It lives only to die on day [PV: Swie; Georgette; Joyce x) ]

Kappa
Je suis maitre de mon destin, et capitaine de mon âme...

Au loin, au beau milieu d'un vaste terrain un s'avance d'une allure renfrogné et tête baissé un mâle noir, il n'est pas commun de le voir trainer dans les parages, ce territoire, qui était le sien avant lui est interdit. Il relève la tête, il à du apercevoir quelque chose, une proie sans doute car il se tapis sur le sol en essayant de se camouflé le mieux possible, lorsqu'une silhouaite, semblable à la sienne s'avance, elle ne semble pas l'avoir remarqué et continue sa route.

Lorsqu'elle fut arriver à sa hauteur il put la distinguer très nettement, elle était de couleur noir de jais, son pelage soyeux ondulé lentement avec la légère brise du vent. Il se tapis encore plus pour qu'on ne le remarque pas, mais le vent tourna d'un seul coup et son odeur fut tout de suite transportée vers la chatte noir. Elle stoppa net, tout ses sens en alerte elle regarda autour d'elle, les poils de son échine et de sa queue complètement érissés. Lorsqu'il aperçut son visage il la reconnu tout de suite, c'était Delta! Le jeune mâle et elle ne s'aimaient vraiment pas. Son regard croisa le sien et il restèrent figé un instant avant qu'elle n'eut le temps de réagir il bondit et lui attrapa la patte. Dans un cri de douleur elle planta ses crocs dans l'échine de Kappa puis le plaqua au sol, face contre terre. Immobilisé il essaya de donner des coup de griffes partout dans l'espoir de l'atteindre. Elle plaça une de ses pattes sur son coup et enleva ses long crocs de la chair du chat. Elle poussa un rire moqueur avant de déclarer:

-Je vois que tu es toujours aussi doué pour te battre!

Il essaya de se dégager encore une fois en vain.

-Boucle-la et enlève tes sale pattes de ma fourrure!

Delta :

La jalousie n'est pas un défaut...juste du bon sens.

Le vent sifflait dans ses oreilles, sa fourrure impeccable été plaqué contre son flanc, elle courait. Tel un éclair noir, elle courait sans but. Juste pour courir. Sentir le vent giflé son visage, ses pattes effleurer à peine la terre meuble de la forêt. Juste pour courir rien d'autre. Elle bondit avec élégance par-dessus un tronc d'arbre couché. La réception de l'autre côté fut parfaite. Elle atterrie en douceur sur un épais tapis de feuilles mortes. Satisfaite, la belle chatte raccourcit sa foulée et ralentit petit à petit. Elle finit par trottiner. Dans sa poitrine, son coeur bondissait si fort qu'elle crut un instant qu'il allait sortir de sa cage thoracique. Une légère brise vint soufflé doucement, séchant les gouttes de sueur qui parsemaient son pelage. Elle lui apporta aussi les effluves humides de la forêt matinale : bois mouillé, mousse gorgée de roser... Les premiers rayons astraux percèrent l'épaisse couche de feuille et de branche qui dominait la forêt au-dessus de sa tête. Elle traversa un puits de lumière. Les rayons du soleil vinrent danser doucement sur ses flancs et son dos, dessinant des reflets bleus sur son pelage d'encre. Elle resta un moment ici, yeux clos, savourant la chaleur astrale. La brise tiède la fit frissonner. Elle lui apporta également une odeur qui attira son attention. Ses yeux violets s'ouvrirent d'un coup et un rictus sadique se dessina doucement sur son visage : un mulot. La féline entrouvrit la mâchoire et laissa le vent lui apporter des informations. Le mulot était tout proche, son odeur était très forte. Lentement, Delta s'approcha. Elle ferma les yeux et se concentra. Un son furtif, un bruit de grignotage, le petit rongeur était si proche que la féline ébène pu entendre le battement régulier de son coeur. Elle rouvrît ses pupilles d'améthyste et continua de progresser.

