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ROSE ENDIABLEE .

A travers les sentiers ...

Rose scruta le fond avec enthousiasme, voila que cela faisait un bout de temps que la diablesse souhaitait si rendre. Mais pas de façon habituel, non… elle voulait si rendre seule .
Ses yeux verrons parcoururent la parois ancienne, au toucher elle était froide et glacer. Des perles de gouttes d’eau shuntait sur les murs et débordait a l’entrée , qui était givrée par la basse température de la journée . Mais c’était sa destination !
« le diable lui … ne vous laisse pas le choix » Son père avait t’il eu le choix lui ? Mais ses pensée douteuse s’effaçaient aussi vite qu’elles était venus . Non , ce n’était pas le moment de penser à ça . Elle désirait plus que explorer , elle appréciait la solitude , elle lui trouvait bon gout … un plaisir qui savait s’installer au bon moment chez elle . Rose Endiablée jeta un coup d’œil derrière son épaule puis sans attendre plus longtemps elle s’enfonça dans les ténèbres .
On n’y voyait plus rien ! C’était l’ombre parmi les ombres … a tâtons et s’aidants de son odorat développée elle se faufila par le tunnel rigoureux . On lui avait pourtant dit qu’il n’était pas long , mais le fait d’être ainsi compressée sous terre , lui donnait l’impression que chaque seconde s’écroulait comme des heures , comme si le bout du tunnel refusait de se montrer pour la rendre folle . Elle n’aimait pas être dans les rayons du soleil , la lumière n’était pas son élément , mais elle aimait la forêt , les arbres , l’herbe fraiche du matin , la rosée scintillante , les oiseaux qui clamaient leur douce mélodie , les bruissements des feuilles , la saveur de la menthe coupé dans les bruyères . Tout cela représentait un monde , que chaque chat doit apprendre a s’adapter , c’est un travail de soi . Mais sentant la brise glaciale ébouriffée son pelage elle sut que l’entrée était proche .
Quand elle fut sortit , elle ne réalisa pas tout de suite a qu’elle point l’endroit était beau , pourtant il était très différent l’arbre avait perdue ses belles feuilles orange , rouge et marron de l’automne . L’herbe était glacée , elle craquait sous ses pas , les racines était recouvert de couche neige du matin ainsi que le tronc . Mais l’endroit avait conservée sa beauté , il semblait comme l’avoir prêtée a un autre artiste : L’Hiver .
Elle sauta sur un rocher en bordure de l’ entrée et debout scruta la prairie . Il semblait que rien , n’y personne ne semblait pouvoir la dérangé … enfin c’est ce qu’elle croyait .

[ Bon et bien je ne garantie rien niveau qualité =/ ]

(ne t'inquiète pas, ton rp est très bien, désolée, j'ai pas le temps de mieux faire.)

Petite Nuance.

[e suis ivre de vitesse, de liberté. L'ivresse de la vitesse me gagne.

A l'aube, le soleil venait de pointer le bout de ses rayons, elle avait déjà quitté le camps. Silencieusement, se faufilant à travers les petits corps encastrés les uns dans les autres autour des reines laiteuses. Evitant précieusement d'écraser une queue ou bien une patte qui sortirait du paquet de félin enchevétrés. Son poil argenté avait scintillé pour la première fois de la journée lorsqu'elle avait débouché de la pouponnière. La douce odeur de lait et la chaleur ennivrante de la tanière avait cédé place au froid glacial qui régnait en cette matinée d'hivers. Un frisson avait hérissé l'échine de la chatonne. Les temps froids arrivaient, plus vite qu'on ne le pensait. Sautant sur ses quattre pattes, elle avait disparu derrière la taverne des anciens, prenant bien soin de ne pas se faire repérer par le chat chargé de surveiller le camp. Il était assis devant le tunnel d'ajonc et fouillait la clairière de ses yeux. La chatonne avait bondit et en une seule minute, elle était libre. Du haut de ces 4 lunes, elle n'avait pas froid aux yeux et sortait, tous les matins, juste pour se sentir vraie. Pour sentir en elle, son ventre se nouer quand elle voyait les terres s'étendrent devant elle. C'était son petit plaisir de la vie. Juste décrocher du quotidien morne qu'elle vivait à la pouponnière. S'évader, rêver. Juste quelques minutes, rêver d'une vie meilleure. Rêver d'un destin qu'elle n'aura jamais. Rêver de voyager à travers ces territoires inconnus. Parcourir tout ces kilomètres, rien qu'en ce disant que ce voyage ne s'arrêtera jamais. Une balade infinie. Un rêve éternel.

