Petite fugue et amitié [PV Patte Douce]

Petit Lagon
Pourquoi on a pas le droit de sortir du camp ? On a pas le droit de découvrit le monde ?

Le plus gros déffaut de Petit Lagon, qui pouvait aussi être reconnue comme une qualité, était sa curiositée. En effet, il s'interressait à tout et posait tout le temps plein de question. Il avait l'âge d'être apprenti, et son baptême tardait, comme celui des ses soeurs et de son frère, Patte Précieuse, Petit Pétale et Patte d'Energie. Et e chaton en avait plus que marre que de rester là à faire toujours la même chose.. Attraper des feuilles, poursuivre des papillos, jouer à la bagarre avec les autres chatons... Au début il trouvait ça amusant, amis maintenant.... Il avait six lunes ! Il voulait tout apprendre ! Chasser, se battre, et aller aux assemblées où il pourrait revoir son père, Epine de Rosier, du Clan de la Rivière. Et il voyait bien qu'il n'était pas le seul à penser ça. C'est pourquoi, aujourd'hui, il avai décider d'aller faire un tour sur les territoire. Ca ne pouvait pas être bien dangereux, il était presque apprenti, après tout !

Il faisait chaud. C'est pourquoi Petit lagon décida de trouver une coin d'eau. Il marchait depuis longtemps. Il avait soif. La langue pendante, il arriva alors dans une clairière. Au centre, de l'eau. Il s'approcha et regarda son reflet. l'eau étaut d'une jolie couleur turcoise, comme une lagon. L'eau parraissait étrange.

*C'est peut-être dangereux ! Je préfère pas en boire, c'est trop bizzard !*

Il secoua la tête et leva les yeux. Il avait l'impression de pouvoir touché les nuages. il bondit mais sa pattes ne les atteignit pas. Alors il se roula en boule dans l'herbe tendre et ferma les yeux.

Quand il se réveilla, un chaton était penché sur lui.

Patte Douce

J'étais au camp toujours seule, à regarder les deux trois chatons idiots chasser un papillon sous l'oeil attentif de leur mère. J'étais bien heureuse de ne pas devoir être surveillée comme ça, je pouvais faire presque tout ce que je voulais. Ce n'étais pas la première fois que je sortais du camp, et ce ne serait pas la dernière. Je sortis discrètement du camp, ressentant, encore une fois, le doux vent chaud sur mon pelage court. J'avais juste envie de sortir et d'être assez loin pour que les guerriers ne me trouvent pas en sortant juste du camp. J'étais à peine à quelques metres de la sortie que je flairait l'odeur du Clan de l'Ombre, c'était un bon exercice avant de passer apprentie, après tout, j'avais six lunes et je pouvais largement passer apprentie. J'humais encore un peu l'odeur et reconnu Petit Lagon, je l'avais longtemps cotoillé dans la pouponnière. Je suivais son odeur, sentant le soleil taper sur mon pelage, l'odeur m'emmenai vers une petite clairière où l'eau ruisselait. j'en bus une gorgée quand Petit Lagon bougea, il était endormi à coté de ce ruisseau. Je me penchai au dessus de lui et il ouvrit les yeux. Je souris et lui murmurai.

Alors comme ça on fugue ?

Je le taquinai car si lui avait fugué, j'étais dans le même cas. Vu que nous étions là, deux chatons en dehors du camp. Il me sourit aussi avant de répondre.

Petit Lagon la reconnu aussitôt. C'était patte Douce, une chatonne du Clan de l'Ombre comme lui. Ils devaient avoir le même âge. Elle lui sourit. Le chaton le lui rendit. Elle était jolie. Son pelage était mi-long et tigré et ses yeux d'une couleur rosée. Elle lui lança d'un ton taquin :

- Alors comme ça on fugue ?

Il agita les oreilles, amusé. Elle n'avait rien à dire ! Elle aussi n'était pas censer être là ! Il ronronna et lui répondit d'une voix joyeuse :

- Et bien, toi aussi, non ?

Et il bondit sur ses pattes. Sa queue battit l'air. et il lui sauta dessus. Il s'immaginait être un apprenti face à l'ennemi, voir même un valeureux guerrier. Un jour, il deviendrait aussi fort que sont père. Bien qu'il ne l'ai vu qu'une seul fois, il avait bien remarquer qu'il était bien muscler. Il deviendrait comme ses parents : un exellent chasseur et un bon combattant. Son mentor serait fier de lui. Les deux chatons roulèrent sur le sol, jusqu'au pied d'un arbre. Là, Lagon se releva, le pelage ébouriffé. Et sourit, dévoillant toutes ses petits crocs.

Patte Douce

Petit Lagon ronronna doucement, avant de me rendre un sourire. Il répondit d'un air aussi taquin.

Et bien, toi aussi, non ?

