Attend que je t'ouvre les veines mon coco! ( PV Tropicana <3 )

Nuage Pourpre
Viens par là si tu veux crever

Nuage Pourpre cligna des yeux. Il se trouvait non plus dans sa tanière mais sur l'un des territoires de ses terres. La Pente de la Dernière cabriole. Drôle de nom. Qui irai à cet endroit faire des roulades? Pour se briser la nuque par contre c'était parfait. Après avoir traverser le Dédale Minier, on tombait sur cette pente, assez abrupte je dois dire. Au début, c'était une pente douce, mais elle devenait très vite une pente très abrupte. Je ne dirai pas à la verticale, mais quand même bien raide. De plus, à son pied, se trouvait un torrant très agité et border par des pierres pointues. L'idée de tomber dans ce flot tumultueux ne le rassurait pas trop. Il soupira et pensa que tout cela était bien débile. Il s'époumona alors.

- Ce n'est qu'un rêve débile! Lâcher moi les coussinets!

Le félin ouvrit des yeux ronds. Un petit chat était pencher sur lui. Il releva la tête brusquement et donna un coup à la petite femelle. Une femelle? Tiens, comme c'est interressant. La pulsion revenait, et en force de plus. L'envie de faire gicler le sang l'appelait. Il fit mine d'être triste et miaula d'un ton apeuré.

- J'ai fais un horrible rêve! Par le Clan des Etoiles! Voudrais tu m'accompagner prendre l'air dans la forêt Nuage Rayonnant?

La chatte rousse opina. Le félidé roux rit de sa propre blague. Ah! Que c'était drôle de voir comment il avait dit "Par le Clan des Etoiles!" Comme un chaton débile. Il reprit ses esprits et ammena la chatte vers un coin où personne ne les entendrait. Une lueur de folie dansait au fond de son oeil pourpre. Il était fou, complètement barjo même! Le minou soupira.

- Ah comme j'aimerai avoir une compagne comme toi...

La féline feula doucement.

- Ah non moi je t'aime pas!! Dégage de là!!

Elle partit au galop. Mais le matou était plus rapide. Il bondit sur elle et lui ouvrit la gorge. Le sang gicla et il ouvrit la bouche pour le recevoir. La bouche grande ouverte sur l'entaille béante, il but le sang, avide. Puis il se lécha les babines et tira le corps. Il essaya tant bien que mal de dépecer sa proie et attrapa un gros bout de chaire et l'avala avec bonheur. Puis il mâchouilla encore un os et lécha la moelle. Mmmh. Un vrai délice. Le rouquin traina vulgairement le corps flasque et mou puis il la jeta dans la rivière. Il déplaça une pierre et la fit tomber sur le corps pour qu'il coule. Une fois que cela fut fait, il alla se rouler devant une tanière abandonnée de renard et rentra au camps pour se rendormir.

Le félin papillona des yeux. Il se leva et fit sa toilette. L'odeur du sang avait disparut. Elle était masquée par l'odeur du renard. Il sortit et croisa sa mère. Il essaya de voiler son regard de tristesse, ce qui réussit.

- Mère... Je suis désolé mais... Nuage Rayonnante est morte... On a été attaqué par un renard.... J'ai filer au camp... et .. je ne sais pas où elle est maintenant...

Coeur d'Encre lui souffla un remerciment et passa son chemin. Le matou était satisfait de son mensonge. Il mentait bien, et le trouvais lui même. Le rouquin se mit à rouler des mécaniques sous le soleil peut courant pour la saison. Il voulais charmer une nouvelle femelle pour passer la nuit, hum... Noces Funèbres? Le chat rit à sa propre blague. Une jeunette tourna la tête en sa direction. Ce n'était pas une jeunette. Elle était plus grande que le matou. Ce dernier la visita du regard. Elle était belle certes, mais c'était une guerrière. Pour le moment il ne s'attaquait pas aux guerrières. Pour le moment. Ses prunelles pourpre parcourèrent le camp. Il remarqua un matou argent et blanc et lui jeta un coup d'oeil dédaigneux. Il le regardait comme tout les autres. Peut importe le pourquoi du comment. Mais le novice n'aimait pas comment ce pauvre chat. Il faisait pitié de voir comment il le fixait. Émettant un "Pff" dédaigneux, il passa devant lui, le giflant avec sa queue. Bien fait. Il lui reglerait son compte quand il en aurait le temps. Mais maintenant, il fallait allez voir. Donner une explication à son rêve. Un sanguinaire qui rêve? Étrange. Bref, le matou roux quitta le camps au petit trot. Il prendrait son temps. Il arriva enfin au Dédale Minier qu'il traversa d'une traite et se retrouva face à La Pente. Soupire. Il s'assit et contempla la raideur de la pente. Ca devrai aller. Il engagea ses pattes sur des pierres, un peu tremblant de son instabilité. Il ne fallait surtout pas regarder en bas. C'est pourtant ce qu'il fit d'un bref coup d'oeil. La pente perdait de la raideur vers le milieu. Puis il y avait des rochers tranchants et enfin, la Rivière. Elle semblait très agitée. Frissonnant, le félin descendit encore un peu. Puis il s'assit et laissa le vent ébourriffer à son gré sa fourrure flamboyante. Elle était maintenant d'un ton pourpre.

" Qu'est ce que tu me veux, Griffe Argenté.

( Hum hum.. UP!! )

Griffe Argentée

La femelle argentée, telle une centaine de paillettes, volait au dessus de Griffe Argentée. Elle lui montra ses crocs d’argent avant de faire tinter son rire aigu. Le mâle lui courrait après dans la petite clairière et fit voler quelques unes de ses paillettes. La belle femelle extraordinaire lui sourit et s’éloigna, lui faisant signe de rester là. Pensant qu’elle le laissait, il l’appela marchant de plus en plus vite dans sa direction mais la distance ne faisait qu’augmenter. Il cria, s’arrachant la voix et la femelle se retourna délicatement elle se posa sur le sol qu’elle semblait si peu fouler et plongea pendant l’éternité son regard dans celui de son compagnon. Elle se mit discrètement dans la position du chasseur, lui se prépara à recevoir le geste le plus affectueux du monde. Elle fit les premier pas lentement et accéléra dangereusement, elle allait plus vite qu’un félin ordinaire, il n’eut même pas le temps de se lever qu’elle plantait déjà ses crocs dans la chair du col de son ennemi. Il cria à en perdre la voix.

En sursaut, Griffe Argentée se leva, il regarda autour de lui l’air peu éveillé et cligna des yeux hardiment. Il constata que l’aube avait déjà laissé place au zénith et il était déjà fort en retard. Il avait prévu de partir seul pour réveiller ses sens et ramener un peu de gibier avant que tout le monde soit levé, il avait là, largement raté son coup. Il porta ses pattes jusqu’à l’extérieur de la tanière des guerriers. Il observa le camp. Les chats s’agitèrent tous sauf un apprenti qui étrangement attirait son attention. Il regarda l’apprenti se lever et s’approcher de lui. Le matou tacheté pensait que celui-ci allait le saluer comme chacun le faisait normalement dans son camp, mais il se trompait. La boule de poil rousse passa trop près de lui et volontairement lui envoya sa queue dans le museau avant de s’éloigner hors du Camp. Griffe Argentée lui jeta un regard mauvais avant de s’avancer vers le tas de gibier. S’il ne chassait pas, il avait quand même le droit de se remplir le ventre, enfin personne ne le saurait.

Il termina rapidement son tout petit mulot et s’éloigna vers la sortie, il avait des choses à régler avec cet apprenti un peu trop hautain, il lui réglerait son compte, pourquoi les gens ne comprenne pas que même si une personne est soit disant gentille, il ne faut pas la traiter comme du pus. Et c’est un ainsi que le temps de la révolution est venu, et que les guerres éclatent, mais Griffe Argentée n’avait que l’envie de détruire l’âme de ce sale poltron qui assumerait les c0nséquences de ses actes. Au moins il en prendrait un peu pour sa gueule, on ne doit jamais manquer de respect à un membre plus haut placé que soit, ça semble évident. Mais le chaton ne semblait pas avoir la même logique que les autres. Et quand Griffe Argentée sera chef il ne voudra surement pas d’un démon irrespectueux dans son Clan.

