envie

En baillant, je me dirigeai vers la tanière des chatons d'un pas tranquille. J'aillais me rouler en boule dans un nid de roseaux et dormir paisiblement pendant la nuit. Je n'étais qu'à deux queues de souris de l'entrée quand je remarquai une chatte banche que j'apréciais tout particulièrement. Petit Lune ! Elle était assise toute seule. Suivant son regard, je vis deux autres chatons, dont Petit Papillon. Pourquoi mon amie aux yeux saphirs faisait ça ? Pourquoi s'isolait-elle pour observer de loin d'autres chatons ? Je changeai de direction et m'avançai vers elle. La féline était tellement absorbé par ses chats qu'elle ne me remarqua même pas.

-Et, Petite Lune ! Qu'est-ce que tu fais là, toute seule ?

Elle sursauta. Ce n'était donc pas une impression, elle était très concentré sur les deux matous. J'attendis son explication patiemment. D'ailleurs, elle ne tarda pas à me répondre.

J'observai mon amie aux yeux de lune. a douce lumière blanche les rendaient étincelant. Ainsi, ceux-sont les deux prochains apprentis... Quelque chose me semblait bizarre.

-Et ! Ce n'est pas Petit Papillon, là-bas ?

Je me plongeai dans les yeux saphirs clairs de Petite Lune. Son nom lui allait à ravir. Je leva la tête pour conparer ses yeux à la lune. Ils étaient si semblable à cet astre de lumière. Quand je pense que toutes ces lumières blanches sont des guerriers de jadis...Veillaient-ils aussi sur moi, de leur perchoir ? Ou ne regardaient-ils que les félibns au "sang pur" ? Je balayai cette idée de ma tête. On m'avait assuré que le Clan de Etoiles ne tenaient pas compte de l'origine, mais des choix, de la loyauté, de la force... Ils n'ont pas de préférence, sauf lors des prophéties. En baissant les yeux sur mon amie, je remarquai son air patient. elle m'attendait, mais ne voulait pas me déranger. C'était vraiment une amie, Petite Lune.

-Excuse-moi. Je t'écoute.

Patte d'épine me regarda et dit

Excuse-moi. Je t'écoute

Je ris il n'avait pas écouté,toujours aussi tête en l'air,je soupita et recommença mon récit mot pour mot:

je suis venue regarder les baptème,je les envies j'aimerai tellement etre à leur place,nuage d'érable a de la chance je ne devrais pas etre jalouse c'est une de mes amie les plus proche,j'espere bientot devenir apprentie,mais pour etre honnete je ne sais pas si je serais a la hauteur et si mes parents si ils me regardent de la toison argentée sont fière de moi,j'aimerai vraiment leur faire honneur

Aussitot apres avoir redit ça,la même sensation de gêne me repris et je rebaissai la tête.Je fixais mes pattes,rentrant sortant mes griffes qui labourraient la terre par nervosité.Le regard des autres avais toujours eu une grande importance pour moi,j'essayais toujours d'être parfaite,polie,ponctuel,amical,mais comme tous chats j'avais égalenment mes défauts et ils ressortaient toujours au plus muvais moment.Nuage d'érable me comprenait et en faisait abstraction mais patte d'épine en fairait-il autant,je ne le savais pas,il était gentil et attentioné,l'esprit ouvert et blaguere quoi que souvent dans la lune,mais pour ce qui est de ce sujet la je ne pouvais faire que des hypothèses sur sa réaction.Quand il répondit mon coeur fit un bon temps j'étais anxsieuse.

Je regardai Petite Lune sans comprendre. Ses griffes grattaient le sol, ce qui me prouvait qu'elle était nerveuse. Je réussis à attraper son regard pendant deux petites secondes, qui me suffirent emplement. Elle se demandait se que je pensais d'elle. Tel que je la connaissais, elle aimait être parfaite, sans défaut. Et là, elle était un peu jalouse de ces deux chatons. Petite Lune se demandait ce que je pensais d'elle, et avait peur que je la rejette. Bizarrement, ça me rappellais le moment où j'avais fait sa connaissance. J'avais peur qu'elle me rejette à cause de mes origines domestiques.

