The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine]
2 participants
Auteur
Message
Blaze Justice Félin Légendaire
Perso 1 : Blaze Justice alias BJ / Wind Perso 2 : Patte Exaltante alias Ichigo / Wind Perso 3 : Nuage de Vision alias Ayumu / River Nombre de messages : 2400 Age : 27 Puf :
Sujet: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine] Dim 20 Fév - 13:54
Patte Exaltante The dead and the alive. All the same ; débile.
Elle sautillait, vagabondait parmi les plaines, semblant heureuse. C’était une âme morte, un esprit envolé depuis déjà quelques temps. Ancienne guerrière défunte, elle avait un très beau corps, fine et agile, ainsi que de beaux yeux azurs, qui complémentaient parfaitement son beau pelage roux rayé de couleur brun plus sombre. Même après sa mort, qu’elle était jolie. Elle n’appartenait pas au Clan des Etoiles, mais voyageait seule sur les terres du monde des vivants. Sa figure était a peine visible, translucide a cause du fait qu’elle ne respirait plus. Auparavant, elle avait appartenue au Clan du Vent, la tribu qu’elle avait aimé jusqu'à la mort, et qu’elle avait péri en sauvant, justement. Sous le nom de Mer Océanique, elle avait été connue pour sa gentillesse et douceur infinie. Trop tard. La fin de sa vie était venue il y avait peu, et elle faisait bien avec. Ce jour-la, elle avait décidé de repartir voir ses anciens camarades de Clan. Grosse erreur.
Endormi dans la pouponnière, Patte Exaltante ne pensait plus qu’a une chose ; cette chatte mystérieuse. Son rêve ne se constituait que d’une chose ; la vision d’un fantôme féminin entrant dans le camp de son Clan. Ses yeux mi-clos, il peinait donc a trouver sommeil. Cette sensation de réalité l’empêchait d’être à l’aise. Aucune chaleur ne le réconfortait, et la nuit lui semblait bien trop sombre. Bon nombre de guerriers étaient sortis, afin de participer a cette fameuse assemblée entre Clans, laissant bon nombre de reines et anciens seuls. Bien sur, puisque personne ne croyait le jeune Ichigo dans son pouvoir de voir les morts, ils n’allaient pas non plus le croire quand il dirait qu’il avait un mauvais pré-sentiment sur une féline morte depuis longtemps qui allait venir les hanter.
Il sortit de sa litière de mousse, laissant derrière lui la trace de son odeur. Il faillait réveiller sa sœur, afin de la prévenir d’où il allait, au cas où elle se mettrait à s’inquiéter, mais en voyant son doux visage endormi et sans soucis, il s’en retint, et quitta la tanière. Ses pas le conduiront jusqu'à la sortie du camp. Toujours rien. Personne en vue. Que ce soit un chat vivant ou défunt, dangereux ou inoffensif. La pleine lune brillait de mille feux, mais une sombre aura semblait le voiler. Comme si les nuages essayaient désespérément d’empêcher aux être sur la terre d’adirer la lumière. Ichigo en détourna la tête quand il entendit un craquement au loin. Non, ce n’était pas un craquement. C’était plus un vent frais qui venait perturber le monde des vivants. Oui, le moment était à présent venu ; Mer Océanique était la.
Le jeune rouquin plongea ses yeux marron sombres dans ceux bleus clairs de la femelle. Elle avait une lueur de tristesse dans ses prunelles, mais une lueur de joie semblait venir tout cacher. Ichigo en fut donc confus ; qu’est ce qu’elle pouvait bien vouloir ? En s’assurant que personne n’était derrière lui, il décida de lui adresser la parole ;
- Qu’est ce que tu fais ici ?
Elle ne répondait pas. Ses yeux, remplis à présent d’une tristesse sure, refusaient de dévoiler le moindre autre sentiment, qui aurait pu prévenir le jeune vivant de ce qu’il devrait faire.
- Alors dégage, s’il te plait.
Sa voix était menacent. Il s’était déjà décidé sur l’attitude à adopter. Cette chatte voulait quelque chose, et refusait de l’avouer. Elle cachait quelque chose, et elle ne méritait donc pas de l’obtenir, si elle refusait qu’on l’aide. L’humeur du jeune était au plus bas. Il n’arrivait pas à dormir, et un Ichigo sans sommeil, ca fait peur. Très peur. Mais il ne s’en voulait pas d’être méchant avec cet intrus. Elle n’avait qu’à lui dire ce qu’elle voulait.
Sans le moindre état d’âme, il s’avança à pas lents vers elle, la tête basse. Il ne lui fallut presque pas de temps pour arriver devant cette défunte guerrière. Il souffla un petit « Adios amigos » silencieux, avant de lui passer a travers, envoyant les dernières poussières de son âme vagabonder dans la brise fraiche et nocturne.
