Sujet: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Sam 17 Juil - 16:17
L'Empire qui n'avait pas de frontières ♪ Words, Train [Libre]
Le temps était maussade, en cette journée de la saison des feuilles vertes. Les nuages, accumulés au cours des longs jours chauds, étincelaient d'un éclat blafard dans le ciel, aveuglant toutes créatures aillant le malheur de lever les yeux vers le royaume des cieux. Une brise fraîche et incessante, particulièrement désagréable, agitaient les feuilles des arbres et l'herbe jaunie par le soleil. La température ne dépassait certainement pas les 23°C, ce qui, compte tenu de la canicule qui avait jusqu'alors régné en maître sur la forêt, revenait à se retrouver en hiver. Despotique Harmonie racla le sol de ses griffes en grommelant, excédé par cette météo déplorable. Fidèle à son habitude, le jeune matou flânait rêveusement entre les troncs, s'arrêtant parfois devant un buisson à la forme particulière, aux aguets, prêt à se retourner et à donner une déroutée mémorable à l'inconscient qui aurait eu la mauvaise idée de le tirer de ses pensées. Pensées qui, d'ailleurs, tournaient depuis plusieurs quartiers de lunes sur le même sujet : où était son frère, en ce moment ? Lassé de s'interroger infiniment sur les moindres agissements de son fraternel, le mâle charbonneux huma l'air. Une légère odeur flottait ici, totalement incongrue. Fronçant ses sourcils (du moins, c'est ce qu'il aurait fait s'il en avait eu), Despotique Harmonie trottina en direction de l'origine de cette étrange fragrance, attentif à faire le moins de bruits possibles. D'ordinaire, il n'aurait eu aucun préjugé à se promener dans cet endroit inconnu, mais son instinct, qui l'avait si bien servi jusqu'alors, lui dictait de se montrait discret – et prudent. On ne sait jamais ce qui se cache dans les sylves... Après quelques minutes de marche sans incidents notoires, durant lesquelles la senteur ne cessa d'augmenter, l'explorateur en herbe déboucha dans une trouée rocailleuse. Quelques corbeaux s'envolèrent en croassant vivement leur désaccord, ce à quoi il ne prêta guère attention. La clairière et les rochers étaient percées de trous de taille variée, allant du plus petit capillaire aux immenses tunnels. Certains étaient sans doute encore habités. Et, chose tout à fait inhabituelle, une immense grotte surplombait les autres. Il s'en dégageait une incroyable odeur de fourrure mouillée, de moisissures et d'excréments. Despotique Harmonie fronça le nez, dégouté. Un ours. Il n'en avait jamais vu, et priait pour ne jamais en voir, mais Psyché lui en avait parlé, lorsqu'ils voyageaient près d'un lac. Ils s'étaient arrêtés devant une grotte, semblable à celle-ci, à la différence qu'elle était encore plus grande et sentait encore plus mauvais ; son locataire n'avait quitté les lieux que depuis peu. Ils ne s'étaient d'ailleurs pas attardé, de peur de tomber sur une énorme boule de poils très en colère – et très affamée... Bref, il n'avait aucune envie de se retrouver face au Titan des bois. Mais l'odeur était trop ténue, trop insaisissable pour indiquer qu'un ours habitait bien ici. Sans doute, même, avait-il déménagé depuis longtemps... Quoi qu'il en soit, sa curiosité le poussa à s'approcher un peu plus de la tanière. Au fur et à mesure qu'il s'approchait, sa répugnance augmentait, mais à aucun moment il ne songea à faire demi-tour. Non. C'était faux. Il songeait sérieusement à faire demi-tour. Toutefois, petit pas après petit pas, il arriva à destination. La grotte était plutôt basse, longiligne, et couverte de vestige de paille et de repas. Quelques lacérations, gravées à même la roche, attirèrent son attention. Il s'en approcha doucement, fasciné et rempli de respect envers la bête qui les avait faites. De l'admiration...
« De l'admiration pour le Diable », songea-t-il avec humour. « Voilà un concept pour le moins erroné pour l'époque... Et pas que pour l'époque, d'ailleurs. »
Il secoua la tête, un léger sourire flottant sur ses lèvres. Il leva la tête, et croisa le regard rouge d'une chauve-souris pendue au plafond. Il pencha la tête sur le côté. Son sourire s'élargit.
-Pas la peine de me regarder comme ça ! Franchement, je me demande qui est le plus stupide des deux... Après tout, toi tu regardes le sol à longueur de journée !