-Petite Lune ? Pourquoi penses-tu que je te rejeterais ? Moi, quand je suis arrivé, j'étais jaloux de tous les chatons au "sang pur". Après, je me suis dit que le passé était derrière moi, et que cela n'avait pas beaucoup d'importance. Un jour, nous serons tout les deux apprentis. Puis guerrier. J'ai tellement hate de ce moment !

J'attendais nerveusement sa réponse,je croisais son regard pendant 2 petite seconde et apres il dit:

-Petite Lune ? Pourquoi penses-tu que je te rejeterais ? Moi, quand je suis arrivé, j'étais jaloux de tous les chatons au "sang pur". Après, je me suis dit que le passé était derrière moi, et que cela n'avait pas beaucoup d'importance. Un jour, nous serons tout les deux apprentis. Puis guerrier. J'ai tellement hate de ce moment !

A ces paroles je relevais la tête j'avais arrêté de retourner la terre et mes yeux brillaient

Merci patte d'épine,tu es vraiment un ami,je ne sais pas pourquoi j'ai douté de toi peut être parce que ma mère est parti après ma naissance et j'avais peur que toi aussi tu partes.Et puis tu as raison un jour ont deviendra apprentits puis guérriers nous aussi moi aussi j'ai hate!

Toute peur m'avait quitté j'étais denouveau à l'aise et heureuse je me lécha la patte et enlevais la terre de mes griffes.Je donna un coup de langue sur l'oreille de patte d'épine,c'était merveilleux d'avoir un ami sur qui compter.

J'allais demander quelque chose à Petite Lune, mais un gigantesque baillement m'en empêchai.

-Euh...Petite Lune ? Tu compte rester là toute la nuit ? Parce que ce n'est pas que je m'ennuie, mais je préfère la pouponnière à l'herbe.

En fait, je tombais de fatigue. Cette journée avait été riche en émotion, et ce n'est pas moi qui dirait le contraire. Nous étions presque tout seul dans le camp, tout les autres étaient dans leur tanière, sauf quelques exeption. La voix cristaline de Petite Lune retentit dans mon esprit.

Patte d'épine allait ajouter quelque chose mais émit un énorme baillement et ajouta

Euh...Petite Lune ? Tu compte rester là toute la nuit ? Parce que ce n'est pas que je m'ennuie, mais je préfère la pouponnière à l'herbe.

Je ris il avait l'air pres à romber par terre et moi aussi je sentais mes paupières se fermer sur mes yeux.

Tu as raison il est temps d'aller dormir,il se fait tard.

En effet la toison argenté était extremement visible et le bleu était devenu sombre.Nous nous dirigeâmes vers la pouponnière,patte d'épine se roula en boule et je me peletonna à côté de lui.

Bonne nuit patte d'épine!

Et je fermis les yeux prete à rejoindre le monde des rêves.

Je me roulai en boule, entre Petit Elfe et Petite Lune. Je n'eus même pas besoin de me forcer à dormir, j'étais déjà emporter dans un rêve.

Je me trouvai dans une petite prairie. Devans moi, un tronc d'arbre était renversé, et un chat pouvait facilement sauter dessus. Je n'eus pas le loisir de le faire. Un félin était déjà dessus. Je le détaillai avec préssition. Aucun doute, c'est le même chat. La nuit de mon arrivée, j'ai rêver de ce matou. Je voulus prendre la parole, mais une fois de plus, il me prit de vitesse.

-Patte d'Epine ! Je suis très heureux de te revoir ! J'ai plusieurs choses à te dire, mais le temps nous manque. Je vais être bref, un être cher viendra, un être que tu as délaisser. Je ne peux pas t'en dire plus. Désolé. A la prochaine, petit frère.

