Plongeon - bombaplouf.

Invité

Il suffit d'un grain de poussière,
Pour passer de l'ombre à la lumière,
De son coeur, chasser la misère,
S'envoler, libre comme l'air !

LIBRE

(peux m'incruster ? Plongeon - bombaplouf. Fresse

- je suis un méchant solitaire sangui - rassures-toi, épuisé et sous-nourris )

Invité

« Marche, cours,
va là où il te plaît,
à l'autre bout de la terre,
près des étoile, mais, surtout,
ne t'arrête pas de rêver... »

• • •

Un passé, un Présent, un Futur... Cela influençait-il le jeune chaton ? Était-il aussi bête pour se poser une pareille question. LA vie, c'est comme une fleur, elle entame sa croissance, à des petits bourgeons, fleurit, se reproduit, et après, plus rien. Elle meurt. C'est ça l'avenir de ce jeune Chat, mourir, essayer de vivre, croire en l'avenir. Peut-être qu'un jour il trouvera l'amour. Mais il ne croit pas en la chance, ni aux miracles, il ne croit déjà pas en lui-même, comment fait-il pour continuer à vivre ? Je me le demande.

Son clan le répugnait, c'était toujours la même chose, fais-ci, fais-ça, et sa vie vient après ? Je croyais que ce qui est le plus important était sa peau, oui, celle qu'on a sur son dos, qu'on porte jour et nuit. Pourquoi ce remord me revient sans-cesse dans ma tête, mes neurones, mon cerveau aussi minuscule sois-t-il, ne peut plus le supporter. Pourquoi, pourquoi est- arrivé à moi ? Je me sens si nerveux, chaque fois que ce sentiments m'emporte. Mais à quoi bon raconter me vie, si je me la raconte à moi, et à personne d'autre, c'est si inutile....

La vie au clan bâtait son plein, les apprentis mangeaient gaiement avant de partir à leur entraînement, les guerriers profitaient du peut de soleil. Certains chatons, comme moi, s'amusaient à se battre sur le sol mouillé, oui, mouillé, car la nuit avait-été humide, et le ciel avait pleuré, telle est mon expression. Mes pattes touchèrent le sol, si désagréable, de la boue venait se coller à me fourrure si bien lustré, que j'avais enfin réussis à lissé, les poils recommençaient à sauter dans tous les sens. C'est si énervant... A chaque pressions sur le sol boueux, de l'eau brune en sortait, c'est délirant, comme un chaton sans cervelle peut regarder ce phénomène pendant des heures, sans se dire qu'il parait bête.

Ooh ! Un papillon ! C'est si amusant de se prendre pour un papillon, vous savez, vous pensez voler, puis, vous vous rendez compte que vous plaisez à des adultes, qui eux, croient que c'est normal... La vie est dure parfois, vous pensez pas ? Ha ha, moi je me marre, c'est si chouette d'être le chaton le plus intelligent, parce-qu'on peut paraître imbécile, alors que les imbéciles, peuvent pas paraître intelligents, bande de bêtes sans cervelle !

Mon museau toucha ma patte boueuse, et je fis une moue horrible. Ça empestait, qu'est-ce qui était tombé du ciel maintenant, les fientes de nos ancêtres, vous les gardez, on en a pas besoins, nos terres sont déjà assées fertiles ...

Les chats me regardèrent marcher, je n'avais jamais connus la pluie, avant quelques-jours, oui, la neige venait de partir, il commençait à faire plus chaud, et plus sec, mais aussi plus pluvieux, et les végétaux repoussaient, la vie revenait enfin, le gibier aussi, nos gosiers vont être Contents di-donc ! Mes pattes avançaient, l'une devant l'autre, ainsi de suite, ça enchaînait, jusqu'au moment, et je me retrouve nez dans le boue, avec des chats stupides rigolant de ma dégringolade.

Je grommelais.

« Ça vous fait Rire bandes de Chats Stupides sans coeur ! Moi non, alors retournez vous, il y moyen d'être sympathique ?! »

Oui je sais, je ne suis pas aimable, mais, c'est une qualité de ne pas être aimé, car plus personne ne vous embête, et on vous laisse tranquille, haa, la vie, quand on la passe sainement, sans personne pour vous contrarier, c'est si chouette.