La bestiole agita ses ailes. Il soupira.
-Et je parle avec une chauve-souris... Il est vraiment temps que je retrouve la civilisation...
Il fit volte-face, bien décidé à ne plus jamais reparler à une chauve-souris de sa vie (leur conversation était d'un chiant !) mais pila net en apercevant une silhouette se découpant à contre-jour devant l'entrée de la grotte.
Chant du Rossignol Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Lun 19 Juil - 20:53
Le guerrier roux leva la tête sur le ciel sombre. Depuis quelques temps, il faisait chaux, très chaux et maintenant il faisait froid. « Amusant » pensa Chant du Rossignol. Sans savoir où aller, le guerrier s'attardait sur son territoire avant de se rendre sur les terres libres. Toujours aussi curieux, il s'aventura dans les champs de fleur. L'odeur enivrante des fleurs enveloppa le matou. Ici tout semblais paisible. Un petit scarabée grimpa le long du flanc de Chant du Rossignol jusqu'à atteindre son museau. La petite créature le faisant loucher il s'étonna de s'entendre pouffer. Puis d'un léger coup de patte pour le faire déguerpir, la petite créature tomba au sol et continua son chemin. Un rapace fondit sur la minuscule créature avant de s'en voler sans demander son reste. Et le matou poursuivit son chemin.
Une brise commença à souffler il décida alors de rentrer au camp. Quand la brise lui apporta une odeur de chats qui n'appartenait à aucun clan il fila ventre à terre. Ce n'était pas le moment de se battre. Chant du Rossignol repassa dans le champs des fleurs mais il buta contre une branche et roula pendant quelques mètres avant de se remettre sur patte. Le guerrier roux reparti mais cette fois plus lentement et en faisant plus attention. Une fois sortit du champs, l'odeur âcre de l'ancien chemin du Tonnerre. Aucuns apprentis et aucuns mentors à l'horizon. En ralentissant, il remarqua que le bois contre lequel il avait buté lui avait laissé un joli souvenir : trois écharde étaient plantés dans ses coussinets mais elles étaient facile à enlevées. En tirant d'un coup sec, le chasseur les enlevas et parti. Une musaraigne trottinait ici et là s'arrêtant parfois pour gratter la terre et voir si une graine ne si trouvait pas. Le chat se mit d'instinct en position de chasse. Il bondit et l'acheva d'un coup de patte. Sur le chemin du retour, il attrapa une givre et une pie. Mais une fois arrivé près des terriers, qui d'ailleurs n'était pas un lieu rassurant car l'Ours pourrait revenir, une odeur récente se distinguait de l'odeur pestilentiel du maître de la forêt. En s'approchant il admira l'entre quand une silhouette se détachait du fond noir de la caverne. Chant du Rossignol s'essaya attendant que cet intrus est fini d'examiner la voute pour le chasser de son territoire. Le matou l'entendit parler mais il ne vit pas son interlocuteur.
-Pas la peine de me regarder comme ça ! Franchement, je me demande qui est le plus stupide des deux... Après tout, toi tu regardes le sol à longueur de journée !
Il soupira.
-Et je parle avec une chauve-souris... Il est vraiment temps que je retrouve la civilisation...
Chant du Rossignol failli s'étrangler de rire. « Ce chat est stupide ou quoi ? » L'intrus se retourna et remarque enfin sa présence.
Despotique Harmonie As des Chats
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Mar 20 Juil - 15:52
-Ô my God ! -Oui, je sais que tu me vénères... Generation, Simple Plan
C'était un chat roux pâle, strié de traits plus foncés, svelte et musclé. Bien qu'il soit immobile, Despotique Harmonie voyait, dans son maintien, sa façon de regarder autour de lui, que c'était un guerrier accompli. Il souriait d'un air stupide en le regardant, et les oreilles du matou noir se couchèrent sur sa tête. En général, il n'éprouvait pas vraiment de honte à ce que les gens le regardent ainsi, mais quelques choses... Peut-être parce qu'il était seul pour la première fois, parce que Psyché n'était plus là pour dédramatiser la situation... Quoi qu'il en soit, il n'appréciait pas d'être passer pour un imbécile aux yeux de cet inconnu au pelage pâle. Sans parler, histoire de bien lui faire comprendre qu'il ne l'intimidait pas, il huma l'air. Le chat sentait... le blé, le miel... Des odeurs étranges, qui se mêlaient, se réunissaient pour former un parfum unique, que Despotique Harmonie grava dans sa mémoire. Il avait toujours procédé ainsi, sous la tutelle de son maître, pour reconnaître les individus propres aux différents territoires qu'il avait visité. Lorsqu'il jugea qu'il ne pouvait plus se taire sans franchir la limite de la politesse, il se présenta, de sa voix calme et lente :
-Je m'appelle Despotique Harmonie.
