Carefree ~ Stop and Start
Une chouette hulula. Sans bouger, j'ouvris mes yeux vert émeraude. Je ne bougeais toujours pas. La douce lueur de la lune venait lècher mon museau tigré. La pleine Lune. Je referma les yeux. Je repenssait au assemblés des clans. Je soupira doucement. Cela ne me concernais plus maintenant. J'avoue m,ennuyer de la chaleureuse vie de clan. Se réveiller la matin, manger et aller chasser ou patrouiller. Je souris. mais mon sourir s'effaça aussi vite. Quelle genre de sanguinaire étais-je si je voulais vivre parmis tous ces chats insouciant? Arffh... Encore. Le grand Coeur de d'Insouciance s'ennuyait de sa vie de chat de clan. Je me leva et parti me promener pour me changer les idée. Je sortis sans réveiller Coeur de Lilas et sa compagne qui avaient eux l'hospitalité nécessaire pour m'héberger t'en que je ne trouve pas un endroit pour dormir. Mes pas me guidèrent vers le terrains des bipèdes. Qu'allais-je faire la? La noirceur était presque totale maintenant, sous les épais pins ou je me trouvais en se moment. Mais un filet de lune passait à travers les branches pour éclaircir ma voix, mon chemin. J'avancais toujours et bondis même sur une des clotures des bipèdes. Mais que fesais-je l'a moi?
je fixais d'autres buissons de la foret. Le lune commencait à peine à décliner. Quand tout à coup, je vis un ombre passer. Pénombre parmis les ombres. C'était belle et bien une silhouette. De chat? Sûrement. Je huma l'air pour confirmer mes doutes. Une chatte domestique sûrement. Je revis l'ombre passer. Une chatte, hein? Une chatte à violée peut-être? Des nouveaux chatons pour la bande? je souris à mes pensées. Je décida de déscendre pour parler un peut à cette chatte, peut-être future mère de mes enfants, hein? Je souris encore. Je sautas en bas et m,approcha des buissons. Elle avait du se cacher parce que je ne la voyais pas du tout. Quand tout à coup, je vis ses yeux argentée briller dans le noir. Les yeux gris me fixait aussi. Je les regarda un moment sans réagir. ... Après un bref moment de comtemplation, je baissa la tête pour mette nos tête à la même altitude et demanda gentillement:
«Que fais-tu ici?»