Who are you ? [petite Ombre]

Petite Sphère
Qui est tu ?

Sphère se tourna et se retourna sur sa mousse, elle ne trouvait pas le sommeil, elle s’ennuyait.
Elle resta un moment, allongée, sans vouloir bouger, ses paupières étaient mi-closes, ses muscles étaient engourdis. Sphère se décida enfin à se lever, elle s’étira, ses muscles roulant sous sa fourrure, elle lâcha un bâillement. Elle voulait faire un peu d’exercices, donc elle se dirigea vers la sortie bordée de lumière. Elle se retrouva sous le soleil qui illuminée le camp, les guerriers suivit de leur apprenti, marchaient vers la forêt, Sphère eu soudain une envie, celle se devenir apprentie et d’avoir à son trou la liberté et un mentor qui saurait lui apprendre l’art du combat !
Elle avnça sous le soleil, puis elle s’ennuyait vite, son exercice finalement elle n’en avait pas plus envie que ça !

Que faire… Seule elle s’ennuyait, elle voulais courir, se croire dans la forêt, en guerrière, ses pattes grises touchant a peine le sol recouvert de feuilles, comme un éclair traversant le ciel, ce serait elle, courant à toutes allures, dans la forêt ! Ce rêve était si prêt et pourtant si loin de la réalité, donc cette question revient, Que faire ? Rester à errer dans le camp, ou essayer de faire quelque chose, ce quelques chose est assez vague, Sphère revint sur terre. La chatonne grise toujours au milieu du camp, seule, elle avait des amis, mais là, elle voulait faire de nouvelles connaissances !

[désolée c'est pas long *-*]

Petite Ombre.

Elle se tourna sur sa couche de mousse, faisant face à ses frères et sœurs ainsi qu'à sa mère. Elle ouvrit ses yeux verts émeraudes et s'étira en baillant. Ses muscles engourdis la forcèrent à se lever en douceur. Elle sortit dehors et regarda le ciel. Tout lui semblait sinistre, sans aucun bonheur, sans aucune envie...

Je pivota vers la pouponnière en entendant quelqu'un en sortir. Une chatonne. Grise. Je soupira un instant et partit d'un pas rapide vers la réserve de nourriture presque à sec. Je 'huma un instant l'air environnant puis attrapa entre mes crocs pointus une souris. Je la déposa au sol et en avala une bouchée, savourant le chair encore tiède. Je frissonna de délice et, une fois me repas fini, je me roula sur le dos en ronronnant. J'aperçus le chef sortir de sa tanière et le fixa. Je voulais un mentor comme lui. Je voulais devenir comme mon père et c'était lui qui l'avais formé. Je me leva sursauta quand la même jeune chatte que tout à l'heure m'adressa la parole. Je la regarda de haut et plissa les yeux.

Petite Sphère
Qui es tu ?

Sphère marchait, à travers tout le camp, elle marchait cherchant du regard quelqu’un pour jouer.
Puis elle remarqua une jeune chatonne d’un blanc merveilleux, une petite boule de lumière blanche se dirigeant vers la petite pile de nourriture. La chatonne blanche préleva une petite
souris, puis elle là mangea avec délice, quand elle eut finis, la chatonne se mit sur le dos. Sphère se dit qu’elle pourrait peut être allez la voir, ou peut être pas, ça dépends se sent t-elle de bonne humeur ou plutôt énervée, elle ne savait pas non plus. Mais pour mettre fin à sa solitude et à son ennuie, la chatonne grise décida d’allez voir cette jeune chatonne blanche,
Sphère s’approcha doucement, d’un pas lent, mais avec beaucoup d’élégance.
Sphère s’avança, puis d’une voix hésitante :

Bonjour, Quel est ton nom ?

La jeune chatonne blanche leva sursauta, regarda Sphère de haut et plissa les yeux,
Sphère sentait que cette chatonne n’avait pas un caractère facile, Sphère recula légèrement et regarda droit dans les yeux la chatonne blanche, d’ailleurs ces yeux étaient d’un vert émeraude. Un vert magnifique, mais la chatonne grise ne voulait pas se soumettre, donc elle bomba le poitrail, et regarda d’un air mauvais cette chatonne, un sentiment passait entre elles,
Mais lequel ? De la haine ? De rage ? De la fierté…
Sphère ne savait pas, mais elle savait qu’elle le découvrirait

Dp :3
Upinou ?

Mon torse se souleva, au rythme de ma respiration. Comme d'habitude, j'étais confrontée à des imbéciles sans nom. Je l'avais déjà vu cette chatonne, nous dormons dans la même tanière. Elle n'est pas comme maintenant. Elle est différente. Là, cette stupide chatte m'imite très mal. Un petit rire moqueur sort de ma bouche entrouverte, dévoilant mes crocs.

