Une rendontre (pv Coeur d'Encre)

Phi

Phi se promenait autour de la maison hanthée. Elle adorait cette endroit. Plus qui autre. C'était un peu son endroit favorie. Ici, pratiquemment personne a pars des spartiates venaient. C'était un endroit désert. Ou rien ne troublait le silence sauf le couinement des rats. Ici grace a ses "cobayes". Elle pouvait experimenter de nouvelles techniques de meurtre. Les rats étaient des créatures très interréssentes. Et la Spartiate ne se lassait pas de les étudier. Ils avaient aussi une résistence étonante à toutes sortes de maladie. Ces ce qui, pour elle les rendait si interrésant. Mais revenons au niveau de la maison hanthée. La sauvage s'était inventée une légende toute seule une légende dans sa tête. Qu'elle s'amusait à répendre. Soit disant c'est ici qu'elle avait tué sa mère. Pour prouver qu'elle était sanguinaire. Et son esprit rodait encore dans la vaste maison délabré. C'était ridicule. La sanguinaire en convenait. Mais cela lui plaisait. Ses parquets grincants. La maison qui était vielle regorgait de mystère. Elle ne se lassait pas de l'explorer. Son endroit préféré: le grenier. Bien sur on ne resortait jamais de cette endroit sans avoir la fourrure sale. Mais la spartiate n'était pas dérangé par dela. Après avoir fait sa visite quotidienne et trucidait quelques rats innocents. Elel s'apprêtait à repartir quand une effluve vint troubler le parfums délliceux de renfermés. C'éait l'effluve d'un félin ou plutôt d'un chat. Ses yeux s'illuminèrent. Enfin une attraction interréssente pour elle. Son coeur se mit à battre plus vite. Bientôt elel distinguit la chatte. Puis d'une voie sonore et menacante elel dit:
-Qui es-tu pour oser troubler ce lieu sacré? Tu tiens tellement à mourrir sous les griffes de l'esprit démonique qui rode?
Elle se mit à découvert, se révélant à la lumière du jour.
-L'esprit démonique ici ces moi. Et personne ne m'échappe. Tu comprends ce que sa veut dire?
Elle eut un sourir démoniaque, sadique. Ses yeux illuminaient par le désir de sang et de torture. Elle avait faim. Faim de sang et de mal...

Coeur d'Encre
Douleur attroce

Coeur d'Encre se leva péniblement. La nuit avait été dure et un rêve lugubre avait troubler son esprit. Elle n'essaya pas de se le remémoré car elle en avait déjà des frissons. Elle se lécha machinalement le dos. Elle n'avait à vrai dire aucune envie de faire sa toilette complète. Elle se secoua tout de même afin d'hoter les brindilles acrochées à son poil sombre. La guerrière sortie de la tanière et fut éblouie par les rayons cristalins du soleil. La sphère pâle ne se contrastait pas beaucoup sur l'aurore du matin. La femelle bailla longuement et, après une séance d'étirements, elle choisis une petite musaraigne. En une bouchée elle l'eut finit. Un sentiment étrange l'engourdie. Elle se dirigea lassement vers le tunnel d'aubépines. Elle inspira à fond sans percevoir de fumet inconnu. Coeur d'Encre se faufila parmis les buissons et gambada sans grand interet dans la clairière. Elle arriva enfin à la limite de son territoire. Des senteurs étranges se propagaient de l'autre côté. Curieuse de nature, la guerrière passa la frontière. N'étant pas en tord, elle se dirigea vers une autre forêt, plus sombre. Elle y entra avec précaution car les ronces enlassaient les rassines des arbres millénaires. Elle bondit au dessus d'un tronc avec aisance et s'arretta un instant pour humer le parfum délicat d'une fleur pourpre. Une voix sonore l'interpella.

-Qui es-tu pour oser troubler ce lieu sacré? Tu tiens tellement à mourrir sous les griffes de l'esprit démonique qui rode?

La chatte rie en son fort interieur. Un esprit? Pff, cette chatte était vraiment idiote pour croire ces histoires à dormir debout! Son interlocutrice se dévoilà enfin. C'était une chatte tricolore assez haute sur patte. Des perles pourpres ornaient son poil mi-long. D'après son odeur, elle était sanguinaire. La chatte hoqueta mais l'autre répilqua, une sourire cruelle aux bouts des lèvres.

-L'esprit démonique ici ces moi. Et personne ne m'échappe. Tu comprends ce que sa veut dire?

La chatte hocha la tête. Elle ne partit pas pour autant. Pas sans se battre car elle n'était pas frousarde. Elle montra les crocs. Sa fourrure avait doublée de volume, ses yeux jettaient des éclaires. Elle cracha et ,dans un miaulement colérique, se jeta sur son adversaire. Elle lui lacéra les dos, planta ses crocs pointus dans sa queue. Jamais elle ne se laisserais abbatre, pas même avec un sanguinaire.