Je me levai, nerveux. Encore une fois, j'ai rêver de ce félin. Et il m'a encore appelé petit frère. Petite Lune me regardait d'un drôle d'air. D'un mouvement de moustaches, je lui conseillai de se rendormir, ce qu'elle fit aussitôt. Moi, je restai assis. Trente minutes plus tard environ, Petite Lune se réveilla.

-C'est pas tout, mais maintenant, j'ai faim ! Tu viens manger avec moi, ou pas ?

J'ouvrais les yeux et je vis patte d'épine,il me dit:

C'est pas tout, mais maintenant, j'ai faim ! Tu viens manger avec moi, ou pas ?

Je me leva,fis un brin de toilette puis je lui répondit:

Bien sur,aller vient il faut se dépecher si ont veux avoir de bon morceaux.

Ont se dirigea vers la réserve,je choisi un poisson fraichement péché vus l'odeur.
J'alla m'assoir son l'arbre habituel,patte d'épine me rejoigni,et se coucha à coter de moi,déposa sa proie et cligna des yeux,il était encore dans la lune.

Patte d'épine!Qu'est ce qui c'est passer tout à l'heure tu semblais perturbé et confus.Tu as fait un mauvais rêve?

Je plongeais mes dents dans mon repas et avala une petite bouchée en attendant sa réponse qui ne tarda pas à venir.

-Euh...je...tu vas trouver ça idiot, mais, depuis que je suis ici, j'ai fait plusieurs rêves. Toujours le même endroit, toujours le même chat. Et...

Je m'interrompis, confus. Si ça se trouve, elle me prend pour un fou ! Après tout, ça n'arrive pas à tout le monde, ce fénomène. Je regardai Petite Lune en hésitant. Puis, je posais la question qui me démangeait. Après, je serai fixé. J'espère juste qu'elle me croit, comme Petit Elfe m'avait cru avant elle. Quelque chose au fond de moi me soufflait de ne pas m'inquièter, mais...un chat sur en vaut deux, non ? Je me lançai.

-Est-ce que tu me crois, Petite Lune ? Est-ce que...tu pense que je te ments ?

-Et bien, j'ai fais deux rêves : dans le premier, un chat me parle. Il me dit qu'il me connais, et cite d'ailleurs mon nom. Ensuite, avant de partir, il m'appelle petit frère. Et cette nuit, j'ai rêve à nouveau de ce félin. Cette fois, il semblait heureux. Il m' dit quelque chose que je n'ai pas saisis. Il a dit qu'un être cher viendra, un être que j'ai délaissé. Et après, il m'a dit a la prochaine, petit frère. Voilà, tu sais tout.


Je me sentais sereins, heureux, bref, mieux. Comme quoi, ce comfier à quelqu'un, c'est très agréable. Petite Lune m'y un peu de temps à répondre. Elle allait surement comenter mes songes, et me parler du sien. Après tout, ces parents sont du Clan des Etoiles, c'est tout a fait normale qu'ils cominiquent avec leur fille. Alors que moi... La douce voix de mon amie retentit en écho dans ma tête.

Patte d'épine répondit:

Et bien, j'ai fais deux rêves : dans le premier, un chat me parle. Il me dit qu'il me connais, et cite d'ailleurs mon nom. Ensuite, avant de partir, il m'appelle petit frère. Et cette nuit, j'ai rêve à nouveau de ce félin. Cette fois, il semblait heureux. Il m' dit quelque chose que je n'ai pas saisis. Il a dit qu'un être cher viendra, un être que j'ai délaissé. Et après, il m'a dit a la prochaine, petit frère. Voilà, tu sais tout

J'écouta son histoire avec attention,réfléchi puis dit:

