C'est fini .... [ABSOLUMENT LIBRE ne vous gênez pas)

Elle se reposait. Elle n'était pas couché sur de la mousse mais sur quelque chose de beaucoup plus doux. Plusieurs chats était couché à côté d'elle. Ses yeux était fermé mais elle sentait leur douce chaleur. Puis il y eu une secousse, elle ouvrit les yeux mais il fesait noir. Elle entendit des éclats de voix, mais se n'était pas une voix félines. Puis elle entendit un cris de désespoir, mais cette fois on entendait. distinctement la voix d'une chatte. Tout était étrange et à la fois très familier. Il y eu d'autres secousses plus violence, mais les cris ne cessait pas.

Une masse s’abattit prés d'eux créant une nouvelle secousse. Puis le une lumière les envahit laissant apparaître un visage maternel au dessus d'eux. Mais la chatte fut violemment poussait sur le coté. Elle fit une chutes plus loin inerte. Des éclats de voix. Des miaulement de terreurs. Un filé de sang. La mort.

Je compte pas la faire mourir alors un peut d'aide SVP.

S.eth

Depuis l’Aube que je marchais. Oh je n’avais pas vraiment de but, j’errais simplement à travers la campagne. L’air commençait à se rafraichir : l’automne faisait son apparition. Les arbres l’avait également sentis, leurs feuilles prenaient doucement des teintes pourpres et or. Celles-ci ne tarderaient pas non plus à tomber, couvrant le sol d’un tapis aux nuances chatoyantes. Pourtant, je détestais cette saison ! Elle était signe de grands changements, et pour moi synonyme de mort. Quand les feuilles dépérissent, mon cœur se morfond. Mon frère a tué mes parents, leur sang se mêlait aux couleurs de l’automne, on ne distinguait plus le liquide poisseux des reste d'un précédant feuillage brun maculant le sol.
Les sanglots s’accumulaient dans ma gorge et ma bouche était sèche. Je considérais un petit ruisseau. Je m’y précipitais et bu à grandes lampées. Qu’il était bon de sentir cette fraîcheur couler dans mon corps, rafraichir mes veines. Je relevais la tête, où étais-je ? Je n’en savais rien. Je reniflais doucement. Je connaissais cette odeur… celle de l’onde et de la proie scintillante qui en surgie. Je bondis derrière les roseaux. J’étais sur le territoire de la Rivière ! Ce n'était pas mon genre de fuir devant l'adversité mais je h'étais pas en assez bonne forme pour mener à bien une attaque. Surtout que les membres de la Rivière était en très bonne forme physique grâce à l’abondance de nourriture. Moi, mon estomac criait famine mais je n'avais pas le courage de chasser en ce temps difficile.
Si je me faisais attraper, on n’hésiterait pas à me faire la peau ! Dans quel pétrin je m’étais encore fourré !? Je regardais autour de moi et sortit à découvert. Le sang battait dans mes tempes tandis que je courais en haut de la colline. Je regardai derrière moi, à la recherche d'un éventuel poursuivant. Mais non, tout semblait calme. C'était comme si le temps retenait sa respiration. Je plissais un peu les yeux, me protégeant du soleil. Mais non, une silhouette commençait à se profiler à l’horizon. Il fallait fuir, maintenant. Je n'avais pas d'autre solution.

Je contemplai la pente abrupte qui se dressait devant moi. Je n'avais pas d'autre choix que de l'escalader si je ne voulais pas me retrouver coincé dans un c*l-de-sac. Je sautais sur une première pierre. L'ascension fut rude et difficile. Les graviers glissaient sous mes pattes et m'écorchaient les coussinets. Un mince filet rouge se déposait sur la mousse couvrant les rocs sauvages. Je manquais de tomber plusieurs fois, mon arrière train pendant dangereusement dans le vide. Mais je parvins après de nombreux efforts à me hisser au sommet de ce pic rocheux. Je regardai en bas et souris. J'avais envie de rugir comme les lions...

FLASH BACK

- Allez Seth, un peu de nerf! Tu ne réussira jamais à devenir le plus fort de tous les chats si tu est aussi mou. Rejoins moi mon petit!