J'arrivais au coeur de la forêt, et oui, je sais marcher vous savez ? Non, je ne suis pas tombé une deuxième fois, si c'est ce que vous voulez savoir. Marcher, pour un chat, c'est très important, car on doit savoir chasser grâce à ça, ne me prenez pas pour un philosophe, oui un scientifique, je suis un chat, seulement, un chat. Mais intelligent, si je ne puis-dire !

La forêt semblait, calme, les oiseaux chantaient, une mélodie peut familière, la dernière fois que je l'avais entendue, mais parents étaient allongés sur un chemin dur et puant, mort. Depuis, je ne savais plus rien entendre, je restait plongé dans le noir, à attendre que mes remords passent. Pour l'instant, je n'ai plus de périodes, enfin presque plus.

Le pont n'était plus très loin, je ne sais pas vraiment pourquoi je vais là-bas, mais une idée, comme-ça, peut-être vais-je y trouver quelque-chose, ou quelqu'un, le hasard fait bien des choses. Mais la vie est si difficiles, j'aimerais avoir plus de hasard chouette, comme ne pas à devoir aider les anciens, ou même aider les guérisseurs. Les tâches ménagères c'est pour le filles, Bon Dieu d'Etoiles !

Une flaque, une Jolie flaque s'étendait devant moi, je ne savais pas si je devait m'aventurer dedans, ou rester à couvert dans les buissons. Enfaîte, si je devais rester, car je venais à-peine de remarquer un chaton, aussi grand que moi, s'avancer dedans, et plonger, un PLOUF fit s'entendre, lui aussi était si bête, qu'il pouvait jouer à des jeux pareils ?!

Je bougeais sur mes pattes, je frissonnait, enfaîte, je voulais aussi sauter dans cette flaque, et montrer à mon entourage que j'étais un minimum Chaton, et que je pouvais aussi jouer comme cela !

Mes pattes m'encouragèrent, jusqu'au moment ou le chaton se retourna dans ma direction, il eut un petit mouvement de recul, puis s'apaisa quand il vit un autre chaton, de son âge.

« Hum, Bonjour toi ... Comment-appelle tu ? »

Je fis un large sourir pour paraître gentil, et le chaton s'apaisa.

[Hum, j'ai oubliée, ton spartiate doit intervenir, après que je sois arrivée, si tu pouvais un petit peu changer ton histoire =)]

[+1 quoi ?O.o]

[fin voilà mon rp]

Ses os saillant sous ses poils sales et crasseux, sa maigreur, sa difficulté à se traîner d’un endroit à l’autre, cette lassitude qu’il éprouvait aux égards du monde, annonçait sa fin prochaine. Il n’avait plus à rien à faire ici. Il se sentait vieux et faible, inutile. Il n’avait pas réussi la seule promesse qu’il avait prononcé sur le corps mort de sa mère bien des lunes plus tôt. « Je te vengerai… Promis… », avait-il murmuré entre deux sanglots. Or qui était à l’origine de sa perte ? Sa sœur, bien sûr, une petite chatte cendrée, stupide et égoïste !

Elle était vivante. Elle était quelque part et respirait le même air que lui. Il allait mourir, mais il ne voulait pas s’en aller sans l’avoir faite crever d’abord !

Il n’avait pas mangé depuis trois jours. Chaque soir il voyait la lune gravir le ciel, chaque matin il voyait l’aurore poindre, sans avoir fermé l’œil de la nuit. Il ne voulait pas s’arrêter, pour ne pas perdre sa conviction, et parce qu’il s’en voulait. Il n’avait plus la force de penser à manger. Il n’entendait même plus les grognements assourdissants de son estomac vide. Chaque fois qu’il posait une patte sur le sol, il craignait de s’effondrer sous la fatigue. Chaque fois que ses paupières se fermaient, le paysage s’effaçait devant lui et le laissait errant, jusqu’à qu’il réussisse à les relever et à continuer à avancer.

Heart of Ink marchait en direction du ponton, pour se rafraîchir un peu, lorsqu’il entendit un PLOUF phénoménal ! Tant bien que mal, il tenta d’accélérer son rythme mais tomba à plusieurs reprises. Se relevant, il parvint jusqu’au bord du ponton. Il se pencha et découvrit, juste sous ses yeux, deux chatons… sans défense. L’un était noir aux pupilles bleues magnifiques. Il ne put détacher ses yeux de ce regard océan infini. Ka. Oui, c’était les même yeux que ceux de sa mère, les mêmes yeux profonds et mystérieux.