Les petits brins d'herbes chatouillèrent le ventre de la chatte qui resta imperturbable. Elle rampa encore quelques mètres et s'arrêta. Le vent était avec elle, il venait d'en face. Elle continua d'avancer, mais plus doucement, une patte après l'autre, prenant son temps pour que chacune de ses pattes soient bien ancrées dans le sol si elle devait bondir. Elle n'était plus qu'à une longueur de queue de renard de sa proie. Un bond ridicule la séparait de son diner. Elle laissa ses griffes sortirent et banda ses muscles. Elle s'apprêta à bondir lorsque le vent tourna. Le mulot affolé par l'odeur de la féline s'enfuit dans les fourrés. La chatte feula de rage. Elle inspira à plein poumons pour se calmer. Mais son action eu l'effet totalement inverse. En effet, en inspirant l'air frais de la forêt, la féline sentit l'odeur d'un chat qu'elle n'appréciait pas vraiment ; Kappa. Soudain, elle se sentit observer. Elle pivota rapidement la tête et elle l'aperçue. Le grand mâle noir se tenait debout à sa gauche. Un sourire sadique se dessina sur ses yeux et ses yeux se plissèrent légèrement. Doucement, elle pivota sur sa droite. Lorsqu'elle fut de trois quart par rapport au chat, elle bondit. Un bond spectaculaire.
L'effet de surprise joua également en sa faveur. Avec hargne, elle mordit à pleine dent la patte du mâle. Le gout du sang lui emplit la bouche. Elle savoura quelques instants le goût métallique et laissa le liquide chaud et visqueux couler dans sa gorge. Sa victime hurla de douleur. La féline ébène bondit sur son adversaire et attrapa lui attrapa l'échine. Une nouvelle fois, le sang coula entre ses crocs.
Maintenant qu'elle y avait goûté, elle en redemandait. Elle en voulait encore. Avec force, elle plaqua le grand mâle face contre terre et l'immobilisa avec sa patte avant. Elle sourit lorsque le mâle donna des coups de pattes désespèré dans le vide. Delta rigola de bon coeur et dit :

-" Je vois que tu es toujours aussi doué pour te battre."

Le mâle gigota encore une fois, tentant de se libérer de son emprise, en vain. Dans un grognement il dit :

-" Boucle là et enlever tes salles pattes de ma fourrure"

Delta rigola de nouveau et descendit de son promontoire. Pendant que le mâle se relevait elle dit :

-" Kappa, Kappa, Kappa... ton cas et vraiment désespèré ... Elle le fixa avec amusement, un sourire ironique sur ses lèvres: Tu n'es même pas capable de te défendre. Elle fit mine de réfléchir : Dire que je t'enviais...mais finalement, il n'y en a aucune raison. Puis elle planta son regard violet dans les yeux de son adversaire : Ah, etpour information, mes pattes son propre. La seule chose qui va les salir...c'est ton sang !"

Elle banda ses muscles et dans un cri de haine, elle bondit sur le matou. A moitié surpris, le mâle noir réussit à esquivé son coup. Mais Delta n'avais pas dit son dernier mot. Une fois que ses pattes retouchèrent le sol, elle pivota avec habilité et rebondit sur en direction du gran mâle. Cette fois ci elle le toucha à l'épaule. Le chat noir retint un cri de douleur. Delta sourit :

-" Oh pardon, je t'ai fais mal."

Et elle repartit à l'attaque.
Elle le détestait, elle le haïssait plus que tout. Il lui avait prit sa mère, il était le chouchou de Béta et était presque respecté par Alpha. Il était plus puissant qu'elle. Et ça, elle ne le suportait pas. En ce moment, elle ne voulait qu'une chose, une simple chose : sa mort. Et elle arriverait à ses fins.

[Pour le motif de la jalousie, tu me dis si ça ne te convient pas et je change, mais il fallait que je trouve un truc !^^]

-" Kappa, Kappa, Kappa... ton cas et vraiment désespèré ... Elle le fixa avec amusement, un sourire ironique sur ses lèvres: Tu n'es même pas capable de te défendre. Elle fit mine de réfléchir : Dire que je t'enviais...mais finalement, il n'y en a aucune raison. Puis elle planta son regard violet dans les yeux de son adversaire : Ah, et pour information, mes pattes son propre. La seule chose qui va les salir...c'est ton sang !"

Franchement insupportable! Elle est vraiment pitoyable à se prendre pour une reine, je la hais, vraiment! La femelle en face de moi banda tous les muscles de son corps et se jeta de nouveau sur moi, elle comptait sur l'effet de surprise mais elle rata son coup. Je l'exquivais habillement, mais manifestement Delta avait gagné en rapidité et en force depuis notre dernier affront, je l'avais sous-estimé et elle eut le temps de faire demi-tours avant de se jeté une deuxième fois sur moi je n'avais encore eut le temps de me retourné qu'elle atterie tout proche de moi, si d'un écart je ne l'avais pas évité sa aurait pu mal tourné pour moi. Le sang gicla de mon épaule, elle m'avais tout de même touché! La douleur me monta à la gorge, das un léger tremblement je retins un cris de douleur.

-" Oh pardon, je t'ai fais mal."