Puis, ressentant brusquement le besoin de se justifier :
-Je ne suis pas fou, tu sais. C'est juste que... Enfin, je ne savais pas que tu étais là... Sinon... Roh, et puis mince. Je me fiche de ce que tu penses de moi.
Il observa davantage le chat en face de lui. Ses yeux rieurs, honnêtes. Ses oreilles. Son corps. S'imprégnant de sa présence, de son aura, pour sentir qu'il il était. Et son instinct lui soufflait un mot : confiance. Confiance. Un mot que le jeune chat avait rarement employé, rarement ressenti. À part Psyché, en qui avait-il eu confiance ? En sa mère. En son frère. Qui l'avaient trahi. Non, décidément, la confiance ne faisait pas parti de son vocabulaire. Il secoua la tête. S'assit. Le sol était dur, froid. Le ruissellement avait tracé de minuscules sillons dans la roche, formant l'esquisse d'un labyrinthe. Il entendait l'infime bruissement que produisent les ailes quand elles s'écartent. Le souffle régulier des chauves-souris endormies. Des gouttes d'os qui tombaient non loin de là, formant une flaque sur le parterre inégal. Il avait tout à fait conscience de son environnement. Le silence s'étira entre les deux chats. Silence que Despotique Harmonie ne chercha pas à briser. Il aimait le silence. Il n'avait jamais su pourquoi. C'était une chose qui faisait partie de lui, au même titre que son pelage noir comme la nuit et ses yeux ambres foncés. Que son sens de l'humour. Que sa blessure. Il serra les dents. Pas question de penser à Petit Miroir. Pas maintenant. Mais il avait beau essayer de se débarrasser du gouffre au fond de lui, l'amertume, elle, était toujours là...
[RP tout merdique et tout petit, je sais -.-' Désolée x)]
Chant du Rossignol Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Mar 20 Juil - 17:12
Toujours aussi immobile, le guerrier roux regarda l'intrus. Pelage noir comme la nuit, paré de reflets argentés et pourpre formés par le refletvdu soleil qui filtrait à travers les arbres. Il examina ses yeux , de couleur ambres foncés. De taille moyenne, il devait faire la même taille que le chasseur. Son corps finement musclé. Remarquant que l'intrus le détaillait aussi, il le laissa continuer son examen. En affichant son sourire franc et stupide, le chat noir releva la tête et coucha ses oreilles sur son crâne.
-Je m'appelle Despotique Harmonie.
Chant du Rossignol remarqua qu'il parlait avec calme et assurance. Il continua :
-Je ne suis pas fou, tu sais. C'est juste que... Enfin, je ne savais pas que tu étais là... Sinon... Roh, et puis mince. Je me fiche de ce que tu penses de moi.
Toujours immobile, le guerrier ne fit rien. Pas un mouvement, pas un mot. Cet intrus l'intriguait, et celui-ci continua son examen de tout à l'heure. Remarquant que Despotique Harmonie avait détourner le regard sur une rigole qui parcourait le sol. Le silence perdura, aucun des deux matous ne parlait. Au bout d'un certain temps, Chant du Rossignol se fit la remarque qu'il ne s'était pas présenté.
- Chant du Rossignol
La chat noir releva la tête.
- Je m'appelle Chant du Rossignol. Et tu te trouve sur la terre du clan du Tonnerre si tu ne le savais pas.
Despotique Harmonie ne répondit pas tout de suite et le silence ce réinstalla. La brise vint doucement lécher le pelage du guerrier roux. Il se leva et s'installa en face de l'intrus. Une vipère passait par là, remarquant les deux autres animaux, elle fila sans demander son reste. Lorsque, doucement, le chat noir releva la tête, son sourire s'effaça. Son regard était empli de tristesse si bien que Chant du Rossignol failli reculer. Jamais il n'avait vu de chat autant triste.
