L'Idiot face à la Justice [PV : Printemps]

Petit Innocent
I do not know about you ?

Que fait-on quand on s'ennuie ? Et bien on joue ! Moi, c'est ce que je fais en tout cas. Mais bon, c'est un peu ennuyant quand on attrape une feuille toute la journée... Alors, une idée monta à ma tête. Pourquoi ne pas aller voir les Anciens ? Ils auraient bien une ou deux histoires à raconter pour faire passer le temps. Je n'étais encore jamais aller les voire, ce serait l'occasion de faire connaissance avec eux. On m'avait souvent raconter que ce n'étaient que des vieux schnock qui racontaient des histoires à dormir debout toutes la journée. J'espérais au moins que ce n'était pas aussi ennuyants que les histoires du Chef... J'entama donc ma petite marche pour aller leur rendre visite. Les Guerriers et Apprentis bougeaient dans tout les sens. Je faillis être renversé plus d'une fois. Maugréant des mes moustaches quelques injures à leur égard. Ils soulevaient sur leurs passages des nuages de poussières si bien que je faillis aussi être étouffée. Ils pourraient tout de même faire plus attention ! Franchement, si j'étais plus grand, je leur rendrais bien leur compte...

En arrivant, je vu quelques chatons de mon âge devant Le Gîte des Anciens. Ils étaient tous assis, buvant la bouche ouverte les paroles des vieux félins. C'était plutôt effroyable aux premiers regards. On aurait dit des corps sans âmes. Pourtant, leurs yeux étaient animés de cette lueur que l'on voit chez quelqu'un de bien vivants. Je décida de m'approcher. Mes pattes tremblotaient. C'était bizarre. Mes yeux ambres se posèrent sur une jeune féline juste devant moi. Elle, elle n'ouvrait pas la bouche comme une malade. Elle se contentait d'écouter sagement. Pour ne pas prendre cet aire stupide, j'en fis de même. L'histoire de l'Ancien était magnifique. Elle racontait l'histoire de la mer. Comment elle fut créer et par qui. Bien que je fut arrivé en cour de route, je capta et compris tout ce qu'il disait. A la fin du compte, l'interpela la chatte qui m'intriguait depuis la première fois que je la vis.

« Salut petite. »

Mmm... Oui, je n'étais pas très brillant. Parler comme ça était vraiment stupide de ma pars, d'autant plus que j'avais surement le même âge qu'elle. Je ne remarqua pas tellement sa réaction, j'étais perdu dans mes pensés. Qu'allait-elle répondre ? Deviendrait-on amis ? Je ne vis même pas sa réponse venir du profond de son cœur.

(vraiment nul, désolée...)

Petite Justice
La vie vaut-elle la peine d'être vécue?

Petite Justice somnolait dans son coin comme à son habitude. Depuis son arrivée au camp elle ne faisait guère que ça. Personne n'osait l'approcher et la jeune ne comprenait vraiment pas pourquoi, il y avait tant de méfiance où de respect à son égart. Ce n'était pas juste, que la chatonne n'est pas le droit d'avoir ses propres amis alors que les autres chantons passé leur temps à courir après des feuilles verte, de belles couleurs, aux lignes fines et bien marqué. A la peau fine et douce, à leurs formes originales et différentes pour chacune. Luer poid plus léger qu'une plume, leur conférait un grâce splendide dans l'air chargé de chaleur et d'humidité qui pesait sur le clan de l'ombre. Seules, elles, donnaient la promesse d'un rafraichissement autant lointain que d'un avenir proche. Le soleil, au dans le ciel en ce mois d'été et de sécheresse, donnit des reflets d'or, si bien que les feuilles semblaient s'embraser et bruler sous la pression des fulgurants rayons jaunes. Les petits étaient des plus insensibles à cette beauté et ne pensait qu'a s'amuser à déchirer ces parfaits monuments qui auraient mérité de figurer dans le plus grand des musées. Le ciel d'un bleu limpide s'étendant à l'infinis de l'espace et de l'univers tout entier. Seuls quelques cumulus plutôt rares avaient l'audace d'interrompre le défilement bleu et interrompre les pas du ciel. Du bleu le plus foncé au bleu le plus claire. Elle déssida d'aller dans la tanière des anciens écouter leurs histoires fabuleuses qui l'emporteraient dans un monde différent. A peine franchit le seuil, ses yeux se voilèrent d'un seule mouvement.