Petite Nuance avait pénétré dans le tunnel pour échapper aux marécages qui lui laissé de mauvais souvenirs. Elle s'était déjà enliser et jamais elle ne referait la même erreur, un solitaire l'avait sortie en la tirant par la peau du coup. Ses pattes avaient glissé, elle n'avait pas été attentive, trop concentré sur le bruit de ses coussinets arrachés à la boue. Non, jamais elle ne referait cette stupide erreur. Les erreurs nous aident, elle aident à progresser. C'est ce qu'on lui avait toujours dit. Le tunnel s'étendait devant elle, le noir complet et au bout, le cercle lumineux, la sortir, la fin, l'espoir. Elle posa sa première patte sur le marbre gelé qui constituait le passage. Puis, aussi vite que l'éclair, elle fila, traversant le tunnel à vive allure. Ses pattes frôlait le bêton glacial. Elle ne savait pas pourquoi elle courait mais elle courait, aussi vite qu'elle pouvait. Certainement que le tunnel obscure ne lui inspirait pas bonnes choses. Soudain, ses coussinets avaient rencontré quelque chose deplus doux. Superbement doux. Elle avait baissé son regard nuancé et découvert des miliers de pétales rosés, formant un tapis sous ses coussinets. Elle ne l'avait pas vue tout de suite, lorsqu'elle l'avait aperçue, Petite Nuance s'était approchée. Une chatte, adulte, au pelagemi-long noir, moucheté d'une multitude de taches blanches. L'inconnue avait tourné la tête et Nuance aperçu ses yeux. Une perle bleue, une perle brune. La chatonne argentée, cru un instant y lire une certaine lueur. La chatonne hésita, qu'allait-elle faire ?

ROSE ENDIABLEE
Il reste encore des chemin à parcourir …

Le vent, envoya sa brise fraiche de l’aube, une odeur d’humus et d’herbes fraichement coupées. Mais aussi, portant une odeur de fleur glacée par la givre. Quand elle regarda au sol surprise elle vu a qu’elle point cette endroit était plus beau qu’elle ne s’était rendue compte. Un tapis givrée recouvert de petites perles transparentes donnait à cette endroit l’aspes d’un miroir cristallisé, des pétale de rose, volait dans l’alizé de la plaine. Peut être vers de nouveau horizon ? Ou pas …

La vie, mon écoulement d’épreuve, pensait t’elle . Il reste encore des chemin à parcourir … tambour battant, au fil des aquilon, des territoires inconnue et périlleux . Pourtant il y a un choix a choisir pour chaque pas de notre avancée vers la mort. Si son aventure commence ici, alors qu’elle soit la plus pernicieuse et redoutable. Qu’elle connaisse chaque douleur et bonheur que de vivre, elle veut tout voir ,tout savoir, même si cela lui coutera peut être profusément . Mais qu’elle que chose réagit alors en elle, elle fut tiré de ses rêves . Un arôme étrange planait dans l’air , qu’elle connaissait de peu mais elle savait d’où il venait . Son instinct lui disait de se mettre en garde , elle se redressa et fixa l’entrée du tunnel qui menait au territoires du clans de l’ombre .

C’est alors que sans prévenir un chaton sortit du tunnel , montrant que ses sens ne l’avait pas trompé . C’était une petite chatonne , visiblement, elle ne l’avait pas remarqué . En tout cas pas encore, le moment n’était pas venue pour ce battre pas pour attaqué un chaton , surtout sur ces terres . A moins que les antécédents de son précurseur ne revienne en elle . « Non » se dit telle « jamais » , avec un petit sarcasme une petite voix vin lui rappeler doucement « On ne dit jamais de dire jamais » . Comme un parasite elle secoua la tête pour s’effacer cette idée intolérable . Regardant de loin la nouvelle venue elle pue l’observer un peu plus : Elle arborait un pelage gris, noir et obscur comme une brume mélancolique . Mais elle ne paraissait rien sous cela, elle était aussi taché de blanc opalescent . Elle était de petite taille , mais sous sa fourrure courte on discernait déjà les muscles trapues . Elle décida de l’ignorer j’us qua ce qu’elle la remarque , Lorsqu’elle la remarqua , la chatonne nue même pas peur , elle n’était presque pas surpris . Rose la trouva tout de même bien audacieuse, sans parlé qu’elle était de toute façon partit de son camps toute seul , voila qui lui donnait un statut de petite intrépide bien définie . Comme c’était étonnant elle semblait se reconnaitre en ce chaton , elle aussi quittait souvent le camps plus jeune sans mettre personne au courant , pour aller explorer le vaste monde .Rose endiablée se retourna précipitamment . Elle ne supportai pas regarder un autre chat dans les yeux , un malaise habituelle, et ce n’était pas ce chaton ennemie qui allait la faire changer !
Toujours en regardant sur le coté , faisant semblant d’observer les racines prises dans la gèle . elle proféra a son attention :