Il n'avait pas tord sur ce coup-là. Sans me laisser le temps d'avouer ses actes, Petit Lagon m'avais déjà sauté dessus. Il se battait comme un chaton, mais un grand chaton qui savait ce défendre. Après tout, lui autant que moi allions passer apprenti bientôt, peut-être même en même temps. Je le laissai se débattre gentillement. Je le fis rouler au sol et nous nous relevâmes aussi vite. Il me faisait face, ses poils, autant que les miens, étaient ébourifés. Je respirais fort, j'ai c'est sur, quelques problèmes respiratoires, en le regardant. Lui, souriait, montrant ses crocs net. Je souris à mon tour. Sans bouger d'un poil je soufflait, de manière à peine audible mais qu'il saurait parfaitement entendre.

C'est que tu sais te défendre ... Tu as combien de lunes maintenant ?

J'aurais pus être la reine à cotés de sa mère que ça n'aurait rien changé. Je parlais de manière vraiment trop adulte, j'étais mature pour mon jeune age, c'est sur. Je le regardais, toujours souriante.

Patte Douce lui rendit son sourire. Elle ne bougeait plus. Petit Lagon non plus. Elle lui dit alors, d'une voix faible mais qu'il entendit parfaitement :

- C'est que tu sais te défendre ... Tu as combien de lunes maintenant ?

Il releva dignement la tête, une lueur de fierté dans les yeux. Il s'assit et la regarda de haut comme un guerrier gronde un chaton ayant fait une bétise. Puis, telle un jeune chat orgueilleux, il répondit :

- J'ai un peut plus de six lunes. Au prochain baptême, je passerais apprenti.

Quelques instants de silence s'écoulèrent, avant qu'il n'éclatte de rire. Il aimait bien jouer la comédie. Il aimait se moquer des gens, sans pour autant être méchant. Là, il avait essayer d'immiter l'un de ses stupides chats domestiques, qui ce croient beau et fort alors qu'ils n'y connaisse rien à la vie. La vie, la vrai. Celle où l'on chasse pour survivre, on doit se battre pour défendre son territoire. Une vie qui fait rêver. Passer son temps enfermer à manger de la nouriture infecte et avoir en permanence un truc serré au tour du cou, non merci !

Je réponds quand je rentre de vacances c-a-d le 29

- J'ai un peut plus de six lunes. Au prochain baptême, je passerais apprenti.

J'avais donc exactement le même age que lui, sauf que moi je ne passerais pas apprenties au prochain baptême, en tout cas personne ne m'en avait parlé, mais se sera bientot mon tour, je pense juste n'être pas encore assez habituéeà la vie au camp à vrai dire je n'étais là que depuis une lune, Petit Lagon surement bien plus ! Et puis, personne n'a envie de prendre en charge une bête folle comme ce que je suis, j'en ai bien conscience. Et puis je n'ai pas envie d'être toujours sermonnée par un mentor qui me servirai comme d'un parent. J'ai toujours refusé la vie de famille pourquoi accepterai-je un adulte ? Mais bon, je dois me faire à cette idée, la vie au Clan n'est pas telle que l'on peut toujours l'imaginée, moi je la voulais solitaire, c'est malheureusement impossible et je dois essayer de trouver les bons cotés à cette vie misérable. C'est pourquoi je passe de rigolade à sérieux, Petit Lagon se fait une joie de ce que j'apprécirais le moins du monde. Nous n'acvions pas vraiment la même vision de notre futur, a vrai dire, il voulait surement suivre tout ce que tout le monde faisait ! Je n'étais pas comme ça, je voulais devenir le plus vite possible libre, libre des autres, ne plus avoir à obéhir à quelqu'un, limite un chef mais plus de faux parents ni de mentor. Je n'avais nullement besoin de celà, je sais me débrouiller ! Le seul avantage à passer apprenti c'est d'être libre, un stade au-dessus, libre de sortir de ce foutu camp ! Je répondi à Petit Lagon de manière froide :

-C'est une joie ! (Je n'en pensais rien) MOi ce sera la fois d'après surement !

Je savais qu'il avait remarqué mon jem'enfoutisme, c'est vrai, il est le même que les autres à vrai dire pas moyen de penser à autre chose que les jeux futurs les petites bagarre, la nourriture et Mawman. La mienne m'a quittée, m'a abandonnée, je vis parfaitement bien !

En effet, ça faisait bien plus longtemps que Lagon était au Clan de l'Ombre. D'après sa mère, il était né à l'île, là où se déroulait les assemblées. Après il avait vécu toute son enfance au Clan de l'Ombre. Il ne lui était jamais venu à l'idée de la quitté, même pour rejoindre son père, au Clan de la Rivière. Etre le fils de la chef et de clan-mélé était difficile, mais il ne s'en plaignait pas. Il prenait la vie comme elle venait, c'est tout. D'un coup, le voix de Patte Douce devint froide, désagréable, lorsqu'elle répondit :

- C'est une joie ! Moi ce sera la fois d'après surement !

Le chaton la regarda de travers. Tu parles ! Une joie ! Il le vit bien, pour elle ça n'avait rien d'heureux. Lagon la trouvait soudaint...bizzard. Oui, bizzard ! D'habitude, tout les chatons rêvait de devenir apprenti ! Elle, elle n'avait pas l'air de trouver ça cool... Bas, peut-être qu'il se trompait, après tout. Mais quand même. Après tout, tout le monde est différant. La peit ne trouva rien d'autre à dire...

[Je réponds plus tard]