Flash Back

Dans les confaints de l'univers. Une voix murmure. Envoutante et suave. C'est un fantome. Non, pas un esprit démoniaque. Ceux-là se n'est que dans les films qu'on en voit. Ou dans l'imagination si fertile des chatons. Qui voit les esprits comme une menaces. Se serait des Âme hantés qui viendraient la nuit à Minuit croquer les petits chatons. Et si les mères s'interposaient: toute la famille était destinée à la destruction. C'est pourquoi: Quand un chaton mourrait sans explication valable ou disparaissait. Par le biais d'un prédateur quelqu'onc. On disait que les fantômes les avait envoyé pour soulager leur faim... De vengance. Pour faire souffrir les êtres comme Eux souffraient. Oui, des fatômes attendant patiemment leurs proies. Nicher en hzut d'un ravin. Tel un Vautour, qui a soif de sang et attendrait la mort de l'innocente victime. Ces croyances étaient née a l'aube même de la naissance de tout être vivant. Et se perpetuait de génération en génération. S'étendant à toutes les espèces. Qu'elles soient herbivores,carnivores, sous marines, ou sur terre. Bref, maintenant la peur s'était insinuée se nourissant du desespoir, de la souffrance et de la Peur elle-même de tout individue. Et, les animaux restaient tremblant dans la pénombre de ses nuits d'orage. Craignant que la Mort pointe le bout de son nez. Mais non, cet esprit là n'était pas ainsi. Ce n'était pas un message de desespoir, n'y de souffrance. Mais un message de renaissance, de bonheur, de promesse. Oui, une lumière éclatante, aveuglantes émanait de ce personnage. A loi fois si familier et si mystérieux. La Chatte qui se trouvait en face, de lui le regardait emrveillait. Ses beaux yeux verts contastés luisaient d'espoir et de reconaissance. A ce moemnt là, elle aurait était prête a mourir pour lui. Mais tel n'était pas sa destinée. Car le Destin avait choisi une autre voix. La délicieuse apparition ouvrit la bouche. Et sa voix résonat comme n parfum fleurie. Elle sentit la confiance, le bonheur s'insinuait en elle. Sa voix était douce, mélodieuse.

-Haut toi, Note Enchantée. Tu ne le sais peut-être pas. Mais tu as une fille...

Les yeux de Note Enchantée s'ouvrirent de stupeur. El le bonheur disparut soudainement. Laissant place à la souffrance, la peur, la désolation, la douleur. Elle se souvenait comme dans un rêve inaccessible. Oui, elle se souvenait de Lui? Celui qu'elle aimait mais aussi Celui qui l'avait quitté. La laissant misérable, seule. Désesperement seule. Il était Mort. Mort comme une feuille à l'Automne. Comme elle, il avait été balayé par le vent. Et enmener quelque part ou elle ne pouvait le regoindre. Non, elle ne voulait pas de cette fille. Elle lui rappellèrait trop de souvenirs qu'elle voulait effacer à tout pris. Mais que faire? A sa naissance: elle ne pourrait pas la tuer. Se serait au-dessus de ses forces. Mais, elle ne pouvait pas non plus l'abandonner lachement dans la forêt. Un prédateur la trouverait et ne ferait qu'une bouchée d'elle. Non,elle la garderait. Lui apprendrait la dure loi de la vie. Et aorès, la petite n'aurait cas se débrouiller toute seule. Comme si il avait lu dans le fond de sa pensée. L'Etrange personnage parlât de nouveau.

