Sujet: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard] Dim 7 Fév - 15:44
En cette douce matinée alors que le soleil timidement montait dans le ciel encore sombre, évinçant les nuages il prit sa place sur la toile bleue remplaçant la toison argenté. A ce signal muet les premières silhouettes de félin se dessinèrent dans l’encadrure des différentes antres du camp encore endormi, au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient de plus en plus de chat vinrent gouter aux premières lueurs du jour avec une joie débordante et une vitalité hors du commun. Tout allait pour le mieux au sein du clan des chats nageurs le clan de la rivière la réserve de nourriture habituellement presque vide en cette mauvaise saison avait été bien renfloué par une bonne chasse durant la nuit par la patrouille nocturne, l’épaisse couche de glace qui recouvrait la rivière avait fondu et il était désormais possible pour les guerriers et les apprentis de pêcher, la neige avait pratiquement disparu se qui réduisait grandement le risque pour les félins d’attraper le mal vert si redoutable en particulier pour les anciens et les petits, le ciel bleu azur complétait ce splendide tableau rajoutant une touche de couleur à ce défilé de bonheur. Oui c’est ainsi qu’une journée de la mauvaise saison devait se passer enfin que les chats de la forêt voulait qu’elle se passe mais la triste réalité était tout autre :malgré la matinée déjà bien avancé le soleil ne perçait que très légèrement l’amas de nuage gris que tapissait le ciel, la réserve de nourriture ne comptait que trois malheureuses proies avec la peau sur les os et dont la chair filandreuse grinçait sous les dents, il neigeait à gros flocon le vent soufflai à tout allure sifflant aux oreilles des quelques malheureux qui s’aventuraient à l’extérieur des tanières pour partir en patrouille ou tenter d’attraper quelques choses à manger, les guérisseurs étaient déborder il y avait une dizaine de chats malade dont trois avec le mal vert, l’air était à la déprime dans le camp et tout particulièrement pour une jeune apprentie aux yeux de lune et au pelage blanc comme la neige moi nuage de lune broyais du noir devant l’entrée de la tanière des apprentis.
Une semaine, une longue semaine que je n’avais plus aucune nouvelle de mon mentor flocon d’hiver, durant toute cette durée j’avais révisé toutes les techniques de combat, refait le tour du territoire de notre clan une bonne vingtaine de fois au moins, j’avais appris à pécher avec l’aide de nuage glacial et de guerrier, j’avais nagé quand le temps le permettais, chasser même si les proies se faisaient de plus en plus de jour en jour. Malgré la meilleur volonté du monde une colère sans pareille était apparut en moi, une colère qui ne cessait de grandir et de me ronger le ventre, j’vais envie de hurler de me défouler sur le premier matou que me tombais sous la patte, je prenais en retard considérable sur le autres apprentis alors que j’étais la plus doué d’entre eux c’était intolérable, si cela continuait dans cette direction et que le guerrier qui se disait mon mentor ne réapparaissait rapidement je demanderais à étoile de satin un nouveau mentor. Depuis mon retour de patrouille il y a de la deux heures je n’avais cessé de marteler de mes griffes le sol de l’antre si bien que sous ma patte un trou c’était formé et qui ne cessait de s’agrandir et de s’approfondir. A l’intérieur de la tanière j’étais seule tous les autres apprentis étaient soit en patrouille ou dans la tanière du guérisseur ou encore avec leur mentor soit à s’occuper des anciens. Je m’ennuyais à mourir avec ce temps de chien impossible de s’entrainer et encore moins de se promener je poussais un soupir
Le temps parait déjà long quand on ne fait rien mais par ce temps c’est encore pire
*Clan des étoiles envoyer moi un signe qui tromperai l’ennui*
Tournant mon regard vers le brume qui c’était formé je distinguai une silhouette flou qui progressait vers moi difficilement plissant les yeux j’essayai de déterminé si il s’agissait d’un apprenti ou d’un guerrier et surtout de mettre un nom sur cette ombre. Le félin mit plusieurs minutes à atteindre l’entrée et lorsqu’il passa devant moi je me rendis compte qu’il s’agissait d’un apprenti, son pelage bien que trempé me semblai roux avec le poitrail blanc ainsi qu’une e ses oreilles, à peu près de la même taille que moi il possédait de magnifique yeux vert émeraude avec une lueur joueuse et énergique dans le regard on ne devait pas s’ennuyer beaucoup en sa compagnie. Remerciant mes alleux pour avoir répondu à ma prière je souri puis me levant avec grâce je rejoignais le nouveau venu au fond de la tanière me positionnant en face de lui je me rendis compte que je ne le connaissais pas, d’une voix un peu morose par le temps je lui dis :
Salut moi c’est nuage de lune, je ne t’ai encore jamais rencontré tu rentres d’une patrouille ?