Eh bien essaye de te rappeler as-tu un frère?Te rappele tu avoir connu quelqu'un que tu as perdu de vu?
Pour ma part depuis toute petite je fais le même rêve,je suis dans le noir,mes parents sont là aussi j'essaye de les rejoindre mais ils s'éloignent de plus en plus et apres un énorme ravin s'ouvre sous mes pattes et je suis comme happé par je ne sais quoi,je tombe et j'entend la voix de mes parents me dire de ne pas m'inquiété,je cris je pleure et avant de toucher le fond je me réveille.
Dis patte d'épine tu dois savoir que mes parents ont disparus,tous le monde m'a dit qu'ils chassaient avec le clan des étoiles mais je n'arrive pas à le croire c'est quelque chose tout au fond de moi,je sens qu'ils ne sont pas morts mais c'est illogique.

Je poussa un soupire les yeux perdus dans le vague,au plus profond de moi je veut croire qu'ils sont morts,qu'ils ne m'on pas abandonner mais cette sensation dans mon coeur me dit tout le contraire.La voix de mon ami me fit relever la tête, mes yeux étaient remplient de larme.

-Oui, j'ai trois frères, mais il ont mon âge, alors que ce félin est un guerrier. Et, à part ma famille, je n'ai abandonné personne. Tout le monde sauf un de mes frères me rejettait à cause de mon choix de vie. Moi, je voulais partir, donc, pour eux, j'étais un renégat. Sauf pour un de mes frères.

J'observai Petite Lune. Elle regardait le ciel, les armes aux yeux.

-Petite Lune. Je sais une chose. Importante. Mais je veux être sur. Décris-moi tes parents.

Petite Lune. Je sais une chose. Importante. Mais je veux être sur. Décris-moi tes parents

A ces mots je sursauta,il savait quelque chose d'important comment cela pouvait etre possible?Curieuse,je le regardais sans comprendre puis je repris mes esprits et je répondit:

Je n'ai jamais connu mon père,mais je me rappelle que ma mère a les yeus bleu et le pelage blanc,gris.

Je ne savais pas à quoi cela pouvait bien lui servir de savoir comment étaient mes parents mais si il connaissait quelque chose d'important sur eux j'était pres à tout pour savoir de quoi il s'agissait.Avec une certaine apréhension je tournais mon regard bleu vers lui,il semblait réfléchir puis il me regarda d'un air grave et me dit.

Je portai un regard grave sur Petite Lune.

-Et bien...c'est possible que je l'ai vus.

Mon amie sursauta en entendant mes paroles. Elle m'écoutait attentivement. Je ne voulais pas la faire attendre, je continuais donc :

-Tu sais, quand je suis arrivé dans le camp. Un félin m'a conduit dans ce Clan, pas dans celui du Tonnerre, qui était nettement plus près. Je ne l'ai pas vus, mais son odeur est à jamais graver dans ma mémoire. Il a dit quelque chose dans le genre : dit bonjour à ma fille de ma part. Je ne sais pas si c'était à moi qu'il parlait, mais bon...

Une étrange lueur illuminat les yeux de la jolie chatonne. Je pensais que je lui avait doner un espoir, rien qu'un petit, mais c'est toujours mieux que rien. Je n'en était pas sur, mais mon amie était contente. Je l'étais aussi. J'étais très attentif quand Petite Lune me répondit.

Ce que patte d'épine me répondit me fit sursauté:

Tu sais, quand je suis arrivé dans le camp. Un félin m'a conduit dans ce Clan, pas dans celui du Tonnerre, qui était nettement plus près. Je ne l'ai pas vus, mais son odeur est à jamais graver dans ma mémoire. Il a dit quelque chose dans le genre : dit bonjour à ma fille de ma part. Je ne sais pas si c'était à moi qu'il parlait, mais bon...

