Mélancolie Démentielle
MODOW SWIE I will never forget you...
Perso 1 : Mélancolie Démentielle / Rivière Perso 2 : Petite Aile / Rivière Perso 3 : Framboise Sauvage / Rivière Nombre de messages : 3703 Age : 30 Puf : Swie ( entre autre !^^)
River Power ! Date d'inscription : 02/05/2009 Points : 4207
Feuille de personnage Affinité: But du félin: Famille:
| Sujet: J'te connais toi, non ? | Nami. | Sam 20 Aoû - 3:08 | |
| Nuage Mystique : Mes pattes foulées le sol avec une grâce quelques peu aérienne. Je parcourais la forêt, sillonnant les sentiers sans but précis. Je laissai mes pattes me guidées, me porter. Je ne savais pas où j'allai et je m'en contre fichai. J'esquivai les racines, bondissais par-dessus les branches, traversais les buissons qui barrait ma route. Je finis par débouchée sur une prairie inondée par le soleil. Je reculai dans l'ombre surprise par tant de lumière d'un coup. Mes yeux c'étaient fermées d'eux même, afin de se protéger. Je pestai contre moi même pour mon inadvertance. Lorsque mes yeux se rouvrirent, une tâche sombre volait au milieu de ma vision, brouillard mon regard. Je papillonnai des yeux, tentant de chasser cette tâche noire et petite à petite, sa circonférence diminua pour finalement disparaître. Un sourire de satisfaction, certes aux allures quelques peu naïves il faut l'avouer, éclaira mon visage. je me dirigeai vers la lumière, m'intéressant pour la première fois à ma destination, enfin à mon arrivée. Mes yeux désormais habituée à la clarté du lieu, fouillèrent la plaine déserte. L'herbe inondé de lumière était d'un vert pomme presque irréelle, le ciel était lui aussi d'une beauté à coupé le souffle ; pas un seul nuage ne venait troublé l'azur des cieux. Vert et bleu se mélangeait avec un accord quasi parfait s'étendant jusqu'à l'infinie de l'horizon. Une brise tiède fouettait dans un rythme régulier la petite prairie. L'herbe impuissante contre cette force invisible et mystique courbait l'échine docilement. La jeunette connaissais cet endroit, ou plutôt, elle le reconnaissait. Elle était sur d'être déjà venu ici, persuadé d'avoir déjà foulé cette plaine, d'avoir savourer le chatouillement de ces hautes herbes. Mais dans quelles circonstances et surtout quand, elle l'ignorait. Sa mémoire était comme embrumée, voilée par un film opaque. Sans ce préoccuper d'avantage de ces brides de souvenirs fictifs, elle s'engouffra dans la plaine. Les herbe lui chatouillaient le ventre à chacun de ses pas. Elle sentait la caresse du vent sur son pelage, savourant cette infime fraicheur au milieu de la chaleur étouffante de cette journée estivale. Ses yeux émeraude parcouraient tranquillement cette horizon de verdure. Tout était calme et tranquille autour d'elle. La féline parcourut encore quelques mètres avant de s'immobiliser. Elle leva ensuite les yeux vers le firmaments et les ferma. La jeunette savoura la caresse des rayons astraux qui venaient dansés sur son pelage ébène, l'inondant d'une multitude de reflets bleutés, presque irréelles. Au bout de plusieurs minutes, la féline rouvrit les yeux, éblouis pendant quelques secondes, elle plissa les yeux et parcourut du regard les environs. D'où venait donc cette sensation. Ce sentiment tout droit sortit de son sixième sens-enfin s'il existait bien évidement-. Qui pouvait bien être à l'origine de cette sensation ? Tout au fond d'elle, un sonnette d'alarme hurlait. Les oreilles pointées vers l'avant, pivotant au moindre froissement, l'échine gonflée par l'inquiétude, la féline continua inlassablement sa recherchant. Cherchant la source de son malaise. En effet, depuis quelques secondes, la chatte avait la désagréable impression d'être observé. Pourtant, personne à l'horizon. Elle était seule. A moins que... La chatte soupira doucement et lentement, mais avec assurance, elle pivota sur elle même. Lorsqu'elle s'immobilisa, son regard parcourut l'horizon. Personne. Pourtant, elle en était sure, elle était persuadé que celui ou celle qui l'observait était terré par loin : -" J'ai horreur de jouer au chat et à la souris, surtout quand je suis la souris. Si tu veux bien te montrer, cela serait plus simple pour nous deux."
Sur le coup, elle ne comprit pas les raisons de ces paroles et surtout, elle ne comprit pas pourquoi elle les avaient dites. Mais après une furtive réflexion, elle se dit que finalement, ce n'était pas si bête que cela. | |
|