Pluie des Nuages d'Eté :
Aprés une longue lune de travail et de marche, j'étais arrivé sur la terre, là où la neige n'est pas, et où le soleil réside, ouvrant à mon égard une chaleur que je ne supportait que de peu. J'avais dormit dans une vielle ferme, délabrée, mais encore entretenue par les Humains. Le jour d'avant, j'avais fait la connaissance d'un gentil chien, un Border Collie comme y disait. Il aimait bien les chats, comparé aux deux brutes qui montent la garde la nuit tombée, lorsque les renard viennent manger les poulets. Il m'avait raconté qu'il avait déjà fait la garde, et qu'il s'était attqué à un renard, mais celui-ci l'avait battu, et le border avait eut une blessure grave à la patte avant, et maintenant, il ne pouvait plus sauter partout où encore marcher une journée entière. Il était assez vieux, et trainait ses pattes vers les troupeaux, qui souvent se faisait un carré d'herbe de trop.
Ce matin là, j'avais décidé de chasser les souris. Cherchant un bruit dans les bottes de pailles, je detecta une grosse, peut-être un peu trop, souris faisant son nid. Allant vers elle, doucement, entreprenant les techniques donnés par quelques chats des environs, je la traqua. Mais arrivé devant elle, je m'aperçut de ma bétise : ce n'était point une souris : mais une ratte ! L'échine hérrissée les griffes sorties, je tourna talons, malheureusement, une ratte n'est pas seule... Quatres autres rats étaient derrière moi, j'étais piégé. Il aurait fallu que je saute d'au moins six longueur de queue de renard pour atteindre un lieu sûr, et cela n'était point facile. J'essaya une fois avant de retomber, et de me faire assaillir par deux des rats. Mordant et griffant, les bestioles avaient faim, mais moi aussi ! Je me retourna, et me mettant debout, je mordait chacune des bestioles jusqu'a ce qu'elle prennent peur, mais lorsqu'elles lachèrent, les deux autre me sautèrent dessus. En vain ! A chaque fois qu'une lache, un autre prend le relais. Je fut vite envahis par les quatres, et allongé par terre, j'étais épuisé. Puis, une idée me vint. Il ne pouvait sauter plus haut que moi ! Je devais m'accrocher sur les bottes de foin, et monter le plus haut, mais cela était dangereux : elles pouvaient toutes tomber d'un moment à l'autre, sachant qu'elle étaient trés mal placées, toutes en collonnes faible. Mais c'était la seule solution. Me débarrassant une seconde des rats, je put sauter et m'accrocher à une botte. Mais celle-ci commençait à tomber, urgence ! Je devais monter le plus haut possible pour ne pas être ecrasé par ce maudit poids, et être tué par les rats ensuite. Je grimpa du plus haut, et arriva en haut, lrosque les bottes trombèrent. Je sauta dans le vide, de l'autre côté, et atterit sur le sol, les pattes faibles. Je courrut le plus loin possible, cherchant des plantes assez puissantes pour calmer les blessures et les infections... Quelles plantes déjà !? Ah ! L'une étaitle cerfeuil, mais dans cette région, je ne crains qu'il y en ait ! Je devais trouver du souci, ou encore des baies... Des baies !! Je devais trouver des baies, et en faire un baume pour soigner mes blessure ! Je me rapellait de toutes les consignes données par Conteur, mon ancien chef. Trouvant des baies dans un buisson, j'en prit plusieurs, et m'allongea à l'ombre de celui-ci. Les baies étaient rosées, pas comme les rouges qui auraient pu me tuer. Les écrasant sur une pierre plate, j'en étala ensuite sur mes plaies les plus inportantes, avant de m'allonger, cherchant du réconfort par les ancêtres de ma tribu. ° Ô Tribu celeste, aide-moi à guérir, j'aimerai tant pouvoiur accomplir ce rêve que j'ai depuis longtemps, je veut voir les terres inconnue de mon peuple, et trouver ces autres clans dont Conteur m'a parlé. Aide moi tribu Celeste ! ° Puis je m'edormit sur une roche, laissant la peur s'en aller, laissant le réconfort m'envahir.
[Rêve = violet]
Je me reveilla sur ma roche, mais cette fois-ci, j'étais non pas vers la ferme, mais sur une couche blanche, qui traversait les nuages étincellant. Je m'appris ensuite que j'étais d'ailleurs sur un nuage, j'étais surement en train de rejoindre les ancêtres. Me levant, je n'avait aucune blessures, et pas de baume sur moi. Je regarda autour de moi, et je vit un chat s'vaancer. Une jolie chatte grise argentée, aux magnifiques yeux bleux. Elle s'avança, et me touchant du front, elle me dit en douceur, d'une voix lointaine et réconfortante :
- Je suis Jolie Plume. Je suis une chatte morte il y a des lunes et des lunes, je suis morte dans ta tribu, en aidant les tiens à survivre. Je t'aiderait volontiers à faire ton rêve. Tes blessures seront guéries, ne t'inquiète pas. Mais regarde autour de toi, ce qui t'attend, tu n'y a pas pensé.
Je regarda autour de moi, et je vis des chats, mais il était pas vivant, enfin, si , mais je ne les voyait que par transparence dans les nuages.
- Là-bas, ils ont besoin de guerriers. Oui, c'est comme ça que nous nous appellont, guerriers, et ici, tu est sous le protection de nos ancêtres, le Clan des Etoiles. Les ancêtres de ta tribu ne peuvent plus veiller sur toi. Je te guiderait, et je ne serai pas la seule...
Puis, elle s'éloigna, et disparut. Perturné, je ferma les yeux, et quand je les réouvrit, je fut devant mon buisson, dans la vie réelle, allongé sur mon rocher.
J'avais fait un rêve fantastique. Qu'elle était belle ! Jolie plume. Je me souviendrais de ce nom toute ma vie, ou du moins ce qu'il en restait... Mais par surprise, mes blessures étaient guérries, et mon baume s'effaçait progressivement. Le soleil était loin derrière moi, j'avais dormi toute la journée, et le temps de chasser était venu, avant le crepuscule.