Observant l’apprenti remarquai que de son pelage dégoulinait de grosse goutte d’eau qui s’écrasait un de petit ploc sur le sol.
Noir de Café Félin Légendaire
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Sujet: Re: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard] Lun 8 Fév - 1:30
Une rencontre sous un temps de chien.
"Allez, debout petit flemmard !" entendit soudain à son oreille Nuage de Renard.
"Hein, de quoi !?" cria-t-il presque en se relevant en sursaut.
Il y voyait encore flou, et distinguait un espèce de mur fait avec des brindilles et des plantes. Il n'y comprenait plus rien. Il y a quelques secondes, il était dans la forêt, en train de courir sous la chaleur de l'été, de beaux arbres verts au dessus de sa tête, en compagnie de Nuage de Sable, et là, le pauvre petit se retrouvait venait de s'entendre souffler à son oreille "Allez, débout flemmard !" ! Il se mit à voir net, et se rendit compte qu'il était dans la Tanière des Apprentis. Les autres apprentis dormaient encore, enfin ceux qui n'avaient pas été réveillé par le cri de Nuage de Renard. Il regardait autour de lui, d'un air paniqué: comment avait-il put passé de la foret à la Tanière des Apprentis ? A côté de lui, une femelle le regardait d'un air amusé. Mais, cette femelle ... c'était ... Feuille Blanche !? Oui, là, la belle femelle qui le regardait, c'était bien sa mère, l'ancienne chef de la Rivière, Feuille Blanche ! Il souffla à la façon dont souffle un élève après que le professeur de maths est écrit une opération compliqué au tableau. Il n'y comprenait décidément plus rien ! A moins que ... Le jeune apprenti au poitrail blanc souffla à nouveau. Mais cette fois, c'était un soupir. Non ! Tout ceci n'avait été qu'un rêve ! Les feuilles vertes qui lui tombaient sur le nez, les petites odeurs de poissons et de fleurs qui lui chatouillaient les narines, son ami Nuage de Sable qui courait à ses côtés ... Tout ça, il l'avait rêvé pendant la nuit, et là, c'était le matin. Il jeta un regard en coin vers la sortie de la pouponnière, et fit une grimace d'un air dégouté. Vous savez, comme quand on vous avait dit un truc qui vous fait très plaisir, puis quand le lendemain, on vous annonce que tout cela n'était qu'une blague.
Il était encore en pleine saison des Neiges, et oh que non, les feuilles vertes ne tombaient pas, vu que les arbres en était dépourvu, oh que non les fumets de poissons ne lui chatouillaient pas le nez, ils étaient tous coincés sous la couche de glace de la rivière gelé, rendant impossible la pêche, oh que on il ne sentait pas l'odeur des fleurs, celle-ci étaient toutes abimées par les tempêtes incessantes, oh que non Nuage de Sable ne courait pas à ses côtés, elle dormait dans le coin, là-bas, épuisée par son entraînement d'hier ...
"Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu n'as pas l'air en forme mon chéri ..."
C'était Feuille Blanche qui commençait à s'inquiéter pour son Petit Renard qui n'avait pas l'air dans son assiette, rien qu'à voir sa grimace bizarre quand il avait jeté un regard vers l'entrée.
"Je voulais allez à l'entraînement avec toi, mais si tu ne te sens pas bien, reposes-toi."
Nuage de Renard qui était d'habitude si plein d'énergie semblait être déprimé à cause de ce rêve. Et c'est pour ça que sa mère se faisait du soucis, le connaissant bien, d'habitude il ne refusait jamais un entraînement. Comme en réponse à la question de sa mère, celui-ci se recoucha sur le sol froid de la Tanière des Apprentis, et regarda sa mère s'éloigner en silence pour ne pas réveiller les quelques apprentis qui dormaient encore. Elle salua au passage un guerrier qui partait à l'entraînement avec une jeune femelle qui devait être son apprenti. Nuage de Renard n'arrivait pas à se rendormir, et après une demi-heure à se tourner et retourner dans tout les sens pour essayer de trouver le sommeil, il se leva, remuant les oreilles pour montrer sa mauvaise humeur. Il se posta à l'entrée de la Tanière. Aujourd'hui, il faisait particulièrement mauvais, la neige qui était presque de la pluie, tombait en rafale, et un vent glacial soufflait jusqu'à l'entrée de la tanière. Le jeune apprenti roux aimait d'habitude regarder les guerriers qui se risquaient sous la neige glacial, qui dérapait, ou les petits qui découvraient la neige, et qui ouvrait la bouche pour attraper des flocons, il trouvait ça comique.