Cette petite avait vraiment du culot pour s'en prendre à moi. Mais elle n'avais pas que sa elle avait un motif qui la poussait à se surpasser, à se moment là je comprit, le combat ne prendrait fin que lorsque l'un de nous deux quitterais se monde... Elle était vraiment aveuglé par la rage et du coup ne mettrisait pas parfaitement sa puissance. Ceci constituait un avantage pour moi, mais ma blessure un pour elle. Mon épaule était sérieusement touchait et le sang perlé à grosses gouttes sur le sol. Bientôt je perdrais force, tout se jouerait dans les premières minutes.

Je pouvais essayé de l'intimider ou de lui parlait du passé pour la perdre un peu, puis je pourrais lançait l'assaut une fois que je l'aurait désorienté. C'est une bonne idée:

-Ne prends pas cet air supérieur avec moi Delta, entre nous on sait bien que tu n'as aucunes chance face à moi. Ce n'est pas pour rien que les autres me respectent. Je suis un vrai combattant moi!

Pas terrible, elle avait l'air même plutôt amusée, mauvais signe, cette parole l'avais aussi mis en colère, quel idiot je fais, la critiquer n'était peu être pas la meilleur chose à faire... Mon épaule me faisait de plus en plus mal, et le sang continué de gicler. Je ne suis pas dans le caca je risque ma vie là tout de mâme!

[PS: fais pas attention à se que dit Kappa, il est comme ça xP]

Rêve Inflexible

Le réveil du jeune guerrier se passa doucement. Ses prunelles laiteuses s’entrouvrirent délicatement, s’écaillant dans ce monde abstrait. Frémissants à cause des premiers frimas, le jeunot se leva en grelottant. Tranquillement, mais d’une démarche tout de même allègre, il sortit du gîte occulte. La lumière était de même plus forte hors de la petite cavité, mais il ne la trouvait pas non plus avez revitalisante. Comme toute les matinées, il fixa la tanière de la guérisseuse en grimaçant, puis le matou alla au tas de gibier. Même si sa gloutonnerie était en ascension, ce n’était pas le moment de jouer l’égoïste. Son ventre grondant de famine. Il maudit le maigre rongeur qu’il avait choisit. Le noiraud ne voulait pas faire preuve d’élitisme envers ses amis, et ça le générait de se sentir coupable d’avoir trop mangé. Il décortiqua sa proie méticuleuse et pour prendre bout de chair fluet. Les jours ensoleillés devenaient chimère, prenant un voile de désolation chez ses amis. Silencieusement, il se leva et partit du camps.
Sourire à la vie lui permettait de toujours être joyeux, mais quelques éléments troublants le martyrisaient. Il fallait qu’il devienne plus fort pour les siens, pour les protéger de tout. Il fallait qu’il rentre dans l’élite et non dans l’élitisme. Ses flancs encore saignant, le matou courba le regard droit devant lui pour oublier sa douleur ubiquitaire. Ces sempiternelles souffrances devaient se taire. Luffy se mettait en tête qu’il n’avait pas autant de maux que ses amis malades. Enragé, il continua sa route, courant toujours aussi vélocement.

« - Raah ! Il faut que je devienne plus fort ! »

Il avait hurlé ses mots dans le néant. En guise de réponse, une ultime résonance de ses paroles retentit dans la forêt. Des oiseaux s’envolèrent fugacement à cause du brouhaha qu’il avait crée. Ses prunelles grand ouverte, Rêve Inflexible capta rapidement l’odeur enivrante de la Prairie de la Renaissance, mêlée à d’autres effluves fallacieuses. Le jeunot décocha un grand sourire. Du monde ! Et surtout des gens qu’il ne connaissait pas. Sans avoir la moindre vigilance, le félin déboula devant eux. Mais il vit rapidement que les deux chats se battaient. L’un d’entre eux était très blessé, et l’autre faisait preuve d’une incroyable consonance dans ses geste.

-Ne prends pas cet air supérieur avec moi Delta, entre nous on sait bien que tu n'as aucunes chance face à moi. Ce n'est pas pour rien que les autres me respectent. Je suis un vrai combattant moi!

Luffy ne comprit pas vraiment se qu’il se passa. Les prunelles écarquillées, il s’approcha deux en courant. Leurs pelages étaient hérissés, et celui du mâle ruisselait d’hémoglobine. Mais pourtant ils avaient la même odeur ! Pourquoi se battaient-ils aussi violemment tandis qu’ils étaient « frères ». Le duo n’avait effectivement aucun cœur pour oser être pareil entre eux. Le jeune guerrier, de nature bagarreuse, se jeta sur la moins blessé pour la renverser à terre. Puis d’une voix courroucée, il cracha :

« - Tu es tarée ?! Tu t’attaques à un des tiens ! Il est blessé, laisse-le tranquille ! »

Effectivement, le matou mit énormément de temps à comprendre qu’il était tombé sur des Spartiates. Il en avait pourtant entendu des élans de rumeurs sur eux. Ils avaient attaqués durant une Assemblée les quatre clans. Les morts avaient été nombreux. Tout cela s’était produit à cause d’un chef qui avait ordonné que les quatre clans aillent à l’Assemblée. Mais il ne savait plus son nom. Etoile de Mistral ? Possible. S’éloignant de ses pensées principales, Luffy fixa à nouveau la chatte au pelage d’encre avec haine. Qui quelle soit, elle avait trahi son confrère.

