que tu es mal maman … - Ma chérie … »
Les deux femelles pleuraient silencieusement. La mère avait réussit à articuler ses mots avec grande peine. Il était fort difficile de parler en ayant la gorge ruisselante d’hémoglobine et tenant une novice dans la gueule. Mais ses mots étaient aussi fluide que la rivière. Cela suffit à faire comprendre à la chatonne que Coup de Foudre avait tout les jours pensé à elle. C’était rassurant … Mais une chose troublait ses songes. La chatte au pelage basané ne se souvenait plus des derniers moments avant sa mort. Ils étaient comme effacés. La faute au Clan des Etoiles ? Mystère. Cela ne lui tenait pas à cœur de le savoir pour le moment. Sa mère allait mourir par sa faute, et le chœur de leurs pleurs prenait une nuance forte. Tout étaient si abstrait. Mais elle avait si eu de temps pour lui dire qu’elle l’aimait, et tant d’autres choses. Puisque les mots ne suffisaient pas, Nuage d’Aura fit de la télépathie avec sa procréatrice, liant tout leurs souvenirs. C’était l’unique manière de lui montrer qu’elle avait toujours cru en elle. Les pleurs persistaient ; Les frontières étaient passées. Peu être était-ce la faute du destin, mais Griffe de Métal et Nuage Ailé accoururent. Une patrouille du soir ? C’était sûrement le cas. Coup de Foudre savait qu’elle les trouverait ici. Ou le hasard. Ou un membre du clan des étoiles. Ou … Qu’importe. La chatonne était tellement faible qu’elle ne leva pas les yeux pour voir sa famille l’ayant abandonné gamine. Coup de Foudre posa son corps doucement contre la terre, avant de s’écrouler à son tour face au poids de ses blessures. Ou avait-elle trouvé la force de marcher tant de temps tandis qu’elle était à la frontière entre la vie et la mort ? C’était grâce à une puissance sempiternelle, que beaucoup nommaient l’amour.
La reine regarda son compagnon, les yeux embrumés de larme. Elle n’avait pas besoin de lui expliquer, il avait comprit. Son sens de déduction était impressionnant. Boule de Métal … Nuage de Métal … Griffe de Métal … Pourquoi devait-elle le laisser ? Et leurs filles, le fruit de leur amour qui franchira toutes les épreuves … Même la mort. Nuage d’Aura sentit un souvenir, le plus douloureux de tous. C’était le moment ou toute la vie de Foudre avait basculé. Un chaton lui avait crié dessus qu’il l’aimait. Ses prunelles ambrées étaient vives et expressives. La jeunette lui avait dit que c’était réciproque. Et depuis, ils se le disaient dès qu’ils en avaient l’occasion. Et là, ça allait être la dernière foi.
Qu’Est-ce que la vie a part un fil macabre ? Le poids de ce que l’on aime le fait s’effiler, avant que tout s’écroule. Comment choisir leurs derniers instants passés ensembles lorsque l’on y a jamais vraiment pensé ? Tout le monde se pose des questions, se demande comment sera le monde nous lorsque nous mourrons. Il sera simplement pareil, car la vie continue ainsi. Mais les adieux ? Certains les apprennes par cœur pour qu’ils soient touchant. Mais là, Coup de Foudre était comme une enfant face à la providence. Elle avait sauvé sa fille, comme Cœur de Cristal jadis. Elle pourra être fière là haut. Mais que dirait-elle à ses perles pour que l’une ne soit pas triste et l’autre ne s’en veule pas ? Et son âme sœur ?
