[À Bloquer]

On était sorti avec maman pour aller boire au ruisseau. Elle avait emmené avec nous tous les chatons assez vieux pour faire le voyage. J'avais faim,et le jeu de cache-cache avec les autres m'avaient épuisé. J'avais donc été assez niais pour manger des baies inconnus qui avait calmé ma faim, et j'étais vite reparti jouer avec les autres. Je m'étais caché dans un arbre, et le sommeil m'était tombé dessus. Des graines de pavot, j'avais mangé des graines de pavot! Malheureusement pour moi, l'arbre où j'étais était très feuillu et très odorant, il était donc impossible de me trouver. Mon sommeil avait été agité, et j'avais entendu les guerriers de mon clan partir à ma recherche, mais les graines de pavot paralysait mes membres, et je ne pouvais pas les prévenir de ma présence. Au final, je les avait entendu dire que j'avais surement été dévoré par un prédateur...

Maintenant, je suis parfaitement réveillé et parfaitement perdu. Je ne connais pas le chemin qui mène jusque chez moi. Je commence donc à marcher vers une direction choisit au hasard. La nuit, la forêt est terrifiante. Les arbres ressemblent à des monstres qui tendent leurs doigts crochus vers moi, et tous les bruits me font sursauter. J'ai dormi toute la journée et toute la nuit, car je vois le soleil montrer le bout de son nez. Je poursuit donc mon chemin, car les alentours devienne de plus en plus familier, mais tout à coup je réalise que je ne suis pas du tout au bonne endroit. Plusieurs odeurs étouffantes flottent dans l'air, des odeurs que j'ai déjà senti... Où... entendez... ces odeurs... la guérisseuse! Ces odeurs sont celles de la tanière de notre guérisseuse. Je suis entouré de plantes médicales inconnus, qui pourraient être meurtrières! Je me tapi sur le sol, terrifié, mais soudain, un bruissement de feuille, un grognement et un aboiement. Je me retourne...

Un chien!

-Au secours!

Au, que j'ai soif! A force de devoir restée là, j'ai oubliée à quel point j'avais soif! Le problème c'est que je dois alléter mes chatons. Ils vont mourir sans moi! C'est alors que je vois mon compagnon, un apprenti mais mon compagnon. Il s'approcha de moi et me demanda si je voulais de la mousse imbibée d'eau.

- Non! Je veux moi même allez boire mais je peux pas laisser mes petits.
- Moi je peux si tu veux!

Celle qui me parla étais une chatte aussi à la pouponnière mais ses chatons pouvais manger de la viande maintenant. Je la remercia chaleureusement et partis. A la lisière du camp, je choisi quelle destination je pourrais prendre. La rivière! Elle étais fraîche à cette saison et le clan de la rivière n'étais que de l'autre côté de la rive. Je galopa donc vers la rivière, m'asséchant de plus en plus la gorge. J'y parvint enfin! J'avais oubliée à quel point l'eau était si bonne et qu'il était bon de se désaltérer à une rivière. Et si j'allais me promener. Oui, ce serai une petite sorti! Je marchai en remontant le court d'eau quand j'arrivai à un guet, j'entendit une voix :

- Au secour!!!

Je passa le guet et fila ventre à terre dans la direction de la voix. Franchissant sans me rendre compte du marquage du clan ennemie, je parvint enfin, au bout de quelque instants à identifier celui qui m'avait appeller. Un chien avais bloqué un chaton. Celui-ci étais piégé dans une barrière de ronce d'un côté, deux arbres sur les côtés et le chien devant lui. Je me posta derrière le chien, la fourrures hérisée, les babines retroussées et poussa un feulement pour attirer l'atention du molose.

