évalutation 1 Patte de Blé

Bonjour

Votre Pseudo : Patte de Blé
Lien de votre dernier RP : https://guerredesclans.frenchboard.com/t15674-suivi-pv-patte-nocturne?highlight=Patte+de+Bl%E9
Lien de votre plus beau RP : https://guerredesclans.frenchboard.com/t14868-une-rencontre-pour-le-moinsetonnante-patte-douce?highlight=Patte+de+Bl%E9
Exercice : Un noctambule postera pour vous le donner.

Désolé pour le retard...

Théme :

Tu es un cheval. Bien content de ta petite vie dans ton petit poney club, tu y coules des jours heureux. Pourtant, un jour tout bascule et des gens bizarre viennent pour te chercher. TU te débats et arrives à t'enfuir. Tu galopes longtemps à travers des paysages inconnus et finit par trouver un groupe de chevaux sauvage. Tu essayes de t'intégrer mais la vie au grand air n'est pas facile...

Consignes :

- Décris ta vie d'avant, le jour de ta "rébellion",
- Décris l'endroit où tu arrives, les chevaux et ta vie maintenant-
- Décris les sentiments de ton personnage,
- Trouve un élément perturbateur qui vient compliquer l’intégration de ton perso
- Tu as deux mois ! =)

Liberté …

...Une ode à la vie

Je courais, peu m'importais le passé et le futur … Je courais pour moi, pour mes compagnons, pour nous.

La douce sensation du soleil sur mes crins blanc me rendait heureux. La présence chaleureuse de mes amis, celle des humains ; cette douce chaleur dans laquelle j'étais enveloppé, comment la décrire sinon comme étant douce comme un sucre ! Un cœur chaud, chaleureux, un cœur à nous, pour eux. J'étais un jeune cheval âgé de quatre ans, on m'avait appelé Neige en hommage à mon pelage immaculé je vivais dans un petit « poney club ». Telle était l’appellation de mon habitat par les hommes. Je vivais avec d'autres chevaux, dont ma famille, mes frères, mes sœurs, ma mère, mon père et tous les autres. J'étais soigné, nourri et j'étais à l'abri du besoin, étant né à proximité des hommes je n'en avais pas peur au contraire, leur présence m'était devenue vitale, comme si ;lorsque j'étais loin d'eux, une partie de moi même les suivaient. J’avais beaucoup d'affection notamment pour une jeune fille, celle qui s’occupait de moi. Elle prenait du temps pour me brosser, me curer les sabots ou tout simplement nettoyer mon box. Lorsqu'elle m'arnachait, elle était douce et je sentais sa bonté et son affection pour moi. Je ne me voyais pas vivre autrement que dans ce club, loin de la ville où de bruyantes automobiles passaient sans cesse. Et oui j'en avais visité des villes lors de compétitions, cependant j'aimais ma tranquillité. Chaque soir, en regardant le soleil couchant, un sentiment de quiétude m'envahissait, je m'endormais paisiblement, mes rêves peuplés des personnes qui m'étaient chères. Certains camarades m'avaient parlé de la vie au grand air, vivant comme bon leur semblait, ils rêvaient de liberté, cependant je lui répliquais sans cesse que la liberté était la plus grande des contrainte, je ne rêvais pas cette vie sans but, avec un avenir incertain. Je voulais simplement être moi, moi et seulement moi, entouré de cette nature verdoyante et tout ce que j'aimais. Les quelques balades que je faisais étaient agréables mais je ressentais toujours ce pincement au cœur en m'éloignant de mon logis. C'est dans ces moments que les humains étaient une sorte de baume qui me réchauffait doucement, me rassurant par de tendres caresses, par de doux murmures. Ah … comme j'aimais cette vie, j'aurais voulu que jamais elle ne s’arrête, qu'elle continue, pour toujours. Ma mère était toujours avec nous, elle s'occupait de nous, malgré le fait que nous soyons séparés du fait de nos entraînements. Je sentais son regard protecteur sur moi, m’apaisant. Je n'étais pas d'une nature impulsive, je restais calme et posé, mais je m'inquiétais pour un rien, j'avais besoin d'une présence continuelle à mes côté. De quoi avais-je peur ? Je ne savais pas, la seule chose dont j'étais sûr c'était que je ne voulais pas changer.

Cependant toute chose avait une fin et je ne n'aurais jamais imaginé que ma vie bascule aussi vite...