« Tu est bien aguerrie pour oser t’aventurer seule , C’est tu que normalement ça ne se finit jamais bien quand deux chats ennemie se rencontre ? Qui est tu au faite ? »

Elle la taquinait histoire de voir comment elle allait réagir, si c’était une craintive ; ou pas.

( *-* La qualité de tes Rp ! )

Petite Nuance.
(dernier poste en tant que chaton)

La vie est un long fleuve tranquille.

L'arbre se tenait là. Dominant la clairière dans toute sa splendeur. Son tronc était fin mais assez long. L'arbre semblait dégager une lourde puissance, il était magnifique, plus que magnifique. Ses branches étaient si longues qu'on les auraient presque comparées à de longs bras pouvant se reformer sur vous. Vous emprissoner pour toujours. Vous presser à n'en plus finir. Essorer tout vos souvenirs, tous vos sentiments en vous pressant, là, contre lui,vous oublierais tout. Le sparfums de ses feuilles, ce rose si puissant, ce blanc si envoûtant feront frissoner vos narines. Plus rien ne comptera, seul cet arbre qui, lui seul, réussit à vous faire éprouver ce sentiment. Celui qui reste pour toute la vie. La quête au sentiment. Ce seule et unique sentiment que tout le monde rêve d'avoir, que tout le monde guette à chaques coins de rue. Elle, petite chatonne grisée, aux yeux transparents, auxyeux absents, elle l'a trouvé. Juste en se frottant contre son tronc marron. En posant sa truffe contre le bois gelé et rocailleux. Oui ça peut paraitre bizarre, mais elle ressent plus que de ... de quoi d'ailleurs ? C'est simplement un sentiment de vie, elle se sent vivre. Ellen'a besoin derien, juste cet arbre, ces feuilles qui en s'agitant, font entendre un bruissement plus qu'agréable, juste ces feuilles rose pâles qui frémissent aux valeurs du vent. Bien oui, des fois, il vous suffit d'une seule chose. Elle en rêve de cet arbre majestueux. Elle y pense à longueur de journée, elle se languis d'apercevoir son ombre qui se détache dans le paysage féérique de l'arbre japonais. Oui, elle en rêve. Cet arbre, de toute façon, il en vend. Il vend du rêve.

« Tu es bien aguerrie pour oser t’aventurer seule , sais tu que normalement ça ne se finit jamais bien quand deux chats ennemse se rencontrent ? Qui es tu au faite ? »

La chatte aux yeux incroyablement beaux venait de lui adresser la parole. Alors comme ça quelqu'un d'autre connaissait son paradis floral ? C'était possible ça, qu'un autre chat pense comme elle ? N'ést-on pas unique au monde ? Nuance est intriguée, ah ça oui. Elle s'imagine un clone. Une autre elle. Qui ressent l'envie de se presser etre els feuilles de cet arbre, qui a envie des mêmes choses qu'elle, qui fait les même reflexions qu'elle, qui aime les mêmes personnes. Non. Nuance grimâçe. Toute cette histoire ne lui plait pas, elle n'a pas envie d'avoir un double, même à l'autre bout du monde. Parceque quelque part, au fond d'elle, elle veut être unique, ele veut être l'ultime Petite Nuance de la terre. C'est certainement très égoiste, mais elle s'en tape. Parceque quand elle sera plus là, et qu'on parlera d'elle, si on se trompe, si on dit "non, pas cette Petite Nuance là, l'autre", là, elle sera vraiment peinée. Et même si elle sera déjà morte, ce qu'elle voudra le plus, à cet instant, c'est mourrir une deuxième fois.

- J'm'en contre-fiche des règles. Parceque l'important c'est vraiment de savoir qui on est. Et pour savoir qui je suis, j'ai besoin de venir ici. Alors vas y tues moi si ça te chante, au moins, je serais autre-part qu'enfermée dans la pouponnière.

Décidément, Petite Nuance était unique. Vraiment.

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