[C'est pas grave ]
Vanessa Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Mar 20 Juil - 21:04
Nuage de Trèfle
Le jeune chat se baladait dans l'endroit appellé les Terriers. C'était un endroit assez désert. Et peu de personne s'y aventurait. Ici la nature, part les chats bien sûr. Etait reine. Les petits animaux "comestibles" pouvaient se balader sans la crainte d'être dévorer pas d'éventuels prédateurs. Mais pourquoi avait-on donné ce nom a cet endroit? Tout simplement parce qu'il y avait énormément de terriers par ici. Ou pouvait voir, des troupeux de taupes se déplaçant a grands bruits et aussi a grand cris. C'était surtout le mot juste. L'apprentie n'aimait pas vraiment la chaire de taupes. Elle était vraiment trop coriace et le chat avait les dents fragiles. Et puis, elle était vraiment trop sec. C'est pour ça qu'il s'était vite désintéréssé de ses proies. Le tapis d'herbes juteuses était constelé de fleurs aux mille couleurs. Le soleil leur rendait un éclat suréaliste, enfin quand, mil y avait une eclaricit. Car en ce jour, les nuages s'amusaient a constellé le ciel. Pourtant, il ne faisait pas très chaud. Par raport à la chaleur qui avait régner d'une main de maître ces derniers jours. Les pétals délicats aux formes parfaites. Onduler sous le chant de la brise fraîche, trop fraîche pour cette saison. Mais pour une fois, il l'acceuillait avec bienveillance. Que c'était bon, après plusieurs jours d'étoufantes canicul. Elle ébouriffait son poils d'un roux de feu. Un rayon de soleil embrasat sa belle fourure. Et on aurait dit que le jeune futur guerrier prenait feu. C'était un beau spectacle. Une abeille vint lui tournait autour. Le bruit qu'elle faisait ne l'indisposé pas. Puis, se sentant tellement bien. Il se roulat dans l'herbe odorante. Savourant ce moment. Comme s'il se trouvait au paradis des fleurs, ou carnivors et herbivors vivaient en parfaite harmonie. Puis; son estomac se mit a gargouiller. Et humant les senteurs. L'apprenti sentit l'odeur d'un délicieux campagnol. Salivant d'avance. Il se mit en chasse. Avançant à petit pas discret de celui qui allait être son prochain repas. Il n'était plus très loin. Bientôt il pourait déchierer la chaire tendre et sucré. Puis un bruit le fit se figer instentanément. Nuage de Trèfle s'approcha précosieucement de l'endroit. Et aprçut un chat adulte. Visiblement en grande conversaton avec... Une chauve-souris!Cette perspective fit sourir le membre du clan du tonerre. Ce que les gens pouvaient être bizarre parfois. Mais, suivant son instinc il dessida de se cacher. Pour pouvoir observer tranquillement la sceine qui scène qui se déroulait sous ses beaux yeux verts limpides. Mais il n'avait pas ounlier de discerner, grâce a son odorat très développé. A qu'el clan apartenait ce parfait inconnu. Les senteurs autour de lui l'en empêchèrent. Et il fronçat le museau contrarié. Bon maintenant, il déssida d'étudier le physique de son "adversaire". Pelage noir, comme la nuit avec des reflets argentés. Avec des yeux ambrés. Bon innutile de se dériber. Il était plutôt beau. Le félin se trouvait dans une caverne. Et il semblait s'adresser a la chauve-souris. Qui le regardait avec un petit regard moquer. Il ouvrit la bouche et les mots franchirent ces lèvres: -Pas la peine de me regarder comme ça ! Franchement, je me demande qui est le plus stupide des deux... Après tout, toi tu regardes le sol à longueur de journée ! Elle réprima un gloussement de rire. Ce chat avait l'air vraiment marrant. Et puis, il avait de l'humour même si il ne le faisait pas vraiment exprès. -Et je parle avec une chauve-souris... Il est vraiment temps que je retrouve la civilisation... Elle était complètement d'accord avec le chat pour se cout si. Vraiment, c'était a mourir de rire de voir ça. Mais il se retient, car son sonsience lui disait que ce n'était vraiment pas sympas de se moquer de quelqu'und en l'épiant. Puis un chat sortit des buissons. A son odeur, il était du lcan du tonerre comme elle. D'ailleur elle le conaissait: c'était Chanr du Rossignol. L'autre mâle se tourna vers lui et parlât d'une voix grave et lente: -Je m'appelle Despotique Harmonie. C'était un nom vraiment bizzare. Mais, dans l'ensemble il aimait bien. Le chat aimait bien ce qui sortait de l'ordinaire. Puis il continua: Je ne suis pas fou, tu sais. C'est juste que... Enfin, je ne savais pas que tu étais là... Sinon... Roh, et puis mince. Je me fiche de ce que tu penses de moi. La, le chat lui inspirait de la pitié. Le pauvre se devait ête affreusement gênant. Mais le membre de son clan parla d'une voie calme et apaisante. - Chant du Rossignol Puis après quelques minutes il bontinua: - Je m'appelle Chant du Rossignol. Et tu te trouve sur la terre du clan du Tonnerre si tu ne le savais pas. Nuage de Trèfle choisit ce moment pour se montrer a découvert. Et il lançat d'une voix joyeux et vive: -Coucou, moi c'est Nuage de Trèfle! THo bonjours Chant du Rossignol. Désolée mais je n'arrive pas a percevoir de qu'el clan tu es. Pourrais-tu m'éclairer a ce suget. dema-t-il au mystérieux inconnue.