- Pfff. Pas la peine de m'imiter. De plus, tu le fais très mal. Je suis bien plus imposante que ça. Bien plus jolie. Plus intelligente et plus mature. Pour qui tu te prends? Tu n'est qu'une gamine, on le voit de loin.

Réussi. Un sourire narquois sur mon visage, je m'assoit et me lèche une patte regardant la réaction de la chatonne. Ah, de la colère. De la haine aussi. Bon, elle m'avait dérangé mais sa réaction m'amusait. Et puis, j'avais besoin d'occupation. J'en avais plus qu'assez de devoir suivre ma mère partout. Ce qu'elle m'agaçait. Pff. Rien que d'y penser...

- Alors tu es muette? Ou alors tu as trop peur pour répondre. Pitoyable. Et après tu essaye de m'imiter. Quelle imbécile.

Gagné.Je lance la compte à rebours. 1.... 2...3... Et puis là, elle s'enerve et commence à feuler.

La chatonne cligna des yeux en attendant la réaction de la belle blanche lâcha un ricanement laissant entre apercevoir ses crocs.

- Pfff. Pas la peine de m'imiter. De plus, tu le fais très mal. Je suis bien plus imposante que ça. Bien plus jolie. Plus intelligente et plus mature. Pour qui tu te prends? Tu n'est qu'une gamine, on le voit de loin.

Pff mais pour qui elle se prends cette peste sortit de nulle part. Et puis d’abord je ne suis pas moche, mais je suis mature et intelligente !
La peste blanche s’assit et se lécha une patte tout en ne quittant Sphère des yeux.

- Alors tu es muette? Ou alors tu as trop peur pour répondre. Pitoyable. Et après tu essaye de m'imiter. Quelle imbécile.

Sphère sortit les griffes et montra les crocs. Elle martela le sol de sa patte avant et feula :

Moi, franchement je suis plutôt jolie ok ! Peut être pas autant que toi mais niveau intelligence je croit que je domine... Non mais franchement tu te crois vraiment mature ?

Sur ces mots la chatonne se calma, elle pensait l’avoir remit à sa place. Elle s’allongea à son tour devant la chatonne et ricana puis fit une courte toilette...

La chatte grise crut gagner. Et elle se trouvait belle, intelligente et mature. Pfff. Une réponse sanglante... douloureuse. Oui. Elle avait trouvé. Niark. Elle ne put s’empêcher de ricaner, s'imaginant la tête de sa cible. De plus la chatonne était bête. Cela se voyait tout de suite. Quelqu'un qui croit que l'on a tout en une fraction de seconde. Quelqu'un qui croit que tout est facile. Ses griffes se plantèrent dans la terre. Elle, ça avait toujours était difficile, mais elle était toujours sortie vanqueur. Et cela la rendait mature. Pas comme cette chatte qui attendait patiemment qu'on lui donne à manger. Elle, elle avait déjà chasser. Plusieurs foix. Et elle avait même virer une solitaire des terres de son clan.

- Oui je le suis. Moi je n'attend pas, comme une chatte domestique, que les guerriers m'apportes de la nourriture. Je chasse pour moi. Je n'ai besoin de personne. Et moi, je viens de ce clan. J'y suis né, ainsi que mes parents. Mais toi? D'où viens-tu pour te croire plus forte et plus intelligente que tout le monde?

Et Sbaff. Bien fait. Elle se lécha les babines et reprit sa toilettes. Cela commençait à l'amuser.

La chatonne s’emballant trop vite ne remarqua pas les airs pris par la boule blanche. Elle fit un sourire quand l’autre miaula d’un ton es plus pénible qu’il soit, enfin pour Sphère.

- Oui je le suis. Moi je n'attend pas, comme une chatte domestique, que les guerriers m'apportes de la nourriture. Je chasse pour moi. Je n'ai besoin de personne. Et moi, je viens de ce clan. J'y suis né, ainsi que mes parents. Mais toi? D'où viens-tu pour te croire plus forte et plus intelligente que tout le monde?

Grrr... Mais qui... Que...Argh. Elle, cette chatonne blanche, mais pour qui se prends t-elle ? Pour une diva des marécages possédant des pouvoirs de la beauté et de l’intelligence. Pfff.
Elle n’a aucun pouvoir, a part peut être celui de la stupidité et celui de la boue peut être elle ne vaut rien d’autre que un gros tas de boue bien fraîche et qui colle bien au pelage. La chatonne grise grogna et arracher un petit tas de terre fraîche. Elle fixa la blanchette avaec un regard mauvais et lui feula :

Je ne crois pas que tu es vraiment déjà chassé... Ou si ! Peut être un animal déjà mort ? Ou bien non... même pas un animal mort t’aurait sûrement tout de même échappé !