Mais ce matin, il n'avait pas envie de rigoler. C'est alors qu'il se décida à mettre le nez dehors. Il fut directement frappé par un vent glacial, ce qui lui hérissa les poils. Il se rendit compte que les boules blanche qu'il voyait tomber depuis l'entrée de la tanière n'étaient que des gouttes de pluies glacés, qui lui fouettaient le poil. Il ferma d'instinct les yeux pour les protéger de la pluie d'hiver. "Pourquoi je suis sorti, déjà ?" Pensa-il pour lui-même. Finalement,il ne resta pas longtemps sans réponse. Un jeune guerrier gris s'avança vers lui d'une marche comique, lui aussi le poil hérissé par la pluie d'eau glacial.
"Il nous manque quelqu'un pour faire une équipe de chasse. Je vois que tu n'es pas à l'entraînement. Si tu es courageux, tu peux venir avec nous." lui lança le mâle cendre assez fort pour se faire entendre malgré les "plic-ploc" de la pluie incessant.
C'était une proposition qui ne se refusait pas. Nuage de Renard hocha simplement la tête. Peut-être qu'une partie de chasse, même sous la pluie, lui rendrait sa bonne humeur ? Il se dirigea vers la sortie du Clan, accompagné du guerrier gris.
Nuage de Renard franchit l'entrée du Clan, suivit par deux autres félins tenant un maigre mulot chacun dans la mâchoire. Lui, il n'avait rien attrapé, mais il avait retrouvé son petit sourire joueur habituel. Comme quoi, une course sous la pluie avait suffit à le rendre de bonne humeur. Il salua les deux guerriers, puis se dirigea, trempé, vers la Tanière des Apprentis. Il y allait calmement, sans se presser, en marchant même. Il avait retrouvé la joie de vivre, et son coup de blue's de ce matin était passé. Maintenant, il n'avait plus envie de s'ennuyer, il avait envie de faire des découvertes, des rencontres. Il était redevenu comme d'habitude, quoi.
Il franchit pour la deuxième fois de la journée l'entrée de la Tanière des Apprentis, trempé mais le sourire aux lèvres. Tout ce qui était à l'intérieur, se retournèrent en le voyant entrer, devant penser qu'il était courageux de partir chasser avec un temps pareille. Le bel apprenti alla se poser au fond de la Tanière et regarda tout le beau monde qui l'entourait. Le premier réflexe d'un chat en allant sous un abri avec ce temps aurait été de faire sa toilette, mais Nuage de Renard n'y avait même pas pensé une seconde. Il était bien, trempé, comme ça, ça lui donnait un peu de fraicheur, il se sentait bizarre, mais bien. Il remarqua alors qu'une jeune apprentie d'à peu près son âge au pelage d'un blanc magnifique s'approchait de lui. Elle avait de beaux yeux bleu qui semblait un peu gris dans l'ombre. Elle semblait aussi bien mystérieuse, mais sympathique. Oui, Nuage de Renard l'avait déjà vu ! A son baptême, il s'en rappelait très bien, elle aussi avait été nommée apprentie en même temps que lui, elle s'appelait Nuage de Lune ! Ce fut elle qui engagea la conversation:
Salut moi c’est nuage de lune, je ne t’ai encore jamais rencontré tu rentres d’une patrouille ?
Bonjour, moi c'est Nuage de Renard ! il voulut faire alors un peu d'humour, puis se regarda pour voir à quel point il était trempé, et rajouta sur un ton ironique, mais sans vouloir être méchant, justement, pour amuser la jeune apprentie:
Ça se voit tant que ça que je rentre d'une patrouille ?
Lune éternelle Félin très connu
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Sujet: Re: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard] Lun 8 Fév - 23:09
Me couchant en face de mon interlocuteur aux yeux émeraude j’entendis celui-ci me répondre avec entrant :
Bonjour, moi c'est Nuage de Renard !