[mon rp est très nul mais c'est le premier deuis 3 longs mois, désolée si je ne parle pastrop des récents évènements mais je suis un peu perdue.]
Despotique Harmonie As des Chats
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Mer 21 Juil - 20:21
[Je pars en vacances dans 2 jours, et je dois préparer les valises --" Donc je ne suis pas sûre de pouvoir terminer de répondre demain, et vu que vendredi je pars à 8h du mat', ça m'étonnerait que je puisse fignoler xD Donc désolée si je ne réponds pas avant une semaine...]
Vanessa Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Mer 21 Juil - 21:07
Regard dans le noir
[J'ai fait une réponse rapide. Bon, elle est pourrie, et je n'ai pas le temps de fignoler la présentation, mais j'arrangerais ça demain si je peux - la présentation, je veux dire]
- Chant du Rossignol.
Brusquement tiré de sa rêverie, Despotique Harmonie releva la tête. Chant du Rossignol... Ainsi, c'était son nom. Agréable à entendre. Mélodieux, comme le son d'un carillon dans la nuit. Heureux de constater que son interlocuteur avait au moins eu la décence de se présenter, il se détendit. Mieux valait se battre contre un guerrier instruit plutôt que contre un guerrier ignorant. Au moins, le premier avait un sens de l'honneur. Le chat roux poursuivit :
- Je m'appelle Chant du Rossignol. Et tu te trouve sur la terre du clan du Tonnerre si tu ne le savais pas.
-Tu as dit deux fois ton nom, l'informa Despotique Harmonie en souriant.
Mais il penchait toutefois la tête sur le côté, l'air perdu. Le Clan du Tonnerre ? Jamais entendu parler. Il s'apprêtait à proférer une question, histoire de se tenir au parfum, quand un autre chat jaillit des buissons. Le noiraud plissa les yeux : c'était une armée ou quoi ? Le nouveau venu portait exactement la même odeur que Chant du Rossignol, bien qu'il soit plus jeune et moins râblé que ce dernier. Ses yeux étaient d'un vert profond, limpide et clair comme de l'eau de roche. Un jeune, apparemment. Despotique Harmonie recula légèrement dans une attitude discrète de politesse cependant que l'arrivant s'approchait d'une démarche sautillante.
-Coucou, moi c'est Nuage de Trèfle! Bonjours Chant du Rossignol. Désolée mais je n'arrive pas à percevoir de quel Clan tu es. Pourrais-tu m'éclairer a ce sujet ? demanda l'inconnu.
Despotique Harmonie secoua la tête, encore plus perplexe. Des Clans ? Dans cette forêt ? Il n'y comprenait goutte. Certes, Psyché venait d'un désert abritant plusieurs tribus et lui-même avait quelquefois trainé avec des bandes de chats errants, mais jamais il n'avait pensé retrouver ce cas de figure ici. Néanmoins, il enregistra le nom du jeunot. Nuage de Trèfle. Ces félins avaient tout de même des noms insolites. Lui-même arborait un patronyme peu commun, il fallait l'avouer, mais c'était étrange de constater que d'autres individus que lui avait des noms composés. Bon, il y avait toujours Petit Miroir. Enfin, non. Lui n'était pas un chat. Plutôt... une sorte de limace gluante et baveuse avec de la fourrure. Bref. Jusqu'à présent, il n'avait jamais rencontré de chats dont le prénom disposait d'autre mot que « Haricot » ou « Dentifrice ». Il mesurait à présent toute l'étendue de son ignorance.