Pourquoi moi ? Pourquoi ce jour ? Pourquoi ? Pourquoi ? Telles étaient les questions que je me posais. Ce jour où quelque chose se brisa en moi, un petit quelque chose que je n'identifiais pas immédiatement, de nouveaux sentiments firent surface en moi, Peur, Haine, Colère, Solitude et bien d'autres … En ce triste jour ou d'un monde coloré je tombais dans un abysse sans fond, avec pour seule couleur le noir, immense, insondable, infinie …. je me souviens de cette nuit comme si c'était hier... Alors que je m'étais couché dans mon box, un bruit sourd me fit dresser les oreilles, un mauvais pressentiment c'était emparé de moi, une boule se forma au creux de mon estomac, ce sentiment c'était la Peur, de quoi je ne savais pas. Ne pouvant me débarrasser de cette impression je fis semblant de dormir, veillant à garder une respiration calme. Soudain je sentis une odeur... celle des humains, mais que feraient des humains à une heure si tardive, en pleine nuit ? Un cliquetis se fit entendre et la porte de mon box grinça, je ne fis aucun mouvement et je sentis une main s'agripper à ma crinière et la tirer fermement. Je ne pus retenir un hennissement de douleur et j'ouvrais les yeux, pour voir deux hommes habillés de noir tenant des cordes et des fusils. Mon cœur bondit dans ma poitrine, par instinct je me cambrais et tentais désespérément d'échapper à la poigne de l'homme, peine perdue, je me sentis tirer et bientôt je me retrouvais près du champs d'entraînement, je hennissais, réveillant ainsi mes compagnons qui hennirent de concert tentant de sortir de leur box pour me venir en aide. Ma mère sortit de son box mais un des homme lui tira dessus, terrifié, je vis ma mère s’effondrer, une flèche tranquillisante fichée dans son flanc. Pris de colère je redoublais d'effort pour m’échapper et soudain une pensée me vint. Il fallait absolument que je m’enfuis sinon ces hommes pourraient s'en prendre aux autres chevaux. Dans un ultime effort je m'arrachais de la poigne de l'un des hommes et je me sauvais, prenant garde de ne pas galoper trop vite pour que les hommes me suivent. Ces derniers se lancèrent à ma poursuite et une fois dans les bois je me mis à courir de toute mes forces pour mettre un maximum de distance entre eux et moi. Il en allait de ma survie. Quelques heures plus tard je m’arrêtais près d'un petit lac et m'observais d'un œil critique, mes crins d'habitude blancs, étaient maculés de terre, je tremblais de tout mon corps et je me sentis soudain très fatigué, sans m'en rendre compte je m’endormis.

Un hennissement lointain me réveilla peu avant l'aube et je mis un certain temps

avant de me rappeler de ce qu'il s'était passé, croyant qu'il s'agissait d'un rêve. Seulement la réalité était toute autre, je me trouvais au milieu du bois dans lequel j'avais l'habitude de me promener avec mes compagnons, à l’entente de ces mots je ne pus retenir mes larmes, j'espérais que rien ne leur soit arrivé... l'espace d'un instant je fus tenté de faire machine arrière et de rentrer au club mais j'oubliais vite cette idée, peut-être que les hommes étaient toujours là.... Un second hennissement, plus proche cette fois se fit entendre, je répondis, bien que je sache que je ne connaissait pas le cheval à qui appartenait cette voix, cependant cette dernière me semblait douce. Je me levais péniblement et je me dirigeais vers cette voix inconnue, j’aperçus alors un cheval couleur jais, les crins soyeux, il buvait dans une flaque d'eau ; apeuré, je m'approchais de lui et j'émis un petit hennissement. L'autre cheval se retourna brusquement, sur ses gardes, je reculais, l'étalon me jeta un coup d’œil et dut me juger inoffensif car il se détourna de moi. Plus loin je vis une jument baie, qui me jeta un bref regard avant de s'approcher de moi. Toujours autant apeuré je me recroquevillais sur moi même. Une fois la jument devant moi, elle m'interrogea sur ma présence ici, et je lui contais mes aventures. Elle me proposa de rester avec elle et son groupe et j'acceptais sans réfléchir. A ce moment j'avais trop peur de rester seul, je me mis en route à la suite de la jument, qui s'appelait Eclipse, arrivé un peu plus loin elle s’arrêta pour me prévenir que son groupe était sauvage et aimait la vie à l'air libre, après tout ils étaient souverains d'eux même et que la liberté était leur seule devise. C'est ainsi que me retrouvais plongé dans un monde inconnu où je ne pouvais rien faire hormis me taire et écouter. Vint l'heure des présentations, le groupe m’accueillis plutôt chaleureusement, je m'attendais à un moins bon accueil. Il y avait une quinzaine de chevaux qui tous s'approchèrent de moi pour me souhaiter la bienvenue, hormis l'étalon Jais, qui refusa de m'approcher. Il ne semblait vraiment pas m’apprécier. La nuit approchant je me fis une place dans un coin à l'écart, je sombrais vite dans le sommeil. Ce dernier fut peuplé de cauchemars où je revoyais ma famille, mes amis, mes compagnons, tous le monde mort, à cause des braconniers, car ces deux hommes ne pouvaient être que des braconniers pour agir ainsi. Et puis qui sait, peut-être que les autres étaient plus heureux sans moi pour être un fardeau. Cette pensée brisa le peu de sentiment qu'il me restait et je décidais de ne plus penser à rien jusqu'au lendemain. Lequel arriva trop vite à mon goût.