La Terre tournait autour de lui : les feuilles des arbres se confondaient à l’herbe, et il ne faisait plus la différence entre le sol et le ciel. Son estomac se souleva. Sa tête lui tournait aussi. Il chancela, regarda le sol, à bout de souffle, tentant de garder l’équilibre. Impossible. Son crâne heurta le sol. Trou noir.

« Cendre. », murmura-t-il dans son inconscient.

C’était de sa faute. Tout était de sa faute. Ink eut envie de pleurer. C’était impossible. Il n’avait pas été triste depuis des lunes et des lunes, vivant que pour lui. Il ne savait plus pleurer. Il sentit sa gorge se nouer.

D’affreuses douleurs lui tordirent le ventre. Il n’entendait plus rien.

Pas même les oiseaux. La nature s’était tue. Il ne percevait plus le cours du ruisseau. Tout était noir, partout.

« A quoi cela sert-il de vivre, si on doit s’éteindre à si petit feu ? » se demanda-t-il. « Cendre je te tuerai. Je me débrouillerai. Non, je ne mourrai pas pour toi. Pas pour ton plaisir. Abeille Rousse me mènera jusqu’à toi et je te tuerai, après je me débarrasserai d’elle. »

Il perdit connaissance.

Quand il rouvrit les yeux, il faisait nuit. Il était encore au sol. Il redressa la tête. La lune jouait les reflets de la rivière, les nuages la rendaient mystérieuse. Elle murmurait de nouveau. Heart of Ink entendait. Il percevait ces chuchotis susurrés comme les paroles sombres d’une prophétie. Mais il ne les comprenait pas. Toujours il s’était interrogé sur leur sens. Jamais la réponse n’était venue. Il se leva péniblement, il ne sentait plus ses pattes faibles.

Son cœur fit un bond dans sa poitrine si bien qu’un hoquet de surprise lui échappa.

Devant lui se tenait, élégante, de dos, presque irréelle, Ka, sa mère. Sa mère chérie qu’il avait retrouvé morte un soir d’Hiver. Cette mère si aimante qu’elle s’était sacrifiée pour un caprice de sa petite sœur.

-Maman, murmura-t-il, arrivant à peine à parler.

-Non, répondit-elle sèchement.

Ink sursauta. Pourquoi le rejetait-elle ? Il n’avait pas bougé, elle non plus, parfaitement immobile, il commençait à douter de lui-même. Etait-elle sa mère ? Bien sûr que oui ! Quelle idée…

-Pourquoi es-tu si mal nourri, si épuisé ?

Son ton était toujours agressif. Ink ne comprenait plus.

-Je dois retrouver Ce…

Sa mère aurait-elle voulu qu’il la tue ?

Elle l’ignora.

-Je ne suis pas ta mère.

Son rythme cardiaque faillit s’arrêter. A deux griffes de s’effondrer, il hoqueta ;

-Maman ?!

-Je ne suis pas la mère de Heart of Ink.

- Mais je suis… !

-Non !

Il voulut la rejoindre en quelques bonds – la distance qui les séparait – mais il se cogna à quelque chose d’invisible, il ne pouvait pas l’approcher.

-Tu ne sais plus qui tu es.

Il voulut protester mais attendit.

-Tu étais mon fils du temps où tu t’appelais Stream. Tu as oublié qui tu es, et tu m’as oublié avec.

Des images défilèrent dans la tête d’Heart of Ink. Stream, disait-elle ? Il avait beau chercher, il ne trouvait pas. Nulle part dans sa mémoire ce nom était inscrit. Il n’arrivait pas à se souvenir, il ne voulait pas.

-Non, chuchota-t-il. Non, je ne t’ai pas oublié.

Elle se retourna. Ses yeux bleus mers le transpercèrent et l’envahirent d’une colère sans pareil.

-Si. Tu m’as oublié, Stream.

Le vent se mit à souffler, si fort qu’il n’y avait plus que ça aux oreilles d’Ink.

L’image de sa mère disparut, s’effaça, au fur et à mesure que le souffle du Clan des Etoiles balayait son illusion.

Il ne croyait pas au Clan des Etoiles.

Ink reprit conscience mais ne bougea pas, ne rouvrit pas les yeux, toujours cloué au sol. Les poils cerclant ses pupilles étaient humides, maintenant, il se souvenait. Il avait été Stream. Il ne l’était plus.

(si vous avez pas le temps, vous êtes pas obligé de lire le passage de son rêve, qui n'a aucun rapport avec la rencontre ; vous aurez rien loupé ^^)

[Je vais répondre, je réserve la place =)]

(euh là il y a problème, parce que du coup, mon truc à moi est complètement décalé --' ... comment on fait ? je suis désolée, brown, la prochaine fois, je saurai ce que veut dire +1, enfin si tu pouvais mettre "je réserve la place", pour les demeurées comme moi... ^^)

[J'ai dis ça dans mon Rp ( enfin, après xD) ;]

[Hum, j'ai oubliée, ton spartiate doit intervenir, après que je sois arrivée, si tu pouvais un petit peu changer ton histoire =)]

(ok, je ferai ça c'soir, là je suis pas sur mon ordi... sinon, mon chat n'est pas un spartiate, tu dois confondre ^^)

[edit: j'ai édité mon post, juste après le tien, tout est dans l'ordre, maintenant XD]

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[ On attend donc la réponse de Pique ? ]

[ Elle est déjà la Biloute (;]

( J'peux m'incruster avec Nuage de Jais ? Plongeon - bombaplouf. Fresse

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Nuage de Jais

Nuage de Jais était sorti faire un tour en forêt. Elle marchait tranquillement entre les arbres, à l’affut d’une proie ou d’un intrus. Il faisait doux le ciel était dégagé il n’y avait presque pas de vent. Le pelage noir de l’apprentie resplendissait au soleil. Nuage de Jais était une jeune femelle noire aux pattes et au museau blanc. Soudain, elle s’arrêta. Une odeur suspecte planait dans l’air. Elle leva le museau et senti l’odeur d’un chaton à sa droite. Alors doucement elle s’approcha et vit deux chatons près d’une flac d’eau. Lentement elle vint à leur rencontre mais resta cachée derrière un arbre.
Elle entendit l’un deux demander à l’autre : « Hum, Bonjour toi ... Comment-appelle tu ? »
Derrière son arbre Nuage de Jais hésita. Cette fois, c'est un chat adulte qui arriva, de là où elle était elle le voyait mal.Puis maladroitement elle partie à leur rencontre. L’un des chatons étais noir et blanc il avait l'air épuiser. Ses yeux bleus refletèrent sa frayeur quand il la vit approché. Elle ne distinguait pas très bien l’autre de là où elle était.Elle s’approcha encore un peu et timidement leur adressa la parole.
Bonjours, qui êtes-vous ? Que faites vous ici ?

[size=12]Puis elle s'assit et les dévisagea avec curiosité tout en se lechant le poitrail.[/size]

[je réponds après Byll'Âme =) ]

[Nuage de Jais, tu m'as oublié ou quoi ? x) j'me vois pas dans ton post x)]

Non je t'ai pas oublié, elle t'a pas vu x)

Non elle t'a pas vu x) non sérieux j'ai pas fini, j'étais en train d'éditer là, maintenant ça devrait être bon. =)
Désolet pour le double post, en plus je peux pas le suprimer.

[mais pourtant mon ink est en plein milieu du ponton = / ou alors je me suis plantée quelque part ?]

[ Nuage de Jai, tu m'excuse, mais tu as joué mon chat, et il n'est pas trouillard, justement, il te cracherait à ma figure, donc tu m'édite ton message, s'il te plais.)

Oh, je ne l'ai pas joué, je disait qu'elle ne le voyait pas car il n'était pas dans son chan de vision. Les deux chatons sont à côtés et de là où elle est, elle ne le voit pas bien.

[Non, tu as clairement dis ; L’un des chatons étais noir et blanc il avait l'air épuiser. Ses yeux bleus refletèrent sa frayeur quand il la vit approché. Elle ne distinguait pas très bien l’autre qui était en partie caché par le premier.]

Maintenant, Stop Flood !

Je sais bien, je n'est pas dit " qui s'était" mais " qui était" C'est à dire que ce qu'elle voit c'est le chat de Bille'Ame, devant le tien car elle arrive sur le côté. Mais si c'est vraiment dérangeant je peux changé.