Mon regard s'illumina,alors j'avais raison au moin un d'entre eux était toujours en vie,j'avais un parents là quelque part dans la foret et je le connaitrais un jour,l'espoir disparue, se ralluma en moi,je me présipita sur patte d'épine et j'enfui ma tete contre son cou en ronronan aussi que je put et disant:

Patte d'épine c'est merveilleux oh si tu savais,un de mes parents est toujours en vie et tu l'as vu,je t'adore,j'avais perdu espoir et maintemant tu viens m'apprendre que tu en a vu un,je n'aurrais jamais cru cela possible.Si tu savais combien je te suis reconaissante!

Mais soudain une réalité me frappa,une réalité brutale qui me fit l'effet d'un coup de griffe en pleine face.

Mais si mon père ou ma mère est vivant cela veux dire qu'il m'ont réellement abandonner de plein gré,il m'ont laisser croire qu'ils étaient morts,est-ce que j'ai un jour compté pour eux,si ils m'aimait ils ne m'aurait pas fait ça...

Les larmes roulèrent sur mon visage mes yeux joyeux d'habitude avait laisser place à des orbes vide d'espoir et rempli de tristesse.

Patte d'épine ça ne te dérange si je fais une promenade j'ai besoin de m'éloigné du camp,viens si tu veux.

Je quittais le creux rassurant de son coup et je dirigeais lentement vers la sortit du camp tete baisser,puis j'entendis sa réponse je m'arreta.

Volontairement, je me mordis la langue. Mince ! Je ne pensais pas que Petite Lune verait les choses sous cet angle ! Surtout qu'elle avait l'air si triste... Je ne pouvais pas la laisser se chagriner ainsi. Je suis sur que ces parents ne l'on pas abandonner de leur plein grès. Je ne pouvais pas l'imaginer. Mais, moi, je l'avais fait ! J'avais laisser ma famille dans le nid des Bipèdes, tout seul. Je les avait fait pleurer, mais j'avais ignorer leurs larmes. Seul un de mes frères m'avait vu fondre en larme. Car, au fond de moi, la tristesse était là. A chaque occasion que je lui laissai, même involontairement, elle reprenait le dessus, m'envahissait, me rendait encore plus triste que me famille. Un jour, il faudra que je mette un terme à tout ça. Petite Lune commençai à s'éloigner.

-Attend.

Je la rattrapai. Quand je fus à sa hauteur, je cherchai son regard. Il me fis mal au coeur. Il était charger de tristesse, pure et simple. On dirait deux lac, avec un reflet de lune, ce qui conservait son regard si semblable à l'astre de la nuit.

-Ne pense pas que tes parents t'ont abandonné. Ne pense jamais ça. Si jamais tu y songe, tu te mentiras. Seul un être cruel peut laisser des gens qui lui sont cher en plan, sans éprouver de la tristesse. Et tes parents ne sont pas cruel. Jamais ils ne t'auront laisser seule, volontairement. Moi, je le sais.

Elle me rendit mon regard, quelque peu rassuré. Dans mes yeux, il y avait une expression qui m'était rare. Je ne la connaissais que depuis une lune. La détermination. J'étais sur de ce que j'avançais. Rien qu'avec un regard, je le fis comprendre à mon amie aux yeux emplis d'espoir et de tristesse. Automatiquement, la confiance reprit le dessus. Mais, comme moi, les larmes demeuraient à l'intérieur, la blessure mentale se refermait, pour se rouvrir à la moindre occasion.

-Ne laisse jamais la tristesse reprendre le dessus. Promet le moi. J'ai connu ça, et cela est toujours en moi. Tu n'est pas la seule à avoir une blessure. Sache que l'on est plus fort à plusieurs. J'ai confiance en toi. Tu ne commettra pas la bêtise que j'ai faites.

Mes paroles pouvaient sembler étrange à la féline, pourtant, elle comprendra. Si jamais ce n'est pas le cas, elle me demandera plus d'information. Peut-être au cours de la balade, ou après, ou tout de suite...En tout cas, elle saura tout. Un instant, je crus vois la forte amitié qui nous unissait. C'était...une drôle de sentation. Cela ne m'était arriver qu'une seule fois, avec Petit Elfe. La voix de mon amie perça le silence qui c'était installé.

