Chatons ! [Cascade d'Etincelles, Nuage de Feuilles et les chatons]

Invité

Iles Tropicales
Maintenant ?

Iles Tropicales venait de terminer l'entrainement de Nuage des Flots, elle était fatiguée, ses chatons à l'interieur de son ventres ne cessaient de bouger, ils lui faisaient mal. Elle en avait marre de cette douleur intennable. Elle avait l'impression qu'elle allait mourrir de douleur. Elle sourit courir en territoire inconnu, histoire de se changer les idées. Elle parti sans s'en rendre compte vers le pont, elle connaissait cet endroit pour y être passé une fois avec vénérable Paradis mais aussi pour y avoir vu le jour. Sa mère faisait partie du Clan de l'Ombre, son père du Tonnerre, sa mère voulait voir son père et lui donner des nouvelles de son ventre bougeant. Quand elle l'avait retrouvé, elle avait eu les premières contraction, c'est ce que sa mère adoptive lui avait toujours dit , durant toute son enfance. Iles Tropicales ne connaissait pas son père, elle ne l'avait jamais vu. Elle aurait aimé le rencontrer, il était mort , lors d'un combat quand Iles Tropicales qui n'était que Nuage Tropical, elle était en entrainement avec Vénérable Paradis, son premier entrainement de combat, un entrainement médiocre. Les autres se moquaient d'elle en disant que c'était parce que son père était mort en même temps qu'elle était si nulle au combat. Elle n'avait jamais supporter ses paroles.

Iles Tropicales arriva au pont, elle regarda aux alentours, il n'y avait pas un chat. Elle se coucha dans l'herbe folle qui poussait au bord de ce pont. Après quelques temps de bronzage, Iles Tropicales se levait, son ventre lançait des douleurs abominables, elle se sentait mal. Les premieres contrtactions se firent, comme celon l'histoire de sa mère, elle mettait bas là, maintenant. Il était tôt, elle n'était lourde que depuis peu de temps, la grossesse avait été courte, mais complète, elle savait qu'elle pouvait mettre bas n'importe quand mais n'imaginait pas que cela se passerait lors de sa seule sortie du camp. Quoique vu sa malachance, c'était la seule a qui cela pouvait arriver. Elle avait tellement mal qu'elle se mit à crier pour que si un chat l'entend, il vienne et vite, elle avait besoin d'aide rapidement. Parfois les chats se baladait quand ils avaient besoin de se changer les idées, comme elle se jour-là. Elle allait peut-être avoir un soupçon de chance aujourd'hui, il lui en fallait. Elle cria

-Aaargh ... MAIntenant ...

Son bruit fut étouffé par la douleur, un chat vint enfin vers elle, elle n'eut pas la force de le reconnaître. Ni de vue, ni d'odorat...

La journée commençait à peine et déja le soleil approchait de son zénith. Il ne faisait pas froid ou peu, et de là ou j'était je n'apercevait pas de givre ou de verglas. J'eut même la chance de voir des bourgeons sur quelques arbres robustes. Autant de signes qui annonçaient le début du printemps. J'était sortie du camp pour me trouver à manger et pour refaire mon stock de plantes. Le souci et les graines de pavots commençaient à manquer. Je dénichait un carré de plantes en tous genre et arrachait doucement les feuilles. Je tirai sur une fleur et regarda sur sa corolle: une multitude de petites graines pendouillaient. Je pris le tout et l'enroula dans des fougères pour les transporter. Je trotinna jusqu'a la rivière et je lappa l'eau. Je sentit la fraîcheur couler dans mes entrailles et cela me fit du bien. Je reniflait autour de moi et reconnu l'odeur d'un chat du Clan de l'Ombre. Je ne savait pas lequel c'était. Toujours est-il que l'odeur appartenait à une reine: des effluves de lait se collait à l'odeur au point de quasiment la masquer. Soudain, un bruit m'attira dans les buissons.

Je savourait tranquillement le mulot que je venais d'attraper. La chair fondait dans ma bouche: il faudrait que j'en rapporte au Clan. Je lécha les os du rongeurs avant des les enterrer. Tout d'un coup, je me tendis. L'odeur de la peur planait dans les environs en me laissant un goût amer sur la langue. J'entendis un cri. A ma gauche. Le Pont. Je sauta sur le côté et commença à courir comme une folle avec mes herbes dans la bouche. Je vis une silhouette tigrée prostrée sur l'édifice. Îles Tropicales! Je sautait à côté d'elle et lui lécha amicalement l'oreille pour la rassurer.

-"Je suis là..."

Invité

Iles Tropicales
Ah...

-"Je suis là..."

C'était Cascade d'Etincelles, la guerrisseuse de son propore Clan, Iles Tropicales avait beaucoup de chance malgré tout. Elle commença a lui lecher l'oreille se qui la rassura beaucoup. La douleur se fit plus forte et le premier chaton voulait déjà sortir de sa poche d'eau. Cascade d'Etincelles l'aidera. Une nouvelle contraction se fit se qui arracha un nouveau cri à Iles Tropicales

Ah ...

Cascade d'Etincelles la rassura en continuant toujours a la lecher et passait sa queue sur son ventre. Iles Tropicales se contracta et la première tête sortit. Une boule de poil brune avec une tache plus foncée sur le flan. Une magnifique emotion pour Iles Tropicales. Il fallait nommer ce chaton car c'était un mâle. Il avait comme une tache de boue sur le haut de la patte. Il s'appellerai Patte de Boue. Il fallait le nommer.

Tu es magnifique mon fils, tu as cette tache de boue sur toi. Tu t'appellera Patte de Boue.

Une autre douleur se fit, un deuxième chaton voulait suivre son frère. Patte de Boue ressemblait beaucoup à sa mère malgré le pelage unicolor de son père. Iles Tropicales se contracta toujours avec l'aide de Cascade d'Etincelles. Elle avait besoin de se soutient moral et physique pour survivre à cette douleur intense. Une boule de poil grise cette fois-ci, avec le poil long. Un autre mâle. Iles Tropicales rêvait d'avoir une fille mais pour le moment elle avait deux fils, elle avait déjà commencé a lecher le premier qui avait pour le moment les yeux toujours clos. Le petit commença a la têter. Il fallait nommer son deuxième fils.

-Mon fils, tu ressemble beaucoup a ton père, tu te nommera Patte d'Ambre.

Patte d'Ambre ... ce nom sonnait bien, il lui rappellait de quand elle avait été nommée, un bonheur dont on ne se rends pas toujours compte. Une troisième contraction beaucoup plus horrible que les deux précendentes. Ses deux premiers fils étaient toujours lechés et avaient tout les deux commencé

a têter. C'était un bonheur intense d'avoir déjà deux chatons et le troisième vint avec une douleur plus forte que celle des autres. Une chatonne se présenta sous forme d'une belle boule de poil, brune parsemée de tache blanche. Un beau mélange entre son père et sa mère. Sa mère lui fit un bon coup de langue sur la tête et elle lui dit

Ma seule fille, tu es un parfait mélange. Tu te fera appeler Boule d'Aubépine.

Iles Tropicales pensait qu'elle n'allait avoir que trois chatons donc ne s'éttendit pas à avoir une quatrième douleur. Cascade d'Etincelles la soutenait toujours. Elle se sentait de plus en plus mal, elle n'avait plus aucune force avec sa course pour arriver ici. Elle avait plus que tout besoin de Cascade d'Etincelles. La guerrisseuse la soutint avec beaucoup d'emprise. Le chaton était son troisième fils. Son coeur balança et battait vraiment fortement. Elle était fière d'elle, elle avait survécu a l'accouchement de sa première portée. Elle n'avait plus la force de faire une phrase complète alors elle regarda son fils cadet et lui dit en regarda sa goutte. Elle la nomma alors

Petite Goutte ...

Elle plongea dans le coma et ne se souvint pas de la suite. Les chatons la têtait encore.

La reine semblait rassurée. Je me tourna vers l'extrémité de son abdomen ou un premier chatons venait de se joindre à nous. Sa fourrure brune luisait encore. J'otait les dernier morceaux de la poche et le lécha pour activer sa circulaition. J'entendis des petits battements au troisième coup de langue. Je le posa à côté de sa mère qui posa sur lui un regard plein de tendresse.

-Tu es magnifique mon fils, tu as cette tache de boue sur toi. Tu t'appellera Patte de Boue.
Elle avait raison, ce chaton était magnifique et robuste. Il ferait un solide guérrier après son aprentissage avec un guerrier du clan. Il commença à téter goulument. Il avait de l'appetit ce petit machin!

Je vis trésaillir le flanc d'ïles Tropicales avant qu'un deuxième chaton se présente. Il était d'un beau gris tirant sur le taupe, et son poil serait long dans quelques jours. Un troisième, ou plutot une, suivit ses deux frères. La mère murmura sucessivement les noms des deux nouveaux: Patte d'Ambre et Boule d'Aubépine. Deux noms qui leurs allaient comme des gants. La reine était épuisée. Un quatrième auquel je ne m'attendait pas clotura l'accouchement. Il était frêle et petit, comme tout les cadets. Mais cela ne durera peut-être pas. Regardez-moi par exemple. Îles Tropicales murmura que ce chaton serait Petite Goutte. Elle sombra dans un someil profond. Je décidait de ne pas la réveiller. Je m'occupait des chaton, les léchait et les réhauffait en me collant contre eux. Lorsque je sentit une goutte sur mon museau, je filait derrière le talus qui bordait le chemin et installa un tas de mousse qui avait sécher au soleil Je déplaçait d'abord les chatons et je les laissaient pour m'occuper de leur mère. Avec de gros efforts je réussis à la déplacer à l'abri des buissons sur le lit de mousse. Je parti -pas très loin- et commença à chasser. Je vis un campagnol en train de manger. Il n'eut pas le temps de finir sn repas: un félin venait de lui briser la nuque. Moi en l'occurence. Je rpportait la proie pour l'offrir à Îles Tropicales. Cela lui redonnerait des forces.

[EDIT=]

Quelques instants plus tard j'entendis le bruit d'une course effrénée. Les pas se rapprochaient aussi je montait sur le talus pour voir se qui se tramait. Rien à signaler. Ou presque. L'odeur d'un chat du Clan de l'Ombre planait. Je me préparait à défendre la petite famille lorsque j'aperçu un chat que ressemblait étrangement aux chatons. Lorsqu'il s'approcha je le reconnut: Esprit du Vent. Le père des adorables boules de poils qui pionçaient dèrrière moi. Il me salua, je fit de même et il s'approcha de sa progéniture. Je remarquais au passage que l'averse était passée. Un présage?

- Ils sont magnifiques, Iles Tropicales..., murmura le jeune père.

-Ils sont robustes et feront de solides guérriers. Tu peux être fier.,lui répondis-je. J'en était à mon sixième accouchement depuis le début de ma carrière. C'est à dire il y a sept ans et plusieures lunes.

Invité

J'étais dans une bulle de douceur. Tout autour de moi n'était que tendresse et douceur et moi je flottais dedans. J'étais sur un nuage. Un gros nuage duveteux et tout doux dans lequel on se blottit. C'était si bien. Non loin de moi, le coeur d'un petit être battait à la même vitesse que le mien. Nous étions deux sur ce nuage. Plus loin, beaucoup plus loin, je pouvais entendre le battement régulier de deux autres petits coeurs. Tout près par contre, le battement discontinu d'un autre coeur. Beaucoup plus gros que le mien et que celui des autres. Un coeur battant tantôt doucement, crée une berceuse, tantôt en chamade, celui de ma mère. Dans cet océan de bonheur, tout allait pour le mieux jusqu'à ce jour..

Je dormais à point fermé. Non loin de moi, le petit être qui partageait ma bulle dormait lui aussi. Les rêves ponctuaient mon sommeil, le rendant plaisant et attractif. Tout n'était que calme et sérènitée. Mais ce calme ne dura pas longtemps. Mon petit nuage fut compréssé à plusieurs reprise. Les parois de mon habitacle se fermées et s'ouvraient à intervalle régulié. Le liquide dans lequel je flottais, se vida peut à peu. Ma gorge me brulait, j'avais envie de hurler, de pleurer. Mes poumons et ma gorge me brulait de plus en plus.
Je cracha et lorsque je repris mon souffle, quelque chose d'étrange se produisit. Je fus projeté à toute vitesse, comprimé entre les parois de mon ancien nuage et ballotté un instant et enfin tout redevins calme. Le battement du gros coeur c'était accéléré... cela me faisait peur. Mes poumons avaient enfin cessés de me brûlé et je respirais de nouveau normalement. Cette pause fut très brève. Les parois se remirent à bouger et à me comprimer, me forçant à aller tout droit. Tout droit vers cette lumière au loin. La lumière m'éblouis un instant, mais elle m'attirait inlassablement. Alors, lorsque les parois me poussèrent, j'avanca de mon plein gré.

Tu es magnifique mon fils, tu as cette tache de boue sur toi. Tu t'appellera Patte de Boue.

Patte de Boue se nom me plaisait, j'avançait doucement mes petits coussinets était gelês par la glace. Cet matière blanche et froide était insurportable. Soudain je me retrouva près de ma mère son corps était chaud, à se moment là j'oubliait tout se qui se passait autour de moi. Puis je sentit une drôle d'odeur, c'était du lait! Je m'en approchait, l'eau à la bouche et me mit à tété goulument. Puis j'entendis un cri et une boule de poils qui faisait ma taille se retrouva à côté de moi, puis une autres et une troisième. Nous étions quatre et ma génitrice nous avait nommé: Patte de Boue, Patte d'Ambre, Boule d'Aubépine et Petite Goutte. Il y avait aussi un autre chat son odeur m'était inconnu... Je pensait plus qu'à tété et m'endormit contre le ventre chaud de ma mère...

Invité

Esprit du Vent
Le plus heureux des pères...

L

****

Q

Ils sont magnifique, Iles Tropicales...

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Patte d'Ambre

l'aube d'une nouvelle vie...

Mon corp flottait dans un drôle de liquide. Quelque chose bougeait à côté de moi, mais impossible de savoir quoi. Un énorme batement régulié m'acompagnait quand je passait mes journées dans ce truc tout gluant. Il m'arrivait parfois de cogner la "Chose" qui était à côté de moi, et parfois, il me faisait pareil. J'avais l'impression qu'on se ressemblait, malgré que je ne puisse savoir qui il était. Au fur et à mesure que je passait mon temps à côté de lui, je sentais que je grandissait petit à petit comme lui. Je m'habituais à rester dans le liquide, je croyais même y passer toute ma vie, mais évidement, c'était impossible. J'avais appelé mon voisin "Splash". Vous allez me dire que c'est bizard, mais je le voyais comme ça. Un jour, Splash disparut. J'eu très peur, mais bientôt se fut mon tour. Je fut aspiré par un truc. Quand je sortit, je remua dans une texture froide. J'entendis des petits bruit autour de moi. Une voix me dit doucement :

- Mon fils, tu ressembles tellement à ton père, tu t'appeleras Patte d'Ambre.

Je sus que c'était la personne qui m'avais porté avec Splash. Je sentis une douce odeur, et je commença à me diriger vers sa source. Je sus plus tard que c'était du lait, un liquide tout blanc et très bon. Un machin rugueu vint me lécher: "Berk, je suis tout mouillé..."pensai je. Je me rendi compte, qu'une nouvelle vie commençait pour moi. Je roula vers d'autre personne, et je reconnu Splash. En faite, il ne s'appelait pas Slash, mais Petite Goutte. Mais en faite, je venais de me rendre compte que moi aussi on l'avait nomé. Patte d'Ambre. C'est quoi une "patte" , et c'est quoi "l'ambre" ? Telement de question s'offrait à moi et surtout telement de chose à apprendre...

Petite Goutte

Petite Goutte...

Blottit contre mes frères et soeur, j'ai sentis les flancs de ma mère se contracter. Ils nous écrasèrent à l'interieur de son ventre. L'un des foetus se détacha de la masse et l'on vit de la lumière. De l'interieur en entendit des voix. L'on ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Une deuxième contraction manqua de m'écraboullier. Un autre nous quitta. Encore des murmures incompréhensibles... Soudain une contraction plus forte me détacha de mes frères. La petite chatte tigrée se rua sur les tétines. Ma mère ME dit avec une douceur:

Ma seule fille, tu es un parfait mélange. Tu te fera appeler Boule d'Aubépine.

Le chaton ne compris rien mais il se mit à teter avidement. Il vit ses autre frères déjà sortient. Il remarqua aussi un grand chat marron et blanc dresser devant lui. Il se mit à lécher le chaton avec douceur.

*Ne vous genez pas surtout! Allez y!* Pensa le chaton avec une pointe d'amusement.

Sa mère regarda son fils cadet et le nomma:

Petite Goutte ...

Le petit chat brun tacheté devint tout rouge.

*Parlez normalement non d'un chien!*

Ma mère murmura des paroles donc je ne retient qu'un mot: Boule d'Aubépine. Je m'appellerais Boule d'Aubépine à partir de ce jour, le premier de mon existence.
La lumière m'éblouit quand je quitta mon envelope chaude. Le froid me raidit, je tatona à l'aveugle vers ce qui resemblait à de l'herbe. Le givre piqua mes coussinets et je sentis des cros dans ma nuque. Le parfum chaud de ma mère me réconfortat quand elle me poussa vers cette herbe douce qui semblait pousser sur elle. Je sentis comme un petit bouton sur elle, une mamelle! D'instint ma petite bouche s'ouvrit et se mit à teter avidement le lait.
Puis j'entendis un cri et une boule de poils qui faisait ma taille se retrouva à côté de moi, puis une autres et une troisième. Nous étions quatre et notre génitrice nous avait nommé: Patte de Boue, Patte d'Ambre, Boule d'Aubépine et Petite Goutte. Il y avait aussi un autre chat son odeur m'était inconnu... Je pensait plus qu'à tété et m'endormit contre le ventre chaud de ma mère...

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