-Je dois avouer que je ne saisis pas très bien le concept de « Clan », fit le jeune matou à Nuage de Trèfle. Je suis ici en touriste. J'ai toujours voyagé en solitaire, jusqu'ici, déclara-t-il après un moment d'hésitation (il préférait taire le nom de Psyché. D'ailleurs, il avait tout recommencé à zéro dès qu'il avait eu son nom).
Il se tourna vers Chant du Rossignol, n'ayant pas oublié ses paroles.
-J'ignorais que j'étais sur un territoire permanent. Ce n'était pas intentionnel. Mais, tu sais, ajouta-t-il avec humour, je ne risque pas de vous « voler » quoi que ce soit ici (ou ailleurs) ; à moins de vouloir finir dans la panse d'un blaireau... Ce qui me paraît un sort peu enviable. Pas toi ?
Il sourit, inconscient de la médiocrité de sa blague aux yeux des autres. Et oui, c'est ça le problème avec les humoristes : ils sont incapables de voir lorsqu'une plaisanterie est nulle, perdue dans l'océan sans fin de leur spiritualité.
Dernière édition par Petite Voile le Jeu 22 Juil - 13:30, édité 1 fois
Chant du Rossignol Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Jeu 22 Juil - 15:06
[Printemps tu pourrais réduire ta signa steuplait ?]
-Tu as dit deux fois ton nom, l'informa Despotique Harmonie en souriant.
Le matou noir pencha la tête de coté. Chant du Rossignol s'apprêtait à répondre quand l'odeur d'un autre chat vint titiller les narines des deux chats. Un apprenti du clan du Tonnerre jaillit des buissons, avec ses magnifiques yeux vert qui pétillait, il arriva en trottinant.
-, moi c'est Nuage de Trèfle! Bonjours Chant du Rossignol. Désolée mais je n'arrive pas à percevoir de quel Clan tu es. Pourrais-tu m'éclairer a ce sujet ? demanda l'inconnu.
Le chasseur au pelage roux marmonna un « Bonjour » à l'attention de l'apprenti. Nuage de Trèfle n'avait-il pas remarqué que c'était un solitaire ? D'ailleurs Despotique Harmonie semblait dérouté. N'avait-il jamais entendu parler des quatre Clans ? Apparemment c'était le cas.
-Je dois avouer que je ne saisis pas très bien le concept de « Clan », fit le jeune matou à Nuage de Trèfle. Je suis ici en touriste. J'ai toujours voyagé en solitaire, jusqu'ici, déclara-t-il après un moment d'hésitation
Il se tourna vers le guerrier.
-J'ignorais que j'étais sur un territoire permanent. Ce n'était pas intentionnel. Mais, tu sais, ajouta-t-il avec humour, je ne risque pas de vous « voler » quoi que ce soit ici (ou ailleurs) ; à moins de vouloir finir dans la panse d'un blaireau... Ce qui me paraît un sort peu enviable. Pas toi ?
Chant du Rossignol savait que ce n'était pas voulu. Cependant, il avait eu de la chance. Certains guerriers l'aurait chassé immédiatement sans savoir ce qu'il voulait. Mais quand il continua, le matou roux se dandina, mal à l'aise. Sa blague n'était pas vraiment drôle.
C'est vrai que finir dans le ventre d'un blaireau ne sera pas agréable. Vu que tu ne connais pas l'histoire des quatre clans, je vais te la conter. Avant nous n'habitions pas ici. Nous avions une autre forêt que se partageait quatre Clans : Le Clan du Tonnerre , auquel nous appartenons Nuage de Trèfle et moi, le Clan de la Rivière , le Clan de l'Ombre et le Clan du Vent. Nous ne vivions pas en paix. Mais plus le temps passait, plus les bipèdes, ou les sans fourrures cela dépens comment tu les appelles, empiétait sur notre territoire. Et deux clans de sanguinaires vivaient dans le secteur du coté de la ville. Ils s'allièrent pour formés un seul clan, celui du Sang Noir. Attaquant chacun des clans, tout à tour, ils se réfugièrent chez nous le Clan du Tonnerre qui n'était pas encore touché. Mais les sanguinaires n'avaient pas finis. Ils nous attaquèrent par surprise et les pertes furent lourdes. Nous avons pris la fuite, traversés des chemin du Tonnerre, le territoire des bipèdes, traversé les montagnes pour arriver ici. Voilà pourquoi nous sommes ici.
Chant du Rossignol ne savait pas si il avait répondu à la question du solitaire mais au moins il lui avait dit pourquoi il était là.
Despotique Harmonie As des Chats
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Dim 22 Aoû - 17:08
-C'est vrai que finir dans le ventre d'un blaireau ne sera pas agréable. Vu que tu ne connais pas l'histoire des quatre clans, je vais te la conter. Avant nous n'habitions pas ici. Nous avions une autre forêt que se partageait quatre Clans : Le Clan du Tonnerre , auquel nous appartenons Nuage de Trèfle et moi, le Clan de la Rivière , le Clan de l'Ombre et le Clan du Vent. Nous ne vivions pas en paix. Mais plus le temps passait, plus les bipèdes, ou les sans fourrures cela dépens comment tu les appelles, empiétait sur notre territoire. Et deux clans de sanguinaires vivaient dans le secteur du coté de la ville. Ils s'allièrent pour formés un seul clan, celui du Sang Noir. Attaquant chacun des clans, tout à tour, ils se réfugièrent chez nous le Clan du Tonnerre qui n'était pas encore touché. Mais les sanguinaires n'avaient pas finis. Ils nous attaquèrent par surprise et les pertes furent lourdes. Nous avons pris la fuite, traversés des chemin du Tonnerre, le territoire des bipèdes, traversé les montagnes pour arriver ici. Voilà pourquoi nous sommes ici.
Despotique Harmonie ferma un instant les yeux. Cela faisait beaucoup d'informations d'un coups. Ces chats des Clans étaient décidément très étranges. Non content de s'établir sur un territoire fixe – notion totalement inconnue pour le jeune matou, qui avait jusque-là toujours vécu en nomade, ils avaient préféré fuir les difficultés plutôt que de les affronter. Cependant, il était bien mal placé pour les juger ; n'était-ce pas ce qu'il avait lui-même fait, il y a trois hivers de cela, lorsque sa mère et son frère l'avait laissé pour mort ? D'autant qu'il ne pouvait pas réellement juger de la menace que représentait ce « Clan du Sang Noir » pour ces félins. Il rouvrit les paupières. Nuage de Trèfle regardait ailleurs, probablement perdu dans ses pensées, tandis que Chant du Rossignol le fixait intensément. Il lui adressa un petit sourire.
-Je comprends, fit le noiraud d'un air pensif. Donc, je suis ici sur votre territoire, et, si je ne déguerpis pas très vite, je vais finir par ressembler à du pâté. J'ai bien résumé la situation ?
Il trouvait ça bizarrement drôle. Quand il vivait en ville, il lui était déjà arrivé d'empiéter sur les terres de certains gangs, mais aucun d'entre eux n'avaient paru attacher une pareille importance aux limites frontalières. Une tradition un peu stupide, à n'en pas douter. L'union faisait la force, non ? Du moins, c'était ce que Psyché n'avait cessé de lui rabattre lorsqu'il était encore son apprenti. Un petit soupir échappa au matou couleur nuit. Le petit sobriquet dont son mentor l'affublait, « jeune adepte », lui manquait plus qu'il ne voulait l'avouer. Porter un nom était en vérité – il l'avait appris à ses dépends – un véritable fardeau. Cela définissait son identité, la restreignait, l'obligeait à cadrer avec ses propres limites. Lui qui avait toujours vécu sans frontières, sans même un nom pour le rattacher à son passé, il prenait soudain conscience de son ignorance et de son absence de lien avec ce qui avait été sa vie d'avant. Tout ce qui lui restait, c'était la haine qu'il vouait à son frère, et il s'y accrochait comme un noyé à une bouée de sauvetage. Car c'était, pour lui, le seul moyen de ne pas sombrer dans la folie.
-Et bien... Je ne vais donc pas tarder à m'en aller. J'ai été ravi de faire votre connaissance, Chant du Rossignol, Nuage de Trèfle. J'espère que... nous nous reverrons. Dans des circonstances peut-être moins professionnelles. Ailleurs.