Patte d'épine me rattrapa et se qu'il me dit me fit réfléchir:

Ne pense pas que tes parents t'ont abandonné. Ne pense jamais ça. Si jamais tu y songe, tu te mentiras. Seul un être cruel peut laisser des gens qui lui sont cher en plan, sans éprouver de la tristesse. Et tes parents ne sont pas cruel. Jamais ils ne t'auront laisser seule, volontairement. Moi, je le sais.

J'eu à peine le temps de comprendre ses paroles qu'il enchaina:

Ne laisse jamais la tristesse reprendre le dessus. Promet le moi. J'ai connu ça, et cela est toujours en moi. Tu n'est pas la seule à avoir une blessure. Sache que l'on est plus fort à plusieurs. J'ai confiance en toi. Tu ne commettra pas la bêtise que j'ai faites.

Je ferma les yeux pour réfléchir,se qu'il disait était vrai mes parents ne m'auraient pas abandonné,pas de plein gré,je refoulais mes larmes et les bloquais au fin fond de mon coeur.Mais il a dit que je n'étais pas la seule à avoir une blessure ce pourrait-il que...
Je rouvris les yeux toutes traces de tristesse avait disparue,les larmes n'étaient plus,mes yeux étaient d'un bleu lune encore plus pure et la détermination se lisaient dans mon regard,je planta mon regard dans le sien,je m'y perdi un moment avant de commencer.

Patte d'épine je te le promet je ne laisserais jamais la tristesse prendre le deçu... et je te remercie je ne sais pas ce que je ferais sans toi!

Je colla mon museau contre le sien une fraction de seconde puis je parti en crian

Ont faient la course jusqu'a la rivière!Le dernier arrivé a un gage!

J'entendis patte d'épine protester, j'accélera encore j'arriva à la rivière.Il me rejoignit,nous reprenions notre souffle,puis j'alla chercher le courage néssaire pour dire se que j'allais dire dans ses yeux,apres quelques secondes je me lança:

Patte d'épine soit sincère,quand tu m'as dit que je n'étais pas la seule à avoir une blessure,tu parlais à cause d'une expérience personelle n'est-ce pas?

Son regard changea,je regretta de lui avoir poser la question,je n'aurais pas du lui demander c'étais trop personelle qui suis-je pour exiger qui remut son passé surement émouvent.Sa voix me ramena à la réaliter.

J'étais en train de courir quand Petite Lune s'arrêta d'un coup. Regardant aux alentours, je remarquai que nous n'étions pas loin de la rivière. Je n'eus pas le loisir de continuer, car mon amie me demandait déjà quelque chose. Je m'apprêtais à lui répondre quand mes souvenirs refluèrent. Toute la tristesse accumulée jusqu'à maintenant essaya lentement de me faire pleurer. Je n'en fis rien. Au contraire, je la regardai en face. Je savais que cet épisode allait resortir un jour ou l'autre. Un instant, j'en voulus à Petite Lune. Avant de me rendre compte que j'avais tout fait pour qu'elle me pose cette question. J'avais toucher un point sensible de tout les chatons et apprentis, la curiosité. Je n'avais plus qu'une chose à faire, lui comminuquer mon secret. Après tout, il n'était pas terrible. Juste...horriblement méchant. Cruel. Non. Il ne fallait pas que je pense à ça. Avant de connaître Petit Elfe, c'était déjà arriver, et elle m'avait aider à combattre ma tristesse. Ma colère envers moi. Je me lançai.

-Je pense que tu sais mes origines. Avant, j'étais domestique. Mais la vie sauvage me passionait. J'ai...j'ai du partir. Mon frère préféré m'a jurer qu'il me retrouvera et vivra avec moi dans le forêt. Et...j'ai...je suis...je les ai abandonné. Je les ai laisser dans le nid de Bipèdes maternel.