Souriant, il se résigna alors à vouloir retourner dans sa petite litière. Il avait à présent l’espoir de fermer l’œil avait l’aube. Soupirant de soulagement, il se retourna, juste pour entendre un autre bruit. Cette fois, le doute ne tenait plus ; c’était bien un craquement, un bruissement parmi le feuillage. Bruit qui ne pouvait être fait que par un être vivant. Pas besoin d’être tres intelligent pour savoir qu’un intrus se trouvait sur ses terres. Soudain en alerte, Ichigo sursauta et se tourna vers la prévenance de cette sonorité.
C’était une chatonne, du même âge que lui…
Petite Destinée Félin Légendaire
Perso 2 : Rivière x4 & Ventx1 Perso 3 : Petit x1 & Apprenti x1 & Guerrier x3 Nombre de messages : 1845 Age : 28 Puf : Mémo <3
Sujet: Re: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine] Dim 20 Fév - 17:07
P . e t i t e D . e s t i n é e I met you, I cry for you because my mother is death. But You inderstand me.
Rappelle toi Petite Destinée, rappelle toi du souvenir qui te fait tellement souffrir. Te rappelles-tu encore des derniers mots de ta mère ? Sais-tu tout l'amour qu'elle te portait ? Tu comprends ce que ça fait, de ne pas contrôler l'avenir, tu le comprends mieux maintenant. Ne t'imagine pas invincible mais vaincue par ton don car plus rien ne sera comme avant.
Flash Back
« Maman ! Maman ! Ce n'est pas la fin, ne me dit pas que c'est la fin, pas maintenant. »
La petite regarda sa mère, allongeait sur sa mousse, le regard qui vacille avec un petit sourire au lèvre. Son regard qui était posé sur moi et qui montrait la fin d'un tout, la fin d'une vie remplie. La médium ne supportait pas ce regard, pour elle, c'était la fin aussi pour elle même, sa vie ne serait plus pareille, sans un bouclier, sans ce regard de tendresse, quel avenir lui réserve sans sa procréatrice. Des larmes, des perles tombèrent sur ce sol terreux, la mère émit un petit soupir avant de prendre un air un peu plus sérieux. Son esprit commençait à partir, mais elle se sentait prête à dire ses derniers mots, de sa voix douce et cristalline, une symphonie sortit de sa mâchoire :
« Ma fille, tu as raison, le peu de vie qui me reste, je te les donne pour te dire mes dernières paroles. Ne t'imagine pas que la vie sans moi, ce sera plus une vie, au contraire, tu vas pouvoir voler de tes propres ailes, faire tes rêves les plus fous, mais surtout mettre cette satanée paix sur cette forêt maudite par vos propres ancêtres. Ne rêves-tu pas d'une terre saine pour tes futurs enfants, je pense que si ma belle fille, alors bats toi, comme je les fais pour toi et ta mort sera en mémoire de tout chat ayant une morale, une histoire, un destin. Rappelle toi que ta vie n'est pas sur ce voyage, je t'ai éloignée pour te protéger, mais aussi pour partager de bons moments, ses moments qui m'ont donné ce sourire de fin. Je t'aime tellement, comme une mère digne de ce nom, mon cœur je te le donne, je te donne tout l'amour que j'ai pu avoir et je te donne la sagesse que j'ai acqui. Je te donne ce pouvoir d'être une grande femelle. Ne pleure pas, ne soit pas triste, le destin de tout chat est la mort, ma chérie. Avant … Avant que je ne parte … Tu passeras un dernier message à Eclat … Eclat de Flammes. Mon âme sans va, mais il restera toujours à tes côtés. Maintenant, rentre dans ta forêt et je veux te voir accomplir ta destinée, celle où tu seras grande. Je rejoins ton père … Je t'aime ma … ma … fi … lle »
Petite Destinée pleura et hurla, sa mère était morte, là sous une nuit de pleine lune, sous l'illumination du clan des Etoiles, sous la brillance des perles de larme de sa fille. Elle s'approcha prêt du corps tiède et colla son museau contre le flan de sa mère, elle inspira son odeur, cet odeur douce et belle. Elle s'abandonne dans les bras de sa mère défunte, dans un sommeil mérité avec ce cœur brisé et perdu. Elle n'aurait jamais cru que le jour fatidique arriverait, là aujourd'hui, alors qu'elle avait tant à apprendre et à partager avec sa mère. Mais la seule chose qu'elle espérait maintenant, c'est qu'elle revoit son père, qu'elle retombe amoureuse et qu'elle soit heureuse pour l'éternité. C'est ce que devait ce clan d'ancêtre où sa mère devait reposer, maintenant. Ses rêves qui étaient noir, montraient encore une vision :
Cette nuit de pleine lune, où les nuages voileront la Toison Argentée, un rouquin, viendra te surprendre à ton retour. Des larmes couleront, mais tu connaîtras un être comme toi, avec un don irréaliste et qui comprendra ta tristesse et ta peur. Ce jour là sera celui où tu retrouveras un petit sourire bien lointain mais bien réelle.