Le chat tacheté huma l’air avant de se lancer hâtivement sur la trace que l’apprenti avait laissé, involontairement ou non. L’odeur le guida jusqu’au dédale minier qu’il ne connaissait que peu, et cette découverte ne l’enchantait pas. Heureusement, on voyait déjà l’arriver en entrant dedans. Il le contourna et arriva en haut de la pente abrupte qu’il connaissait bien assez. Il remarqua le chaton, les yeux fermé, un peu lui bas, les griffes plantées dans la terre, il avait du avoir l’incompréhensible idée de descendre au risque de se faire tuer, un risque que le guerrier de l’Ombre ne se risquerait pas à prendre. Le chaton flamboyant devint pourpre du pelage et ouvrit les yeux, ces yeux qui lui rappelaient tellement ceux meurtrier de la femelle prophétique de son rêve matinal. Griffe Argentée fut un peu déstabilisé mais n’en laissa rien paraitre. Quand la voix étrangement grave de Nuage Pourpre vint aux oreilles du jeune adulte, il fut prit d’un second sursaut, inattendu.

« Qu'est-ce que tu me veux, Griffe Argentée ? »

Le plus vieux des deux mâle plongea délicatement son regard dans celui du jeunot. Il lui fit un sourire narquois. Il n’avait pas besoin de se justifier mais rien que pour la forme, il le ferait. Il prit le temps de s’asseoir lentement sur ses pattes arrières pour être sur d’avoir le temps de sauter à la gorge de son adversaire en cas d’attaque. Sinon, il pourrait toujours rester simplement éloigné pour parler distinctement à son adversaire et l’attaquer de lui-même si l’envie lui en venait. De sa hauteur, quoi qu’il se passe, il était en avantage. Il ferma ses yeux et pensa longuement à sa réponse, quand enfin il les ouvrit, la réponse lui vint tout simplement. Il répondit même en souriait, de manière aussi hautaine et irrespectueuse que le geste de l’apprenti le matin même.

« Je ne me laisserai simplement pas gifler par un apprenti de ton espèce. »

[Désolée du retard. Et le résultat est pas top ! Encore désolée.]

Nuage Pourpre avait ouvert les yeux. Ses prunelles rougeoyantes avaient fixé un instant le guerrier puis d'un battement de cils s'étaient détourné. Le félin n'en avait strictement rien à faire. Le nom de ce chat gris blanc avait, ne serait ce qu'une fraction de secondes, effleuré son jeune esprit, bien que très mature. Il pensait à tout. A rien. Ses longs cils se posèrent un instant sur ses joues. Puis ils se relevèrent, comme une huître qui s'ouvre pour donner sa perle. La perle, c'était ses yeux. L'on y lisait rien. Le seul détail frappant était sa couleur. Non pas un rouge flash. Un rouge carmin, opaque. Un mélange de tout un tas de couleur qui donnait au final un rouge pourpre. Mais quand on se mettait à côté de lui et que l'on voyait le profil de son oeil, si le soleil parvenait à le percer de ses rayons, l'on voyait un camaïeux de rouge et de orange. Il y en avait pour tout les goûts. Allant du vermillon au pourpre en passant pas le orangé et le rouge sang. Tout ça enfermé dans une simple prunelle.
Ces prunelles justement se promenaient un peu partout vers l'horizon. C'était la fin de l'après-midi et le ciel prenait une teinte rosée. Le soleil illuminait la fourrure rousse du jeunot, lui donnant une robe de flamme. Ainsi paré, son physique donnait des frissons à tout le monde. Mais quand était il de son moral?

Au fond de lui même, Stigma, car seul ce nom était le sien, bouillonnait. Il n'avait qu'une envie. Se jeter à la tête de ce crétin. Il n'avait que ça à faire dans sa journée que de trimabaler son p'tit c*l?! Sûrement pas. Mais ce n'était pas son problème. Soudain, ses oreilles s'agitèrent. Il entendit vibrer le sons dans les cordes vocales du chat gris. Il sentit sa voix s'engouffrer dans sa bouche pour en sortir finalement.

« Je ne me laisserai simplement pas gifler par un apprenti de ton espèce. »

Le félin ne put s'empêcher de rire. Un rire sadique et moqueur. Il pivota sur lui même, les yeux fermés, pour ne les ouvrir que quand il fut face au dénommé Griffe Argenté. Il le fixa un instant, le défiant du regard. Puis il s'ébroua et se propulsa dans les airs. Grâce à Upsilon, le spartiate qui avait été son premier mentor et Mélodie des Brumes, son second mentor, il avait acquit des techniques perfectionnés et son atout, entre autre, était la puissance et la vitesse. Il avait également beaucoup d'équilibre et adorait défier les lois de la pesanteur. Il resta un moment suspendu dans les airs puis atterrit face au guerrier qui semblait surpris. Peut importe s'il l'était vraiment. Il avait atterrit avec souplesse et grâce, et prolongea son élan pour marcher en faisant rouler ses muscles des épaules tout autour de ce chat comme un fauve attendant le moment propice pour tuer sa proie. Un rictus infâme modifia l'expression de son visage. Il ne quitta pas pour autant ce matou des yeux. Puis d'une voix grave et mielleuse, il répondit.

« Et tu es venu jusqu'ici pour me demander des excuses? Qu'est ce que tu feras si je ne dis rien? Tu me tueras? Non. Je ne crois pas. Mais si tu veux mourir dis le moi tout de suite, je me ferais un plaisir de m'en charger. Au faite: Tu n'as que ça à faire dans ta journée que de me pister pour m'obliger soi disant à miauler avec une voix terrorisée par ce qu'un grand vilain méchant guerrier va me taper? Bouhou j'ai peur je suis un pauvre chaton!! Non. Tu n'auras d'excuse que .... dans tes rêves! »

Sur ce, il redescendit avec souplesse sans jeter le moindre regard au matou. Il l'avait apparement cloué sur place. Peut être. Peut être pas. Le sanguinaire chercha des yeux un bout de terre assez grand pour pouvoir se battre sans tomber en chute libre à un moment. On ne sait jamais, mieux vaut prendre ses précautions. L'air était par ailleurs chargé d'electricité et le novice sentait bien que le grisou voulait lui sauter à la gorge. Il repéra un morceau de terre et sourit. Puis il se campa sur un rocher, dos à l'abruti. Peut importe. Il avait les sens affinés à l'extrême et pouvais entendre la respiration du chat comme s'il soufflait dans son oreille. Alors il entendrait ses pas et pourrais sûrement prévoir facilement ses actions. Il s'assit sur le large rocher plat et laissa la brise caresser doucement sa belle toison épaisse.

( C'est pas grave du tout t'inquiète ;) )

Attend que je t'ouvre les veines mon coco! ( PV Tropicana <3 ) 2_bmp10

Un gloussement sadique, méchant, moqueur, désagréable, sale sorti du gosier de l’ennemi, il gloussait des paroles que le guerrier tacheté avait prononcées. Le jeune apprenti fit volte-face pour se trouver face au guerrier qui l’observait de son promontoire. L’apprenti fixa le matou tacheté quelques instants, le défiant quelque peu mais le guerrier ne se laissa pas déstabiliser. En un mouvement agile, le chaton sauta de sa plate forme et voleta légèrement dans les airs avant d’atterrir avec grâce à coté de son adversaire. Son visage se modifia quelque peu alors qu’il fit ses premiers pas autour du guerrier tacheté, qui ne cessait de le fixer, prêt à se défendre, il détestait déjà cet arrogant petit félin, son assurance n’avait nulle raison d’être, même si Griffe Argentée n’était pas le plus fort des guerriers et loin de là, il restait néanmoins un guerrier aguerrit qui défendrait son Clan d’un monstre tel que cet apprenti démonique. Ainsi, d’une voix enjouée, ce dernier lança la réponse fébrile à la question du mâle gris.