Nuage de renard, nuage de renard ce nom me disait quelque chose comme un vague souvenir en sa compagnie peut être ou alors l’aurais-je entendu à travers une bride de conversation happé par hasard en me promenant dans le clan. Fronçant les sourcils je cherchais au fin fond de ma mémoire ou avais-je bien pu voir l’apprenti roux. Puis soudain comme frappé par un éclair une image de mon baptême ressurgi de nul par dans mon esprit un passage de ce rituel pratiquement oublié rangé dans le coin le plus enfoui de ma matière grise ce matou avait reçu son nom d’apprenti en même temps que moi voila pourquoi ce nom me disais quelque chose, Je secouais la tête de droite à gauche une façon simple de me dire “nuage de lune ta grande mémoire t’as bien fait défaut aujourd’hui “ laissant ma douce fourrure se balancer au rythme de mes mouvement je poussais un soupir. Reportant mon attention sur le matou au pelage de feu je remarquais que contrairement à la plupart des chats de la forêt il n’avait pas prit la peine d’essorer ses poils ce qui permettait désormais à l’eau en trop retenue dans ses poils de s’échapper et de s’écraser contre la couche de son propriétaire.
Nuage de renard me répondit d'une voix enjoué et blagueuse vous comme un chaton qui s’apprête à faire les quatre cent coups avec ses amis :
Ça se voit tant que ça que je rentre d'une patrouille ?
A ces paroles je pouffais d’un rire cristallin dont j’avais le secret lui c’était vraiment un comique toujours le mot pour rire et surement à faire l’imbécile, à moitié en riant je lançais :
Oui cela se voit vraiment d’ailleurs si tu ne fais pas rapidement ta toilette tu vas finir par attraper le mal vert et te retrouver dans l’antre des guérisseurs à trembloter pendant 2 lunes !
J’avais accompagné mes paroles d’un mouvement de la patte la levant dans les airs j’allais la placer sous le ventre de l’apprenti en faisant en sorte de faire une légère pression aussitôt une vingtaine de gouttelettes vinrent mes mouiller le coussinet rosée, tendant mon membre trempé devant le museau de nuage de renard je souri puis ri.
T’es un marrant toi tu me fais penser à un de mes amis d’enfance il est comme toi c’est pat..te ..d’épi..ne.
Malgré moi ma voie se brisa à la fin de ma phrase le souvenir du chaton au regard vert forêt me serra le cœur cela faisait plusieurs lunes que je ne l’avais pas vu depuis mon baptême pour être exact, le pauvre devait s’ennuyer tout seul lui qui est si proche de son demi-frère nuage glacial il ‘avait pas eu plus le temps que moi d’aller faire un petit coucou à son frangin, entre les entrainements, les patrouilles, les parties de chasse et nos obligations de novice nous avions juste le temps de dormir quelques heures avant de tout recommencer le lendemain des que l’aurore c’était levé et encore parfois il y a avait les patrouilles nocturnes qui sont deux fois plus éreintantes que celles de jour et je parle par expérience personnelle. Refoulant un hoquet je fis glisser mes paupières sur mes deux orbes bleues lunes, il fallait à tout prix que je me reprenne et rapidement une apprentie telle que moi la meilleure du clan ne devait pas ce laisser abattre par des choses aussi futiles et inutiles que cela. Rouvrant les yeux je constatais que le matou blagueur me regardait avec un air étrange, la tête penché sur la droite les yeux grands ouvert avec une petite moue, esquissant un large sourire, celui-là trouvait toujours quelque chose pour remonter les moral des autres et être drôle, des chats comme lui on n’en trouvait pas à derrière tous les arbres, ainsi pour lui montrer que tout allait pour le mieux je m’empressais de lui expliquer cette soudaine comment dire dépression :
Ce n’ai rien excuse moi je pensais juste à patte d’épine cela fait bien des lunes depuis mon baptême en fait que je n’ai pas pu le voir et son demi-frère est dans la même situation que moi, je me disais qu’il devait se sentir bien seul et bien triste dans la pouponnière. Enfin heureusement que des chats comme toi existe tu as un don pour redonner le sourire aux autres tu sais c’est une qualité non négligeable ton mentor ne doit pas s’ennuyer avec toi comme apprenti je me trompe ?