Fin du Flash Back
Depuis une lune, La Petite Destinée essayait de retrouver le chemin vers sa forêt natale, ses larmes n'avaient pas faibli mais sa détermination avait grandi. Ayant grandi et mûri pendant ce retour, elle parvenait à ses huit lunes, un âge où elle aurait du être apprentie depuis déjà deux grandes lunes. Mais son destin avait été changer et sa voie de guerrière loyale avait dérivé pour en devenir une de ses sales races de chat errant mais qui avait la même croyance de ses clans, ce Clan des Etoiles où sa mère reposait depuis déjà une lune … La pense de sa disparition, crisper son petit cœur d'enfant, celui d'une jeune femelle ayant perdue sa mère trop tôt. Sa mère qui avait la beauté d'une déesse, ce pelage d'une pure siamoise, ses yeux du coulis de la rivière et ce charme qui faisait tomber les mâles dans son piège. Avait-elle, elle aussi de voir en elle une séductrice, elle ne le pensait pas. Même si elle avait acquis de la beauté de sa mère, sa provocation était celui d'une petite femelle timide mais d'une douceur comme de la soie. Ses pas la menèrent vers un territoire, celui du Clan du Vent, elle se rappelait de l'odeur de celui ci, où des collines et des vastes plaines peuplés de peu de forêt et où les petits lapins se faisait des courses pour échapper aux guerriers de ce clan. Elle même avait acquis la rapidité de ses chats. C'était ici, que son père disparu, telle une ombre, était née, dans le brise continu, dans les landes à courir le lapin et dans une loyauté bien trop tôt disparu. Son ombre qui survolait toujours ce clan. Des fois, elle se l'imaginait, comme son frère, mais n'ayant comme pelage, d'une énorme tache d'encre, qui recouvrait tout ce corps d’athlète, de coureur. Elle voit encore ce regard de saphir qui la terrorisait mais qui la rassurait d'une certaine manière. Ce père qu'elle aurait voulu connaître et admirer, mais qui n'était resté qu'ombre et ou son cœur même n'était qu'un procréateur inconnu et invisible. Ce sentiment d'abandon, celui d'être une orpheline qui allait devoir dire la vérité à ses proches, celui du trépas de la guerrière. Elle aurait voulu fuir sa responsabilité de messager, mais il était bien trop tard, elle l'avait promis à sa mère qu'elle devait annoncer son adieu et un très beau message à son père adoptif, Eclat de Flammes.
Son regard inquiet se leva vers le ciel sombre, elle commençait à distinguer des étoiles mais aussi un fromage rond, une pleine lune qui annonçait une assemblée de clan. Son inquiétude d'être découverte par des guerriers du clan du vent, la rassura, car en ce jour d'assemblée, il n'y avait pas de patrouille et tous les guerriers étaient à cet arbre japonais. Un soupir se fit entendre, devait-elle aller à cette assemblée pour transmettre le message au proche de Rivière ou devait-elle attendre le lendemain ? Elle ne savait pas, elle ne savait pas ce qu'elle allait faire sur cette forêt, retourner dans un clan était loin d'être prévue. Elle voulait d'abord retrouver un peu de bonheur avant de réaliser un rêve, réellement impossible, celui de la paix.
Elle continua de vagabonder dans le territoire sans se fier à son odorat pour repérer quelconque chat de ce clan, après tout, elle n'était d'aucun clan, juste une chatte errante et misérable à voir. Même si son pelage crémeux et tacheté brillait dans les rayons argentés de la lune, on voyait encore des traits de chatonne mais aussi qu'elle commençait à devenir une vraie femelle, plein de charme. Elle continua sa marche, elle arrivait à une plaine avec pas loin une petite forêt. Cette lande était éclairée de petite lumière, c'était des lucioles et ce paysage était magnifique. Ca lui fit penser à sa magnifique mère, oui, elle était tellement belle qu'on aurait cru qu'elle venait directement du clan des étoiles. Quelques larmes coulèrent, faisant un peu plus de lumière dans la lande, ces larmes étaient des perles argentés, tombant sur un sol plein de verdure. Elle avança, elle tremblait et elle sentait que sa force se fatiguait. Elle avait marché toute la journée et cela depuis une lune déjà. Pour arriver à ce territoire, celui de ses ancêtres, celui où elle avait une famille. Elle entendit des pas qui était à quelques queues de renard, elle retint son souffle. Il était assez grand, on aurait dit presque un guerrier vu sa carrure de loin, elle l'entendit parler et à sa voix, elle devina qui ne devait qu'être un petit ou apprenti du clan.