-Elle serât spéciale. Prévu a un grand avenir. Un jour, elle regoindrât un clan. Se sont des chats qui vivent pas très loin d'ici. Elle aura^t 2 choix a faire. Car le Destin a décidé que soit elle choisirait la Destinée de Guerrière. Et la sa vie serât brève mais pleine de gloire. Soit sa vie serât longue mais bien remplie car elle soignerât les malades. Elle serât guerisseuse. Jusqu'a qu'elle est fait son choix. Elle aurat une étoile blanche sur l'oeil gauche. Cette étoile resteât si elle choisit la voix de guerisseuse mais disparaitrât si elle choisit la voix de Guerrière. Tu ne devras jamais essayer de t'interposer dans ses choix. Et une drnière chose, elle s'appellerât Petite Justice. Car serât son slogan favorie.

La mère le regardât absourdie par temps de mot. Mais en elle, elle s'opposât a ce choix. Pourquoi avait-on choisi à l'avance la destinée de sa Fille. Sa Seule fille. Car elle n'en n'aurait plus jamais d'autre. Non plus Jamais. Elle ouvrit la bouche et dans sa voix perçât une note de colère.

-Pourquoi moi? Pourquoi elle? Je ne veux pas qu'elle meurt. Se serât a jamais ma Seule fille!!!!

Comme pour la calmer. L'esprit agitât sa main. Et le parfum qu'elle aimait temps se répendit dans l'air. Un parfum doux. Celui de l'Orange. Le parfum de Sombre Nuit. Celui qu'elle avait aimé. Qu'elle aimait et qu'elle aimerait toujours. Puis la forme se transformat. Se modelât. Ce n'était pas vraiment jolie , mais elle soutint son regard. Elle ne voulait pas montrer la moindre marque de faiblesse. Puis l'image qu'elle aimait tant. Sombre nuit... Il avait se même regard doux et rêveur qui l'avait attirer au début.

-Ho!!! Sombre Nuit!!!! C'est bien toi? Ho tu m'as tellement manqué! J'ai crut mourir de chagrin quand tu es mort. Je Voulais mourir! Je veux mourir. Mais pas maintenant que nous avons une fille. Dès que je l'aurais formé je viendrais te rejoindre en paix.

Des larmes coulèrent sur son museau. Silencieuses. Elle était émue. Tout se qu'elle voulait se serait se frotter contre la fourrure de Son Amour. Mais elle avait peur de découvrir qu'elle ne pourrait plus le toucher et qu'il pouvait la traverser.... Comme si il avait compri son hésitation. Il s'avançât et posa son museau contre le siens. Elle se sentit glacé dans tout son corp. Elle frissonat dans la mirsure du froid. Il rdeculât et regardât son corp frêle. Elle était maigre. Sus son poils ternes on pouvait compter les côtes. Ses magnifiques prunelles vertes contrastées étaient éteintes. Il n'y avait plus la lueur pétillante qui les habitait autrefois. Elle était partie... En même temps que la Mort. La mort de Sombre Nuit...

-Tu ne dois pas Mourir! Nous avons une fille! Et je ne supporterais pas qu'elle meurt! Vit s'il te plaît! Pour Moi! Si ton coeur est en morceaux sache que le miens est en miettes. Chaque secondes passaient loin de toi est une souffrance. Mais voir ma fille vivre serât le plus beau cadeau du monde. Alors, tu pourras me rejoindre! Mais vit! Reviens la magnifique personne que tu étais avant! Pour qu quand notre petit arriverât. Il voit un visage souriant.

Il pleurait. Tout son corp était mouillé. Comme si tout en lui pleurer. Mais même avant de toucher le sol. Les larmes se transformaient en glaçons qui se brisaient en tombant sur le sol. Elles étaient glacées tout comme lui...

Fin du Flash Back

Son père et sa mère! Comme ils lui manquaient! Elle se rendit alors compte qu'un jeune de son âge lui avait adressé la parole:
« Salut petite. »Elle lui répondit d'une voie frêle essayant de cacher ses larmes:
-Bonjour, et je ne suis pas petite j'ai ton âge!

Poubelle (: