Un orage plus beau que les autres [PV: Coeur d'Orage]

Un orage plus beau que les autres...

Ce matin, Tempête de Courage n'allait pas en patrouille. Elle avait déjeuner, elle avait fait sa toillette mais elle n'avait rien de prévue pour cette journée. En plus, la chasse ne serais pas si bonne parce-que le ciel était couvert de nuage et les feuilles étaient humide... Le temps annonçais de la pluie. Les petits chatons étaient sortit dehors mais ne tarderait pas à rentré car, la pluie se préparait. La chatte rousse décida quand même de parit à la chasse. Tempête de Courage décida même d'allé à la rivière qui ce trouvait au terre libre. La chatte partie au moment même ou elle venait de décidé d'allé a la rivière.

Elle traversa la clairière sous le ciel sombre. La guérrière passa par la tanière de la guérriseuse pour lui dire bonjour à elle et son apprentie. Puis, elle sortie du camp et traversa la forêt. L guérrière attrappa quelques prois en chemins et les enterra. Le soleil était toujours si sombre et couvert de nuages. Les feuilles des arbres pointaient le sol et le sol, pour sa part était humide et froid. Tempête de Courage garda quand même le sourire car, une journée de plus de paix était toujours bienvenu. Depuis qu'il était arrivé, tout allait bien mais... Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Peut-être qu'un autre groupe de sanguinaire attaquera les clans... On ne sais jamais.

Tempête de Courage traversa tout le territoire en chassant. Il commencait à pleuvoir de petite goûte de pluie mais, il ne fesait pas orage. La chatte continua son chemin jsuqu'a la rivière. Elle commença à chasser quand elle entendit un bruit, sa provenait du buisseau derrière elle et de l'autre coté de la rivière. La guérrière ne bougea pas. Elle huma l'air un instant. *Humm...* Pensa la chatte *L'odeur du clan de l'ombre*. Elle écouta à nouveau puis réflichit. Les yeux de la féline regarda l'autre rive puis ses poils se hérissèrent, ses muscles se bandèrent et elle se prépara à sauter quand... La branche du buisson craqua et une chatte en sortit. Tempête de Courage resta caché, sa proie à côté d'elle. La chatte du cland e l'ombre se rapprocha et un coup de tonnerre retentit. Tempête de Courage fit un saut, elle était dans le coeur d'un orage. La pluie tombait comme des clous puis Tempête de Courage reconnue la chatte toute en s'écriant:

"Coeur d'Orage!"

La féline courut vers elle, travers la rivière et en quelques instants, devint tout tremper. Tempête de Courage sauta de joie en s'écriant:

"Depuis que nous sommes partie de nos terres respectives que nous nous sommes pas vue!"

Un autre coup de tonnerre retentit quand les deux amis se retrouvèrent à nouveau sous la pluie batante et sous les nuages noir qui dansaient dans le ciel sombre. Le sol était froid net mouiller mais les deux amis étaient ravis de se revoir!

Invité

~ Cela faisait si lontemps .:

La saison des feuilles mortes prenait fin, le grand frois arrivait malheureusement à grande vitesse. En ce matin où le vent soufflait en vous en arracher la fourrure, je me réveillai avant tous les autres, l'aube se levant à peine, quelques rayons de soleil filtraient à l'intérieur de la tannière des guerriers. Ne pouvant plus restait coucher, je me levai essayant de faire le moins de bruit possible, malgrès ma réputation de chatte indiscrète. Zigzaguant entre les félins endormis, je faisais très attention à ne pas les réveiller. Devant la tannière, il y avait des ronces, et sans faire attention je me pris le pelage dans ces plantes maudites. Sans m'en rendre compte, je feula haut et fort mon mécontentement. Soudain, j'entendis certains chats grognaient, je m'excusai, m'en allant vers le tas de gibier, sans demander mon reste.

Devant le tas de proies, je regardai le ciel, gris comme la pierre, les nuages cachaient le soleil, et ne laissaient passer que quelques rayons. Ce temps de blaireau me déprimait vraiment, ce jour s'annonçait sans joie, triste comme le ciel ... Prenant un tourtereau bien dodu, je mordai dans le flanc gauche de l'oiseau, la chair de l'animal passait doucement sur mes papilles, je fermais les yeux pendant quelques secondes, savourant ce goût si tendre. Je finissais mon tourtereau lorsque le clan reprenait vie peu à peu, les chats se réveillaient, et sortaient les yeux fatigués, tout petits. Les chatons, que les reines surveillaient attentivement, commençaient à courir autour de moi, jouant à s'attraper. Moi aussi petite je jouais à ça avec mes amis, mais ce n'est plus possible, dès que je suis devenue apprentie, les choses sont devenus beaucoup plus sérieuses, plus le temps de s'amuser.

Aujourd'hui, je chassais seule, car je n'étais dans aucunes patrouilles, évidemment je n'ailais pas ramener beaucoup de gibier car avec ce temps et l'orage qui s'annonçait, les proies allaient se cacher et ne sortir que quand le beau temps sera de retour. Ayant fini mon repas depuis un bon bout de temps déja, je decidai de partir immédiatement pour la rivière forestière, je n'y étais pas aller souvent et j'avais vraiment envie dde découvrir cet endroit. Courant à travers la forêt, ne fesant attention à rien sauf aux odeurs qui me parvenaient, pour essayer d'attraper quelques proies. Arrivant à la rivière forestière, deux souris à la bouche, la pluie était telle que ma fourrure, habituellement épaisse, s'aplaitissait contre mon corps à en vous donner la chair de poule. Je reniflai l'air pour verifier que personne ne se trouvait en ce lieu, peine perdue, une odeur du clan du Tonnerre me parvint. Je déposai mes rongeur morts derrière un petit rocher pour éviter que ce félin ne me les vole. Sortant du buisson derrière lequel j'étais, la féline me regarda d'un air gentil et courut d'un seul coup vers moi :

- Coeur d'Orage !

Ca y est, je la reconnaissait, c'était Tempête de Courage, une amie, que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Elle s'empressa de miauler :

-Depuis que nous sommes partie de nos terres respectives, nous ne nous sommes pas vu !

Oui cela était vrai, ça devait bien faire un ou deux lunes que je ne l'avais plus vue, une grande joie m'envahissait, finalement cette journée s'annoçait un peu plus interressante que je ne l'espérais.

- Oui, ça faisait trop longtemps. Comment vas-tu ?

En posant cette question, j'enfouis mon museau dans son pelage trempé.