« - Qu’est ce que tu fais ici ? »
Au début la chatonne crut qu'il parlait à elle, car s'était elle l'inconnu. Mais il remarqua que le regard du garçon était tournée vers quelques choses d’invisible. Etait-il fou ? Elle ne le pensait pas car il avait l'air sérieux. Puis, il poursuivit :
« - Alors dégage, s’il te plait. »
Puis comme si une forme était devant lui, il passa à transfert et la petite fut fasciner. Elle se demandait qu'est-ce qui pouvait voir, mais elle se doutait qu'il n'était pas un chat normal. Elle voulait s'approcher, pour voir ce chat de plus prêt et pouvoir détecter quelques choses. Mais en voulant s'approcher, elle marcha sur une brindille qui sortait de nulle part. Elle se rappela de sa vision qu'elle avait eu il y a une lune déjà : Des larmes couleront, mais tu connaîtras un être comme toi, avec un don irréaliste et qui comprendra ta tristesse et ta peur. Elle se rappelle aussi qu'elle allait le rencontrer un jour de pleine lune et aujourd'hui c'était un jour de pleine lune. Elle frissonna, alors son don était vraiment de retour, ses visions remarchaient et avaient vu juste. Comme elles avaient vu juste pour le décès de sa mère. Petite Destinée vit que le chat s'était tourné vers elle, elle rougit un peu, par sa timidité avant de le regarder lui aussi dans ses yeux marrons. C'était bien un rouquin, elle devina qu'il n'allait pas très bien réagir qu'une chatte errante était sur son territoire, mais soit, elle voulait juste atteindre un clan. Elle se rapprocha, tout doucement, montrant qu'elle ne ferait rien, mais s'il tentait quelques choses, elle lui ferait regretter. D'une voix douce et majestueuse, elle lui dit :
« Salut … Je sais déjà ton petit discours sur ce que je fiche ici, mais tu ne me feras pas changer de route, car c'est le seul qui me mène au clan de la Rivière. Mais avant que nos routes se séparent, je me nomme Petite Destinée. Je t'ai entendu parler, je n'étais qu'à quelques queues de renard. Qui es-tu vraiment ? »
Elle se rapprocha, pour qu'elle soit juste en face de lui. S'il n'avait pas confiance, elle lui fera voir qu'ils ont un point en commun, qu'ils ont tous les deux hérités de quelques choses d'irréel. Même si elle ne savait pas encore, s'il avait vraiment une sorte de don, comme elle. Mais elle remarqua que quelques larmes coulèrent, la fatigue sûrement, mais aussi, la tristesse. Si ce chat était vraiment étrange, elle n'aurait qu'elle pour se protéger, si seulement sa mère était encore là, à ses côtés. Ce monde serait plus beau aux yeux de la petite.
Blaze Justice Félin Légendaire
Perso 1 : Blaze Justice alias BJ / Wind Perso 2 : Patte Exaltante alias Ichigo / Wind Perso 3 : Nuage de Vision alias Ayumu / River Nombre de messages : 2400 Age : 27 Puf :
Sujet: Re: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine] Mar 22 Fév - 19:21
P a t t e Ex a l t a n t e I am Ichigo. Master of the Dead.
Ses yeux scintillants sous la lumière de la pleine lune, la jeune chatte approcha. Elle ne devait pas être plus âgée qu’une apprentie clanique, pourtant, elle semblait mature. Il fallait bien qu’elle le soit, remarque, pour pouvoir traverser les territoires d’un Clan sans se soucier de se faire prendre. Sa démarche donnait l’impression qu’elle se fichait bien de ce qu’il pouvait lui dire. Il ne savait quoi penser. D’habitude très possessif, laisser tomber le pouvoir était chose impossible pour Ichigo. C’était chose impossible pour bon nombre de chats normaux d’ailleurs. Il y avait cette étincelle dans les yeux de la chatonne qui semblaient lui dire ; « Si tu me fais quelque chose, tu meurs » le regard, a son tour, du jeune félin orangé, répondait de la même voix ; « Arrête, s’il te plait, ou tu vas sérieusement me souler. » Sans qu’il sache ou non si elle avait compris le message, elle répondit a la question que posait chaque chat clanique quand il surprenait un solitaire sur son territoire ;
- Salut… Je sais déjà ton petit discours sur ce que je fiche ici, mais tu ne me feras pas changer de route, car c'est le seul qui me mène au clan de la Rivière. Mais avant que nos routes se séparent, je me nomme Petite Destinée. Je t'ai entendu parler, je n'étais qu'à quelques queues de renard. Qui es-tu vraiment ?
Un sourire naquit sur les lèvres du chaton du Clan du Vent. Son ton certain lui faisait rire. Il n’avait même pas posé la moindre question qu’elle le jugeait. Quelle erreur. Juger sur les apparences n’est pas une mauvaise idée. C’est simplement une erreur quand les apparences sont trompeuses. Ou quand on ne sait pas juger. Mais il ne la laissa pas sans réponse pour autant. Il était d’ailleurs content qu’elle lui demande cela. Quand il vainquait quelqu’un, il voulait que ce dernier sache par qui il s’était fait battre. Quand il se défendait contre les imbéciles à la pouponnière, c’était pareil. Si quelqu’un venait à se moquer de lui a cause de la couleur un peu étrange de sa fourrure, il ferait attention a lui dire son nom avant de lui foutre une raclée. Question d’honneur.
Puis il remarqua quelque chose d’un peu surprenant, a son gout. Malgré le noir nocturne, il s’apercevait que la chatte errante s’avançait vers lui, lentement, mais surement. La durée de quelques pas, l’obscurité voila son visage. Puis, quand il put enfin la voir de plus près, il se rendit compte qu’elle pleurait. Faible comme elle devait l’être, après ce long voyage et sa jeunesse, ce n’était pas aussi surprenant. Il était par contre un peu surpris d’entendre juste avant ses larmes qu’elle avait l’air si sure d’elle.
Mais en disant tout cela, la surprise ne venait pas totalement de la. Il voyait dans ses prunelles profondes qu’elle aussi semblait lui cacher quelque chose. « Je te cache quelque chose » semblait-elle dire. « Tout comme toi, tu me caches autre chose. » Qu’est ce qu’elle pouvait bien vouloir dire ? Il n’avait rien à cacher. Sa vie, ses tristesses… Rien de grand n’était personnel chez lui, maintenant qu’il y pensait.
Malgré cette découverte sur la douleur de la jeune, il ne retint pas ses paroles ;
- Je suis Patte Exaltante, dit-il. Mais appelle-moi Ichigo. Et tu sais quoi ? Je n’allais pas te dire de partir. En tout cas, pas tout de suite. Ca me fait ch*er les gens qui croient tout savoir.
En voyant sa mine un peu surprise, il sourit. Il voulait s’amuser avec elle un peu, histoire de se divertir. Sortir de la pouponnière de temps en temps s’avérait pour l’instant un voyage très intéressant et amusant à faire.
- La prochaine fois, essai de juger mieux les autres, s’il te plait. Et dis-moi, pourquoi veux-tu traverser mon territoire pour rejoindre ceux du Clan de la Rivière ?
Il pouvait paraitre curieux sans doute, il s’en foutait. Il avait tout simplement envie de le savoir d’où elle venait, et ou elle allait, plus précisément. Était-ce un crime ? Pas a ce qu’il sache. Mais la réponse de la jeunette semblait prouver le contraire…
Petite Destinée Félin Légendaire
Perso 2 : Rivière x4 & Ventx1 Perso 3 : Petit x1 & Apprenti x1 & Guerrier x3 Nombre de messages : 1845 Age : 28 Puf : Mémo <3
Sujet: Re: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine] Sam 12 Mar - 13:51
P e t i t e D e s t i n é e I dream other world, where I wouldn’t cry.
Un destin, celui de rester calme, d’être une clé, qui ouvre la porte d’un autre monde. Cela peut ressembler à un rêve, une utopie, un espoir, mais dans les yeux de l’orpheline, cela était bien et réellement sa destinée. Mais qui n’aurait pas peur de s’aventurer dans un monde dangereux, où la mort vous guette à chaque pas, à chaque inspiration. Petite Destinée avait hérité d’une détermination bien plus forte, même si son timoré, la déstabilisé, elle savait faire face à chaque parti sa vie. Même si la mort, de sa mère l’avait atteint, au fond, elle se sentait prête à vivre sans son bouclier et ce regard. Puis, elle sera toujours à ses côtés, à l’aider, à la protéger. Pourtant en ce soir de pleine lune, elle était inquiète, que lui réservait ce chat, qui avait une attitude déplacé envers une femelle. Peut-être la méfiance, ou simplement, de la curiosité ou de la provocation. Son regard s’attarda dans son regard caramel. Sous cette lune, son pelage avait des parcelles argentés, cela faisait son charme, même si sa voix était un peu aigu, il avait un aspect de mâle imposant. Elle ne le jugeait pas, non, elle le découvrait, même si ce n’était pas son habitude, elle avait une certaine attention à lui confier. Mais une atmosphère de mystère planait sur cette plaine, fait de verseau de lumière et de deux matous plongeaient dans leurs regards. Elle remarqua, que sa mâchoire s’ouvrait, cela annoncer ses paroles, où il ne retient aucune politesse ou autre :
- Je suis Patte Exaltante, dit-il. Mais appelle-moi Ichigo. Et tu sais quoi ? Je n’allais pas te dire de partir. En tout cas, pas tout de suite. Ca me fait ch*er les gens qui croient tout savoir.
Un air surpris s’installa sur sa mine de tristesse. C’était quelqu’un d’étrange, un chat à la fois sincère, mais direct. Elle n’avait connu cela, surtout pour un petit être comme lui. Elle ne pensa pas au physique, mais à son âge, car il est vrai, qu’il était imposant, en taille. Mais elle émit elle même un petit sourire, soit, un peu ironique, mais cela éveillait en elle, aussi de l’amusement et de distraction. Après tout, après les pleures, pourquoi pas, un peu sociabilité. Elle n’eut le temps de continuer ses réflexions, car il répliqua après deux trois secondes.
- La prochaine fois, essai de juger mieux les autres, s’il te plait. Et dis-moi, pourquoi veux-tu traverser mon territoire pour rejoindre ceux du Clan de la Rivière ?
Un rire sortit de sa gorge, si ce n’était pas de la curiosité, alors c’était juste pour sa conscience. Mais parler à un inconnu c’était insolite, inhabituel mais surtout singulier. Elle, cette petite à peine sortit de la pouponnière, devait là, sur cette nuit, racontait sa vie, son voyage, son origine. Elle n’était pas très bavarde, mais avec son don, elle avait la possibilité, de montrer des images de son passé, de son présent, mais aussi de son avenir. Elle n’avait pas encore, le courage pour parler de la disparition de sa mère, non, elle voulait juste lui faire vivre tout son passé. De la cruauté, non, simplement, lui même la jugeait, et lui même se plaignait qu’elle fasse de même. Un monde à l’envers, pourtant, c’était où elle était, où chaque personne disait ce qui ne fallait pas faire, alors qu’il le faisait. La femelle se rapprocha jusqu’à coller cet être, elle sentait parfaitement son souffle lui faire voltiger quelques mèches, mais aussi son odeur. Elle inspira, et de sa patte, elle toucha la sienne. Ses paupières se fermèrent, un vide total se propagea dans sa tête. C’était là, d’où venait la concentration. Elle mit toute sa force, pour que son don s’éveille comme une fleur. Ainsi, une sorte de lien, de parcelle, c’était formé entre ses deux chats. Un lien, pas d’amitié, pas d’amour, mais un lien, qui était sur leur vie commune, leur vie passée, où, eux deux s’exprimait.
Petite Destinée sentait elle aussi les souvenirs qui défilaient dans la tête du matou. Elle lui montra sa naissance, où sa mère avait failli mourir, et où un de ses frères étaient mort, un rouquin, comme son père adoptif. Elle lui montra son père, une ombre dans son coeur, un géniteur, rien d’autre. Oui, elle montrait ses sentiments, son enfance qu’elle n’avait pas eu le temps de profiter. Son voyage, ses meilleurs moments avec sa mère, le jour où elle avait failli mourir à cause d’un sanguinaire qui voulait sa peau mais où Jean la sauva. Oui, ce voyage qui n’avait eu que pour but, de protéger son don, celui de la voyance. Elle lui montra ainsi, ses visions, son destin, celui de mettre la paix, mais aussi ce cauchemar, qui s’était réalisé, la mort de sa mère, faible, qui avait succombé à une crise cardiaque, mais aussi le but de son retour, transmettre un message aux proches de sa mère, surtout à son père adoptif, Eclat de Flammes. Ses souvenirs qui défilaient, étaient sa mémoire, sa vie, qui n’était qu’au tout début.
Mais sans le vouloir, ce film de souvenir se changea, sans qu’elle n’ait le temps de protester. Elle lui montra, une vision, qui lui était destinée, simplement. Eux deux, étaient entourés d’un noir cauchemardesque, mais des paroles, d’une narration qu’elle connaissait, fit éruption :
« Ainsi va la vie, celle, où un pauvre chat comme toi, voit l’avenir. Non, je ne te dis pas que tu vas avoir ce don de voyance, mais tu vas avoir l’honneur de voir un futur proche. Alors qu’un jour pas très lointain, où tu vagabonderas, dans les plaines et forêt, une jeune chatonne, tu rencontreras. Elle ne te sera pas indifférente, même si ta vulgarité sera bien forte. Fait preuve d’un peu de lucidité, car elle partagera tes malheurs et tes bonheurs. Ainsi va la vie, ainsi va la mort, d’un être comme toi, qui en cache bien lourd. »
La chatonne retira sa patte du mâle. Elle sentait qu’un vestige la prenait, sa tête lui faisait mal et tourner. Son champ de vision qui devenait de plus flou, s’abandonna à une noirceur. La fatigue, peut-être bien. Mais elle ne savait toujours pas qui il était même si une petite hypothèse la traversait. Un peu de sang coula de son nez, son don avait bien sûr limité ainsi que sa force. Elle s’assit pour ne pas trop se fatiguer, même dans le noir, ses yeux étaient plongés dans celui du rouquin. D’une voix assez faible mais toujours pleine de douceur, elle dit pleine de remord :
« Désolée, je n’aurais pas du utiliser mon don, pour te montrer ma vie. Cela me fatigue de plus en plus. Mais soit, je t’ai montré un moment futur de ta vie. Que tu y croies ou non, je m’en fiche, mais prend ce conseil avec soin, car c’est ainsi qu’on perd les êtres chères. Mais tu n’as toujours pas répondu, à ma vraie question, chère Ichigo. Je t’ai montrée ce que j’étais réellement, alors à ton tour. »