La lueur espiègle qui flottait dans ses prunelles était contagieuse et très vite les miennes se tintèrent du même reflet lumineux. Alors que ma nouvelle connaissance allait prendre la parole un éclair trancha le ciel sombre son bruit se répercuta jusqu’au bout du camp sa lumière bien que brève avait suffit à réveiller les derniers apprentis de la tanière qui avaient réussi à faire une longue nuit. A l’entente de ce fracas la plupart des chats présents sursautèrent en poussant un cri de panique et de surprise, mais pas moi je restais impassible le visage gardant cette expression de gaieté que m’avais insufflé nuage de renard, sereine je me fichais pas mal des éclairs et des bruits qui m’entourais en ce moment la joie n’était pas vraiment au rendez-vous ces dernier temps donc je profitais de chaque instant de bonheur qui s’offrait à moi et j’en dégustais chaque minutes ; chaque secondes après tout qui sait quand j’aurais l’occasion de gouter une nouvelle fois à cette douce et agréable sensation. Prenant un ton dramatique je dis:
De mieux en mieux cela fait bien des lunes nous n’avions pas eu un temps aussi poisseux c’est à dégouter les grenouilles de l’eau, cette année la mauvaise saison est particulièrement dur je trouve remonter la pente sera difficile pour le clan nous perdons tous de plus en plus de poids chaque jour.
En effet depuis le début de cet enfer j’avais bien maigri de 7 bons kilos et cela n’allait pas en s’arrangeant on pouvait désormais percevoir légèrement mes cotes sous ma fourrure blanche immaculé, déjà que à l'habituel je n'avais pas un très grand appétit, mais là je regrettais de ne pas avoir fait de réserve pour l'hiver et toutes mes actions me damendais donc deux fois d'énergie qu'à l'ordinaire.
Noir de Café Félin Légendaire
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Sujet: Re: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard] Mar 9 Fév - 1:08
Nuage de Lune fit un petit rire amusé, un petit rire cristallin et féminin. L'apprenti roux, content d'avoir amusé sa nouvelle amie, rigola à son tour d'un rire bien différent, celui d'un petit mâle. Alors que la belle apprentie riait encore, Nuage de Renard l'a regardait, toujours aussi heureux d'amuser la galerie. Celle-ci, encore à moitié en train de rire, rétorqua:
Oui cela se voit vraiment d’ailleurs si tu ne fais pas rapidement ta toilette tu vas finir par attraper le mal vert et te retrouver dans l’antre des guérisseurs à trembloter pendant 2 lunes !
Ce fut au tour de Nuage de Renard de rire. Pourtant, il n'y avait rien de vraiment drôle là-dedans, et de plus, ce n'était pas faux. Rester trempé après une pluie froide d'hiver était l'un des meilleurs moyens d'attraper le mal vert, maladie dévastatrice chez les quatre Clans. Le jeune apprenti, heureusement pour lui, ne l'avait pas encore attrapé, mais si inconscient qu'il était, il pourrait l'attraper sans mal. La terrible maladie avait déjà tué au moins 5 chats dans le Clan cette hiver, surtout des petits et des anciens. Les apprentis ne se rendaient souvent pas compte de la chance qu'ils avaient eu de ne pas être né en hiver, et d'avoir survécu au mal vert. "Quand on attrape le mal vert, on a froid, on tremble sans pouvoir se contrôler, on a la tête qui tourne parfois, on se sens mal, on a le front tout chaud, et on éternue ...". Nuage de Renard se rappelait si peu souvent de cette histoire qu'une ancienne lui avait raconté un jour. Pour l'instant, si insouciant soit-il, il rigolait au sujet de ce mal vert, sans se rendre compte de la gravité de la chose. Nuage de Lune non plus n'avait sûrement pas dit ça pour vraiment mettre en garde son nouvel ami, plutôt pour lui "rendre" son humour.
La jeune apprentie au pelage éclatant accompagna sa réponse d'un mouvement de la patte qu'elle posa délicatement sur la poitrine de Nuage de Renard, celui-ci reniflant, après avoir rigolé. Il sentait qu'elle appuyait légèrement, et la regarda d'un faire d'un air un peu étonné. Des petites gouttelettes coulaient de la délicate patte de la chatonne, avant de s'écraser sur le sol en un petit "ploc!". L'apprentie eu en un instant la patte aussi trempée que celle de Nuage de Renard. Il y eut un espèce de court silence, pendant lesquels Nuage de Renard leva le museau de son ventre et fixa Nuage de Lune dans les yeux. Tout les deux avaient un petit sourire complice sur le visage, puis tout les deux se mirent à rire.
T’es un marrant toi tu me fais penser à un de mes amis d’enfance il est comme toi c’est pat..te ..d’épi..ne.
Alors que l'apprenti roux avait toujours son petit sourire amusé sur le visage, la belle chatonne au pelage blanc avait terminé sa phrase d'une façon un peu bizarre, comme si prononcer ces mots avait réveillé en elle un lointain souvenir, puis qu'elle s'en rappelait avec nostalgie. Cet air triste lui donnait un air plus mature, et si elle avait été u peu plus grande, Nuage de Renard aurait put la prendre pour une guerrière. Le sourire du chaton roux c'était transformé en étonnement. Qu'est-ce qui l'a rendait aussi triste ? En plus, il n'avait pas bien entendu la fin de sa phrase ... Patte ... Patte quoi ? Nuage de Renard remua les oreilles, gêné, mais à la ofis embêté de ne pas avoir entendu la fin de la phrase de son amie. Celle-ci était toujours tête légèrement baissé, un air triste sur le visage. Son amie poussa un petit hoquet de chagrin, et ses beaux yeux se firent miroitant. Des larmes perlait au bords de ses deux beaux saphir, qu'elle ferma pour empêcher les larmes de couler. L'apprenti roux n'aimait pas voir les gens triste comme ça, et même si il n'avait pas entendu qui avait plongé Nuage de Lune dans cette soudaine tristesse, il dit:
"Allez, souris ! Je ne sais pas ce qui lui est arrivé, à ton Patte de trucmuchose..., mais ça doit pas être bien grave !"
Il se voulait réconfortant, mais il venait de se rendre compte que l'ami à qui Nuage de Lune avait fait référence était peut-être mort ...
Ce n’ai rien excuse moi je pensais juste à patte d’épine cela fait bien des lunes depuis mon baptême en fait que je n’ai pas pu le voir et son demi-frère est dans la même situation que moi, je me disais qu’il devait se sentir bien seul et bien triste dans la pouponnière.
Le jeune apprenti roux sursaute. Patte d'Epine ! C'était ce chaton si gentille et qui lui ressemblait tellement qu'il avait rencontré avant son baptême ! Il s'en rappelait très bien. Patte d'Epine avait les même yeux d'émeraudes que lui, et ils avaient fait une partie de cache-cache ensemble, une fois ! Ce chaton était tellement sympathique ... Comment l'oublier ? Il se rappela aussi à cet instant que Patte d'Epine était très proche de Nuage de Lune, et un voile de mélancolie et de nostalgie lui fit enlever sa bonne humeur quelques instants. C'était moins intense que Nuage de Lune, donc il préféra ne pas lui couper la parole et la laisser terminer:
Enfin heureusement que des chats comme toi existe tu as un don pour redonner le sourire aux autres tu sais c’est une qualité non négligeable ton mentor ne doit pas s’ennuyer avec toi comme apprenti je me trompe ?
Ces paroles lui redonnèrent le sourire et le touchèrent beaucoup, ce n'était pas souvent qu'on lui faisait des compliments comme ça ! Le dernier à lui en avoir fait un était justement Patte d'Epine ... A ce souvenir qui ressurgissait de son esprit, Nuage de Renard garda son sourire, mais ses yeux restaient embrumés. Il repensa aussi à sa mère, également mentor, Feuille Blanche, qui était venue le voir ce matin pour lui proposer de s'entraîner, mais quand elle avait vue sa mine fatiguée et déprimé, elle l'avait laissé se rendormir. Il se rendit compte qu'il avait de la chance d'avoir sa mère pour mentor, une mentor qui le connaissait si bien et qui prenait grand soin de lui ... Nuage de Renard ouvrit la bouche pour répondre à son amie, mais à ce moment là, un grand coup de tonnerre se fit entendre. Les peu d'apprentis qui dormaient encore se réveillèrent en sursaut, et parmi les apprentis qui discutaient entre eux, certains sursautèrent ou poussèrent un petit cri de peur. Même l'apprenti roux, plutôt habitué aux surprise comme celle-là, fit un petit bond de peur suivit d'une grimace. Nuage de Lune, elle, restait impassible. Elle n'avait pas bougé d'un poil, et regardait son ami sursauter d'un air amusée. Nuage de Renard rouvrit alors la bouche, et termina, ou plutôt commença, sa phrase:
"Mon mentor, c'est ma mère, Feuille Blanche, elle à l'habitude de mes blagues, maintenant j'arrive plus à la piéger !"