Il regarda le sol d'un air gêné. Craquelé par le soleil, à l'herbe jaunie, à la terre claire et poussiéreuse. Pourtant, il n'avait pas cessé de pleuvoir. Il n'aimait faire part de ses sentiments, et répugnait, après ses précédentes expériences, à se lier d'amitié avec quelqu'un. Son frère l'avait sciemment abandonné à son sort, sa mère n'avait rien fait pour le retrouver et sans Psyché... Il secoua la tête. Psyché avait fait son devoir. Il lui avait appris à survivre, l'avait aidé, nourri, et pansé les blessures du passé avec plus d'efficacité que Despotique Harmonie ne l'estompait. Mais, en fin de compte, cela revenait au même : son maître avait été rappelé à ses devoirs, et il l'avait lui aussi abandonné au profit de son propre chemin, le laissant seul face au destin. Mais le « jeune adepte » ne pouvait lui en vouloir : il ne lui devait rien, après tout, et l'avait préparé mieux que personne à la dure réalité de la vie. En vérité, Psyché était ce qui s'était le plus rapproché d'un père pour lui. Et n'était-ce pas le destin de tous les pères que de laisser un jour leur enfant voler de leurs propres ailes ? Despotique Harmonie prit soudain conscience que, si le vieux matou l'avait ainsi lâché dans la nature, ce n'était peut-être pas pour son compte personnel ; peut-être laissait-il juste un message au jeune chat. Mais lequel ? Suis ton propre chemin ? Va de l'avant ? Une idée germa dans l'esprit du chat noir.
-Juste une dernière chose, dit-il en relevant la tête. Avez-vous connu un chaton du nom de Petit Miroir ? Ou quelque chose du genre ?
Un fol espoir étreignait le cœur du jeune matou. Peut-être allait-il enfin pouvoir assouvir son désir de vengeance... Avec l'aide de ces Clans, qui avaient si longtemps voyagé avant de trouver l'Harmonie. Un peu comme lui.
Chant du Rossignol Félin Légendaire
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Dim 22 Aoû - 21:36
-Je comprends, fit le noiraud d'un air pensif. Donc, je suis ici sur votre territoire, et, si je ne déguerpis pas très vite, je vais finir par ressembler à du pâté. J'ai bien résumé la situation ?
Chant du Rossignol sourit lui aussi. Ce solitaire lui plaisait bien finalement. Despotique Harmonie semblait perdu dans ses pensées car il agitait la tête et souriait tout seul. Quel drôle de chat !
-Et bien... Je ne vais donc pas tarder à m'en aller. J'ai été ravi de faire votre connaissance, Chant du Rossignol, Nuage de Trèfle. J'espère que... nous nous reverrons. Dans des circonstances peut-être moins professionnelles. Ailleurs.
Il ne partit pas. Il resta à sa place, hésitant comme s'il voulait rajouter quelques chose. Il baissa la tête et ne la releva que pour parler.
-Juste une dernière chose, dit-il en relevant la tête. Avez-vous connu un chaton du nom de Petit Miroir ? Ou quelque chose du genre ?
-Heu ... Non, jamais entendu ce nom là. Mais peut-être que les autres Clans en ont entendu parler, tu devrais leur demander mais soit prudent ! Certains ne seront pas aussi amical que nous.
Nuage de Trèfle avait l'air aussi étonné que lui.
[Désolé j'ai pas d'inspiration]
Despotique Harmonie As des Chats
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Sujet: Re: #. Vagabond au gré du vent [Libre] Lun 23 Aoû - 15:25
-Heu ... Non, jamais entendu ce nom là. Mais peut-être que les autres Clans en ont entendu parler, tu devrais leur demander mais soit prudent ! Certains ne seront pas aussi amical que nous.
Despotique Harmonie soupira. Bien sûr, il ne s'était pas attendu à ce que ses recherches aboutissent dès leur commencement, mais ce n'était pas très encouragent... Puis arqua un sourcil, l'air amusé. Étrange personnage, ce Chant du Rossignol. Il s'inquiétait pour lui, alors qu'il le connaissait à peine. Ou il était particulièrement naïf, ou très prévenant. Ou peut-être qu'il ne voulait pas avoir une mort sur la conscience. Il adressa un dernier sourire au chat couleur miel et à l'apprenti puis fit volte-face. Un vent frais lui apporta une odeur de résine de pin et d'humus. Il secoua la tête. Allons. Pas le temps de s'attarder sur de pareils détails. Son frère l'attendait, et il allait se faire un plaisir de le retrouver... Pour le tuer. Il lança par-dessus son épaule :
-Je te remercie, Chant du Rossignol. Peut-être nous reverrons-nous un jour.
Ses yeux ambres brillaient d'un éclat farouche et décidé. Il se sentait frémir d'excitation ; ses muscles étaient tendus à craquer. La chasse commençait, et elle promettait d'être passionnante...
Chant du Rossignol Félin Légendaire
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