L'aube d'une nouvelle amitié [PV Argentée]

L'Aube d'une Nouvelle amitié

L'Aube brillait à travers mes yeux clos, sa douceur me carraissait le dos paisiblement. A cheval entre un rêve et la fin de mon sommeil, je songer à la signifiquation de se présage ... Je ganbadais seule dans de magnifiques prairies giboyeuses quand soudain : l' air me vint a manquer. Le sifflement du vent me réveilla en sursaut, bientôt le clan quitterait ses rêves de souris. Il me fallait quitter l'air libre et le ciel apaisant, pour retourner dans ma prison maternelle. Non pas que ma mère fut une torture, ou que mes compagnons de tanière soient étouffant; mon problème était tout autre. C'est voir le ciel qui me manquait, sentir le vent sur mon pelage et mes pattes tremblant de joie. A travers la voute de la pouponnière je ne voyais ni le ciel les soirs d'orages, ni la brume matinale. Je ne sentais ni le vent sur mon pelage et ne respirer plus la liberté. L'odeur lacté, autrefois si reposante et douillette, devenait pesante et détestable. Heureusement, il y a Maman, elle ai toujours la pour moi, me rassure et me dorlote. Je suis plus un tout petit chaton mais j'aime quand elle me lèche tendrement entre les oreilles, et qu'elle me souffle des mots doux. Et voilà, je me remet a rêver ! A rêver de mes premiers jours, dans la lande matinale où je sautais comme un lapin tous juste sortie du ventre de sa maman ! Car ma mère mis bas au milieu des landes, j'y ouvris les yeux et découvris le bonheur. Les quelques jours suivants que nous y passâmes sonnent tous aussi merveilleux, libre comme l'air, je filais partout en trébuchant quelques fois sur mes grandes pattes...

- Aïe !

Ce crie, sortant de la tanière des guerriers, me rappela a l'ordre inextremis car un grand mâle sortait déjà de le tanière. Ne pouvant atteindre la pouponnière, d'un bond gigantesque, je sauta sous un buisson. Mais le plus important n'était pas d'être cachée, mais de rentré dans la pouponnière avant que Maman se réveille. Malheureusement, elle était plutôt matinale... Pour l'instant seul un guerrier était sorti, mais la patrouille partirai bientôt et tous les autres sortirais d'un moment à l'autre. Prenant mon courage à deux mains, et profitant d'une inattention du mâle, je me mis à ramper comme un chasseur en baissant ma queue le plus possible. Incroyable ! La technique que Nuage Pourpre m'avait apprise marchait à merveille ! Trop contente, je perdis ma concentration et ma queue fouetta le sol durement. Le guerrier commença à se retourner lentement... Vite !!! Bondissant dans la pouponnière, je priais le clan des étoiles pour qu'il ne m'ai pas vu. Marchant doucement pour ne réveiller personne, je cherchais ma mère du regard. Elle était endormie au fond de la tanière et, le mâle n'avait pas l'air de m'avoir vue ! Accélérant vers Maman, je ne vis pas la petite queue qui barrait mon chemin... En la sa tant sous mon coussinet je me mordit doucement la langue, qu'elle pas douée ! N'ausant pas regarder quel félins j'avais réveillais, je me recroquevillais sur moi même prête a entendre une voix s'élever. Mais rien. Levant la tête je vis. Une grande chatonne, de sûrement 5lunes qui me regardait gentillement.

"Heu, Coucou, balbutiais-je, désoler de te réveiller ..."

La chatonne me souriat puis me répondit :

-Ce n'est pas grave.

Elle avait un  beau pelage blanc recouvert d'une cape  argentée.Elle avait les yeux d'un bleue  éblouissant...

-Tu t'appelle Boule des Près,non?

Cette questions la tira de ses pensées...

-Moi je m'appelle Petite Argentée!Tu veux venir manger un morceau avec moi?

Je hochais timidement la tête en signe d'accord.

-Très bien vient avec moi.

Elle m'emmena en dehors de la pouponnière,près du tas de gibier qui était bien peu garnit.
-Petite Argentée!
-Oui,Grain de folie?
-Vous devez prendre une pièce pour deux car le gibier se fait rare en ce moment.
-D'accord!Très bien Boule des Près que dirais-tu d'un lapin bien dodue.

Cela remontait à deux jours que je n'avait pas manger de viande!!!
En me regardant Petite Argentée comprit mes pensées parce qu'elle dit:

-Je pense qu'elle doit te plaire,vient allons nous installer devant la pouponnière.

A peine nous étions nous installer que je m'était mis à manger tout en oubliant Petite Argentée.

-Hey,laisse-moi en un peu quand même!

Elle me regarder de ses beau yeux bleue et esquissa un sourire.

Désolé...Mais j'avais tellement faim que je t'avais oubliée.

-Je comprend,mais dis-moi qu'elle âge as-tu?

Je comprend, mais dit-moi quel age as-tu ? Me demanda la jolie chatonne au yeux de saphir.

Mon âge... A vrai dire je n'en avais pas la moindre idée. Mais il était hors de question d'avoir l'air d'une cervelle de souris. En y réfléchissant bien, je savais que Petit moineau avait 3 lunes et j'étais plus grande qu'elle, donc j'avais environ 4 lunes. Cela paraissait juste car je me rappelais avoir connue 3 assemblés. Mais alors, ça fait pas 4! Mais si, quelle abrutie, c'est aujourd'hui la quatrième ! Et j'avais prévue d'aller l'espionner... Mais c'est un secret. Levant les yeux, je vis la belle chatonne me regardant d'un air intriguée. A oui, c'est vrai elle m'avait posé une question, toujours dans la lune moi... Et c'était quoi déjà ? A oui, mon age.

-J'ai quatre lunes tout rond, répondais fièrement, et toi ?

En attendant la réponse de la chatonne au pelage d'argent, j'entrepris de l'examiner : Elle était plus grande que moi et très gentille, je trouvais son petit nez rouge très mignon. Elle semblais toujours calme et disposée à m'écouter. Je décida alors de lui parler un peu de moi.

-Je m'appelle Boules des Près car ma mère mis bas dans la petite prairie, elle paraissait ne pas me comprendre, tu sais celle juste derrière la lande. Elle ne pus pas revenir au camp tout de suite du coup, des que mes pattes me portèrent, je m'amusa follement dans les près et de là vint mon nom.

Son nom à elle, il était facile de savoir d'où il venait : de sa belle cape argenté qui miroitait au soleil. Elle le portait bien. elle me souriais et je décidais qu'il était l'"heure des amis" comme je l'appelle. C'est l'heure où je sens que je vais me faire une super amie et qu'il est temps d'agir. Scrutant la carrière, je retrouva mon passage secret ... C'était une brèche entre deux tanière qui menait vers la lande aux lapins. Elle était étroite et seul un chaton pouvait y passer. Discrètement, je lui fit signe de me suivre. M'engouffrant dans la faille, j'évitais les épines tout en avançant, Petite Argentée me suivait. Enfin, la lumière aparut et nous debouchames sur la lande. Vite, il nous fallait une cachette ava,t que quelqu'un arrive car, la lande est balayée par le vent et on repèrait un chaton a 30 queux de renards. Trois gros rochers apparurent, l'un deux était creux et douillet. La cachette idéale.

-Ici personne ne nous trouveras, lâchais-je en souriant, comme ça on sera tranquille.

Boules des Près tornade la tête vers vous ne brèche situé entre deux tanière et me fis signe de la suivre.La brèche était tellement minuscules que même un chaton avait du mal à passer, alors en plus des épines qui s'accrochant à ma fourrure, je me demander comment Boules des Près pouvait arriver à passer par cette brèche, mais c'est vrai qu'elle n'a que 4 l'une..Ce que je découvris me laissa San voix, nous étions arriver dans la lande...C'était magnifique.Je regardai Boules des Près qui m'adressa de un sourire.Une chose cette chatte était vraiment époustouflante!
Tu veux que je te  raconte mon histoire?
En voyant ses yeux se fixer sur moi je compris la réponse.Je n'aimais pas trop racontait mon histoire mais la je le fais pour mon amie...Bon il est temps de commencer..
-Alors voilà, en fait ma mère était une chatte domestique et mon père un chat solitaire, ils étaient très proche l'un de l'autre mais cela fus de courte durée...
Je me laissa envahir par mes souvenirs avant de continuer:
-Quand les bipèdes ont découvert notre cachette ils ont voulu nous tués mon père et moi mais ma mère ne voulais pas nous perdre donc elle a préféré que l'on parte pour vivre dans la forêt mais la nuit de notre départ un blaireau nous à attaquer dans la forêt et à tuer mon père...
Je sentie la petite chatte venir se blottir contre moi.
-Je poussais des miaulement apeurés jusqu'à ce qu'un ami à mon père vienne me chercher.J'ai essayer d'en savoir plus mais personne ne voulait rien me dire...Alors j'ai décidé qu'un jours je partirai retrouver ma mère.
Il y eu quelques mois notes de silence puis Boule de près me dis: