Patte Pacifique Why so many meetings? Why so many questions?
Patte Pacifique vivait dangereusement sa vie de chaton. Sa mère était endormie depuis belles lurettes, et ne s'était réveillée il n'y a pas quelques jours. Ses deux sœurs ne comprenaient pas ce qu'il arrivait, et que leur mère courait un danger, juste, je m'amuse, et je ne me soucie de rien... Ça le répugnait une attitude pareille venant de fille d'une mère souffrante. Il ne pouvait rester près d'elles, il devait se faire à l'idée que sa mère ne guérirait jamais, mais cela aussi l'empêchait de se concentrer, sa mère allait-elle mourir, allait-elle sombrer à tout jamais dans une folie incontrôlable ? Tant de question pour un seul fait. Ce chat qui l'avait sauvé, qui était-il, pourquoi l'avoir sauvée, pourquoi avait-il eu de la compassion pour un chatte de clan qui devient folle ? Pourquoi se poser tant de questions, pourquoi voulait-il absolument tout savoir, avoir tout les faits devant lui. Pourquoi s'obstinait-il à aide le monde ?
Le soleil perçait la fine couche de bruine, et répandait ses rayons sur l'herbe à demain ensevelie par la poudreuse. Les quelques animaux qui vivaient encore par ce temps là n'allaient pas tarder à mourir, les chats commençaient eux aussi à mourir, mais de faim. Ils sont bien assez forts pour survivre 3 semaines sans manger, mais le froid diminue leurs forces physiques, et les obliges à avoir un statut de chaton-né à demi-mort. Tel était la mauvaise saison, augmentation des morts, diminution de naissances, mais aussi surtout des chats. La neige empêchait beaucoup de choses. La vie d'un clan se forge sur l'activité des guerriers et membres, mais si ceux-ci ne peuvent plus bouger une griffes, cela devient difficile, au-point au tout le monde doit se rendre à l'évidence que les chatons et anciens sont prioritaires pour la nourriture, alors que c'est les couples Mentors - novices qui chassent, ce qui pour certains, est d'une profonde injustice. Malgré sa nourriture abondante grâce à son statut de chaton, son intelligence chauffe toujours, et il se rend compte de tout. Patte Pacifique est dotés de fabuleuses capacités, et il ne les abandonnera pas pour une bouchée de viande, qu'il n'a pas chassé lui-même. C'est sa première règle, je ne mange pas la proie d'un autre... Si il devait manger, il devra chasser, accompagner ou non, c'est aux " Adultes " de décider.
De toute manière, un chaton aussi intelligent que lui sait très bien partir seul dans la nature, avec des capacités surdéveloppées, on sait survivre comme Chuck Norris, muni de quelques instrument d'aucunes utilités pour sortir des pires situations. Il ne faut jamais sous-estimer ses capacités. Mais Patte Pacifique ne voulait pas élaborer de plan aujourd'hui, il avait trop faim pour mettre un plan diabolique à jour, donc il décida de faire simple, partir à compagnie de sa mère. Une balade de famille lui ferait sans-doute du bien puisque sa mère s'était réveillée il y a peut, et avait retrouvée toute sa vigueur !
La fabuleuse histoire commença enfin, le petit félin munit de petite pattes se dirigea vers la tanière des guerriers, et fit sortir sa maman, éblouie par le soleil. Pour sa première sortie, elle devait montrée quelle n'était pas diminuée, il fallait qu'elle reprouve sa loyauté, et ses forces.
« Maman, tout cela me répugne, les guerriers expérimentés chasse pour des chats qui ne bougent même-pas leurs miches ! Je refuse de manger la viande de quelqu'un d'autre, donc je te demande de partir avec moi en forêt, juste pour chasser. »
La chatte sembla surprise, comme si un chaton de son âge savait chassé, hé bien oui, elle avait ratée trop de choses, et elle devait pouvoir les rattrapées. Patte Pacifique bourra gentillement dans sa mère pour quelle se mette en route, sans avoir eut l'occasion de protester. Le camp s'éloignait, devenant un fine ligne, bientôt recouverte de la bruine, qui cacha enfin les murs protecteurs. La forêt était silencieuse, et le gibier n'était pas là. Il jura, et dit ;
« Il faut se diriger vers les Terres Libre, là où le Clan ne chasse pas, ici, trop de guerriers sont venu, et le gibier n'est plus. »
Il partit aussi vite qu'étant venus, leur course s'avéra courte, le clan de la Rivière se trouvait à proximité du chemin à deux voies, leur destination. Les buissons défilaient sur le passage des deux félins. Quelques bruits inconnu les faisaient arrêter quelques-fois pour s'assurer qu'il n'y avait aucuns danger. Le chemin semblait calme pour cette période de l'année, d'habitude les bipèdes aiment venir jouer dans la neige, pourquoi n'étaient-ils pas là ? Avaient-ils peurs d'avoir froid ? Alors que nous les chats vivons au Jour le Jour dans une forêt qui se refroidit chaque secondes. Un degré en moins peut être fatal pour certains chats, qui souffrent du froid, un froid mordant qui vous ronge l'intérieur jusqu'aux os, vous brûlant toutes les Calories que vous avez en vous, et qui mange ce que vous manger telle un ver-solitaire, il vous ronge, intérieurement et extérieurement, vous devenez légumes, et vous mourrez. C'est la loi de la nature, elle est cruelle.. Mais la nature nous aide, nous envoi des signes, nous permets de survivre, créer le gibier. La nature est le centre de tout, elle procure confort et réconfort, nourriture et famine, chaud et froid. C'est grâce à elle aussi que les animaux sont là, que les chats sont là...
Patte Pacifique et sa mère se retrouvèrent enfin à l'intersection des deux chemins, le petits ayant faim, se mit en chemin, et quitta la branche du chemin lui-même. Ses coussinets frôlèrent la neige, et le refroidissaient à tout moments. Ses yeux pétillaient d'impatience de trouver son premier gibier, celui qu'il aura chassé lui-même. Sa mère l'observait derrière, assise sur le chemin, mais faisait de mouvement bizarre de la tête, comme si elle croyait que quelqu'un sur sa gauche lui parlait. Avait-elle encore ce "démon", ou avait-elle vraiment entendu quelque-chose. Le chaton observa deux minutes son comportement, puis se dit que se n'était rien, et se remit en chasse. Une petite pie fouillait la terre épargnée de neige, à la recherche elle aussi de nourriture. Patte Pacifique se plaque à terre, et leva son arrière train. Ses membres endoloris approchèrent doucement le volatile, et enfin lui sautèrent dessus. La pie était morte, la chaton sauta de joie, son première chasse, une pie ayant sa taille, il avait un don.
Son repas finit, il tourna la tête, sa mère n'était plus là. Il se figea, où était-elle ? Pourquoi était-elle partie ? Mais que fait-elle !? ENCORE TOUTES SES QUESTIONS ! Pourquoi s'en pose-t-il autant ! Cela l'énervait, et il tomba pars-terre, contraint de dire qu'il l'avait perdu, il avait perdu sa mère, il s'était perdu lui même en même temps.
[Désolée pour ce Rp Pathétique mon Canaard =)]
Petite Destinée Félin Légendaire
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Sujet: Re: Famille, Amitié, Sang, bataille, réunion ... [PV mon Canard ( Titigre)] Dim 14 Mar - 21:17
Passion Eternelle « Chaque jour change et je pense déjà au lendemain. J’ai peur que demain soit la fin et qu’à ce moment soit le dernier de ma vie. »
Où serais-je demain ? Dans un mois ? Dans un an ? Là-haut au clan des Etoiles ou encore sur Terre. Si j’aurais à choisir, je resterais, pour mes enfants, ma sœur et encore Eclat de Flammes. Je voudrais voir mes enfants grandir, devenir apprenti, guerrier et même lieutenant s’ils le veulent. Oui, j’aimerais avoir ce même regard, de voir ses propres enfants grandir et d’avoir cette fierté de les avoir. Je l’ai, mais pour combien de temps, qui dit que là-haut je me souviendrais d’eux. Pourquoi ? Pourquoi je me pose tant de questions ? Je devrais profiter de la vie qui me reste, au lieu de me plaindre et d’avoir peur de l’avenir. Mes filles étaient heureuses mon retour, j’étais réjouie qu’elles ne sachent pas ma nature, car ça aurait été horrible à leurs yeux. Mais mon fils, Patte Pacifique le sait et je vois par son attitude qu’il s’inquiète. J’ai un fils incroyable mais pourtant je ne sais pas comment mis faire.
Un vent glacial me fit me réveiller en sursaut, je fis que je frissonnais. Près de moi, il y avait Eclat de Flammes, il dormait encore comme un petit chaton, je lui donnai une lèche avant de sortir de cette tanière. Il faisait encore nuit, pourtant j’étais déjà levée, je savais la raison … ce démon. « Hé oui, je suis encore là, ne l’oublie pas -Comment puis-je t’oublier ? -Je ne sais pas, mais rappelle toi que ta vie ne tient qu’à un fil ! -Je le sais mieux que personne … Sale monstre ! -Tu oses me traiter, ok, tu vas voir. -Oui, j’ose et je t’affronterai. Ne l’oublie pas ! »
Je sentais une petite douleur, je savais que quand le moment sera venu, cette douleur sera intense et peut-être que je n’arriverai pas à m’y échapper. Père, que puis-je faire ? Je suis coincé entre la mort et la mort, celle si on me tue ou celle si je me tue. Pourquoi ma vie ne sera jamais heureuse ? POURQUOI ? J’ai pourtant tant souffert même si je l’ai fait aux autres, mais je mérite ce bonheur et de vivre en paix. Pourtant, personne ne le comprend, si tu étais encore là père, tu me conseillerais. « Je suis encore là, mais en toi ! -Pourtant, je ne te sens pas. -Moi je sens ton cœur battre. -Mais moi non, je ne sens rien de toi, j’aimerais que tu sois près de moi, comme avant. -Pourtant, ma fille, tu sais que moi, que le passé reste le passé. -Je sais, mais tu ne pourrais pas, apparaître dans un de mes rêves, pour que je puisse avoir un peu de bonheur. -Alors va t’endormir de nouveau, je viendrais. -Merci … »
Je partis dormir, avec un sourire aux lèvres. J’étais heureuse, j’allais enfin revoir mon père. Je me remis près d’Eclat de Flammes, en entendant son cœur battre, je m’endormis car cela était une sorte de berceuse. Au début mon rêve, tout était noir, je ne vis rien, pourtant quelqu’un me parlait :
« Je vais tout faire pour que tu ne le vois pas ! »
J’essayai de repérer, une fourrure ou autres, mais je ne vis rien et je commençai à m’énerver. Cette voix, toujours la même, qui était celle du démon, me dit encore : « Si tu t’énerves, alors je vais entrer en toi. MOUAHAHAHAHA. Je trouve que tu deviens de plus en plus sotte et ton père ne pourra rien faire. -Arrête ! ARRETE ! DEGAGE DE MON CORPS SALE MONSTRE ! -Maintenant, tu me parles comme ça, cela ne va rien arranger, tu le sais mieux que moi … »
Je ne pus savoir la suite, quelqu’un me réveiller, j’ouvris les paupières et je vis mon fils en train de me secouer. Je me levai tant bien que mal et je le regardais. Dans son regard, une petite étincelle brillait, je devinai qu’il avait encore trouvé une idée. Nous sortîmes de la tanière et dés que nous fûmes dehors, il me dit :
« Maman, tout cela me répugne, les guerriers expérimentés chasse pour des chats qui ne bougent même-pas leurs miches ! Je refuse de manger la viande de quelqu'un d'autre, donc je te demande de partir avec moi en forêt, juste pour chasser. »
J’eus un sourire, on aurait pu croire que c’était moi plus jeune, je voulais apprendre à chasser seul pour me débrouiller, mon père avait été contraint d’accepter car je ne mangeai plus. Je lui dis d’une voix douce : « Tu es bien le digne fils de ta mère, si tu veux. Mais attention, tu devras en apporter aux autres, car tu le sais mieux que moi, que le clan commence à manquer de nourritures ! »
Il me sourit l’air satisfait et rajouta :
« Il faut se diriger vers les Terres Libre, là où le Clan ne chasse pas, ici, trop de guerriers sont venu, et le gibier n'est plus. »
Je le suivais, en le regardant à chaque fois. Je repensais à mon rêve, aujourd’hui ce monstre allait encore faire voir le bout de son nez, comment j’allais m’en sortir, comment. La neige me calma un peu, j’étais nerveuse te j’avais peur, heureusement que le froid m’apaisait et me rendait comme d’habitude. Je priai pour que Patte Pacifique ne se doute de rien, qu’il m’imagine comme je suis normalement et sans ce monstre. Si je le pouvais, je lui ferais oublier tout ce qu’il a vu et a entendu. J’aimerais qu’il me voie comme une mère attentive et très aimante envers lui. Après bien des minutes, nous arrivâmes au fameux endroit qu’il avait choisi. Je souris, en le voyant courir déjà vers un buisson où il y avait une pie. Moi je restais là, aux aguets de peur que quelqu’un ne puisse nuire à cette belle atmosphère. J’entendis que mon fils avait attrapé sa première proie, je lui criai d’une voix assez forte mais douce :
« Bravo ! Tu es très fort et je t’admire. »
Je décidais de rester là, comme ça je pouvais avoir un œil sur tout, même si mon odorat ne pouvait servir à cause de ce chemin du tonnerre, mon ouïe était bien là. Je le regardai toujours, mais d’un coup, j’entendis un bruit. Je me retournai, mais au même moment, un chat ou plutôt une chatte m’attrapa et m’emmena autres parts. Elle me chuchota :
« Tu cries, tu es morte. »
Je me mis à rire, comme si une chatte pouvait me faire peur, d’un petit coup de ruse, je m’enlevai de ses crocs et la regardai en face. Dans mes yeux brillaient un courage sans faille et dans ses yeux c’étaient le même. D’une voix agressive, je dis :
« Tu te crois pour qui ! Pour la plus puissante des chattes de tout ce territoire ! Tu ne me fais pas peur et je te conseille de ne pas t’approcher de moi et de mon fils. Sinon c’est moi qui te tuerais ! »
Avant même que celle là put réagir, je courus vers l’endroit où était mon fils et quand je fus près de lui. Je lui chuchotai :