Bonjour ou bonsoir, cher lecteur, selon l'heure où tu arriveras ici.
Ce que vous allez lire est le premier tome d'une saga que j'écris, et dont le nom est
Maëlstrom. C'est une histoire sortit de mon imagination, et qui est un mélange de dessins-animés, de romans lus, et surtout, beaucoup de ma propre histoire et d'imagination.
Cette saga raconte l'histoire de quatre jeunes filles, de treize à quatorze ans. Meilleures amies, elles voient leur existence bouleversée par l'arrivée d'une nouvelle. Dès lors, d'étranges événements interviennent. Les cinq jeunes filles vont se retrouver Gardiennes d'une Forteresse, l'Equilibre. Cette barrière fut créée pour protéger les mondes d'un univers maléfique, le monde de GaliArès, littéralement : la Terre de la Mort.
Mais cette barrière se fragilise, et les sept portes permettant de voyager entre les mondes se réouvrent. Le but des Gardiennes est de les refermé grâce à leur pouvoir. Mais sauver le monde n'a rien de facile, surtout si on doit gérer en plus les problèmes qui surviennent au collège...
Le personnage principal est une jeune fille, la nouvelle, en l'occurence, du nom d'Alex. Son caractère se dévoilera au même titre que le livre, ainsi que celui des quatre autres protagonistes.
Quelques règles à respecter :- Cette histoire est sortie de mon imagination, merci de ne pas la copier ou piquer les noms.
- Interdiction formelle de poster ici.
- Merci de respecter les droits d'auteurs.
MaëlstromPrologueLe noir est là. Ici. Partout. En embuscade. Près à fondre sur moi comme un rapace sur sa proie.
Je ne vois rien, sinon les peurs inscrites au fond de moi, au fond de mon âme. Je n’entends rien sinon le silence, un silence oppressant, qui noue la gorge et fait trembler. Il n’y a rien, sinon la solitude. Absolue.
Ici, il n’y a pas de lumière, pas de vie. Pas de fleurs, pas d’oiseaux. Rien. Rien, sinon le vide. Minuscule et infini. Tellement plus et tellement moins.
Non.
Il y a de la lumière.
Pas de la lumière que produirait une ampoule. Non. Une lumière plus pure, plus présente, plus ténue, aussi.
C’est à elle que je m’accroche.
Si je la lâche, je sais que les Ténèbres gagneront. Je sais que si je lâche, je marque la fin des hommes, de la Terre, des mondes. La fin de tout.
Je ne lâche pas.
Cette lumière éclaire et cet éclairage est un espoir.
Un espoir qui est un mot.
Amitié.