Je dû goûter à la vrai vie, celle d'un cheval sauvage. Imaginez un cheval ayant vécut toute sa vie en captivité, soudain laissé seul, devant trouver sa nourriture, trouver son eau....

les débuts furent difficiles, l'étalon jais, aussi appelé Tempête, pour son pelage couleur jais et son caractère froid, me traitant constamment de poids inutile qui retardait le groupe. Je ne savais pas quoi répondre et me contentais de baisser les oreilles et de m’éloigner. Eclipse quand à elle m'apprit les rudiments de la vie au grand air, ainsi j'appris à chasser avec le groupe, à partager avec mes nouveaux compagnons de route, le changement de nourriture fut compliqué, je ne mangeais que du foin, des pommes et des carottes au club tandis qu'ici je me nourrissais de tout ce qui était comestible pour survivre, car la vie sauvage consistait plus à survivre que vivre vraiment. Doucement je changeais, je devins plus téméraire, laissant place à mes instincts, je pris goût à la liberté, regardant les paysages verdoyants, me gorgeant de la vision enchanteresse des collines et montagnes, malgré le manque de ma famille. Je ne pouvais plus revenir en arrière, je ne pouvais plus regarder le passé, je devais vivre au présent pour aujourd’hui t pour demain. Petit à petit je répondis à Tempête avec plus de répondant que je ne l'aurais cru. Depuis ce jour ou je lui avais prouvé ma détermination, il me laissa tranquille et ne cessa de me traiter de moins que rien. La vie commençait à reprendre son court normal. Chaque jour apportant son lot quotidien de chagrin, de perte, de joie, de surprise.

Malgré tout, chaque chose à une fin, toute histoire se finit, et il est temps pour moi de finir ce récit, de laisser mes pensées en paix, de ne plus ressasser le passé inutilement

, de vivre tout simplement. Je suis sûr que ma mère serait heureuse que j'ai une belle vie. C'est ainsi que cette histoire s'achève pour vous, qui viendrez après moi, n'oubliez pas ceci : la vie, malgré toutes les épreuves qu'elle comporte est une chose magnifique que chacun doit chérir. Après chaque défaite, il faut se relever et ne pas sombrer. A vous mes compagnons ; courrez, pour aujourd’hui, pour notre futur, pour votre futur et pour ceux que vous aimez …. Le vent portera toujours l’écho de nos voix à jamais mêlées, malgré la distance, et la douleur. Cette flamme dans nos cœur restera à jamais allumée, cette flamme nommée « Espoir ».

As tu finis ?? =)

Oui j'ai fini Smile

Ok d'acc !! =)

J'essaye de corriger ça ce week end ! =D

Merci !

Correction de Blé :

« Presentation. » 1/ 2
Trop basique à mon goût...
L'écriture est un peu trop petite ce qui gêne à la lecture.

* Pour améliorer : Peut être mettre le texte en "justifier" afin d'égaliser tes lignes. Passer des lignes entre les paragraphes pour aèrer. Et pourquoi pas ajouter une petite image, un peu de musique ?

« Thème & Consignes. » 4 / 5

Bon respect des consignes, même si pour moi il manque un peu de description et un peu de sentiment !

« Vocabulaire & Formation des phrases. » 2 / 3 + 1 / 3
Un vocabulaire assez développé, agréable. Par contre, certain mot sont inapproprié pour ton personnage qui est un cheval ( fusil, fléche tranquillisante... comment connait-il tout cela ?). Tu utilise aussi parfois des mots trop fort ( apeuré : intimidé, aurait été plus approprié ! =))

Une mauvaise formation des phrases : beaucoup de ponctuation inutile, ou mal placée, ce qui casse le rythme et rend le texte assez désagréable à lire. Des mots de liaison eux aussi mal placés.

« Style. » 2 / 4

Ton style d'écriture est bon. Tu utilise un vocabulaire simple mais appréciable. le gros soucis, c'est la formation de test phrases... il faut vraiment que tu revois les utilisations de la ponctuation... Il manque des majuscules, des phrases sont trop longues coupées par des virgules, deux points inutiles.... Ca gâche.

Et aussi, ton personnage est un cheval, ce n'est pas un humain, il ne peut pas tout connaître et parfois tu utilises des mots qui sorte du contexte animal. Du coup cela fait bizarre, inapproprié.

« Orthographe, Grammaire, Conjugaison. » 1 / 3
Bon orthographe, quelques fautes.
Mauvaise ponctuation.

[/justify]

Note ; 11 /20
Rang ; Pirate

[font=Georgia]

Merci

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