Je n'étais alors qu'un jeune chaton de quelques lunes. Je regardai le Vieux Sage du bas de ce piton rocheux. Je grimpais comme je pu en haut de ce roc. Je me rattrapais avec le lierre qui s'accrochait aux pierres. Je plantais mes griffes dans la mousse et m'étala à côté du mâle. Il me lécha la tête avec tendresse et m'aida à me redresser. Je levai les yeux vers lui et tourna le regard vers le paysage qui se dressait devant moi. L'Astre de Feu commençait sa descente vers les Ténèbres, abysses du temps. Les pales rayons qui transperçaient les feuilles noires des arbres colorait la forêt d'une lueur molle. La Lune ferait bientôt son apparition. J'étais ébahi par tant d'éclat et les yeux me piquèrent. Mon "mentor" me fixa fièrement et rugit. Je sursautai; il m'incita à faire de même. Le cri vibra dans ma gorge mais ne fit pas le même échos que celui de l'Ancien.

- Tout ceci est à toi mon fils. C'est ton territoire la forêt. Tu est le seul maître de ta vie, il ne faut pas que tu laisses tes pulsions contrôler ton existence! Je suis fier de toi mon grand. Je le serai toujours...

FIN DU FLASH BACK

Je reculai face à l’ampleur que prenait mes émotions. Je sentis les larmes monter dans mes yeux et s'accumuler dans ma gorge. Mon coeur se serra douloureusement. J'entendis un bruissement. Je fis volte face et aperçut une jeune femelle noire au bord du gouffre. Je retins un cri de stupeur. A son odeur, je reconnu qu'elle faisait partie du Clan de la Rivière. Elle fermait les yeux et son corps se pencha dangereusement vers l'abysse. Je ne savais pas quoi faire... La sauver au péril de ma vie ou prendre le risque de me faire accuser de meurtre par son Clan?

Pelage de Souie.

Elle était de tour de garde. La chatte au pelage crème contemplait le ciel avec nostalgie. La plupart de ses meilleures amies avaient rejoint les prairies nuageuses de la toison argenté. Elle poussa un soupir. Ses yeux azur étaient quelques peu lourd et elle sentait le sommeil la surveiller. Elle se leva et étira chacun de ses muscles endoloris par sa longue immobilité. Quelques secondes plus tard, elle bailla en s'en décrocher la mâchoire. Pour se reveiller, elle se mit à faire le tour du camp. Les pâles rayons bleuâtre de la lune vinrent caressés son pelage, l'illuminant d'un aura bleuté, presque fantomatique. Soudain, un mouvement près de la tanière des guerrier attira son attention. Elle stoppa et scruta avec attention la pénombre. Une silhouette féline sorti de la tanière des guerriers et se dirigea vers le tunnel d'ajonc. Quelques minutes plus tard, elle disparut, happé par le néant du tunnel. Pelage de Souie fronça les sourcils surpris et courut vers son fils. Nectar Fruité était lui aussi de garde et s'était assoupie le temps que sa mère prenne son tour. Rouler en boule sur un épais tapis de feuilles mortes, le rouquin dormait à point fermé. La guerrière le couva un instant d'un regard maternelle rempli de tendresse et à contre coeur, elle le secoua. Le jeune guerrier bougonna et ouvrit un oeil encore voilé par le sommeil. La chatte blanche dit en chuchotant :

-" C'est à ton tour, je reviens, je viens de voir quelqu'un sortir."

Le félin se leva doucement et opina du chef encore endormis. Sur ce, Pelage de Souie fila vers le tunnel. Lorsqu'elle sorti, la brise glaciale de la nuit la saisit et elle frissonna. Elle s'ébroua afin de faire gonflé son épais pelage et entrouvrit la mâchoire. La piste était fraiche et facile à suivre, pourtant, elle ne parvint pas à identifier de qui il s'agissait. Elle se mit à trottiner, suivant la piste olfactive. Quelques minutes plus tard, le fracas de l'eau contre les parois rocheuses raisonnaient dans les oreilles de la chatte. A mesure que le bruit prenait en intensité, la progression devenait de plus en plus laborieuse. C'est éssouflée qu'elle atteint le sommet.L'aube pointait le bout de son nez, illuminant tout d'un belle éclat orangé. La chatte plissa les yeux, éblouis par tant de lumière. Elle scruta le petit plateau. Le terre-plein surplombé la paroi rocheuse, où en contrebas, la rivière dévalait la pente avec force et violence. La silhouette noire d'un chat se découpait en contraste sur le ciel bleu foncé. La chatte blanche plissa les yeux et chercha à identifier qui c'était. Elle s'approcha doucement et dit :

-" Nuit d'Été ?"

La chatte blanche s'avança doucement.

