Une nouvelle rencontre, une nouvelle ennemie...[PV]

Invité

Lueur d'Espoir
"Hope"

Dans la pouponnière un chaton jouait avec sa mère qui faisait de même puis le père vint s'ajouter. Lueur d'Espoir qui était devant la tanière des guerriers regardait les 3 chats. "Alors c'est ça être chouchouté ?"

Le temps était couvert aujourd'hui tout comme l'humeur de la jeune féline. Elle n'avait envie de rien faire, de penser. Mais il fallait chasser, pour le clan, le clan passe avant tout c'est le code du guerrier. Des fois elle se demandait si elle ne devrait pas être libre, libre de faire ses propres choix. Mais cette pensée sortait de sa tête quelques minutes plus tôt.

Lueur d'Espoir se leva, enfin puis se dirigea lentement vers la pile de gibier bien garnie. Elle choisit le plus gros et le plus grassouillet des écureuils parmi tant d'autres et commença a manger, lentement. En quelques bouchées il ne restait plus qu'une carcasse de l'écureuil. Sans la ramasser elle sortit du camp puis respira une bonne bouffée d'air. La jeune chatte resta immobile pendant un moment puis décida enfin d'aller faire une balade malgré le temps qui annonçait être pluvieux, comme ça elle était sûr de ne pas faire de rencontre au Paradis Floral. C'est là qu'elle voulait aller, cet endroit très fréquenté par tous les clans et les solitaires. L'odeur du gibier montait dans ses narines mais Lueur d'Espoir n'avait aucune envie de chasser, pourtant l'odeur était forte comme si la chasse l'appelait mais la chatte ne céda pas.

Enfin arrivée, elle respira une nouvelle fois une bouffée d'air, un air pure, celle des fleurs. Le Paradis Floral gardait sa beauté, l'endroit était multicolore. Recouvert de fleurs, des coquelicots, des pâquerettes... La jeune féline roula dans les fleurs, elle se sentait bien ici et protégée. Elle roula sur elle même encore une fois mais se cogna le dos contre quelque chose, un rocher ? Elle le va la tête puis fut surpris de trouver au dessus d'elle un chat.

Griffe Argentée

Le destin est entre tes mains

Après plusieurs jours auprès des malades de la nouvelle maladie au camp, je partis pour un repos autorisé. Même si je me refusais de laisser ces blessés, mais malheureusement la fatigue me suivait. Mes paupières se reposèrent quelques heures. Je retourna vers la tanière des guerrissurs mais aucun d'eux n'avait besoin de moi pour le moment, alors le seul moyen de me rendre utile était de partir chasser pour eux.

Une fois dans la forêt, je me mis en route vers un gibier mais je n'ai jamais été vraiment fort à ce jeu là. Je me lançais à la poursuite d'un écureuil quand celui-ci me mena à un endroit que je savait hors de mon territoire, mais aucune odeur de clan ne contredisait ma présence ici. Je me posa parmi les roche de se coin fleuri, au moins si je n'étais pas sur mon territoire je pouvais me camouffler dans les rochers rempli de fleurs qui cachaient mon odeur en plus.

Une chatte portant fortement l'odeur du Tonnerre vint se rouler dans les fleurs, je ferma les yeux pour ne pas être trahi par leurs reflets caramelisés. Quand quelques chose vint me dérangé. Prit par une peur d'être découvert, je pris le dessus sur la situation, elle ne semblait pas sur son territoire non plus, c'était sans doute un territoire libre, nous avions tout deux l'autorisation d'être là. Je me plaça au dessus de la jeune femelle, de manière à ce qu'lle me voie bien et lui lacha un

" Tu t'amuses ? "

Ce n'est pas mon habitude de parler ainsi mais cette femelle ne m'inspirait ps confiance, et elle faisait partie d'un autre Clan. Je la dévisageais, peut-être avais-je été hostille mais je n'ai pas besoin de me faire une place auprès de ceux que je ne connais pas. Une sorte de libération !

Invité

Meeting

«Tu t'amuses ?»

Ce n'était pas très amicale pour un bonjour mais Lueur d'Espoir se contenta de ne pas répondre et d'observer le chat qui se tenait devant elle. Elle examina tout les détails, son beau pelage blanc et ses griffes qui était argentées et qui avait l'air aussi dévastatrice... Rien qu'en regardant son corps musculeux et son regard caramélisé qui lui donnait un air de caïd, on pouvait dire qu'il ne valais mieux pas se frotter a lui. Pourtant au fonds il avait l'air sympa mais il faut toujours se méfier des apparences. Tout ce que savait la jeune féline c'est qu'il ne faudrait pas trop rester longtemps ici a contemplé son corps. Fallait-il l'aborder gentiment, avec un caractère froid, méchamment comme il venait de faire ou ne pas l'aborder du tout. D'un côté Lueur d'Espoir voulait lui rendre l'appareil mais ça ne lui ferait qu'attirer des ennuis. Elle décida d'essayer de le classer dans ses amis elle répondit :

«Je besoin de liberté comme tout les chats sa te choque ?»

D'un côté elle avait répondu assez gentiment mais avec une pointe de méchanceté. Comment le chat allait réagir ? Elle attendit sa réponse en regardant les papillons volé autour d'elle, le chat n'avait pas l'air d'avoir elle allé répété quand il ouvrit la bouche enfin.

Griffe Argentée

Je crois …

La femelle me fixa d’un air hésitant mais tellement puissant et pesant, elle dit d’une voix méchante et désagréable, aussi désagréable que la mienne à vrai dire.

Je besoin de liberté comme tout les chats ça te choque ?

Comme tout les chats de mois de sept lunes, pas d’une guerrière, même si son activité semblait plutôt agréable. Je ne répondis pas d’un air méchant. Je me contentai de plonger mon regard dans ses yeux qui semblait plus doux. Malgré notre mauvais départ nous pourrions peut-être être amis, peut-être. Elle détourna le regard et le temps dura trop longtemps avant que je réponde et ça semblait l’agacer, j’y prenais plaisir. Elle était belle, ses taches lui allaient bien. Je trouvais une pointe de charme à sa façon de réagir. Elle ressemblait à mon père par son caractère, je trouvais ça agréable. Et bizarrement, je me sentais plus proche d’elle. Elle était différente des chattes que l’on rencontre à l’ombre, rancunière et hautaine, enfin, j’en fais une généralité. Enfaite, ses paroles, je les respectais, et elle faisait ce qu’elle voulait, au lieu de lui répondre de manière hautaine, comme je l’aurais fais si je n’avais pas pris le temps de réfléchir, je m’assis à coté d’elle et dis clairement.

Après tout tu ne fais rien de mal, je ne peux t’en vouloir.

Elle semblait surprise de ma réaction. Peut-être avais-je été trop brutal. Peut-être … En tout cas elle ne fit guère de commentaire. Je souriais, puis elle me dit, simplement.

[Un UPi trop mignon !]