Oh Roméo, excuse-moi. J’ai perdu les mots … (8)
Plic.Ploc. Plic. Ploc. C'est le trio des médiators. Un léger soubresaut se fit attendre. C’était Nuage d’Aura, levant son corps. Ses pattes étaient ankylosées. Dire qu’il y a quelques minutes, elles étaient moites comme celles d’un cadavre. Elle s’imaginait sa carcasse putride, suant les poisons, ses tripes pleines exhalaisons. Brh. Mais ce cadavre ectoplasmique, ce serait bientôt sa procréatrice. Cette idée lui fit des hauts le cœur, et même en se sentant intrus dans cette famille, elle se permit de pleurer. La greffière se fichait bien de se trouver à coté de sa sœur - qui ne savait même pas son existence ou peu - qu’elle détestait jadis. Cette femelle vivait un semblant d’utopie et elle arrivait geindre tout le temps. Il y avait de quoi être courroucé en pensant à elle. Et son géniteur ? Il n’aurait pu rien faire pour empêcher son abandon ? Lui prouver qu’il tenait à elle ? Ses prunelles perlées de larme, les commissures de ses lèvres mordues pour éviter qu’elle gémisse, la femelle était une des spectatrice de cet étrange mutisme. La douce maternelle cassa ce silence d’une voix flûtée :
« - Mes chéries… Je vous en supplie, soutenez-vous. Je ne sais pas quoi dire … Sachez que je vous aime, et que je vous aimerez toujours … Maman vous protégera toute les deux de là haut. S’il vous plait … Laissez-moi seule avec votre père … Soyez courageuses mes belles. Je suis tellement fières de vous, et je le serais toujours. »
* Nuage d’Aura, continua-t-elle par pensées, sachant que sa fille les détecteraient, je suis tellement désolé de n’avoir jamais été là. Tu ne mérites pas d’avoir comme maman une lâche.*
C’en était trop. La gamine d’avança vers sa maternelle, lui fit une étreinte affectueuse et partie en courrant. Elle voulait fuir à cette tristesse lui rongeant l’âme. Car elle avait beau se faire battre, être rejetée, elle n’avait jamais autant souffert. Même à la mort d’Etoile de Zéphyr et la disparition de Petit Zéphyr, ayant été des étapes extrêmement douloureuses. Elle tenta de rigoler comme l’eut dit Queen jadis, son idole, mais en vain. La noiraude voulait fuir loin. Mais l’empathie, doublée de la providence la fit chuter à une trentaine de mètres. Elle regardait la famille,sa famille, les larmes aux yeux. Sa plaie à la gorge était soignée, comme si elle n’était que chimérique. La pluie avait cessée. Mais les larmes, elles, persistaient. Et c’est sur cette rythmique qu’elle attendit, pleines de remords, un signe. Que cherchait-elle ? Nuage d’Aura ne le savait pas. Mais la jeunette restait là, jeune monstre sans effervescence, regardant les ombres se morfondant avec mutisme. Elle savait que sa sœur allait la rejoindre, et c’est pour cela qu’elle patientait, totalement déchirée par la providence. Mais Nuage d’Aura ne savait guère que les étapes douloureuses dans les ténèbres, laisser un horizon couvert de clarté …
Une pensée de son géniteur la fit tanguer. Elle savait que lui non plus, elle ne le reverrait jamais. Nuage d’Aura l’aimait malgré tout. Mais jamais l'enfant ne saurait si c’était réciproque. Il allait partir avec sa maman, c’était une évidence. Leur romance était si pure, ils avaient tous fait ensemble. Et bientôt, c’était mourir qu’ils allaient faire l’un contre l’autre. Sur ceci, mordue dans ses pleurs et sa souffrance, elle parla par télépathie à son géniteur, lui balançant un simple : Au revoir Papa. Son âme était encore trop innocente pour lui en vouloir de son abandon, et pour lui trouver un autre patronyme que ‘Papa‘. Mais Nuage d’Aura ne voulait pas lui faire un discours. Lui, ne s’était jamais justifié. C’est ainsi que la femelle, ne supportant plus sa rage contre la vie, ainsi que sa tristesse en ascension, termina le requiem par un ultime crescendo de courroux. C’était la dernière note de la portée. Désormais, sa vie se jouait sur une autre partition.
Dernière édition par Patte Rebelle le Lun 25 Avr - 14:26, édité 2 fois
Nuage Ailé Déployant ses ailes, elle s'est envolée. Le zéphyr la porte vers de nouvelles contrées...
Perso 1 : Pelage de Souie/ Personne/ Nuage Miracle Perso 2 : Rivère/Solitaire/Rivière Perso 3 : Apprentie/ Guerrier/ Guérisseuse Nombre de messages : 2811 Age : 29 Puf : Ailée, Satin ou n'Amande pour tout le monde.
Ailounette, Satinette, n'Amandine et autres surnoms débiles pour les intimes^^
Sujet: Re: It's our end, Baby. But It's their beginning. [ Monkey.] Dim 16 Jan - 23:26
[C'est... Tout simplement magnifique. Je n'arrive pas à mettre des mots sur la beauté de ton style. Sombre. Fin. Délicat. Rythmé. Déchirant. Magique. Tu sais que c'est difficile de réussir à me faire pleurer par les mots. Ben voilà, t'as gagné. J'adore, tout simplement. J'éditerai...]
It's our end, Baby. But It's their beginning. [ Monkey.]
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