(J'ai dit que Nuit d'été était sortit à la fin de la nuit plutôt qu'a l'aube...c'est pas trop grave ? Sinon j'édite =) )

[Ta maman adoptive peut-êlle venir te voir aussi ? Tu peut pas savoir comment j'ai eue peur quand j'ai vue que c'était pour Nuit d'Eté le sujet, j'ai vraiment cru qu'elle allait mourrir, raah !! Tu m'a foutue la trouille bon sang ! Bon, je me calme, c'est bon, elle ne va pas mourrir ^^]

"C'est alors que me suis aperçu que je ne voulais pas ma mort,
Je voulais seulement une vie meilleure,
Mais il était trop tard."

-Nuit d'Eté ?

Non, c'est fini. C'est mon dernier instant.

Plus rien n'a plus d’importance désormais.

Et si ... ?

Pourquoi ?

-Calme toi Nuit ...

Désolé c'est très court. Mais pour montrer que l’état de Nuit j'ai rien trouvé d'autre.

[Je m'incruste! Oeil d'Esprit arriiive!!! <3]

[Je réponds après Esprit ! =)
C'est toi qui la retient du coup ??]

[Je suis vraiment désolée, j'avais oubliée ce rp T.T Merci de m'avoir prévenue, je m'excuse et le termine rapidement! Edit: voilà! ^^]

Œil d’Esprit
Ses larmes refermeront tes plaies…

Le jour s’était lentement levé sur la forêt, enveloppant de ses mille couleurs automnale, tel un manteau sauvage et enflammé. Œil d’Esprit avait fort mal dormi, en proie à des tremblements dus au songe déroutant qui était venu l’habiter… Des visions sordides, des cadavres, du sang, et cette éternelle et insupportable étreinte qui le paralysait tout entier. Réveillé en sursaut par la douleur d’un énième spasme, une sueur froide parcouru son échine. Ouf. Tout ceci n’était qu’un cauchemar. Cela était très étonnant de sa part de perdre ainsi son sang-froid, lui qui demeurait toujours imperturbable, faisait face à n’importe quelle situation avec un tact légendaire. Quelque chose n’allait pas, il en avait la certitude. Et la première chose qu’il trouva louche, ce fut l’absence de Nuit d’Eté auprès de lui, alors qu’habituellement, il la retrouvait chaque matin lovée contre lui… Avait-elle elle aussi été réveillé précocement à cause d’un mauvais rêve ? Ou alors, les cris qu’il avait poussés dans son sommeil l’avaient-ils dérangée au point qu’elle aille dormir ailleurs ? C’était bien étrange… Le guerrier d’ébène se leva, soucieux et sans un bruit, et, tel une ombre furtive, se glissa hors de la tanière des chasseurs. Son âme-sœur n’était pas en train de profiter des dernières proies telles que les mulots, et malgré ses recherches, il ne trouva aucune trace d’elle sur le camp. En revanche, il décela sa piste près de l’entrée, ce qui laissait supposer qu’elle était partie chasser. A moins qu’elle est une autre idée en tête… Le rythme cardiaque de l'imposant félin se mis soudainement s’accélérer, tandis que ses pupilles réduites en fente fixaient les empreintes fraiches et légères de sa bien-aimée. *A quoi penses-tu, Nuit d’Eté ? J’aimerais savoir. J’aimerais comprendre…*

Sur cette pensée, il détala dans les bois, sans se retourner. Il était tant de la retrouver, de savoir ce qui la pouvait bien autant la tourmenter. Quel niais, bien sûr qu’il le savait : la mort tragique de ses cinq premiers chatons lui était restée en travers de la gorge, la hantant jour et nuit et l’enfonçant chaque minute un peu plus dans cet océan tragique, d’une impitoyable cruauté. Il couru sans s’arrêter, ne prenant guère la peine d’esquiver les obstacles naturels se dressant en travers de sa route, tels que les souches ou les rochers glissants. Il les franchissait d’un puissant bond, sans pour autant ralentir, avec cette fougue propre à l’inquiétude déchirante que pouvait engendrer un sentiment amoureux. Enfin, après de longues minutes de cavale, il distingua au loin la fine et sombre silhouette de celle qui su un jour percer la carapace gelée qui détenait prisonniers son pauvre cœur. Les larmes lui montèrent aux yeux lorsqu’il la vit, saine et sauve, parmi les rochers scintillants. Qu’était-elle donc venue faire ici, à une heure pareille ? Il la vit gravir frénétiquement l’édifice brillant d’éclaboussures, que le temps, en artiste incomparable, avait taillé en forme d’arche, une lueur fiévreuse et désespérée se lisant au fond de son regard.