Blaze Justice Félin Légendaire
Perso 1 : Blaze Justice alias BJ / Wind Perso 2 : Patte Exaltante alias Ichigo / Wind Perso 3 : Nuage de Vision alias Ayumu / River Nombre de messages : 2400 Age : 27 Puf :
Sujet: Re: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine] Dim 3 Avr - 12:04
P a t t e E x a l t a n t e ----------
Toutes les personnes sur cette maudite terre sont pareils. Tous aussi débiles les uns que les autres, tous aussi égoïstes, aussi contradictoires, aussi agressifs… On pourrait les définir de mille termes, mais aucun n’aurait une vraie place au sein de la description de l’être. Pourquoi ? Parce qu’ils sont bien trop compliqués, tellement qu’il est impossible de les décrire sans oublier quelque chose. Il faudrait plusieurs livres, et encore, faut déjà savoir les comprendre. Un chat, ca mange une souris. Pourquoi ? Pour se nourrir. Personne ne lui dit rien, on ne l’accuse pas de meurtre ou de crime. Pourtant, on dit que les hommes sont malhonnêtes de tuer les animaux pour la même raison. Vive la logique. A présent, celui qui lira ca dira – parce qu’il est un homme comme tous les autres – que manger les animaux n’a pas l’air si mal. Peut-être, mais dans la religion Catholique, n’avait-on pas dit que tuer était mauvais ? Et au même temps, on prétend que les animaux sont au même titre que les humains ; des habitants sur la planète Terre. Tous ces faits contradictoires, forment déjà les bases de la vie. Mais ne vous y fiez pas trop ; ce n’est que le début. Dans l’apprentissage du chaton, il apprend que l’existence n’est pas quelque chose à prendre à la légère. On mourra tous un jour, le monde est injuste, mais on ne peut pas revenir en arrière, comme sur un jeu vidéo ; le bouton retour n’a jamais existé, il ne devrait jamais prendre forme. Vos bêtises, c’est ce qui fait de vous qui vous êtes. Enfin, on dit ca, mais ca change pas le fait que notre monde serait bien meilleur si les personnes « importantes » (entre guillemets, car je ne vois pas pourquoi le politiciens aurait le plus droit a la vie que des gens normaux) ne faisaient pas d’erreurs. Par erreurs, je sous-entends la guerre, le racisme, etc. Car c’est ce qui pourri un peu notre société. Mais sans ca, on ne se serait jamais retrouvé avec les règles contre le sexisme. Alors c’est bien beau de critiquer les hommes en tenue ridicule qui marchent comme des pingouins et qui croient tout savoir sur tout, mais j’aimerais bien vous voir faire mieux. Franchement, les critiques de nos jours… Eh regardez-moi donc, je suis critique de critique. Ca prouve mon niveau intellectuel, non ?
Eh bah voila quoi. C’est la life, on peut rien y faire. Et la, devant moi, y’a une meuf qui est un peu comme ces pingouins ; elle croit tout savoir sur tout. Faut pas se gêner surtout hein. L’autre, elle essai de prédire mes mouvements, et le pire, c’est qu’elle le fait bien voir. Nan mais oh. J’en ai jamais vu des comme ca. Enfin si, une ou deux fois, mais bon. Faut pas pousser non plus. Bizarrement, j’ai une pressante envie de lui échapper. Mon instinct me crie de m’enfuir, de ne plus la voir. Bah ta gueule sale instinct, parce que chuis pas du genre à m’enfuir devant le danger. Chuis pas un homme moi. Mais peut-être que j’aurais du en être un au fait. Cette petite chatte – c’était quoi son nom déjà ? – s’avança vers moi avec une tendresse qui me rappela ma mère. Même si sa carrure ressemblait plus à celle d’un male, elle ne paraissait pas comme tel ; sa démarche était tellement gracieuse qu’on aurait pu la comparer sans faute à celle d’un ange. Je me laissais rougir – pas de timidité, non mais oh ! Mais de gène, parce que ca se fait pas hein – quand elle fit les pas la séparant de moi, pour ensuite coller sa truffe contre mon pelage. On était si proches que je sentis son odeur. Qu’est ce qu’elle mijotait ? Et pourquoi elle répondait pas à mes paroles ? Non, mais elle me drague ma parole. Quelle malpolie. Pas possible. C’est alors que je fis un cauchemar. Non, ca n’en était pas un, mais on va l’appeler comme ca. Parce que ca y ressemble plus qu’a une vie. Je ne le répète sans arrêt, la vie est une chose, vivre en est une autre. Vivre, c’est pas souffrir, et la vie, c’est pas l’enfer. Cette petite semblait triste et s’apitoyait un peu sur son sort. Je voyais son passé, ses buts, ce qu’elle voulait faire, ce qu’elle redoutait. Comment ? Aucune idée. M’en fous, du moment qu’ca marche. Une scène