Et bien ! Hehehe... elle l’avait bien mérité et tien ? Pourquoi ne pas en remettre une dose.

Et au fait ! Evite de te prendre pour une diva avec moi, tu n’es rien d’autre qu’une chatonne normale, pas mature et bien sur complètement idiote. Car franchement je n’ai rien à t’envier.

Et voilà, par contre était-elle remise à sa place ? Hum... pas sur car cette femelle n’est pas prête de se laisser faire. Bon... déjà. Elle avait pu montrer son niveau et encore elle n’étai pas au maximum...

Je la regarda. Et le sourire carnassier qui se dessina l'aurait fait reculer si elle l'avait vu. Oh une diva? Rien à envier? Stupide? Idiote? Qui avait osé s'adresser au chat blanc sale quand il est arrivé? Cette stupide chatonne avait juste murmuré. Moi, j'avais parlé bien haut, bien fort et tout le monde m'avait entendu. J'étais courageuse, belle, et mature. Ça je le savais, mais je ne m'en vantais pas. Je ne me dandinai pas, essayant de montrer une beauté imaginaire. Non, ma beauté à moi, elle était naturel et toujours présente. Magnifique. Époustouflante. Mais discrète. Et donc, je décida d'ignorer les paroles stupides de la femelle grise.

- T'es bète, moche, stupide et immature. POint. Tu te souviens de l'arrivé de notre lieutenant? Tu n'as rien trouvé mieux que de murmurer. Mais moi, j'ai parlé fort et tout le monde m'a entendu.

Et baff. Bien fait. Je pivota et m'éloigna, sortant du clan comme si de rien n'était. Et j'entendis des pas derrière moi.

- T'es bète, moche, stupide et immature. POint. Tu te souviens de l'arrivé de notre lieutenant? Tu n'as rien trouvé mieux que de murmurer. Mais moi, j'ai parlé fort et tout le monde m'a entendu.

PFF.... Elle énerve Sphère. OH ! Que oui ! Allait-elle se jeter sur elle et lui arracher la fourrure ? Où Lui arracher une oreille ? Ou... Encore mieux ! La mordre à la patte, à la queue, à la nuque... Bref. La traumatiser. La faire saigner ! Elle en crevait d’envie. ET elle n’allait sûrement pas se gêner !

Sur ces mots la chatonne blanche partit. Elle se dirigea vers l’entrée et la franchissa.
Sphère la regarda, elle ne cherchait même pas à le faire discrètement, elle le faisait comme ça. D’une traite. Sphère regarda le corps de la femelle blanche s’éloigner dans les bois. Sphère n’hésita pas. Elle se fit un bon petit Sprint et rejoignit fit fait Ombre.
Elle feula :

Alors ! Tu doutes de mes capacités. Et bien tu vas êtres servi !

Sphère s’arrêta net. Elle le va le museau, une odeur de proie flottait dans l’air. Elle s’abaissa et repéra directement le petit écureuil fouinant dans les feuilles. Elle était en plus sous le vent... Elle se prépara, bonne position. La femelle grise sauta dans les airs et atterrie directement sur l’écureuil. Elle le tua d’u coup de crocs et la posa aux pieds de la femelle blanche.

Hehehe. Alors ?

Puis elle eut un remords, même si elle faisait mieux que elle. Elle se débrouillerait pour la rabaisser....

- Pff. Pourri.

Je me leva et m'étira, comme si de rien n'était. Une souris passa devant moi, effrayée par le raffut causé par Petite Sphère et je l'attrapa d'un seul coup, la tuant, et le jeta en l'air. Elle retomba dans ma bouche ouverte et je le mangea en quelques bouchées. Je partis en trottinant, ignorant l'autre boulet qui me regardait avec haine. Mais, cette stupide et idiote chatte m'amusait. Bien sur, elle ne le savait pas et je n'allais pas lui montrer si facilement. Un glougloutement attira mon attention. La Rivière. Bien. Très bien. J' accéléra le pas, ne prenant pas la peine de regarder si l'autre imbécile me suivait. Quand l'eau ne fut qu'à quelques queues de renards de moi, je me mis à courir et sauta à l'eau. Je nagea rapidement et gracieusement jusqu'à l'autre rive et remonta sur la terre ferme.

- Alors stupide boulet... tu veux encore me suivre comme un stupide chien suis un bipède?

Je ricana franchement, me moquant ouvertement d'elle.