J'étais bloqué, impossible de m'échapper. Je continuais à pousser des miaulements de détresse, mais je n'avais aucun espoir que quelqu'un vienne me sauver. Tout à coup, un feulement retentit. Derrière le chien, une chatte dorée venait d'apparaître. Elle s'était hérissé, les dents dévoilés, et moi-même j'avais peur de cette chatte furieuse. Le chien se retourna, et lorsqu'il vit la chatte, il se mit à aboyer, s'accroupissant, prêt à bondir. Paniqué à l'idée que la chatte soit blessée, je sautais sur le derrière du chien, plantant mes petites griffes dans sa chair, faisant coulé le sang sur mes patte blanches. Hurlant de douleur, le chien se laissa tomber et se roula sur le dos, me coinçant sous lui.

Je vu que le chaton s'étais fait écrasé par le chien et je sauta alors sur le prédateur, toutes griffes dehors. De mes pattes arrières, je lui labourait le dos tandis qu'avec celle de devant je m'agripais ce qui fit levé le chien et de ses crocs, essaya de me mordre mais il ne parvint pas à m'attraper. Je vis avec horreur que le chaton, écrasé sous le poid de l'animal, était incontient et à la vitesse de l'éclair, je bondit, pris le félin par la peau du cou et grimpa sur un des chênes, à l'abri du chien. Je posa le chaton à l'intersection d'une branche et me mis à le lécher vigoureusement, espérant qu'il remu. et c'est au bout de quelque minutes que le chaton poussa un petit miaulement et referma les yeux. Il était dans le coma.

J'étouffais.

Noir

J'entendais... aboiement, feulement, mais je ne voyais rien. Je sentis tout à coup qu'on me tirait par le coup, comme Fleur Éternelle faisait quand j'étais plus petit. On me déposa dans le creux de quelque chose, un arbre, compris-je à l'odeur, et on me lécha vigoureusement. Je pris toute l'énergie qui me restait et poussa le plus faible miaulement de toute mon existence.

Énergie Perdu

Épuisement Total

Noir

Que dois-je faire? Si je reste ici, le chaton risque de mourir mais le chien ne va pas partir. Je me souvint qu'un jour notre guerrisseuse m'avais donner quelques conseil : le pas-d'âne est contre les problèmes de respirations!!!
Alors, où en trouver? Je remarqua un gros plan derrière le molosse et avec un saut prodigieux, j'alla vers la plante mais zut, ce n'étais pas du pas-d'âne. Une idée me parvint quand je vit que le chien était à mes trousses. A la vitesse de l'éclair, je pris le chaton par la peau du coup et fila vers la rivière. Je remarqua que des pierres émergeaient de l'eau et sauta à la fin sur la rive opposée, à l'abri du prédateur. Je pris le chaton et l'emmena sous un buisson d'aubépine, sur un lit de mousse que j'avais installé avant. Je ne savais pas ce que je devait faire et le chaton étais encore endormit. Je me coucha à côté de lui, espérant qu'un jour, il se réveille.

J'étais toujours conscient de mon environnement, je sentais toutes les odeurs qui m'entouraient, j'entendais tous, mais je ne voyais pas et j'étais muet. Je sentis bientôt des dents s'enfoncer à nouveau dans mon cou, et je partis dans les airs. J'avais l'impression de voler, et ç'aurait été génial si je n'avais pas été aussi mal en point. Car je le sentais bien, que j'étais amoché! Tout mon corps faisait affreusement mal, et des hauts le coeur me prenaient régulièrement. On me déposa alors sur une surface plane, et je savais que j'étais revenu au sol. J'entendais encore les aboiements du chien, mais ils étaient assez loin pour que je n'en soit pas inquiètez.

Je savais exactement ce qui m'arrivait. Les anciens nous avaient une fois raconter l'histoire d'un chat qui était tombé d'une falaise et qui était resté inconscient durant une lune entière! Lorsqu'il s'était enfin réveillé, il leur avait raconté qu'il avait entendu tout ce qu'ils disaient, même si il était inconscient.

C'était exactement mon état. Je luttais pour bouger mes pattes, mais j'en était incapable. Si seulement j'étais capable de retourner chez moi. Notre guérisseuse savais qu'elle remède j'avais besoin... Je luttais pour ouvrir mes yeux, et j'y réussi à peine. Je vis une chatte couché devant moi, me regardant d'un air inquiet. Je savais que je n'avais pas beaucoup de temps, car les périodes de réveille d'un comateux durait étaient toujours très courte...

- Amène ...moi .... chez moi.... je t'en prie!


Puis je me laissais retomber sur le sol, épuisé.

j' entendit la suplique du chaton et j'hésita car le chien rodait toujours et le chaton était toujours mal en point. Finalment j'opina et me dirigeatoujours en prenant Boule de Granit, vers l'amont, le plus loin du chien. Je repèra un arbre, couché perpendiculairement à la rivière, dessus mais en plein milieu. Il était éloignée des deux berges à quelques longueurs de queue et un saut aussi majestueux n'arrivait pas souvent dans la vraie vie. J'alla vers ce tronc et en y croyant jusqu'au bout, je réussis à atteindre le passage improvisé. J'avança de quelque pas, très méfiante et encore une fois, resauta sur la rive. J'y étais arrivée! Je me mit à trottiner, essayant de repérer une patrouille, mais nul ne vient rompre ce calme silancieux. Je m'inquiéta pour l'état de la petit boule de poil car il réspirait de moins en moins. Je commença à courir, ne savant pas de quel côté était son camps. Puis un miracle se produisit et un chat couvert de poussière d'étoile se présenta devant moi et m'indiqua le chemin à suivre. J'étais à la fois heureuse et émerveillait. La première fois qu'ils me rendent visites! Je vis enfin le camps de la Rivière, bordés de roseaux et entourées d'eau. Je vis un chat aller vers moi et alors, après avoir ressus des menaces, je lui éxpliqua tout. Et il m'emmena dans son camps.

[Désolé du TRÈS GRAND retard... je cherchais un guérisseur... mais il y en a pas...!!]

**********

Je me réveillais d'un lourd sommeil sous le regard de notre nouvelle guérisseuse Framboise Sauvage. La chatte qui m'avais sauvé était à ses côtés et me regardait avec inquiétude. Mes muscles étaient engourdis et j'étais incapable de bouger, mais je savais que je pouvais leur parler, car je pouvais ouvrir ma gueule et goûter l'air au goût de sérénité. Je regardais donc la chatte qui m'avais sauvé...

- Merci de m'avoir sauvé... Je suis Boule de Granit... Comment puis-je te remercier... Si tu n'avais pas été là, je serais mort et je mangerais les pissenlits par la racine, dis-je avec une pointe d'humour.

Je tentais de me lever, mais Framboise Sauvage me retint et me repoussa pour que je reste coucher. La chatte semblait hésité à répondre, alors j'insistais.

- Je te dois tout, je veux que tu me dises ce que je peux faire pour toi.

Je tentais de prendre un air sévère, mais une pointe de douleur me vrilla le crâne, et je grimaçais. Je gardais toutefois un oeil sur la chatte, qui ne m'avais toujours pas dit son nom.

Je voulait une seule chose, repartir comme si rien ne s'était passé. franchir la frontière avait été extrément risqué et même si j'avait sauvé un chaton, le clan passait avant tout. Je répondit calmement :

- Je ne veux pas de malheur avec ton camp donc se que je veux c'est partir et ne jamais revenir. Merci de prendre la relève Framboise sauvage.

Je cru entendre Nuage de Granite me dire de rester mais je crois que se n'était pas le cas. je parti, sans me retourner, et franchie la frontière avec un soupir de soulagement. Enfin che soie! Je me dit de prévenir les patrouiles du chien et je me demanda si finalement j'aurai préféré revoir Nuage de granit une autre fois pour savoir si tout allait bien pour lui.