de naissance arriva d’abord. Il y avait une chatte jolie chatte en train de mettre bas, sa portée étant composée de deux chatons ; l’un roux, l’autre… L’autre était Petite Destinée. C’était à la fois magnifique et effrayant. On donne la vie, mais on risque la notre. En tout cas, cette maternelle avait failli y laisser la sienne. Elle survécu, mais de justesse. Avant que je ne puisse examiner ce passé de plus près, il défila, et je vis la suite de son histoire. Le rouquin, l’autre chaton, jumeau de Destine, lui, il mourra. Je me sentais d’ailleurs un peu plus heureux d’avoir mes deux petites sœurs à côté de moi pour toujours. Mais elle ne pouvait pas trop de morfondre ; au moins il lui restait sa mère… Eh bah non, même pas, me rendis-je compte un peu plus tard. Je sentis alors une douleur ; c’était le nom de son père. Il s’appelait Eclat de Flammes. Apparemment, elle ne tenait pas beaucoup à lui, il n’était que son géniteur, point barre. Ca nous fait déjà quelque chose en commun tiens. C’est pas comme si mon cher papa faisait beaucoup pour nourrir sa petite famille. Je vis alors encore plus de ses souvenirs. Au fur et à mesure que le temps passait, je voyais un long périple, un attentat, une mort… C’était franchement horrible. Pas beau à voir. J’vous conseille pas en tout cas. Mais y’a autre chose. Quelque chose d’unique. Comme moi remarque, mais pas pareil. Qu’est ce qu’elle voit ? Je ne pouvais pas me le mettre bien en tête, mais mon esprit me criait que j’étais aveugle à quelque chose. Qu’il me manquait encore un élément afin de bien la comprendre. Bah oui, parce que comme je suis parfois un peu idiot – que parfois hein, le reste du temps je suis perfecto – je n’ai même pas remarqué qu’elle avait le don de voir a travers le temps. Son passé, c’était ainsi qu’elle me le montrait. Ainsi que son futur, ses projets. Parce que je les voyais, à présent. C’est balaud, parce que son avenir, je m’en tape. C’est le fait qu’elle sache me le montrer qui m’intriguait. Ca créa un lien à travers nous, car avec mon don unique à moi, je comprends le but de sa vie. Même si on est aussi différents, nos âmes ne sont ni contraires ni adverses.
Mais quelque chose vint tout bouleverser. Je ne pourrais vous dire quoi, mais je sentis alors qu’elle perdait le contrôle. Même si elle ne le souhait pas, une autre vision apparut, bouleversant sur son passage celui déjà en cours. C’est alors que je nous vis, moi et elle, entourés d’un noir horrible, qui me faisait une peur atroce. C’était le noir du mal, de la mort plutôt, je la sentais. Ca ne semblait pas lui faire le même effet, et je mis du temps à comprendre que c’était en fait car elle n’avait pas mon don de voir les félins défunts. En gros, l’obscurité de la mort nous enveloppait. Je voulais hurler, pleurer… Je voulais m’évader. Pourtant, comme tout être normal, ma curiosité m’implorait de comprendre. Au pire, j’avais pas vraiment le choix. Je ne pouvais pas m’évader. Une prophétie se dessina devant mes yeux ;
Ainsi va la vie, celle, où un pauvre chat comme toi, voit l’avenir. Non, je ne te dis pas que tu vas avoir ce don de voyance, mais tu vas avoir l’honneur de voir un futur proche. Alors qu’un jour pas très lointain, où tu vagabonderas, dans les plaines et forêt, une jeune chatonne, tu rencontreras. Elle ne te sera pas indifférente, même si ta vulgarité sera bien forte. Fait preuve d’un peu de lucidité, car elle partagera tes malheurs et tes bonheurs. Ainsi va la vie, ainsi va la mort, d’un être comme toi, qui en cache bien lourd.
Une jeune chatonne je rencontrerais ? Elle parle sans doute de Petite Destinée, non ? Surement pas. Je ferais une autre rencontre. Ok, ca, je m’y attendais un peu à vrai dire. Je suis jeune, je vais surement rencontrer beaucoup plus de gens dans ma vie. Merci, mais bon. C’est beau la vie quand on y pense.
Sauf que je ne me rendais pas compte a quel point cela allait être important a ma vie. C’est alors que les dernières paroles furent oubliées. Non, plutôt enfouies. Enfouies au plus profond de mon être. Le pire, c’est que je me rendrais surement jamais compte a quel point elles étaient importantes.
Fait preuve d’un peu de lucidité, car elle partagera tes malheurs et tes bonheurs. Ainsi va la vie, ainsi va la mort, d’un être comme toi, qui en cache bien lourd.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine]
The dead and the alive. All the same ; débile [PV Clandestine]