Delta :
Mais de quoi tu te mêles toi ??[/size]

L'envie de sang rendait la féline...méconnaissable. La soif de sang l'aveuglait, d'ailleurs, ses pupilles violettes étaient désormais pourpre, comme à chaque fois qu'elle se bâtait et que le sang coulait. Elle ne cessait de ruer de coup son adversaire de coup de pattes puissants et redoutable. Des perles de sang étaient prisonnières des longs poil de Kappa. De plus, la belle couleur écarlate qui ornait ses griffes ivoires n'arrangeait rien. A ce stade, la chatte- déjà redoutable- était, pire que la mort elle-même, elle était prête à tout...tout pour entendre le dernier soupir de Ce chat, pour le voir fermer ses pupilles disgracieuses une fois, la dernière. Elle loupa son dernier coup de patte- perturbée par cette pensée qui l'avait fait frissonner de bonheur, mais aussi car, Kappa avait bondit en arrière, évitant ainsi ses griffes. Elle grogna rageusement. Le mâle, à moitié essoufflé lui dit

-Ne prends pas cet air supérieur avec moi Delta, entre nous on sait bien que tu n'as aucunes chance face à moi. Ce n'est pas pour rien que les autres me respectent. Je suis un vrai combattant moi!

La colère - due à son coup rater- qui avait envahit les pupilles pourpres de la féline se dissipa à l'instant même où elle comprit les paroles du chat, elle laissa place à une lueur amusée, presque enfantine. Ses babines se retroussèrent encore plus, faisant apparaître d'avantage, ses crocs d'une blancheur éclatante mais, son visage se déforma, laissant apparaître un sourire sarcastique. Elle secoua la tête, las. Elle allait répliquer quand une masse sombre passa devant ses yeux. Kappa ? Non impossible, le mâle se tenait toujours immobile devant elle, et elle l'aurait vu venir quand même ! L'éclair bondit et sauta sur la féline noire. Surprise et déséquilibré par la puissance de se coup, Delta chancela et recula de quelques pas. Elle secoua la tête sonner et leva les yeux. C'était un jeune chat au pelage aussi noir que les deux autres. Ses pupilles étaient remplit de colère et de ..haine ? Non mais qui c'est celui là pour s'introduire dans un combat comme ça ? Delta ne l'avait jamais vue. Le noiraud cria :

« - Tu es tarée ?! Tu t’attaques à un des tiens ! Il est blessé, laisse-le tranquille ! »

La féline noire équarcilla les yeux plus surprise que jamais. Elle laboura le sol de ses griffes pour éviter de lui bondir dessus et de le remettre à sa place celui là. Mais elle ne pu s'empecher de lui répondre :

-" Moi tarée ? Oh que oui, mais tu ne t'imagines pas à quel point mon joli. Un sourire s'étalait sur son visage. J'ai deux choses à te dire mignon, déjà, Elle pointa du bout de la queue Kappa, lui, fait effectivement parti du même clan, mais ça, ça n'est pas un problème, je le tuerais s'il le faut, Quand je veux et Ou je veux, car, elle s'adressait désormais à Kappa, sache mon cher, que mes chances de te tuer sont infiniment plus élevé que les tiennes de me toucher. Et je vais t'apprendre une chose, si les autres "te respecte comme tu dis, c'est parce que tu es le chouchou de Béta et qu'en devant ton "ami" ( elle cracha ce mot ) ils se faisaient bien voir par Béta. Bref, nous reparlerons de ça à un autre moment si tu es toujours en vie...ce que je crains fort. Toi, elle reporta son regard sur le chat toujours immobile à quelques mètres d'elle : On t'a jamais appris que c'est mal polie de déranger deux grandes personnes qui discutent ? De plus, cette histoire ne te concerne pas. Alors tu vas me faire le plaisir de rentré dans ton groupe de gentils chatons que tu appelles " clan " plus vite que ça sinon tu finiras comme lui. Elle mit sa phrase en suspend et continua un sourire en coin sur le visage : En chair à corbeaux."

Elle fit quelques pas en direction du noiraud.

[j'edite bientôt (;]

Up !! ^-^ [J'aime trop ce Rp ! ]