Nuage de Lune prit alors un ton plutôt dramatique, comme celui que prend un chef (ou plutôt une chef) pour annoncer une mauvaise nouvelle à son Clan:
De mieux en mieux cela fait bien des lunes nous n’avions pas eu un temps aussi poisseux c’est à dégouter les grenouilles de l’eau, cette année la mauvaise saison est particulièrement dur je trouve remonter la pente sera difficile pour le clan nous perdons tous de plus en plus de poids chaque jour.
Nuage de Renard regarda vers l'extérieur. C'est vrai que le temps avait été particulièrement mauvais en cette saison des Neiges, et que beaucoup en avait souffert. Dehors, une pluie froide tombait toujours. Nuage de Renard, toujours le regard fixé vers la sortie, pensa aussi à quel point les membres du Clan avait maigri. Même lui, plutôt costaud de nature, avait bien perdu 3 bon kg à cause du manque de nourriture. La situation était très critique, et les paroles de Nuage de Lune très sérieuse, mais pourtant, le rouquin ne put s'empêcher de s'esclaffer en voyant un guerrier se pavaner glisser sur le sol boueux et se vautrer par terre. Oui, Nuage de Renard était comme ça, il n'aimait pas voir le côté négatif des choses mais préférait le positif, et détestait voir des gens s'accabler sur leur sort. C'est pour ça que, son sourire de nouveau revenu, il se tourna vers son ami et lui dit:
"Booh, il faut pas s'en faire, de toute façon, c'est bientôt la Saison des Feuilles Nouvelles, et les proies vont arrêter d'hiberner et vont sortir toute grassouillette de leur planque, tu vas voir, la réserve de gibier va remonter en un clin d'œil ! Nous, il faut qu'on continue l'entraînement pour aider un maximum le Clan à remonter le pente ! Donc maintenant j'veux te voir sourire !"
Toujours sur un air aussi comique, le jeune apprenti essayait de redonner courage à son amie, il détestait voir les gens s'apitoyer comme ça, surtout ses amis !
Lune éternelle Félin très connu
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Sujet: Re: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard] Dim 21 Fév - 16:58
Nuage de renard tourna son regard vers l’extérieur de la tanière, l’air penseur, lors d’un instant je cru voir un mou réfléchie se dessiner sur le visage pétillant de mon ami au pelage embrasé. Suivant le sens ou se tournait ses yeux, le temps ne c’était pas arrangé depuis que nous avions entamé notre conversation, à vrai dire il avait même empiré la pluie battante c’était transformé en un curieux mélange de goutte d’eau et grêle qui s’abattaient en fracas sur le sol et sur tout les êtres vivants qui avaient le malheur d’avoir tenter une sortie à l’air libre ,d’ailleurs un guerrier jaillit de la tanière réserver au félin accomplis, ce dernier ce pavanait comme si il était le roi du clan, la tête relevé, levant les pattes plus haut que l’ordinaire il voulait sans doute s’attirer les faveurs des chattes, mais ce n’était surement pas avec un comportement aussi puéril qu’il arriverait à ses fins, au moment ou il ouvrit la mâchoire pour parler le pseudo séducteur posa la patte sur une plaque de verglas et comme par enchantement son coussinet quitta le sol, se retourna, un rictus de surprise se forma sur le visage du matou, tout son corps bascula sur le coter, ses trois dernier membres qui le maintenaient debout dérapèrent sur la glace, il s’affaissa contre la couche blanchâtre gelée en laissant échapper un cri perçant des plus stupides. J’entendis mon ami éclater de rire et immédiatement mon rire se joignit au sien, après quelques minutes de cette délectation le novice aux yeux vert s’exclama :
"Booh, il ne faut pas s'en faire, de toute façon, c'est bientôt la Saison des Feuilles Nouvelles, et les proies vont arrêter d'hiberner et vont sortir toute grassouillette de leur planque, tu vas voir, la réserve de gibier va remonter en un clin d'œil ! Nous, il faut qu'on continue l'entraînement pour aider un maximum le Clan à remonter la pente ! Donc maintenant j'veux te voir sourire !"
Je sourie, celui là positivait toujours c’était vraiment agréable de connaitre un chat avec cet état d’esprit, j’allais ajouter quelque chose quand un énorme gargouillis se fit entendre
On dirait que tu as un peu faim. Reste ici je vais aller chercher une proie, si j’étais, toi je ne sortirais pas tu n’es pas encore sec.