Phi la regardat amusé. Que cette personne était idiote. Il ne devait même pas y avoir un semblant de cervelle dans cette petite tête. Qu'elle idiotie de l'attaquer comme ça! Avait-on vraiment appris les règles de base à cette guerière. Elle l'a regardat amusé. Pour elle se petit tas de graisse n'avait vraiment rien d'impressionant. Il en fallait beaucoup plus pour impressioné Phi. Elle ricanat . Et quand la guerrière noir d'encre ce jettat sur elle, elle se laissat faire. Devant son aire féroce, elle partit dans une hilarité démante. Avant de dire en oquetant:
-On t'a déjà dit que tu étais ridicule? Puis reprenant son sérieux. Elle se jettat sur elle. Lui lacérant le ventre avec tactique. La torture, Phi s'y conaissait et de n'était cette ridicule personne qui allait lui posé des problèmes. Poussant un cris de guerre, La Spartiate Mordit, et griffa avec pattes et griffes. Puis fit un bond de côter pour éviter une attaque de son adversaire. Puis elel allat se mettre hors de porter pour pouvoir parler à son aise. Pourquoi se precer? Elle avait tout son temps, pour la tuer. Autant essayer d'en apprendre plus sur les chats bizarres qui venaient d'amménager dans Leur forêt.
-Doux viens-tu?

(Dsl ces nul mzis ma mère veut l'ordi)

Plume Bleue

Plume Bleue marchait, les oreilles basses, la gueue pendante : Il déprimait.
Il n'avait pas d'amis, ne fesait jamais rien. Rien. Ce mot résonait dans sa tête, il n'était rien.
Parfois il avait des envie de sucide, comme maintenant. Il marchait là où ses pattes le trainerait. Tant pis s'il traverse une frontière. Avec un peu de chance, il allait mourrir tuer par un guerrier en colère. S'il avait traversé la frontière, il ne s'en rendit pas compte. Il ne savait même pas où il était, absorbé par la contemplation de ses pattes.

|Fash Back|

-Non Patte Bleue revient !

- Tu m'attraperas pas ! Tu m'attraperas pas !

- Ne sort pas du camp !

-Rooh tu n'es pas drôle...

( deux jours plus tard )

- Mais, où est papa !

- Eh bien petit, il est là haut, dans le ciel, parmi les étoiles. Il t'observe et veille sur toi...

- Mais...moi je veux qu'il soit avec moi !

-Je sais petit, on aimerait tous ne jamais mourrir, mais il n'y a jamais de début sans fin...

|Fin du Flash Back|

Au souvenir de son père décédé, Plume Bleue reprit du courage, il ne voulait pas décevoir son père, il mourrait comme lui, dans la bataille ! Et non comme un idiot qui traverse le frontière sans s'en soucier...

A ce moment là, il se rendit compte de l'endroit où il était...Devant la maison hantée, en terre Spartiate ! Qu'avait il fait ? Il ne s'était même pas rendu compte qu'il était en terre Spartiate !
Il allait rebroussé chemain au plus vite quand il sentit l'odeur de deux chat. Malgré lui, il s'approcha et vie deux chattes.
L'un était, sans aucun doute, une spartiate et l'autre venait certainement d'un clan mais à cause de l'odeur de rats, il ne sentit pas de quel clan.

Feulant, le poil hérissé, il s'aprocha des deux femelles.

Coeur d'Encre sentis que l'ennemie se laissait faire. Elle avait agi non pas par manque de maturité mais par tactique. Une ruse que sa mère lui avait apris, chatonne. Elle préparait déjà son attaque et quand l'autre chargea. Elle se cabra et fit un grand bond en arrière, imité par son adversaire. Elle repris son souffle, hors d'aleine. Le combat était rude. La chatte adverse lui avait lacéré le ventre. Du sang tachait sa fourrure hérissée. Elle voulait paraitre le plus féroce possible afin que son invention marche. Elle cracha, les yeux menaçants. Sa queue avait triplée de volume. La chatte tricolore répliqua d'un ton sec.

-On na t'as jamais dit que tu était idiote?

Sans attendre sa réponse, la tueuse se jetta sur elle et lui lacéra les flancs. Coeur d'Encre se jetta sur elle, aveuglée par le sang qui dégouilnait de son nez. Elle feula si fort que sa gorge semblait en feu. Elle s'étala sur le flanc. La guerrière ferma les yuex, à bouts de force. Elle sentais son coeur battre plus vite, son pouls, s'axéléré. Elle vit flou. C'était la fin. La fin de sa vie pleine d'embuches et de pièges qu'elle avait sut éviter. Elle grimaça et rendis son dernier souffle.

[...]

Le froid réveilla la guerrière. Elle n'était pas morte! Les yuex emplient de larmes, elle se releva tent bien que mal et quitta la clairière sanglante. elle galopa à toute allures de peur de revoir un jour la chatte qui avait éfillée le fil de sa vie. Une fois au camps, elle s'écroula, morte de fatigue. La chatte noire entendis des voix qui lui permettaient de savoir si son coeur battait encore.

(je répondrais ce week-end)