« Pourquoi ?... »

Œil d’Esprit demeura statique, incapable de faire le moindre mouvement. Peut-être était-ce du à une intense stupéfaction, comme à un déchirement que son esprit pourtant si rude n’arrivait à supporter, ou bien peut-être qu’une profonde tristesse le submergeait au point de totalement désarmer son être. Nuit d’Eté montait. Encore plus haut. Toujours plus haut. La tête basse, l’œil morne. Même à plusieurs contrées de là, le guerrier aurait perçu le son des battements de son cœur… La jeune reine contempla le vide, silencieuse, elle qui d’ordinaire incarnait l’optimisme et la joie de vivre. Elle prit une grande inspiration. Etait-ce la dernière ? Pourquoi ? Pourquoi faisait-elle cela ? Soudain libéré de son étreinte invisible, le félin d’ébène pu à nouveau respirer, -quoique son souffle demeurait inexistant tant ses poumons étaient serrés sous la pression- et se précipita vers le pied du pont de pierre avant d’agripper férocement ses griffes contre les nombreuses prises qu’il lui offrait. Plusieurs fois, il faillit glisser et finir sa vie au fond des eaux tumultueuses. Mais, dans des moments comme ceux-là, la vie n’avait plus d’importance : Seul son objectif comptait. Ses grands yeux dont le vert pâle n’avait jamais été aussi intense, demeuraient écarquillés, et ses muscles étaient tendus comme les cordes d’un arc sur le point de décocher une flèche. On dit que si l’archer croit en son projectile, celui-ci ne ratte jamais sa cible. L’archer, c’était son amour pour Nuit d’Eté, sa détermination, son courage. Et la flèche, c’était lui. Une flèche noire, que plus rien ne pouvait arrêter dans sa lancée…

« Non !!! »

Un instant après avoir poussé ce cri, mêlé de rage et de passion, il était blottit contre le corps chaud et tremblant de sa compagne. « Non ». Ce fut tout ce qu’il fut capable de dire. Les mots lui manquaient. Les paroles qu’il trouvait d’habitude aisément restaient enfermées au fond de lui, hésitantes, craintives, muettes. Un immense soulagement l’empli, mouillant ses visage de larmes amères. Pelage de Souie était là, elle aussi, dans le même état de chamboulement que les deux autres félins. Cependant, le vétéran ne prit guère conscience de sa présence, éblouit par la seule vision de sa moitié.

« Le Clan des Etoiles soit loué. Nuit d’Eté… J’ai été si stupide ! Pardonne-moi ! »

Sa voix se brisa. Oh, dire que s’il l’avait soutenu davantage, les choses n’en seraient pas arrivées là… Désarmé, dans un mouvement brusque qui ne lui ressemblait pas, il se blottit se toutes ses forces contre celle qu’il aimait éperdument…

Pelage de Souie :

Tout alla si vite...Un cri. Un éclair noir. Un bruit sourd. Et le corps de Nuit d'Été plaqué contre le sol poussiéreux par Œil d'Esprit.
Ce fut son cri de soulagement qui ramena la féline blanche sur Terre.

« Le Clan des Étoiles soit loué. Nuit d’Eté… J’ai été si stupide ! Pardonne-moi ! »

Elle avait dû fermer les yeux... La vision horrible de Nuit d'Été se levant et s'approchant du gouffre l'avais paralysé. Un frisson d'horreur la parcourue de long en large. Elle secoua la tête pour remettre tout en ordre la haut et fixa la scène qui se jouait devant elle. Les deux silhouette noires empilées formaient une masse se soulevant en un rythme régulier. Pelage de Souie s'approcha doucement. Sa gorge était serrée si bien qu'elle ne réussit qu'à bégayer : :

-" Tout...tout va bien..."

Œil d'Esprit s'était redressé. Son regard perçant se posa sur elle et la fixa avec intensité. Après quelques minutes, il baissa les yeux sans rien dire et se leva, prenant soin de ne pas toucher Nuit D'Été. Un vent froid et humide souffla sur les lieux, ébouriffant le pelage des trois chats. Elle se recula de quelques pas, laissant la place au deux chats. Nuit d'Été était toujours étendue sur le sol, les yeux perdu dans les vide. Le guerrier s'approcha d'elle et d'un coup de museau remplit de tendresse, il l'invita à se lever. Après plusieurs tentatives, la jolie féline réussit à se lever. Le chat noir se plaça à ses côtés afin de la soutenir. Pelage de Souie les regarda à tour de rôle et baissa ensuite les yeux sachant quoi dire. Ils restèrent longtemps comme ça, immobile, sans rien dire. Seul les bruits du vent soufflant dans les branches et le fracas de l'eau bouillonnante en bas troublaient le silence. La chatte siamoise pas très alaise se leva et dit :

-" Je...je vous laisse seuls."