« Et tu es venu jusqu'ici pour me demander des excuses ? Qu'est ce que tu feras si je ne dis rien ? Tu me tueras ? Non. Je ne crois pas. Mais si tu veux mourir dis le moi tout de suite, je me ferais un plaisir de m'en charger. Au faite : Tu n'as que ça à faire dans ta journée que de me pister pour m'obliger soi disant à miauler avec une voix terrorisée par ce qu'un grand vilain méchant guerrier va me taper ? Bouhou j'ai peur je suis un pauvre chaton!! Non. Tu n'auras d'excuse que .... Dans tes rêves! »

La réponse que lui fournit le petit apprenti sidéra le mâle blanchi. Il ne s’attendait certes pas à une explication complète et simple du chaton qui aurait simplement pus déclarer son inattention, non ! Le chaton faisait résistance, il ne s’attendait pas à ça et encore moins à ce que le chaton devienne agressif et Sali à ce point. Le mâle en fut vraiment cloué sur place. Interdit, il tourna le regard vers le chat roux qui regagnait le bas de la pente. Ainsi, le guerrier fit un pas pour observer où celui-ci se posait, pour pouvoir attaquer sans être poussé vers le bas par l’apprenti sanguinaire d’apparence. Le chaton était sur un espace trop petit pour accueillir les deux mâles surtout s’il se battait, la seule solution était d’amener l’apprenti près de lui ou l’espace se faisait plus grand et où en cas de problème il pourrait glisser l’apprenti jusqu’à la rivière avec comme seul biais la pente abrupte. Le chat tacheté se recula d’un pas pour n’être plus dans le champ de vision du chaton étrangement dangereux. Il réfléchit quelques instants faisant appel à son expérience et son apprentissage.

Nuage Argenté se leva, aujourd’hui s’était le grand jour, il allait enfin passer l’épreuve où Etoile d’Orange vient regarder les progrès des apprentis. Après quelques minutes passées dans la forêt, seul à chasser, l’apprenti expérimenté se mit à humer l’air. L’odeur d’un renardeau emplit ses narines. Un renardeau, n’est-ce pas un des plus beau repas qu’un apprenti puisse amener à son Clan ? Il suivit la trace du canidé et tomba nez-à-nez avec le jeune renard, pleurant sa propre perte, car en effet il était seul, ses parents durent êtres chassé il y a peu et sans lui, il se retrouvait donc seul. L’apprenti regarda le renard d’apparence âgé de quelques semaines. Il prit son courage à deux pattes et s’élança sur sa proie, il tenta un saut gracieux que le renardeau remarqua et ce dernier attrapa la patte gauche antérieure de l’apprenti. Ainsi, il lui arracha la griffe centrale, qui ne repoussera malheureusement jamais. Par la suite, l’apprenti tua gracieusement le renardeau, perdant malgré cela beaucoup de sang de sa patte. Quand il ramena le corps sans vie au camp il fut acclamé. Il savait se battre et chasser. Il pouvait être nommé guerrier. Sous le nom de la griffe qu’il lui manque désormais, Griffe Argentée.

Le guerrier revint de ses pensées en espérant que l’apprenti roux n’ait pas remarqué son absence hâtive. Il imagina l’apprenti qu’il ne pouvait remarquer, ou il avait remonté la pente près à tenter une attaque, ou il était resté sur sa pierre attendant la réponse du guerrier, qu’elle soit physique ou auditive. Le guerrier répondit par cette deuxième proposition. Il parla fort au cas où l’apprenti avait glissé ou descendu un peu la pente.

« Je ne te suis pas, je cherche le respect, celui que tu me dois. De plus, je ne veux pas de tes excuses mais de quelques explications sur cet acte matinal. »

Ensuite, le chat tacheté risqua un pas vers la pente, il espérait que le chat roux ne lui saute pas au visage car il ne préparait absolument pas cet action. Il espérait grandement que le chaton était resté sur sa plate forme.