Vers la fin, la tristesse couvrait à moitié ma voix. Mais, cette fois, je ne pus l'en empêcher. Je fondis en larme devant mon amie. Plus rien ne m'importait, je voulais juste rester avaec elle. Je fourai mon museau dans son cou. Incapable de la regardé en face après ces aveux, je ne bougai plus. Maintenant, je me demandai ce qu'elle pensait de moi. Je jettai un oeil discret en direction de mon amie. En même temps que je vis son regard, elle me répondit.

Patte d'épineme regarda dans les yeux puis se lança:

Je pense que tu sais mes origines. Avant, j'étais domestique. Mais la vie sauvage me passionait. J'ai...j'ai du partir. Mon frère préféré m'a jurer qu'il me retrouvera et vivra avec moi dans le forêt. Et...j'ai...je suis...je les ai abandonné. Je les ai laisser dans le nid de Bipèdes maternel.

Patte d'épine craqua,je lui laiçai quelques minutes pour qu'il se remette de ses émotion puis je déclarai:

Ecoute patte d'épine tu sais ont ne prends pas tous le même chemin,un jour ou l'autre vos chemins se seraient séparés,ils auraient pris leurs envol,toi tu l'as juste pris plus tôt qu'eux,tu as su très vite se que tu voulais et tu as fait le néssaire pour réaliser tes rêves,si réalement ils sont tes frères ils comprendrons et si ils ne l'ont pas encore fait,ils le feront un jour.

Patte d'épine sembla réfléchir un instant à mes paroles,j'espere qu'il les avaient compris.Je tournai mon regard vers la rivière, le clapoti de l'eau contre les roches était agréable,je fermis les yeux me jaissant bercer,sa voix me sortit de ma torpeur.

Je refléchis longuement avant de lui répondre. Je la croyais sur certains points, mais pas sur d'autre. Par exemple, il est possible que j'ai pris mon envol plus tôt; mais toute ma famille ne choisira pas le même chemin que moi. Nous pouvons changer le destin, mais quelque fois, il est tout tracé. D'un coup, je resentis beaucoup d'amitié pour Petite Lune. Je lui avais comté mon histoire, où j'avais été cruel avec les mien, et elle me console.

-Merci Petite Lune. Merci pour ton attention.

Sa gentillesse m'avait réchauffée le coeur. J'observai les alentours, géner. Je fus étonné de voir la rivière si proche. Nous avions bien courus ! Je suivais son sillage, quand je remarquai que j'étais assoiffé. Aussitôt, je le fis comprendre à mon amie.

-Petite Lune ? Avec cette course, j'ai très soif ! Tu veux venir boire avec moi ?

Nous nous perdîmes un instant dans les yeux de l'autre, chacun étant comme hypnotiser par le regard vert-ambré ou bleu lune de notre ami. Puis, lentement, nous reprenîmes nos esprits. Joyeuse, la féline blanche et noire me répondit avec entrain :

au bout d'un moment patte d'épine dit:

-Petite Lune ? Avec cette course, j'ai très soif ! Tu veux venir boire avec moi ?

J'observa la rivière,c'est vrai que l'on étaient très proche du cour d'eau.

Oui bien sur apres cette course j'ai une de ses soif.

En quelques bons je fus sur la rive,je me penchaa et lappais l'eau rapidement,en même temps j'observais le cour d'eau je voyais à travers l'eau et en même temps le reflet de la terre ferme,c'était magique comme la frontière entre 2 mondes qui se mélaient en une infine barrière,l'eau fraiche coulait dans ma gorge.Une fois que j'eu fini,je relevais la tête le soleil de midi me réchauffait et mon corp se parssemait d'une douce chaleur.Une douce brise soufflait sur la rivière apportant toutes les odeurs de la forêt,elles se baladaient le long de la rivière.Je fus sortit de ma torpeur pas patte d'épine.