Sur ce, elle se retourna et bondit sur une pierre plate qui annonçait le début de la pente. Elle s'accroupit et rampa doucement sur la surface glissante cherchant des yeux une autre " marche". Elle finit par la trouver. Elle évalua la distance, banda ses muscles et bondit avec légèreté. Elle attirée doucement sur la pierre grise située un cran en dessous de son précédent perchoir. Elle allait de nouveau bondir quand...

Nuit d'Eté pensa a ce qui serai passer si elle avait sauter ...

Nuage Miracle les larmes aux yeux regardais le corps d'une chatte ébène. Oeil d'Esprit la consolait lui donnant de temps à autre d’affectueux coup de langue sur les oreilles. Petit Bonheur était là lui aussi. Mais ce n'était pas les seuls à pleurer la reine noire. Plusieurs autre membres du Clan regardait tristement le corps inerte. Oeil Etoile, Tempête Printanière, Pelage de Suie et tant d'autre ... Deux silhouettes noire passèrent le tunnel d'ajonc, l'une plus petite que l'autre : Nuage de Chance et Coeur Noire. Elle s’avancèrent les membres du Clan de la Rivière laissèrent les deux félin endeuillé malgré qu'elles soient du Clan de l'Ombre. La tristesse se lissait dans leur yeux.

-Ne pars pas Pelage de Suie ...

Nuit d’Été plongea son regard si expressif dans les yeux de la chatte siamoise, puis dans ceux d'Oeil d'Esprit.

-Je t'aime je ne voulais pas ...

Elle regarda le ciel ...

-J'ai besoin d'aide ... Je n'en peu plus ...

[Je n'avais pas vu que tu répondu.]

Pelage de Souie :

La voix étranglé par les sanglots de Nuit d'Été raisonna à travers le silence, stoppant la chatte siamoise dans son élan.

-Ne pars pas Pelage de Souie ...

Elle pivota doucement sur elle même et fixa la chatte noire. Ses yeux reflétaient sa détresse. La chatte au pelage ébène soutint son regard quelques instants puis se tourna vers son compagnon. La jolie féline fixa son amant dans les yeux. Le silence pesait sur les lieux, comme le temps lors des jours d'orage. La voix remplit de détresse et serré par la peur et la tristesse de Nuit d'Été brisa ce lourd silence :
-Je t'aime je ne voulais pas ...

Ce pardon brisa le cœur de la chatte siamoise. Elle resta silencieux et fit le chemin inverse. Lorsque ses pattes touchèrent le sol de la petite plate forme, Pelage de Souie leva les yeux vers le deux félins noirs d'encre. Nuit d'Été contemplait le ciel de jais, illuminer de mille étoiles. La toison argentée planait en silence au milieu des cieux. La chatte blanche jeta un regard furtif au ciel et baissa de nouveau les yeux. Aucun nuages ne barraient le ciel, laissant le ciel sous le contrôle de la reine de la nuit qui inondait toute la forêt d'une douce lumière tamisé aux aspects bleuâtre. De nouveau, la chatte noire ébranla le silence :

-J'ai besoin d'aide ... Je n'en peu plus ...

Le poil de Pelage de Souie la picota et un frisson raidit chacun de ses muscles. Elle leva son regard vers la chatte et la fixa. Nuit d'Été n'était plus que l'ombre d'elle même, un corps vider de son âme, sans but. Son pelage noir ébène était terme, emmêle et sans éclat, sa silhouette était plus que jamais chétif et lorsqu'elle respirait, on pouvait par endroit voir ses côtes. Son regard si beau, si pétillant d'un beau vert auréolé de jaune, ne reflétait aucunes expression, ils étaient vide de toute expression. Encore une fois, le cœur de la chatte siamoise se serra de tristesse. Elle s'approcha doucement et du bout de la queue, elle effleura le maigre flanc de la chatte et lui dit en chuchotant :

-" Ne t'en fais pas Nuit d'Été, ça va aller... Si tu as besoin de quoi que ce soit, je suis là !"

Les mots lui manquaient, mais elle plongea son regard azur dans celui de la chatte et ce que la chatte pu y lire, valait tous les mondes du monde et bien plus encore...

[Je n'ai plus vraiment d'inspiration, si quelqu'un veut ajouter quelque chose]