Amusée, je me levais, tournant les talons je sortie de la tanière, me glissant vers le tas de gibier j’en profitais pour faire un léger détour, trottinant tranquillement, je me stoppais face, au félin cascadeur de tout à l’heure, il ne s’était pas encore remit de sa chute les yeux grand ouvert, les paupières qui clignotaient l’air qu’il dégageait, bien fait pour lui il n’avait que ce qu’il méritait après tout coller contre le sol là au moins il était à sa véritable place. Levant la tête d’un air supérieur, je lâchais d’un ton moqueur :
Bah alors on à besoin d’aide peut être ? Un problème de coordination, tu ne sais pas tenir sur tes pattes ?Haussant le ton pour me faire bien entendre. A mon avis les chances qu’une guerrière tombe dans tes filets sont maigre pour le moment, change de tactique, celle là n’a pas eu vraiment de succès !
Le guerrier, énerver, mais gêner, ne dit rien, deux tache rouge se formèrent sur ses joues, il se releva me défia d’un regard noir, que je soutenue, il s’en alla sans demander son reste. Pouffant de rire, je secouais ma tête droite à gauche, quel arque tic du parfait imbécile. Reprenant mon chemin, je me hâtais de gagner la réserve pour y prélever un maigre mulot à la chaire filandreuse. Lorsque je plantais mes crocs dans son petit corps, je fus surprise par le peu de nourriture que possédait la carcasse, j’espérais sincèrement que nuage de renard avait raison et que la saison de feuilles verte allais arriver à grand pas pour sortir le clan qui sombrait de jour en jour un peu plus dans la famine.
Pointant mon museau vers le ciel gris et nuageux je soupirais, contrairement à la plupart des félins de la forêt j’aimais la pluie l’eau non je ne l’aimais pas je l’adorais quelque soit la saison, l’endroit, tant qu’il y avait de l’eau je saurais me montrer la plus positive possible.
Poussant un soupir j’appréciais le contact de l’eau sur mon pelage, les gouttes ruisselants contre ma peau la fraicheur qui m’envahissais, quel bonheur. Soudain je me rappelais la raison de ma sortie, nuage de renard mince ! Aussitôt je me dépêchais de rentrer apporter le mulot à mon ami. Entrant dans l’antre, je me secouais, libérant ainsi mon pelage de l’oppression du liquide qui le tentait en plus foncé que sa couleur d’origine. D’un mouvement souple je déposais la proie devant le museau de l’apprenti en ajoutant à mon geste des paroles explicatives sur l’aspect assez douteux de son repas
Tiens désolé c’est la plus dodu que j’ai pus trouver, mange au tu n’auras pas assez de force pour continuer à t’entrainer demain.
Me recouchant sur mon lit de feuilles diverses et de roseau, j’entamais comme toujours ma toilette avec le plus grand soin. Laissant liquide dépourvu de couleur, couler sur ma couche au fur e à mesure que je passais ma langue rappeuse sur mon poil blanc. Une fois ma tache terminée, je me tournais vers mon ami, il avait entamé son repas mais comme je l’avais soupçonné, il peinait à dénicher de la chaire tendre à sa mettre sous la dent.
Il n’y a pas grand-chose à manger là dessus, Vivement la saison des feuilles verte j’ai hâte de courir dans l’herbe douce et puis au moins certain guerrier éviteront de se ridiculiser.
J’avais accompagné mes dires d’un geste vers le pauvre mulot dépecé et d’un sourire éclatant.
Tandis que mon nouvel ami terminait de remplir son ventre du mieux qu’il pouvait, une question me tracassais pourquoi sa mère était-elle sa propre mentor ? D’habitude les chefs évitaient se genre de situation pour faciliter l’apprentissage ainsi que la prise de décision importante si circonstances oblige. Nuage de renard avait du remarquer mon trouble car il me regardait d’une drôle de façon, prenant une grande bouffé d’air frai je lui demandais :
Dis moi nuage de renard comment cela ce fait-il que ta mère soit ta propre mentor ? C’est vrai généralement les chefs de clan évitent ce genre de situation.
Tendant l’oreille pour ne pas perdre une miette de sa réponse, je ne faisais plus attention aux bourrasques de vents, aux autres chats, ou à la température il faut le dire pas vraiment agréable de l’environnement.
[Vraiment désolé du retard mais je n’ai pas d’inspiration en ce moment donc niveau rp ça avance à petit, petit pas.]
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Sujet: Re: Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard]
Une rencontre sous un temps de chien [pv nuage de renard]
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